Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Festival Les Vieilles Charrues 2004 (samedi)
Tété - Jim Murple Memorial - Mathieu Chédid - Cali - Patti Smith - Emilie Simon - Rodolphe Burger - Erik Marchand - James Blood Ulmer  (Carhaix)  24 juillet 2004

Je ne sais pas pourquoi, mais en regardant Tété investir la scène Glenmor, je me suis dit que ce garçon est décidément bien différent de tout ceux que j'ai pu voir avant lui.

Athlétique, il émane de sa personne une infinie douceur et une grâce rare.Déjà pendant la conférence de presse, Tété s'était prêté de bonne grâce et avec beaucoup d'humour aux questions métaphysiques des journalistes.

Peut-on faire de la musique folk quand on est noir ? Devant l'éternel débat creux de la pensée héllène et du rythme africain, l'ami Tété a choisi le parti d'en rire et de savourer la vie comme elle vient, sans prise de tête.

Et lui, à qui certains photographes ont reproché de chanter les yeux fermés, en cette belle journée d'été, Tété savoure le large public sous ses yeux. Le set accoustique est - comment dire ? - parfait, le groupe distille une musique cool, réhaussée par les mots d'orfèvre de Tété. Un concert doux et chaud comme une caresse d'été, qu'on aurait bien aimé voir se prolonger un peu plus loin. Superbe.

Le soleil darde en ce bel après midi de juillet sur Kerampuihl et on bénit le ciel que la scène Kerouac soit à l'ombre, avec le soleil dans le dos, d'autant qu'on annonce l'arrivée imminente du Jim Murple Memorial sur scène. Des cuivres, une section rythmique et une adorable petite frimousse qui chante, joue de la trompette et bouge son corps - qu'elle a d'ailleurs fort joli - comme pas deux.

Jim Murple c'est totalement et définitivement inclassable, tant le registre passe des sonorités rythm and blues à l'ambiance déconnante des meilleurs groupes de ska.

On sent que tous les musiciens sont d'abord là pour s'éclater, s'amuser entre eux, d'abord, conscients qu'ils sont que l'aspect festif de leur musique est largement contagieux. D'ailleurs, les effets ne se font pas attendre.

En deux titres, l'affaire est dans le sac et les vingts premiers rangs sont secoués par le shaker du Murple. D'ailleurs, on n'est plus à Carhaix, on est au fin fond de la Louisiane ou de la Nouvelle Orléans, sirotant un de ces alcools doux dont ils ont le secret, là-bas, de l'autre côté de l'atlantique. Aux sons du combo, on se laisse aller, tranquille, heureux, peinard. Avec Jim Murple Memorial, la vie est un sourire ponctué de notes. Cool...

Backstage, dans le catering, un type s'échauffe sur sa guitare, tout seul, peinard et visiblement concentré. Mathieu Chedid - puisqu'il s'agit de lui - prépare son concert de ce soir.

Nul ne voudrait déranger le dialogue de l'artiste avec sa guitare et pourtant un type s'approche de Matthieu, démarche chaloupée et s'accroupit pour le saluer.

Il faut dire que ces deux-là s'y entendent quand ils ont une guitare entre les mains et le type qui vient de s'approcher manie sa Gibson Les Paul comme personne. D'ailleurs ça tombe bien, son nom est Personne. Il est sur la scène Glenmor, observe la foule, immense, devant lui et se marre doucement. Le visage est marqué mais le jeu sur la Takamine accoustique est toujours aussi ébouriffant.

Paul Personne est un guitar hero, un vrai, un pur, l'un de ces derniers dinosaures qu'on se targue d'avoir vu au moins une fois sur scène.

J'attends le moment où son backliner va lui tendre sa Gibson dont il tire la quintessence.

Pur bluesman, Personne vit la musique et les sons qu'il extirpe de sa Les Paul, des sons venus d'un autre âge, le son des esclaves noirs dans le sud profond.

Et puis il y a cette voix, cette putain de voix inimitable, rocailleuse, belle à force d'avoir été usée. Par moment, je suis partagé entre la nécessité de shooter de l'image et le bonheur de savourer le concert. Je dois quitter la scène avec amertume car je sais qu'un autre concert d'exception m'attend juste après. Je laisse Paul Personne savourer son bonheur avec le public des Charrues et je garde le souvenir du musicien debout devant la foule, les deux pouces levés. You rock guy !

Je sais. Je le sens venir ce concert et parce que je connais bien Cali pour avoir assisté à deux concerts absolument inoubliables - le premier à l'Espace Vauban, le second à Run Ar Puns - je pressens qu'il va se passer quelque chose d'intense, d'unique, d'énorme, là, maintenant sur la scène Kerouac.

Je sens l'émotion, elle est palpable, elle est là partout dans les yeux des spectateurs.

Cali arrive sur scène et prend tout cela en pleine face, le public de Kerampuihl est là, rien que pour lui, rien que pour ses yeux et cette fois ils ne sont pas quelques centaines mais plusieurs milliers à vouloir se noyer dans le regard bleu azur du bel hidalgo.

Ce qui va suivre tient de la magie, de l'alchimie, entre l'artiste et ses musiciens sur la scène et cette entité unique qu'on appelle le public.

Immédiatement, le public accroche, s'empare de Cali, ne fait plus qu'un, une osmose parfaite, un feeling qui passe, soutenu par les textes doux amers de "l'amour parfait" sur des musiques qui font bouger et qui donnent du plaisir. Et puis l'envie pour Cali d'aller plus loin, l'impérieuse nécessité d'aller au contact pour que l'instant soit encore plus fort, des dizaines de mains se lèvent alors que Cali se love, s'étend, la tête dans les étoiles, les larmes aux yeux, le voilà maintenant porté, transporté par le public, par son public dans un pur moment d'extase. Pour moi, dans le viseur, chaque instant est un vrai moment de magie.

Ce soir t'appartient Cali, cet instant est à toi et jamais la plaine de Kerampuihl n'oubliera ton nom, gravé dans le sillon des Charrues, le nom d'un petit fils d'immigré rital parti un jour combattre la vermine franquiste au coeur des Brigades Internationales.

Je sais, moi, qu'il était là, ton grand père, quelque part près de toi, qu'il a vu tes larmes lorsque tu t'es effondré en sortant de scène, foudroyé que tu étais par les élans d'amour du public de Carhaix. Ce soir, j'ai entendu sa voix murmurer : "Ecco Cali, lo splendido". Voici Cali, le magnifique.

Je suis à peine remis des émotions vécues avec Cali qu'il faut déjà rejoindre au pas de course la scène Glenmor où doit se produire une égérie de la scène rock, Patti Smith herself !

En arrivant au check point, la mine déconfite de quelques photographes présents me laissent entrevoir des difficultés et effectivement, quelques instants plus tard, le manager photo nous informe que Patti Smith souhaite éviter une ruée de photographes dans la fosse. C'est donc à l'extérieur de la fosse, escaladant un escabeau de fortune aussi fragile qu'incertain que je shoote Miss Smith, comme ça, juste pour le souvenir.

Paradoxalement je n'en n'apprécie que mieux le concert et ce bon son dont seule la girl power a le secret.

Bien sûr, comme tout le monde Patti a pris quelques rides et subi l'outrage du temps, mais sa voix, elle, n'a pas bougé, puissante, profonde, reconnaissable entre toutes.

Patti Smith assène les titres nouveaux comme l'incontournable "People have the power" repris en choeur par le public comme un hymne. Y'a pas à dire, la nostalgie a du bon...

Emilie Simon est programmée sur la scène Xavier Graal et vingt minutes plus tard commence le show de -M- sur la scène Glenmor. Bon, je me dis que ça risque d'être chaud, mais c'est jouable. Je ne veux rater ni la prestation de l'une ni le début du concert de l'autre.

Du côté de la scène électro, un Dj passe son mix, accroché qu'il est à ses platines. Et puis ça y est, enfin, elle apparaît, elle dont j'ai entendu tant de bien, dont je garde un souvenir ému aux dernières Victoires de la Musique. Emilie Simon n'est pas un phénomène de foire, mi-ange, mi-démon électro.

Cette musicienne touche à tout a en elle quelque chose qui tient du génie, aussi à l'aise au manche de sa Fender bleu pastel - au look très fifties - que sagement assise au piano, virevoltant comme un papillon de nuit, pilotant le son de sa voix en taquinant un étrange joystick fixé à son bras gauche. Etrange et fascinante, Emilie Simon l'est assurément.

Avec sa jupe à volants noirs et blancs, on pourrait la croire sortie tout droit d'un roman de Lewis Caroll... D'ailleurs c'est le lapin pressé qui me sort de ma torpeur en me chuchotant à l'oreille : "en retard, en retard, tu vas être en retard..." Damned ! En si bonne compagnie je n'ai pas vu le temps passer, j'ai cinq minutes pour rejoindre Glenmor ! Je quitte Emilie avec amertume mais une chose est sûre, on se reverra bientôt...

La nuit tombe doucement sur le festival, la foule immense, compacte attend celui dont elle sait qu'il va mettre le feu à la plaine entière. Il est là, backstage, il attend patiemment le top départ, le col malicieusement relevé, il serre nerveusement les poings.

Cette fois, ça y est, les fauves du cirque -M- sont lâchés sur la scène, la foule exulte, les lumières explosent, enflammant Kerampuihl, l'onde de choc atteint jusqu'au dernier rang et au delà. Quelle incroyable histoire que celle de ce garçon si timide, un brin réservé qui bondit de part en part, le diable au corps lorsqu'il est habité par ce diablotin facétieux de -M-.

Le dandy virtuose se permet le luxe de quelques solos ravageurs, réhaussé par une bande de musicos tous plus doués les uns que les autres, dont l'excellentissime Vincent Segal hallucinant au violoncelle.

Ce soir, c'est le grand soir, Mister -M- est déchaîné, en osmose radicale avec le public le show devant est servi avec maestria !

Non je ne connais pas l'Afrique, scandé par cinquante mille personnes, croyez-moi sur parole, ça le fait. Dans le viseur, c'est la totale, mon oeil ne sait plus à quel saint se vouer, alors je shoote en essayant de raison garder, un challenge, une mission quasi impossible quand on a -M- dans le collimateur.

Fabuleux, le -M- show est fabuleux. La proximité avec le public est renversante surtout pendant la séance du gimmick où un musicien anonyme vient se la jouer - excusez du peu - devant le public du festival. Si vous avez déjà assisté à un concert de -M- sur cette tournée, vous savez de quoi je veux parler. Sinon, un bon conseil, foncez vite voir -M- sur scène, c'est bon comme le bonheur.

J'allais quitter Kerampuihl et sur le thème du "petit dernier pour la route", à minuit et demi passé, j'ai croisé du côté de Kerouac. Là-bas, Rodolphe Burger faisait la fête avec ses potes.

Erik Marchand, apôtre du gwerz, chante sur des arrangements maison signés Burger qui s'affaire autour de sa guitare et de son synthé boîte vocale.

Et puis c'est au tour de James Blood Ulmer - avec qui Burger et le Meteor Band viennent de réaliser un superbe album - de rejoindre la scène dans l'enthousiasme général. Quelques shoots plus tard, je décide cette fois de rentrer, dix concerts dans la journée, enough is too much. La guitare de Rodolphe Burger et les riffs groovy de Blood m'accompagnent sur le chemin du retour.

Demain sera un autre jour, le premier jour du reste de notre vie. Thanks guys.

Crédit photos : Hervé LE GALL, Cinquième nuit

 

A lire aussi sur Friggy's Delight :

Vendredi aux Vieilles Charrues
Dimanche aux Vieilles Charrues

La chronique de l'album La tête qui flotte de Melodium
La chronique de l'album Le coeur dans la tête de Ariane Moffatt
La chronique de l'album Tête de mule de Anaïs Kaël
La chronique de l'album Madones des yeux d’la tête
La chronique de l'album Nu là-bas de Tété
La chronique de l'album Panier sur la tête de Girafe et Bruno Girard
La chronique de l'album Tête Blême de Pogo Car Crash Control
Tété en concert au Festival RocknSolex 2004
Tété en concert au Festival Solidays 2004 (vendredi)
Tété en concert à Festival du Bout du Monde 2004 (dimanche)
Tété en concert au Festival FNAC Indétendances 2007 (vendredi)
Tété en concert à Pipi Tornado - Daniel Jea (mercredi 7 septembre 2022)
La chronique de l'album Trop jolie de Jim Murple Memorial
Jim Murple Memorial en concert à L'Européen (15 juillet 2004)
Jim Murple Memorial en concert au Festival du Schmoul 2005
Jim Murple Memorial en concert au Nouveau Casino (13 avril 2005)
Jim Murple Memorial en concert au Festival des Terre Neuvas 2005 (samedi)
Jim Murple Memorial en concert à l'Elysée Montmartre (9 décembre 2005)
L'interview de Jim Murple Memorial (15 juin 2004)
La chronique de l'album Qui de nous deux ? de -M-
-M- en concert aux Halles (26 mai 2004)
-M- en concert au Festival Solidays 2004 (samedi)
-M- en concert à La Cigale (samedi 12 décembre 2009)
-M- en concert au Festival Art Rock 2014 - samedi 7 juin
-M- en concert au Festival Fnac Live #4 (édition 2014)
-M- en concert au Festival Europavox 2017 - samedi 1er juillet
-M- en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2017 - du vendredi au dimanche
-M- en concert au Festival Beauregard #14 (édition 2022) - Dimanche 10 juillet
-M- en concert au Festival Les Vieilles Charrues #30 (édition 2022)
La chronique de l'album L'amour parfait de Cali
La chronique de l'album La vie ne suffit pas de Cali
La chronique de l'album L'Espoir de Cali
Cali en concert au Café de la Danse (1er juillet 2003)
Cali en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2004
Cali en concert au Festival de Dour 2004 (dimanche)
Cali en concert à l'Olympia (21 novembre 2005)
Cali en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2006 (vendredi)
Cali en concert au Festival Le Rock dans tous ses états 2006 (vendredi)
Cali en concert au Festival des Vieilles Charrues 2006 (samedi)
Cali en concert à Théâtre antique (28 juillet 2006)
Cali en concert au Festival de Saint Nolff 2006 - Fichez nous la paix !
Cali en concert au bordel magnifique - Live (octobre 2006)
Cali en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2008 (Jeudi)
Cali en concert à Zénith (14 et 15 avril 2008)
Cali en concert au Festival des terre-Neuvas Bobital 2008 - Vendredi
Cali en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort 2008
Cali en concert au Festival Furia Sound 2008
Cali en concert au Festival Fnac Live #3 (édition 2013) - Dimanche
L'interview de Cali (juillet 2003)
La conférence de presse de Cali (10 juillet 2004)
La chronique de l'album Trampin' de Patti Smith
Articles : Patti Smith - Commandeur des Arts et Lettres
Patti Smith en concert à Brixton Academy (3 juillet 2004)
Patti Smith en concert au Bataclan (7 juillet 2004)
Patti Smith en concert au Festival Solidays 2005 (vendredi)
Patti Smith en concert au Festival Art Rock 2007 (Samedi et Dimanche)
Patti Smith en concert à Théatre Sébastopol (mercredi 2 novembre 2011)
Patti Smith en concert à Fondation Cartier (jeudi 23 octobre 2014)
Patti Smith en concert à La Passerelle.2 (samedi 24 juin 2017)
Patti Smith en concert au Festival La Route du Rock #28 (édition 2018)
Patti Smith en concert au Festival Check-In Party #1 (édition 2019) - jeudi 22 août
La vidéo de Dream of Life - DVD par Patti Smith
La chronique de l'album eponyme de Emilie Simon
La chronique de l'album Vegetal de Emilie Simon
La chronique de l'album The big machine de Emilie Simon
La chronique de l'album Franky Knight de Emilie Simon
Emilie Simon en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2006 (dimanche)
Emilie Simon en concert au Festival des Vieilles Charrues 2007 (samedi)
Emilie Simon en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2010 (mercredi 14)
Emilie Simon en concert au Festival Rock en Seine 2014 (samedi 23 août 2014)
Emilie Simon en concert au Festival Rock en Seine 2014
La chronique de l'album No Sport de Rodolphe Burger
La chronique de l'album Good de Rodolphe Burger
La chronique de l'album Glück auf ! de Rodolphe Burger & Érik Marchand
Rodolphe Burger en concert à L'Alhambra (12 juin 2008)
Rodolphe Burger en concert au Bataclan (5 mars 2009)
Rodolphe Burger en concert à Théâtre National de l'Odéon (mercredi 16 novembre 2011)
Rodolphe Burger en concert au Festival des Vieilles Charrues #32 (édition 2024)
Rodolphe Burger en concert au Festival des Vieilles Charrues #32 (édition 2024) - 2ème
L'interview de Rodolphe Burger (7 février 2008)


Hervé         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 03 novembre 2024 :Pendant que l'on retient notre souffle

Une semaine qui verra, ou non, le monde basculer du côté obscure de la force, la force avec un petit "f". D'ici là cultivons-nous pour éviter de finir comme "eux". Et toujours Le replay de la MAG#91 disponible en attendant la #92 le 8/11...Pensez aussi à nous suivre sur nos réseaux sociaux.

Du côté de la musique :

"Disco sucks" de Catchy Peril
"Potion" de Djé Balèti
"Apocalypto" de Silmarils
et toujours :
Le Festival Les Indisciplinées c'est bientôt !
"Made in china" de Soviet Suprem
Nouvelle saison du Morceau Caché ! nouvel épisode "Rebonds, Partie 2"
"A place where life is better" de Back In The City
"No Title As Of 13 February 2024, 28,340 Dead" de Godspeed You ! Black Emperor
"Infinite Vol. II" de Jean-Pierre Como
"Dans l'attente d'un signe" de Kaori
"God doesn't exist" de Sex Shop Mushrooms
"Von B." de Von B.

Au théâtre :

"A la lumière des flammes" à La Manufacture des Abbesses
"L'homme à la guitare bleue et les gipsy kids" à La Comédie Saint-Michel
"Tu voulais un coup de foudre ?" au Théâtre du Marais
"Livraison comprise" au Studio Hébertot
"Un monde possible" au Théâtre Lepic

"Arletty, un coeur très occupé" ah Théâtre des Mathurins
"Have a good day !" au Théâtre du Rond-Point
"L'amante anglaise" au Théâtre de l'Atelier

"Elles improvisent" au Théâtre Bo Saint-Martin
"Hélène après la chute" au Théatre de l'Epée de Bois
"Jérusalem" au Théâtre 360
"Mothers - A song for wartime" au Théâtre du Rond-Point
"Tanguy Pastureau, un monde hostile" au Théâtre Tristan Bernard
"L'art de ne pas dire" au Théâtre Saint Georges
"Passage en revue" à La Divine Comédie
"Le choix des âmes" au Théâtre des Gémeaux Parisiens
'La double inconstance" au Théâtre Le Lucernaire
"ADN" au Théâtre Michel

des reprises :
(des pièces déjà chroniquées qui reviennent à l'affiche, atttention, parfois c'est dans un théâtre différent)
"Inavouable" au Théâtre La Scala
"Vole Eddie volle !" au Théâtre Montparnasse
"Le secret de Sherlock Holmes" au Café de la Gare
"Kessel, la liberté à tout prix" au Théâtre Rive Gauche
"Cloture de l'amour" au Théâtre de l'Atelier
"La rivière à l'envers" au Théâtre Essaion

Du côté de la lecture :

"L'heure bleue" de Paula Hawkins
"Anthologie présentée et commentée par Gabriel Martinez-Gros" de Ibn Khaldun

"Confessions d'une loser et autres romans" de Mark Safranko
"1945' de Jean-Christophe Buisson
"Histoires de frantômes" de Jeannette Winterson
"Ocean state" de Stewart O'Nan
"Un éclair bleu azur" de Kwon Yeo-Sun
et toujours :
"Bonheur d'occasion" de Gabrielle Roy
"Histoire de la guerre en infographie" de Julien Peltier, Vincent Bernard & Laurent Touchard
"Hurlements" de Alma Katsu
"L'armée allemande 1870-1945" de Benoit Rondeau
"Le paradis des fous" de Richard Ford

Il est toujours temps d'aller au cinéma ou regarder un bon film :

"Au Boulot !" de Gilles Perret et François Ruffin

"Le repli" de Joseph Paris
"Rivière" de Hugues Hariche
"Les oubliés de l'amérique" et autres films de Sean Baker
"Terrifier 3" de Damien Leone
"Papa est en voyage d'affaires" de Emir Kusturica

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=