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puce Festival Rock en Seine 2011 (vendredi 26 août 2011)
Edward Sharpe and the Magnetic Zeros - Beat Mark - Biffy Clyro - The Feeling of Love - Herman Dune - Funeral Party - CSS - The Kills - General Elektriks - Foo Fighters - Death In Vegas  (Domaine National de Saint-Cloud)  vendredi 26 août 2011

14h00 - Entrée du festival

Je sors du métro et je me viande la gueule bien comme il faut. Les ouvriers qui sont en train de nettoyer le pont de Sèvres après la tempête de cette nuit sont morts de rire. J'arrive à la tente des accréditations et je retrouve Diane, ma binôme photographe. On est arrivés un peu en avance, histoire de repérer les lieux. On remarque que c'est un peu mieux foutu et mieux organisé que les années précédentes dans le coin VIP/Presse.

14h40 - Dans le Festival

On traverse le festival pour aller voir la scène Pression Live où a lieu le premier concert. Cette toute nouvelle quatrième scène est sympa mais vraiment trop loin. Le seul côté positif de cette météo, c'est que c'est le retour des filles en mini-short et bottes en caoutchouc. Faute de place, toutes les affiches ne sont pas présentes dans l'allée Rock'Art, certaines sont disséminées dans le reste du festival. C'est dommage de ne pas les avoir toutes placées au même endroit. Du coup, il y en a que je n'ai même pas vues !

15h00 - Edward Sharpe and the Magnetic Zeros sur la scène Pression Live

Edward Sharpe déboule devant le public toute barbe et chapeau en avant. Ils sont assez nombreux sur scène et la plupart des musiciens font aussi les chœurs. Edward Sharpe a un petit côté gourou hippie avec sa barbe, ses cheveux longs noués en chignon, sa longue tunique blanche en lin et le style de musique folko-cool qu'il chante. C'est con qu'il fasse un temps de merde (vous allez souvent lire cette phrase dans le compte-rendu de ce festival), ça aurait été un concert très agréable avec du soleil. La partie public de la scène Pression Live est en pente, c'est un peu bizarre. Malgré cela, le public est au rendez-vous et Edward Sharpe communique beaucoup avec eux. Il cherche à les faire danser sur un petit air de cabaret. C'est sympa mais un peu trop gentil/Woodstock pour moi. J'ai apprécié mais je ne me taperais pas un set de 2 heures...

15h40 - Direction la Scène de l'Industrie

La météo est vraiment merdique. S'il ne pleut qu'un peu et par intermittence, cela reste très désagréable. On est sous un immense ciel gris menaçant et il fait chaud et humide. Ce ne sont pas de bonnes conditions pour le dernier festival de l'été. C'est plus un temps normal pour un festival d'automne en Bretagne. Que celles et ceux qui n'envisagent pas un festival sans boue aillent moisir en enfer. Un enfer avec que des groupes de merde ! Celles et ceux qui vont dire que je suis devenu une petite bourgeoise ont raison. Ça me fait chier de pourrir mon futal et mes chaussures.

15h45 - Beat Mark - Scène de l'Industrie

Le festival débute pour de vrai avec ce groupe. La voix caverneuse du chanteur va à merveille avec celle toute douce de la chanteuse. L'espace de l'industrie se remplit doucement pour le premier groupe des avant-scènes.

La chanteuse a un petit look décalé plutôt cool de vieille tante bourgeoise, avec son petit gilet et sa broche dorée. Il y a un côté Dark Wave dans leur musique, c'est sombre mais dansant. La basse et la guitare se fondent avec le synthé. La batterie est vraiment mise en avant. Cette rythmique a quelque chose d'hypnotique.

Le point fort du groupe est vraiment le mariage des deux voix différentes et de la batterie. Les deux chanteurs couvrent un spectre assez large et rappellent autant Joy Division que la Pop sucrée des 60's. Ils sont assez cools et efficaces. La chanteuse n'est pas très à l'aise et ne sait pas comment se tenir. Un peu plus d'assurance sur scène et de communication avec le public et ce serait parfait. Dommage qu'il n'y ait pas eu plus de public.

16h10 - Direction la Scène de la Cascade

Je quitte à regret le concert de Beat Mark avant la dernière chanson pour avoir une place pas trop mal pour Biffy Clyro.

L'espace public de la scène de l'industrie est plein à craquer avant le début du concert. C'est vraiment une des plus grosses erreurs de programmation de ce festival. Les Biffy Clyro ont la carrure d'une tête d'affiche. L'orga aurait au moins pu les programmer avant les Foo Fighters sur la grande scène. C'est incompréhensible et un véritable gâchis. C'est comme si TF1 diffusait une saison inédite des Experts à 16h15 !

16h15 - Biffy Clyro - Scène de la Cascade

Une musique se lance et les gens placés sur le côté gauche peuvent apercevoir les membres du groupe torses nus, en train de se tenir par les épaules et de faire une petite danse. C'est tout con mais il y a tellement de groupes dont les musiciens ne peuvent plus se voir en peinture qu'être témoin de ce petit moment me fait plaisir. C'est cool de voir un groupe uni qui a ce genre de petit rituel pré-concert. Quand ils arrivent enfin sur scène, c'est une forêt de bras qui pousse et se lève pour les accueillir. Un deuxième guitariste les accompagne et il est habillé, comme pour signifier qu'il ne fait pas partie véritablement du groupe ! Le chanteur et le bassiste sont à fond et font voler leurs cheveux et longues barbes dans les airs.

C'est super énergique. Ils bougent partout et dans tous les sens. Le chanteur a fait d'énormes progrès en chant (par rapport à il y a 3 ou 4 ans, où il avait parfois des difficultés en live). Ils arrivent à mêler la puissance d'un gros rock à l'énergie positive d'une pop dansante.

Ils jouent à mort avec le public. On voit qu'ils sont devenus de vraies bêtes de scènes en l'espace de quelques années. Le set est vraiment carré, avec un très bon son (c'est assez rare en festival pour le remarquer).

Les titres plus calmes fonctionnent aussi bien que les titres énergiques. Je suis dégoûté de devoir partir pour aller faire une interview. Ils sont vraiment forts ces Écossais !

16h45 - Direction le VIP pour une interview avec Beat Mark

Je suis content que, cette année, Froggy's Delight ait obtenu des interviews mais cela me fait un peu chier de rater la fin de Biffy Clyro ainsi que le concert de The Feeling of Love. Pour couvrir ce genre de festival, dans l'idéal, il faudrait 3 équipes. Deux teams formées chacune d'un chroniqueur et d'un photographe pour pouvoir couvrir tous les concerts, et au moins un journaliste (+ un photographe ou cadreur) pour couvrir les conférences de presse et les interviews.

16h55 - Devant la tente presse au VIP

On prépare le matos pour faire l'interview et des portraits. Je révise mes questions.

17h15 - Devant la tente presse au VIP

Pas de nouvelles du groupe. Les attachés de presse du festival ne savent pas non plus où ils sont. Il se met à pleuvoir bien comme il faut. On attend à l'abri de la buvette près de la tente presse à côté d'Edward Sharpe venu lui aussi s'abriter.

17h30 - Devant la tente presse au VIP

On nous avait bien précisé qu'on n’avait que 10 minutes pour faire l'interview et les photos, de 17h00 à 17h10, et qu'on ne pouvait pas déborder car les plannings étaient très serrés. Comme on n’a toujours aucune nouvelle, on décide de partir pour aller voir des concerts puisqu'on s'est fait poser un lapin ! En passant, on jette un coup d'œil à la Grande scène et ODD Future. Le son y est abominablement trop fort, ça fait mal aux oreilles... On trace voir Herman Dune.

17h35 - Herman Dune - Scène de la Cascade

Les premiers et rares rayons de soleil de la journée commencent à percer le tapis de nuages gris pour le début du set d'Herman Dune. C'est pas du tout folk, comme je m'y attendais un peu, mais carrément rock d'inspiration 60's/70's sur une rythmique un peu tribale. Le public est super réactif. Le groupe a vraiment fait du chemin depuis qu'ils avaient fait les avant-Scènes il y a quelques années. Ils envoient carrément la sauce (j'avoue, je n'avais jamais trop écouté et ce que j'en avais vu était très "folk à ukulélé"). Le seul défaut, pour moi, est qu'il y a peut-être un peu trop de solos de guitare mais cela reste un très bon show.

18h10 - Direction la Grande Scène

J'avais prévu d'aller voir Funeral Party, mais comme on a une interview de calée à 18h45, on ne va pas avoir le temps de faire l'aller-retour avec la Scène de l'Industrie, on va donc voir le début de CSS.

18h25 - CSS - Grande Scène

Le concert commence et une machine est en train de remplir le côté gauche de la scène d'une nuée de bulles de savon alors que, sur la droite, une autre machine crache un nuage de fumée. D'ailleurs, il y a un peu de trop de fumée, c'est relou, on ne voit pratiquement rien de la scène et les images sur les écrans géants sont tout aussi enfumées et inutiles. La musique se lance à peine qu'une partie de public se met à danser sur les rythmes des Brésiliens. LoveFoxx, la chanteuse apparaît en tenue de matador rouge et avec son habituel masque de maquillage. Elle est vraiment très charismatique. J'ai un peu les boules de ne pouvoir rester que 3 titres. Vraiment dommage car c'est vraiment fun, frais et dansant !

18h45 - Devant la tente presse au VIP

On espère ne pas se prendre un deuxième lapin. Surtout que, pour cette interview, on rate Funeral Party et Grouplove. En attendant, je vois Beat Mark, le premier groupe qui nous a posé un lapin, en pleine interview en direct avec Le Mouv'...

19h20 - Devant la tente presse au VIP

Le groupe The Feeling of Love arrive enfin pour l'interview avec plus de 30 minutes de retard mais mieux vaut tard que jamais. Après nos 10 minutes d'interview, on décide de se poser 20 minutes sur des chaises pour boire un coup (et manger un sandwich pour moi) et reprendre des forces avant les Kills.

20h00 - The Kills - Grande Scène

C'est vraiment blindé. Quand le duo arrive, c'est une nuée de cris de joie. Alison Mosshart toise la foule de manière arrogante en se cachant à moitié derrière sa frange. Elle hésite un peu avant de coller son chewing-gum sur l'ampli de son retour et se met à danser quand la musique part. Le son est à nouveau étrangement bien réglé par rapport à Odd Future sur la même scène. Même devant les enceintes, on peut profiter du concert sans protections d'oreilles...

VV est sauvage mais n'a pas le côté animal qu'elle a quand elle joue avec les Dead Weather.

Jamie Hince, lui, joue de manière nonchalante, comme un dandy blasé mais classe. Mais quand il faut se donner, il est là et n'hésite pas à grimper sur son mur d'ampli pour nous balancer des larsens.

VV tente de parler un peu français entre les titres. Des milliers de bras se lèvent et battent le rythme sur Satellite, extrait de leur dernier album, pendant qu'Hotel nous fait une sorte de moonwalk avec les jambes immobiles.

Un excellent concert, sombre et sauvage !

20h55 - Direction la Scène de la Cascade

Je tente d'aller voir General Elektriks mais, comme j'étais tout devant pendant les Kills, il y a beaucoup de monde et de mouvements de foule sur mon passage, les gens voulant manger ou essayer de choper une bonne place pour Foo Fighters.

21h15 - Bloqué au niveau du stand merchandising devant la Grande Scène

Depuis 20 minutes, je n'ai dû parcourir que 200 mètres. Je renonce à aller voir General Elektriks car les Foo Fighters sont annoncés avec 15 minutes d'avance et si je mets le même temps à revenir qu'à quitter les grandes scènes, je raterai les 2 concerts. Je vais donc me poser 20 minutes au VIP et j'essaie de savoir où est Diane (elle a quitté le concert des Kills avant moi et a donc pu aller shooter General Elektriks).

21h25 - Le cul dans une chaise longue humide au VIP

C'est chiant de ne pas pouvoir tout voir. Je ne voulais pas faire la même erreur que l'année dernière et courir partout pour ne rater aucun concert. Mais même en faisant un choix restreint entre les concerts, et vu les horaires stupides de programmation ainsi que la distance entre les scènes, on est obligé de rater la fin d'un concert pour voir le début d'un autre. C'est frustrant et très fatigant...

Avoir augmenté le prix des billets du festival en rajoutant une scène sous prétexte que le public aurait plus de choix est une sacré belle connerie. S’il y a effectivement plus de groupes à jouer, les concerts se déroulent en même temps ou la distance les séparant est tellement grande qu'au final on voit moins de concerts que quand il n'y avait que 3 scènes. Si l'organisation pense que cette quatrième scène est une réussite, moi, je pense que c'est surtout une belle arnaque !

21h40 - Direction la Grande Scène

Sinon, je suis un peu dégoûté de la météo. Le mauvais temps avait déjà gâché le festival l'année dernière. J'ai une peau de roux, je n'aime donc pas me mettre au soleil, mais il y a un minimum. Tout l'été, j'ai accepté la météo de merde en me disant que Lemmy, le dieu du rock, ferait en sorte qu'il fasse beau pour Rock en Seine. Pour le moment, c'est bien raté ! Quand je pense qu'il y a 5 ans, je faisais le festival en t-shirt et que j'avais trop chaud. Cette année, j'ai un sweat à capuche avec une veste en cuir et j'ai froid ! Au VIP, c'est le festival des doudounes et des gros blousons...

21h45 - Foo Fighters - La Grande Scène

De la pluie a été annoncée, du coup, le groupe commence avec 1/4 d'heure d'avance. Quand il déboule sur scène, Dave Grohl est déjà à fond et court d'un bout à l'autre de la scène en faisant du headbang et en haranguant le public. Dès qu'ils se mettent à jouer, ils sont au taquet et ne s'arrêtent plus. Ils enchaînent les titres sans 1/2 seconde de temps mort. Au bout de 3 ou 4 chansons, Grohl explique que la dernière fois qu’ils ont joué à Rock en Seine remonte à 5 ans et que pour s'excuser de pas être revenu plus tôt, ils vont jouer un maximum de titres ce soir.

C’est reparti pour 4 ou 5 titres sans transitions ni pauses pour reprendre son souffle. Grohl est parti jouer dans le public et, au lieu de remonter sur scène, il est resté dans l'espace situé entre le reste du groupe et la sécurité et a entamé un duel de solo avec Chris Shiflett, le lead guitariste. Quand le public finit par applaudir d'avantage Shiflett, Grohl jette sa guitare par terre. Shiflett, voyant cela, décide de rejoindre le leader du groupe et de jeter sa guitare sur celle de son chef et de les frotter en rigolant... C'est assez marrant à voir.

Pat Smears a le sourire du début à la fin du show. Le batteur chante sur un titre en restant derrière ses fûts. Il galère un peu, car jouer de la batterie et chanter en même temps reste un exercice difficile, mais cela reste un super bon moment pour le public. Dave Grohl intervient entre deux titres pour demander à la sécu d'y aller mollo avec les kids du public. C'est un véritable comédien qui fait réagir la foule avec un seul petit lever de sourcil. Pour permettre au groupe de souffler dans le flux non-stop de titres, ils rallongent certains titres en incluant des parties calmes avec seulement Grohl à la guitare, avant de repartir de plus belle ensuite.

Vers la fin du set, Dave explique que c'est frustrant de jouer en festival car le temps du set est limité. Il enchaîne en disant qu'ils ne feront pas de rappel car c'est débile de faire semblant de partir et de revenir 5 minutes après, qu'ils préfèrent utiliser ce temps pour faire des chansons en plus... Tant mieux pour nous ! Ils finissent avec un "Everlong" furieux sous un début d'averse, repris en chœur par un public conquis et épuisé ! Ils auront joué un petit peu plus de deux heures.

23h50 - Direction le métro

Les Foo Fighters m'ont épuisé, je suis totalement lessivé et vraiment trop naze pour traverser rapidement tout le festival pour voir la fin de Death In Vegas. Et puis, il pleut vraiment de plus en plus fort. Je rentre à la maison.

00h25 - Bilan de la journée - Assis dans le métro

Malgré la météo, on a eu droit à de très bons concerts. Si on devait faire un TOP 3, ce serait :

#03 - The Kills : Un show minimaliste mais classe et sauvage. Un très bon concert.

#02 - Biffy Clyro : Excellent concert, même si je n'en ai vu que la moitié à cause de Beat Mark qui nous a posé un lapin.

#01 - Foo Fighters : Je sais que certains journalistes bobos (en disant bobos, je donne un indice pour reconnaître le magazine sans le citer...) ont du mal à accepter que Dave Grohl ait osé continuer à faire de la musique après Nirvana, surtout pour faire quelque chose de plus Pop. Mais que ces journalistes aillent écouter Cali et Zaz en se branlant sur la fin de Noir Désir et qu'ils nous foutent la paix ! Dave Grohl est un des meilleurs musiciens actuels, sa musique et ses différentes collaborations prouvent qu'il a, encore et toujours, énormément d'avance sur les autres tout en ayant beaucoup de second degré et d'autodérision (ce qui est loin d'être le cas de la majorité des musiciens et des journalistes...).

Les Foo Fighters sont loin d'être une erreur de casting, c'est peut-être le seul groupe de la programmation qui ne laissait aucun doute sur le bien-fondé de sa présence sur l'affiche de cette édition. Ils ont donné le meilleur concert du festival. Pour décrire ce concert en une phrase, il suffit de paraphraser Barney Stinson de la série How I Met Your Mother : "It was LEGEN - wait for it - DARY !". Il faut vraiment que le groupe repasse par la France dans une vraie salle de concert...

 

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Crédits photos : Diane Hion (Toute la série sur Taste of Indie)


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# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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