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Interview  (Paris)  octobre 2015

Voilà, première interview et je suis en retard. Super. J’envoie un texto au Black Devil Disco Club pour lui expliquer que j’aurais 15 minutes de retard. J’en aurai finalement 20, mais il est là. Il m’attend en souriant à la terrasse d’un café parisien. En faisant mes recherches sur le net, je m’étais fait l’image de quelqu’un de vraiment sympa, et je redoutais ce moment où l’on rencontre la personne "en vrai". Mais ici, point de déception, bien au contraire ! Rencontre avec un homme talentueux et généreux.

Bonjour Bernard, vous jouiez hier soir à la Java (je ne pouvais malheureusement pas y être), comment c’était ?

Bernard Fèvre : Impeccable. C’est de plus en plus étonnant parce que ça marche très fort tout de suite. C’est presque… pas trop facile, mais c’est super aisé. En plus, des gens jeunes, dynamiques, heureux, contents, criant, gesticulant, vraiment bien !

Je voudrais plonger directement : comment êtes-vous venu à la musique, par quel apprentissage, quel instrument ?

Bernard Fèvre : Je suis venu à la musique parce que j’étais doué pour la musique instinctivement à l’école maternelle. Donc, à partir de là, j’ai pris des cours. C’était des mauvais cours parce que mes parents n’étaient pas dans le monde de la musique… donc mauvaise direction. A l’époque, quand on n’était pas dans les instances musicales, j’aurais été le fils de Michel Legrand, ça aurait été beaucoup plus simple pour atteindre des gens pointus. Mais non, donc c’était des professeurs de quartier et ils étaient encore au XIXème siècle et on était au XXème !

Et c’était sur quel instrument ?

Bernard Fèvre : Au piano ! Je jouais du piano dans le préau de l’école maternelle, à deux mains, ce qui était étonnant. Et ça se tenait à peu près, ce n’était pas incohérent. Et même pas du free-jazz !

Puis viennent l’adolescence et les premiers groupes de rock...

Bernard Fèvre : J’ai laissé tombé le classique, les études basiques, parce que ça m’énervait trop. Je sentais d’autres influences qui arrivaient, le rock’n’roll n’était pas là mais je sentais par certains trucs que j’entendais, américains, anglais, à la radio, qu’il y avait des choses qui allaient apparaître et donc j’ai fait des groupes, j’ai laissé tomber la musique classique pour faire de la musique moderne, disons.

Et comment s’est passé le passage du côté professionnel ?

Bernard Fèvre : Je suis devenu professionnel quand j’avais 18 ans. J’ai travaillé au casino de Deauville chez Régine avec un groupe qui était à l’origine un groupe de soul-music français, puis qui est devenu un truc de variété. C’est un peu le système qui se passe toujours, on commence par ce qu’on aime puis on joue ce qui nous fait manger. Mais j’ai tenu la route et c’est pour ça que j’ai réussi très tard [rires…] !

Ensuite, il y a eu les Francs Garçons...

Bernard Fèvre : C’était un autre monde encore !

D’après ce que j’ai trouvé sur le net, je parlerais plus d’un croisement entre folk français, chanson ancienne et acid folk. Comment êtes-vous arrivés à ce mélange ?

Bernard Fèvre : Parce qu’il y avait des espaces d’âge. Le plus âgé devait avoir 40 ans et moi j’avais 19 ans, donc ça faisait un étalage d’idées un peu étrange. C’était parfois conflictuel, c’était assez rigolo parce que ça se construisait sur des idées parfois opposées. J’y apportais un côté, comment dire… Moi j’étais fan des Beatles, de la musique de recherche… dans le sens où on cassait l’esprit de la musique traditionnelle, c’est ce qui m’amusait, j’aime bien casser. Je n’aime pas rester dans les conventions et ça tombait bien parce qu’à cette époque là, c’était assez fertile de ne pas être dans les conventions.

A cette époque là, les synthétiseurs n’étaient pas encore très présents.

Bernard Fèvre : Il y avait des choses électriques, des claviers électriques. J’étais amoureux de l’orgue Hammond mais c’était un instrument très cher et très difficile à transporter. Quand j’en jouais, c’était quelqu'un qui me prêtait le sien. Je jouais des orgues électriques puis c’est passé à l’électronique, ça avançait. C’est la technologie qui fait la musique. A l’origine, il y avait une flûte en bambou ! Ce sont les ingénieurs qui créent la musique, mais il ne faut pas leur laisser avoir la priorité, il faut que le musicien reste le musicien.

Quand vous passez au synthétiseur, disons à l’électronique, est-ce que c’est l’instrument qui vous a amené à partir en solo ou le contraire ?

Bernard Fèvre : C’est un échange entre les deux choses. Le goût pour des choses qui ne sont pas habituelles, j’en avais un peu marre du système que j’entendais dans les groupes, et c’est encore le même aujourd’hui quand un groupe a un batteur, une basse, une guitare et un clavier, ça sonne toujours à peu près pareil. C’est pour ça que les guitaristes ont énormément trafiqué leurs guitares, pour avoir des sons plus récents, plus d’ailleurs. On a envie de jouer des sons nouveaux et en plus, on devient facteur d’orgue quand on joue des synthés puisque le son qu’on fait, c’est celui qu’on a trouvé, donc on est inventeur. Et ça permet aussi création mélodique et harmonique différente. On s’est rapproché des musiques orientales et extrême-orientales grâce à ces appareils qui ne sont pas stables comme un piano par exemple. C’est l’instabilité qui est intéressante.

Justement, quand on utilise des synthés, les notes jouées vont forcément de paire avec les réglages du son puisque l’un peut faire moduler l’autre et inversement. En écoutant tes disques, je me demande comment tu envisages le travail du son ?

Bernard Fèvre : J’ai un vieux synthé monodique qui est en fin de compte la base de Black Devil. Parfois, je cherche un son et je ne le trouve pas. Et le lendemain matin, j’ai laissé le synthé dans la même position, le même réglage, parce qu’il n’est pas programmable, il n’y a pas de mémoire, de midi, et quand je ré-appuie sur une touche, d’un seul coup ce son m’amène une autre idée que celle que j’avais auparavant et d’autres images. Comme je dis toujours, je ne vois la musique que par les images. Si je n’ai pas d’images dans la tête, je n’ai pas envie de faire une mélodie.

C’est ce qu’on retrouve beaucoup dans votre musique et d’ailleurs, certains étaient vraiment destinés à la base à l’illustration sonore (dont Cosmos 2043 et Suspense réédité cette année).

Bernard Fèvre : A la limite, je ne pensais même pas aux images qui allaient être, je pensais aux images qui faisaient venir ma musique. Des images que j’ai dans mon ordinateur-cerveau et qui m’indiquent des choses à faire. Mais je n’ai jamais pensé que telle musique allait aller sur un sujet quelconque, ça c’est aux illustrateurs sonores de trouver la solution à leur problème, on est complémentaires en réalité.

Est-ce que vous faites une différence entre la musique destinée à l’illustration sonore et "votre" musique ?

Bernard Fèvre : Non. Pour moi c’est la même articulation intellectuelle. On fait de la musique ce sont des sensations, des images, des bruits des sons qui veulent évoquer quelque chose. Parfois c’est abstrait. Je me suis beaucoup servi des impressions que les peintures de Dali me faisaient. Un de mes premiers titres s’appelle Dali. Je voulais un peu faire ce qu’il fait dans ses tableaux c’est-à-dire, à la fois réel et irréel, comme les rêves, un peu tordus, sans queue ni tête. C’est de la musique sans queue ni tête. C’est bien pour aujourd’hui parce que les gens sont un peu sans queue ni tête.

Quel que soit le le style de musique, on a l’impression qu’il y a toujours eu une forme de nostalgie du son d’avant, à toutes les époques…

Bernard Fèvre : Hier, les jeunes qui sont venus me voir, c’est vachement agréable, ça me rajeunit, ils me disaient : "on adore ce que tu fais depuis assez longtemps parce que ça relie l’image que l’on a du passé et celle qu’on a du présent". C’est un beau compliment. Moi j’apprends ma musique parce que je ne sais pas quel effet elle fait [L’alarme sonne… mais Bernard me propose de continuer encore dix minutes, NDR]

Par rapport à ce décalage entre passé et présent, est-ce qu’un artiste peut être en phase avec son public ?

Bernard Fèvre : Non, c’est très difficile. Intellectuellement, c’est compliqué d’être quelqu’un du passé et à la fois du présent. Mais pour moi, c’est bien parce qu’en réalité, c’est un peu ce que je voulais être dans ma vie, être intemporel. Mais ce n’est pas toujours facile parce qu’il y a des gens qui vous entraînent dans leur monde. Les gens d’un certain âge vous emmènent et dans leur âge, les gens jeunes… non, en réalité les gens jeunes ne vous entraînent pas, c’est à peu près les seuls qui vous foutent la paix ! C’est vrai. Parce que eux, ils ont à apprendre des choses. Moi je n’aime pas les gens âgés depuis très très longtemps. J’ai commencé à ne plus fréquenter les gens de mon âge à 25 ans. Je préférais toujours ceux qui étaient plus jeunes parce qu’il ont des rêves et c’est ça qui m’intéresse. Je n’ai pas envie qu’on me parle de la dernière voiture qu’on a acheté, des embouteillages [petit sourire qui en dit long sur mon retard, et rire, NDR]. En plus, j’ai eu la chance de vivre d’une manière où je n’avais pas besoin de voiture, quand on est à Paris c’est plus facile, et puis j’ai toujours eu des amis qui transportaient parce que je suis un bon co-pilote. Mais les choses conventionnelles ne m’intéressent pas vraiment. Je suis resté un vieux bébé.

Comment ménager ce besoin de toujours vouloir défricher des territoires inconnus et celui de vendre sa musique pour vivre ?

Bernard Fèvre : Je suis toujours dans l’underground mais il y a quand même un petit sentiment commercial dans tout ça. En plus je vends du vinyle. Ma musique est partie de rien pour arriver là, mais maintenant, je suis obligé de faire attention à certaines de mes conventions à moi. On me demande du Balck Devil Disco Club, par exemple. Alors c’est mon fils qui m’aide. Je lui dis : "est-ce-que ça sonne Balck Devil Disco Club ?" Parce que moi je ne me rends pas compte. Enfin, si, je ne suis pas complètement idiot, mais j’ai toujours un doute parce que j’essaie de mettre des ingrédients qui sont plus ou moins dans l’époque, je ne suis pas contre ce qui existe. La difficulté est là : j’avance, je veux prendre des virages mais il ne faut pas que je dépasse la limite dans laquelle on m’a inscrit, ou je me suis inscris moi-même, donc c’est ambigu.

Ce qui compte, c’est d’avoir du recul. Par exemple, hier j’ai réécouté des titres que j’avais commencés il y a deux ans et il y en a un qui me plaît vraiment alors qu’il y a deux ans je ne le sentais pas. Quand on travaille en solitaire, il faut être son propre directeur artistique et on ne peut le faire qu’après un certain temps mort sur une création. Comme un peintre qui est dans sa toile. J’ai vécu avec des peintres, ils ont la tête dans la toile et au bout d’un moment, il faut qu’ils redeviennent lecteurs, admirateurs, "détesteurs" de leur toile. Il faut voir où sont les défauts, quand on est dedans on ne voit pas où sont les défauts. C’est ça la grande difficulté.

Par contre, parfois, ça marche tout seul. Là je viens de faire un remix pour un groupe, ça a été super rapide parce que l’inspiration, le cerveau marche bien, les cellules parlent bien entre elles, la mécanique tourne. Cela dépend aussi de l’écriture du produit, voilà le langage commercial [Bernard en sourit, NDR], enfin, de l’écriture des artistes qui ont fait le truc ! S’il y a une mélodie assez intéressante, c’est beaucoup plus facile. Je suis un défenseur de la mélodie, c’est pour ça que j’en fais. La musique n’est à la base qu’une mélodie. Après ce sont les arrangements et on a les mêmes qualités qu’on soit un arrangeur électronique ou traditionnel sauf qu’on n'utilise pas les mêmes ingrédients. Mais c’est la même démarche. D’ailleurs, en Allemagne, il y a un label qui m’a réédité qui pense me faire rejouer par un orchestre philharmonique avec un chef d’orchestre japonnais. C’est une chose à laquelle je pense depuis longtemps car tout est écrit en réalité tout à fait conventionnellement, ce sont les recherches de sons et les mélodies que ça apporte qui sont différentes, pas classiques. A cause de la technologie.

Justement, quel est votre regard sur l’évolution des technologies dans la musique ?

Bernard Fèvre : Elle est dangereuse à partir du moment où certains jeunes gens qui ne connaissent rien du tout en musique, leur machine leur indique où ils doivent aller et ils suivent l’instinct de la machine et ça… bon, c’est peut-être l’avenir, le robot qui crée l’homme, pourquoi pas, mais je n’aime pas trop ça. Peut-être par orgueil, par sens de l’honneur humain, il ne faut pas que les robots nous dépassent. Non, mais je trouve que ça manque un peu de travail, souvent, parce que ces machines rendent un peu fainéant. A l’époque, quand on faisait tourner un truc, c’était un peu plus compliqué, on dirigeait tout. On savait qu’on allait avoir telle ou telle difficulté, et quand il n’y a plus de difficulté, c’est un peu embêtant, parce que l’art c’est la difficulté.

Et dans la diffusion : vous parliez tout à l’heure du vinyle, mais aujourd’hui la consommation se fait de plus en plus en MP3.

Bernard Fèvre : Étonnamment, mes commerçants me disent : "tu vends du vinyle". Je suis donc peut-être encore en avance sur la future vente ! Les jeunes, c’est vraiment leur truc. L’intérêt du vinyle, c’est quand tu sors avec un vinyle sous le bras, c’est quand même un objet d’art. Tout le reste, c’est du MacDo. C’est la différence entre un grand couturier et un faiseur, enfin, un mauvais faiseur. De toute façon, on ne dirige pas les gens. S’ils veulent écouter constamment du mauvais produit pas cher, c’est eux qui décident.

Ça vous attriste un peu quand même...

Bernard Fèvre : Oui, mais on n’y peut rien, on ne peut pas changer le monde. Je suis souvent désolé d’entendre certaines radios, vraiment… J’appelle ça du MacDo musical. Cela sonne tout pareil, tout dans la même machine, les studios sonnent pareil. Alors c’est efficace parce que c’est hyper gonflé, hyper fort, hyper tapant, mais c’est hyper chiant. D’ailleurs, j’entendais un mec à la radio qui disait qu’il va écouter des trucs à la mode sur internet et il dit : "je retiens les mélodies" - ça on est d’accord - "mais les chanteurs je ne saurais pas dire comment ils s’appellent". Donc c’est totalement anonyme, les voix sont à peu près les mêmes, les sons sont les mêmes, les rythmiques sont les mêmes, en plus au niveau rythmique, on n’évolue pas, on est toujours dans le même système binaire quatre temps…

Tout a été fait ?

Bernard Fèvre : Non, il reste tout à faire, mais il faut avoir le courage de s’en sortir, c’est le manque de volonté et puis ça arrange bien certains !

Et en étant trop original, n’y a-t-il pas cette peur de se déconnecter d’un public qui, lui, est mené vers quelque chose de très standardisé ?

Bernard Fèvre : Justement, j’ai découvert que les mômes s’intéressent à ce que je fais parce que j’ai un son qui ne ressemble à personne. Donc ça a une valeur d’être différent [coup d’oeil sur le portable, le temps file, NDR]

Une dernière question ?

Bernard Fèvre : Oui, oui, vas-y !

Je pense qu’un artiste s’appuie sur le passé pour inventer le futur. Concrètement, de quel passé avez-vous envie dans votre futur ?

Bernard Fèvre : J’essaie toujours d’imaginer le futur pour faire le passé, donc c’est un peu le contraire ! Mais ce sont les passés qui me servent à quelque chose, tout ce que j’ai vécu, mon évolution depuis l’âge de 14 ans où j’ai commencé à jouer dans un groupe de rock’n’roll jusqu’à maintenant. J’ai vécu plein de choses aussi bien musicales que dans la vie et je pense que c’est tout ça qui sert à faire un présent. Mais le futur… moi je le voyais, dans les années 70-80, beaucoup plus, comment dire ? Mouvant et planant, simple et sans prétention alors que c’est complètement le contraire. Mais peut-être que ça peut rechanger. Les mômes ont envie de changer, le problème c’est qu’ils ne sont pas nombreux et on ne leur apprend pas à dire non. C’est le problème.

Il y a un optimisme qui se dégage de vous et votre vision des jeunes…

Bernard Fèvre : Je suis un optimo-pessimiste ! Je suis pessimiste sur ce qu’on donne à bouffer aux gens mais optimiste sur ce qu’ils vont dire : "non, on n’en veut plus". Et les mômes actuellement, je m’aperçoie que ces gens de 20 ans sont plutôt très censés. C’est le contraire de ce qu’on disait quand j’étais jeune, mais nous on avait des vieux qui étaient vraiment vieux [rire, NDR]. Je dois vraiment y aller, mais à une prochaine fois, avec plaisir !

Me voilà de nouveau seul, à faire tourner dans ma tête chaque minute de cet entretien pour ne rien en perdre. Bien sûr, l’enregistreur a tout gardé, mais les sensations, ces petits trucs qu’on met entre parenthèses agrémentés d’un NDLR ou NDR, arriverai-je à vous les faire passer ? Le mieux serait sans doute que vous alliez le voir en concert et que vous écoutiez sa musique, tout y est. Merci Bernard, encore toutes mes excuses pour ce retard.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Suspense - Cosmos 2043 - Disco Club de Bernard Fèvre

En savoir plus :
Le site officiel de Bernard Fèvre
Le Soundcloud de Bernard Fèvre
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# 14 avril 2024 : En avril, de la culture tu suivras le fil

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