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puce L'ontologie musicale de Mickaël Mottet
Notes sur la philosophie immanente d'Angil and the Hiddentracks  avril 2016

Le texte que je propose ci-dessous mérite quelques explications préalables et ne peut pas être diffusé tel quel à défaut de passer pour quelque chose d’ésotérique, d'hermétique, ou de codé comme le serait une private joke. Angil and the Hiddentracks a cessé son activité musicale l'an dernier et depuis, même si Mickael Mottet a participé à certains projets, l'arrêt de cette aventure musicale est pour beaucoup tout sauf anodine, à commencer par les HiddenTracks eux-mêmes.

Ce texte est une tentative de synthétiser dix ans du parcours du groupe / projet musical et de définir les modes d'existence de chaque album, les concepts convoqués, en sondant les choses depuis ma place ; celle d'un électron libre rattaché à l'atome Angil, ingénieur du son sur ce qui restera une de mes expériences humaines les plus profondes, à savoir, l'enregistrement d'Oulipo Saliva il y a dix ans déjà. Je n'ai donc jamais complètement fait partie des Hiddentracks mais je n'en ai jamais été complètement absent.

J'ai écrit ce texte de la même manière que l'on fait un récit d'un rêve, les idées étaient là, latentes depuis un moment, et se sont déroulées d'un seul tenant avec une brève réécriture et des précisions. Les notes de bas de pages pallient à l'effet de condensation que produit un tel récit et je ne peux me prémunir contre certains déplacements ou certaines projections personnelles. Il s'agit d'associations qui viennent étayer le récit, donnent une force d'évocation et permettent de défaire les nœuds.

Tout commence avec le manque, Matter c'est la matière du manque : le vide qui est l'être-là de toute chose, et sans qui les contours ne disent rien. Il n'y aura plus de guitares mais elles sont à la fin du morceau qui porte ce nom ("No more guitars"). Que reste-t-il à ce compositeur perdu sur son île déserte et qui compose les meilleures reprises du monde ? ("The best cover ever").

Une fois que l'arrimage imaginaire de ce qui était supposé être de la pop mais ne se laisse jamais réduire à une catégorie, on peut donc amorcer la chute ("Beginning of the fall"). Pour l'instant, et malgré le fait que Matter [1] ait recyclé des bandes, le manque ne prend forme que dans une thématique. Il faut donc pousser le projet jusqu'au bout et l'accomplir dans la forme et la lettre du texte.

Oulipo saliva sera un album sur l'absence de E, qu'il s'agisse des textes, ou de la note Mi comme tonalité générale, tellement creuse lorsqu'elle est jouée au saxophone [2]. L'inspiration c'est Georges Perrec [3] bien sûr : la contrainte comme puissance créative. Mais, Angil ne disparaît pas ce sont eux qu'il faut faire disparaître [4], ceux à l'esprit étroit qui ne peuvent être là que pour soutenir notre propre contrainte psychique, à tel point qu'il faut s'inventer, comme le patient de Bion [5], un jumeau imaginaire pour jouer (le play de Winnicott pas le game [6]), un dédoublement dans lequel Flavien Girard trouve toute sa place, si proche, si familier, et si différent à la fois.

Mais le double en miroir n'est pas la seule forme libératrice et créative. Eux posés comme absents, comme condition de possibilité de la subjectivité, alors une fois eux niés vient la place des autres lors de sessions collectives [7]. Les choeurs certes, mais aussi l'agitation collective des mines ("Took no drugs, had no drink"), de tous ces ouvriers que l'on a laissés à l'abandon, et vis-à-vis desquels nous nous sentirons toujours en dette. La dette c'est avoir un peu plus : un peu plus de chance, un peu plus de culture dont la jouissance nous était promise puis refusée. Nous sommes hantés par les fantômes de la mine, quand nous travaillons d'arrache-pied dans une ancienne usine, quand nous faisons beaucoup avec peu. Fils de prolétaires, nous sommes artisans de notre musique. Mais voilà que ce monde nous promet des choses qu'il ne peut tenir et ces sorties de l'autre côté de la manche de nous décevoir [8]. Nous refusons de faire trop de profit de notre musique ; nous avons un testament mais nous n'aurons pas d'héritage ; nous sommes les gardiens d'un monde qui se meurt. Nous pouvons donner mais nous ne donnerons jamais assez, en ayant reçu de la part de gens qui se sont privés en cédant sur leur désir ("Old days pay for big cars" [9]).

Angil n'est jamais un groupe car un groupe a un leader. Ce n'est pas un collectif car un seul compose en étant accompagné et les places se substituent : untel peut être là un jour et ne plus l'être au concert prochain, et l'ingénieur du son live de s'arracher les cheveux [10]. Le tout d'Angil n'est jamais égal à la somme des Hiddentracks et dans cet agencement qui bascule toujours vers ou se montre l'ampleur d'une synthèse disjonctive [11]. Comment répondre à la question de ce tout impossible à trouver et pourtant fondateur ? La réponse est peut-être dans la conjonction : et c'est toujours autre chose que la basique disjonction. Et est toujours autre chose que l'addition. Et est une rencontre : avec Laetitia Sadier, avec Jim Putnam, avec Françoiz Breut, avec Valérie Leclercq et la liste ne peut pas se clore. The And… not The end.

Mais, la diachronie, malgré son extension qui tend vers les infinis du désir, ne peut pas se produire dans un espace limité. La stéréo a ses limites [12] mais la durée est subjective, profonde, créatrice (Bergson [13]). Comme pour un analyste Kleinien l'interprétation est ici et maintenant. Le temps se dit de plusieurs façons mais il est déjà trop tard pour certaines choses, nous avons avancé en nous sachant en retard (Michniak [14], "I have stop wondering"). Le devenir nous rattrape ("To progress") et advient la mort du père qui devient présente dans les instances du deuil.

Essayons de comprendre :

Opening scene :

I dreamed of a song where all my friends hit each time
in a frantic collective will to play together and take pleasure
and never fuck with one another's head or pretend that all
systems must include some kind of conflict or constant contradiction
I don't believe in symbolic fathers or redemption or forgiveness
I think you're strong when you don't forget,
Life is a fight against the natural desire to buy your worst memories
and deal with your daily needs, which is wrong.

Il n'est nul besoin de contradiction dans un système ; voilà une option Aristotélicienne mais Mickaël Mottet veut dire plus que cela : ne cultivons pas le conflit, ne l'explicitons pas. Ce qui l’intéresse c'est l'insuffisance logique de tout système à s'écrire lui-même, le manque fait sa réapparition sous le versant de l'incomplétude. (Godel [15]) Une fois le besoin satisfait – le nécessaire étant de mise – restent toutes les énigmes du désir, le trauma du souvenir venant saturer l'espace de nos rêves et les oblitérer par l'amertume.

Finissons.

Ending sequence : c'est plus que la mort du père ici qui se joue : le père symbolique n'existe pas, il est impensable. C'est le langage qui se meurt avec toutes ses vanités et pourtant nous n'avions que cela. Qui parle un langage adopte une forme de la vie (Wittgenstein [16]), le langage est un mur ("This time the wall is on the writing") et les limites du langage ce sont les limites d'un monde [17]. Pour déjouer ces tours et franchir les remparts de la langue alors l'art doit devenir un cheval de Troie [18]. Guérir du langage c'est guérir la pensée, guérir d'une maladie musicale qui était le remède. "Give me the cure" [19] déclame Guy Pitchotto de Fugazi donnant de sa voix un écho à la pharmacie de Platon [20] (Jacques Derrida).

Parfois, on ne peut tuer son père qu'en le devenant, parfois on ne peut faire rien de plus qu'accepter [21]. Jennifer Melfy n'est pas psychanalyste, elle veut guérir ce qu'elle ne peut soigner : le mal social de la corruption généralisée, acceptant l'argent du sang [22]. A combien doit-on vendre nos aspirations musicales, quel est le prix pour être entendu ? Doit-on se persécuter soi-même par sens du devoir ? ("I don't need a therapy, I need an enemy") Certaines choses sont incurables, le comprendre réclame analyse, au risque de la guérison, et si Angil s'est arrêté c'est pour ne pas être malade, pour ne pas tout sacrifier à ces notes qui ne peuvent exister que si elles rencontrent un écho, alors dans ces résonances si quelque chose s'arrête, pour permettre de préserver le désir, Autre chose est possible.

 
[1] Après la sortie de Teaser for : Matter nous avons enregistré à partir des parties rythmiques de quatres morceaux, de nouveaux titres qui formaient une sorte d'écho à l'album, sorti sous le titre Matter sous le forme d'un cd 8cms. A l'époque Mickael était capable de reprendre en live les motifs rythmiques de certains morceaux créés avec son boucleur Boomerang puis de recréer un morceau par dessus souvent avec une tonalité plus hip-hop. Le projet AWAC était donc déjà présent en germe à l'époque et ce moment là préfigure aussi ses intentions pour "Trying to fit" dans Oulipo Saliva et The John Venture (avec Broadway 6am).

[2] Je ne saurais dire si Mickaël avait présent à l'esprit le projet avant cette anecdote mais j'écris cela en référence à l'épisode suivant : nous sommes au festival de Primavera en 2004, nous assistons au concert de PJ Harvey, entre deux concerts on peut voir le magnifique clip de Mysteries de Beth Gibbons. L'alcool et la fatigue défaisant les langues et enlevant des inhibitions, Francis Bourganel, le cousin de Mickael, évoque sa passion pour Charlie Parker et me dit qu'une des choses les plus frustrantes est que la note de Mi qui est celle de la corde grave d'une guitare, sonne extrêmement "creuse" sur un saxophone. Je corrigerai plus tard ce problème en m'accordant en open de Ré sur l'album des Definitions. (DADGAD en notation anglaise). Que ce moment soit à l'origine d'Oulipo Saliva est en fait peu important ou pas, et mènerait vers une vision naïvement causale. Cela reste pour moi une sorte de mythe fondateur, d'explication de la manière dont le démiurge s'y prend pour construire le projet à venir.

[3] Georges Perrec, La disparition, Gallimard, Paris, 1989.

[4] La disparition dénote la disparition des parents de Perrec : son père meurt au combat en 1940 et sa mère est déportée à Auschwitz début 1943.

[5] Voir le texte du même nom dans W.R. Bion, Réflexion faite, PUF, Paris, 1983.

[6] Donald Winnicott, Jeu et réalité, Folio. En Français nous avons un même mot pour le jeu : le dispositif ludique avec des règles comme le Monopoli et l'action de jouer, qui est aussi une activité psychique de première importance. Je tiens pour hypothèse que c'est cette activité très précoce que Mickaël a prolongé dans sa musique.

[7] Je me souviens des discussions préalables à Oulipo Saliva, où j'interpellais Mickaël de manière très dure sur le fait que je ne voulais pas que nous nous retrouvions dans des difficultés similaires à celles présentes lors de l'enregistrement de Teaser for : Matter. Celui-ci insistait sur l'importance de ces sessions et je lui répondis, avec la dureté qui me caractérise parfois, que je n'étais pas animateur Baffa, ce qui était évidemment de la provocation. Je n'ai réalisé qu'au moment du montage final à quel point cet aspect de l'album était crucial, et son intuition juste. Nous avons enregistré au dernier étage de La Fabrique à Andrézieux qui comportait une réverbération extrêmement claire. Je me baladais avec un enregistreur numérique portable au milieu du groupe et la prise, improvisée quant à sa spatialité, l'alcool aidant, devenait en elle-même une forme d'instrument.

[8] Rendons hommage à Stéphane Bismuth pour son travail sur la sortie de Teaser for : Matter en Angleterre, et à Chemikal Underground pour Oulipo Saliva. Les deux labels étaient tout à fait enthousiastes sur les sorties, mais le travail de développement d'un nouvel artiste en terre étrangère à partir de zéro était une entreprise colossale.

[9] Référence au texte de Narrow Minds. Les bas de laine payent les voitures d'aujourd'hui, les économies d'hier que nous n'avons pas faites, celles qui permettent de ne pas "galérer". Cet extrait a plusieurs résonances. Premièrement, un des problèmes traités par Freud dans la cure de L'homme aux rats est celui de la dette au père, dette symbolique de quelque couronnes cruciale dans l'histoire de Ernst Lanzer. Pour notre génération, la dette est réelle car sans elle nous n'aurions pas pu faire ce que nous avons fait mais il semble que nous n'ayons aucun moyen de l'honorer et nous nous demandons ce que nous laisserons à nos enfants lorsque nous en avons. Deuxièmement, suit un corollaire plus personnel qui découle directement du premier point et qui est une phrase que répétait souvent ma grand-mère maternelle. "Mon beau-frère m'a dit un jour que nous avions passé notre vie à faire des économies de bout de chandelles". Dans cette phrase il y a donc tout un univers : tout à la fois sociologique et psychologique, général et particulier, et Mickaël ne mesurait pas à quel point cela pouvait me parler, et la portée de cette phrase est très grande.

[10] Une des difficultés et une des richesses à la fois, sur les débuts d'Angil, était les variations de line-up qui laissaient perplexes beaucoup de personnes à commencer par Gérald Guibaud, chose qui fut l'objet de discussions douloureuses. Je me demande s'il pouvait en être vraiment autrement en fait, et les réactions pouvaient être la perplexité ou l'agacement mais jusqu'en 2006 environ les concerts étaient en fait des semi improvisations. Quelque chose a peut-être changé lorsque Flavien Girard est passé à la batterie.

[11] La disjonction est la fonction logique du ou. La synthèse disjonctive " désigne le système de permutations possibles entre des différences qui reviennent toujours au même, en se déplaçant, en glissant", ou encore "des différences qui reviennent au même sans cesser d’être des différences". F. Guattari & G. Deleuze, L’Anti-Œdipe, Paris, Éditions de Minuit, 1972, p. 18 & p. 82.

[12] Mickaël pensera un temps, faire Now directement enregistré en live et sans mixage, ce qui aurait été peut-être, une forme de contrainte créative.

[13] Je pense à deux ouvrages de Bergson : Les données immédiates de la conscience, et L’évolution créatrice où Henri Bergson s'emploie à différencier le temps et la durée.

[14] En référence au texte de Demain dans le premier album de Programme, Mon cerveau dans ma bouche.

[15] https://fr.wikipedia.org/wiki/Théorèmes_d%27incomplétude_de_Gödel

[16] http://www.desformesdevie.org/fr/page/formes-vie-par-jean-pierre-cometti

[17] Paragraphe 5.6 du Tractatus logico-philosophicus de Wittgenstein.

[18] Je fais référence ici à un extrait du texte de la chanson "The MIA thing" sur l'album de Jerri, un des projets les plus remarquables de Mickaël avec Flavien Girard, Anthony Goncalves, Mathieu Holdrinet. "Art is but a Trojan horse, each work of art is a new standpoint". D'après ce que m'avait dit Michaël au même moment de l'écriture de ce texte, Francis (son cousin) a eu la même idée d'un cheval de Troie, constat qu'ils ont pu faire lors d'un échange de SMS.

[19] Sur l'album 13 Songs.

[20] Dans ce texte qui est un commentaire du Phèdre de Platon, Derrida glose sur l'ambiguité du grec pharmakon tour à tour remède et poison.

[21] Je veux dire aussi par là accepter les malentendus avec le père qu'il soit imaginaire, réel, ou symbolique.

[22] Lorsque nous avons enregistré l'album du WAUREnsemble à Saint-Etienne, Flavien Girard m'a reçu chez lui et nous avons eu l'occasion de discuter de la série les Sopranos. A sa question "mais alors que penses-tu des psys dans la série qui ne sont quand même pas dépeints de manière flatteuse ?", je répondais à peu près ce qui suit : Les motifs pour lesquels Jennifer Melfy met fin à la thérapie de Soprano sont peu cohérents car les raisons pour lesquelles elle termine cette "psychanalyse" sont celles pour lesquelles elle n'aurait pas dû commencer. Peut-on concevoir qu'une prostituée fasse une analyse non remboursée, payant de sa poche, et avec pour demande la nécessité pour elle d'arrêter son activité de prostituée ? Pour payer son analyse, il faudrait sûrement qu'elle continue cette activité, et quelque chose se nie dans les termes ou alors l'analyste devrait consentir à baisser ses honoraires à un moment donné. De même, Toni Soprano ne fait que tirer des bénéfices secondaires de son analyse pour alimenter une pathologie sociale qui est celle de la corruption, et du crime, une maladie qui ne peut se guérir que collectivement à un niveau politique. A mon sens, ne pas se poser la question de l'argent montre à l'évidence une chose : Jennifer Melfy n'est pas psychanalyste car cette question est un préalable à tout démarrage à une cure. Le seul psy cohérent dans la série est ce vieux professeur juif, interpellé comme tel par Carmella Soprano, qui n'accepte pas d'être payé et ne veut pas l'argent du sang mais dit, l'espace de quelques instants, des vérités dérangeantes à sa non-patiente, dans l'épisode sept de la saison 3. La psychanalyse n'est donc pas hors du monde et même si elle analyse le fantasme inconscient elle ne peut pas cautionner certains aspects de la "réalité". Voir à ce titre un passage de Thomas Ogden dans Cet art qu'est la psychanalyse qui s'intitule Ce dont je ne pourrais me passer.

Nous avons fait avec notre époque, ses possibles et ses limites. Aucune musique ne peut se guérir de la surdité d'un monde.

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En savoir plus :
Le site officiel de Angil and the Hiddentracks
Le Bandcamp de Angil and the Hiddentracks
Le Myspace de Angil and the Hiddentracks
Le site officiel de We are Unique ! Records


Gilles Deles         
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# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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