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Interview  (Paris)  mardi 17 mai 2016

Après avoir tourné la session dans l'appartement de Arnaud Dumatin, à la tête de Institut, c'est dans l'appartement de Froggy's Delight que se joue le match retour pour une longue interview. Pour parler du passé, du présent et l'album Spécialiste mondial du retour d'affection et bien sûr de l'avenir.

En cherchant de la matière pour cette entrevue sur internet, je me suis rendu compte de deux choses. D'abord, ce n'est pas facile de trouver des informations avec un nom comme "Institut" et ensuite, qu'il y a peu d'interview de vous. Alors avant toute chose, commençons par un petit CV de Institut si tu veux bien.

Arnaud Dumatin : J'ai commencé la musique il y a longtemps, au début des années 90. J'ai commencé avec les Married Monk, pendant 1 an et demi et même avec le groupe d'avant qui s'appelait Swam Julian Swam. On a fait pas mal de concerts et enregistré un EP ensemble. En parallèle, j'écrivais déjà pas mal de chansons et j'ai décidé de créer ce groupe, Emma, qui a duré 7 ans pour se terminer en 2000. On a sorti deux albums, dont le dernier sur Lithium.

Après j'ai arrêté. Cela ne correspondait plus à mes envies. Je suis très content de ce que l'on a fait avec ce groupe mais j'avais envie de m'orienter vers la langue française. Je chantais en anglais et cela ne me convenait pas. C'était plus simple à l'époque d'écrire en anglais. Je partais de la mélodie et c'était compliqué, compte tenu des mélodies qu'on écrivait de mettre du français dessus. Mais l'anglais je maîtrise moins et je voulais me mettre au français. Mais le temps d'appréhender une nouvelle façon d'écrire, car le français est évidemment différent de l'anglais, il m'a fallu presque 10 ans, même si j'ai écrit beaucoup de chansons en 10 ans. Mais j'en ai jeté la plupart et j'ai enfin trouvé ma voix. J'ai alors rencontré Emmanuel Mario, en 2008.

Avant de poursuivre, peux-tu m'en dire plus sur le nom du groupe, Institut ?

Arnaud Dumatin : C'est assez ironique, comme les textes de mes chansons finalement. Il y a un aspect très formel, administratif et en même temps ça peut être institut de beauté par exemple donc c'est assez dérisoire également. C'est assez ouvert, assez glaçant. C'est la confrontation entre le nom du groupe et le titre des albums et les photos que l'on utilise. Chaque signifiant s'oppose à un autre signifiant, c'est l'entrechoquement que m'intéresse. On a créé un logo également, une sorte de marque qui renvoie à l'aspect commercial, l'industrie de la musique, etc.

Cela signifie qu'entre 2000 et 2008, il n'y avait plus vraiment de musisque dans ta vie. C'était plutôt un travail de recherche ?

Arnaud Dumatin : Si, je faisais de la musique mais je n'ai rien publié. Mais je faisais quand même un peu de scène. Je faisais des sortes de performances, de 20 minutes, et je proposais des faux karaoké sur mes chansons (que personne ne connaissait). Il y avait un diaporama qui passait qui me mettait en scène dans mon quotidien et les textes qui défilaient en même temps que je les chantais. J'ai joué 2 programmes dans ce genre, que j'ai joué une quinzaine de fois. Mais je me suis rendu compte que les gens aimaient bien mais adhéraient surtout au dispositif plutôt qu'à mes chansons. J'avais des retours très positifs mais jamais sur mes chansons.

En tout cas, cela m'a permis d'avancer jusqu'à avoir une collection d'une quinzaine de chansons. Je les ai fait écouter à Emmanuel et ça l'a intéressé et on a commencé comme cela à enregistrer le premier album. On a fait cela tous les deux, avec une chanteuse et quelques invités. On l'a sorti sur notre propre label en 2011, sans distribution. C'était aussi une façon d'arriver avec un projet enfin finalisé. Cela m'a permis de voir que ces chansons pouvaient exister au-delà du cercle de mes proches. Cela m'a redonné confiance et incité à poursuivre.

Ces chansons étaient issues de tes compositions des dix dernières années du coup ou bien y a-t-il eu un travail collaboratif avec Emmanuel Mario ?

Arnaud Dumatin : J'arrive avec des chansons déjà existantes relativement abouties. Emmanuel intervient surtout au niveau de la mise en forme, de la production. On a co-écrit les arrangements. mais c'est vrai que je suis le seul à écrire les chansons, même si j'aimerai mais j'ai du mal à déléguer.

Tu voudrais que des personnes extérieures au groupe viennent poser leurs mots sur ta musique ?

Arnaud Dumatin : Il y a déjà des voix féminines notamment mais effectivement elles chantent mes textes. J'aimerai essayer d'ouvrir le processus créatif à l'avenir mais pour le moment, c'est vraiment un travail solitaire que j'ai du mal à partager. Quand je compose une chanson, avant de la proposer à Emmanuel, il y a déjà une quinzaine de pistes, voix, guitares, claviers, rythmiques. Ensuite lui va proposer d'autres arrangements, bousculer un peu tout cela et donner une épaisseur à une première version qui est somme tout assez squelettique. Et il apporte beaucoup car nous n'avons pas forcément les mêmes sensibilités musicales et il enrichit le propos. En plus, il est très à l'écoute de ce que je peux lui dire. On s'écrit beaucoup notamment, c'est un ping-pong. En plus, il n'y a pas de conflit d'égo, on est vraiment complémentaires. Beaucoup de respect et de confiance entre nous.

Tu composes tout seul, cela implique que tu es multi-instrumentiste...

Arnaud Dumatin : Je suis surtout guitariste et bassiste. Pour le reste, je me débrouille et puis je travaille beaucoup avec des logiciels donc il y a pas mal de choses qui ne sont pas des vrais instruments, comme les cuivres notamment. En revanche sur l'album, il y a des cuivres joués par de vrais musiciens, en Italie, à qui on a envoyé les partitions. Il y a beaucoup d'intervenants au final mais très peu que j'ai rencontrés. On est deux, avec Nina Savary également qui est pas mal investie, sinon les voix on les a enregistrées à Marseille avec une personne que je ne connaissais pas avant.

Mais cela permet de bousculer mes habitudes. J'aime bien cela en fait. L'album lui-même a été composé un peu partout. Plusieurs chansons ont été faites sur garage band sur mon iPhone par exemple. J'ai aussi écrit beaucoup de textes dans les trains, en voiture, en vacances, mais chez toi je n'y arrive pas, j'ai du mal à me concentrer, j'ai besoin de mouvement. D'ailleurs, je suis rarement assis, j'ai toujours besoin de me lever, de bouger. Je cours également, ca m'inspire beaucoup. Je m'arrête, je prends des notes. J'aime beaucoup les bars aussi. J'aime bien capter les conversations de cafés, c'est assez riche en fait et beaucoup de ces éléments servent de matériaux de base à mes chansons.

Tu disais tout à l'heure que Institut était essentiellement un duo avec Emmanuel Mario auquel se greffent donc des chanteuses, des musiciens de tous horizons. Aimerais-tu te tourner vers une formation plus stable et plus "classique" du type guitare, basse, batterie et chant ?

Arnaud Dumatin : Non je n'ai pas envie de prendre cette direction. J'ai envie de faire de la scène mais pas de m'orienter vers cette conception du groupe rock. En revanche, j'ai envie de faire des concerts mais dans une formule un peu différente, plutôt orientés vers les galeries d'art contemporain. Chez Institut, on intègre aussi un photographe, Elie Jorand, qui a travaillé sur les visuels du groupe notamment, qui a fait des clips et j'ai plutôt envie vers un mélange de tout cela. Cela peut être dans une salle de concerts classique aussi mais en proposant autre chose qu'un groupe rock. Avec peut-être des playback détournés, etc.

J'aime beaucoup le rock, je vais voir beaucoup de concerts de rock mais je pense qu'on n'est pas là-dedans. D'ailleurs, on a du mal à se faire reconnaître comme groupe de rock. Il y a un groupe dans ce genre là qui s'appelle musique post-bourgeoise. Musicalement, on n'est pas proche mais dans la démarche on est dans quelque chose du même genre. Il y a un côté déclamation de texte qui n'est pas vraiment de la chanson... Par ailleurs, j'aime la chanson, parfois il y a un tiraillement chez moi. D'ailleurs, le prochain album ira vers la chanson je pense mais pas avec des sonorités de groupe de rock.

Avant de parler du prochain, parlons de cet album et avant tout du temps relativement long, presque 5 ans entre le premier et celui-ci. Tu as besoin de temps pour écrire, c'est lié à d'autres contraintes professionnelles, économiques ?

Arnaud Dumatin : Je pense tout simplement qu'il faut le temps. Il y a les aléas de la vie personnelle. Mais surtout on a travaillé sur un ciné-concert entre les deux. On a fait une musique pour accompagner un film de Aki Kaurismäki qui s'appelle "Juha" (ndlr : sortie en 1999). Cela nous a pris pas mal de temps car le film dure 1h20 ce qui demande pas mal de temps à créer. C'était une configuration à deux, totalement instrumentale. Cela n'existera qu'en live, mais on espère le rejouer à nouveau.

Je n'avais jamais fait cela mais c'était quand même une envie et c'était vraiment intéressant de jouer dans une salle de cinéma et surtout d'être au service d'un film. Tu t'effaces et c'est le film qui doit être mis en avant sans qu'il soit polluer par ta musique. Et de fil en aiguille, on nous a proposé de composer la musique d'un long métrage, ce qui est quand même un truc donc je suis vraiment content.

Ce qui risque encore une fois de retarder la sortie du prochain album ?

Arnaud Dumatin : Pas forcément, non. D'ailleurs, on va sortir un EP bientôt (ndlr : interview faite en juillet 2016) avec quelques nouvelles choses et des remixes. Aujourd'hui, c'est quelque chose de nécessaire si on veut démarcher les salles pour trouver des dates de concerts. Le format album existe encore aujour'hui mais on peut passer par d'autres éléments désormais et j'aimerai par exemple sortir le EP qu'en vinyle par exemple. On a d'ailleurs sorti un EP déjà en 2013 sur le label 3h50 mais c'était assez confidentiel.

Comment s'est passée la sortie de l'album, tu as de bons retours ?

Arnaud Dumatin : C'est assez compliqué. J'espèrais plus de retours, d'un autre côté ce que l'on a sont bons. Après c'est un disque qui n'est pas facile. Les textes sont assez ambigus. La presse généraliste notamment a beaucoup moins envie de se plonger dedans. même côté webzines d'ailleurs il n'y a pas autant de retour que cela. Il y a tellement de sollicitations de tous les côtés. Tout le monde est noyé dans le flux d'informations. Ce qui finalement est un peu le propos de l'album.

Concernant les titres des chansons, pourquoi ces titres longs et / ou énigmatiques ?

Arnaud Dumatin : Avant de choisir le titre de chacun des albums, je teste différentes choses. Et il se trouve qu'à chaque fois il y a un echo, ou plutôt une contradiction avec la photo de l'album. J'ai d'abord la vision de la pochette. Pour cet album, j'ai eu l'idée en Italie. J'ai eu l'idée d'une photo de famille. Détournée par le photographe puisque c'est une photo de famille à l'envers, enfin de dos. Donc une fois la pochette en tête, je choisis pour le titre une phrase d'une des chansons. J'essaie que ce soit une façon d'éclairer le disque sans donner trop de pistes. Encore une fois dans la contradiction entre le titre (spécialiste mondial du retour d'affection) et cette famille de dos. C'est censé être des chansons d'amour mais au final, elles disent le contraire.

Enfin ce sont des fausses pistes, il faut prendre le temps d'écouter, sinon on passe peut-être à côté. Il faut se poser, écouter... En tout cas, l'idée de la pochette c'est un peu comme le premier album, exprimer une sorte de sollitude. Mais avec ironie. Exprimer des choses sérieuses tout en ayant l'air de s'en détacher. Ce n'est pas un disque où on se marre d'un bout à l'autre, ce n'est pas un disque cérébral non plus. Ce que j'ai voulu faire, c'est être à mi-chemin entre la chanson à la Bashung et celle à la Philppe Katerine, sur la dérision.

Tes textes sont assez froids, ou en tout cas très descriptifs, souvent cyniques. Cet équilibre là, tu le trouves comment sans que tes chansons deviennent des skectchs ?

Arnaud Dumatin : En fait, j'écris et réécris. Je fais en sorte cependant que ce ne soit pas laborieux, il faut que j'éprouve du plaisir à écrire. J'ai envie que ce soit narratif, raconter des histoires. Mais oui, il faut maintenir l'équilibre entre une pesanteur et un côté un peu sketch.

Et puis il faut une certaine concision, cela reste des chansons pop, qui ne s'étalent pas sur la longueur. Toi qui baignes par ailleurs pas mal dans le milieu du cinéma, tu n'es pas tenté par raconter des choses sur la longueur et dépasser le format chanson ?

Arnaud Dumatin : Non, ce qui m'intéresse, c'est vraiment écrire des chansons. C'est pour cela qu'avec Emma ce que j'aimais, c'était écrire des beaux refrains. J'ai encore ce fantasme là d'écrire la chanson parfaite. Le tube en fait ! Même si j'en suis loin. Mais je veux conserver une certaine forme d'exigence dans l'écriture et arriver dans le même temps avec un refrain qui fonctionne. Mainstream, sans aller à l'encontre de ce que je souhaite, qui reste honnête. Comme "un autre moment" qui est ce qui se rapproche le plus du format chanson. Même si j'essaie toujours de m'éloigner des rimes. Je ne veux pas calibrer mes textes pour que cela entre correctement dans le couplet, le refrain et chez certains ça se ressent énormément, comme chez Miossec par exemple.

Mais cette contrainte n'est-elle pas aussi un ingrédient pour que l'auditeur se retrouve à fredonner la chanson sous sa douche ?

Arnaud Dumatin : C'est sûr, mais c'est aussi le rôle des instruments. Les arrangements donnent la mélodie qui n'est alors pas interprétée par la voix mais par les instruments tout en mettant en valeur la voix comme sur notre chanson "parler de moi". Mais j'aimerai vraiment aller vers le format chanson où la voix interpréterait une vraie mélodie.

A propos de chansons narratives, te sens-tu proche de Florent Marchet par exemple ?

Arnaud Dumatin : De ce que je connais non, je ne me retrouve pas trop chez Marchet, mais j'ai écouté des musiques de films qu'il a composées et j'ai trouvé ça bien. Après je ne connais pas Frère Animal. Il faudrait que j'écoute. Mais j'écoute assez peu de chanson française en fin de compte. Assez peu de choses me séduisent.

J'ai lu dans une chronique que la musique d'Institut se situait entre du Jean-Michel Jarre et de la musique d'ascenseur et j'avoue ne pas avoir très bien compris. Tu as une explication ?

Arnaud Dumatin : Je pense que c'est une forme de caricature. En fait, je n'ai jamais écouté Jean-Michel Jarre. J'aurais plutôt dit François de Roubaix ou de la musique de film des années 70, peut-être Ennio Morricone même si on en est assez loin, mais on a mis des petits clins d'oeil quand même. C'est aussi peut-être parce qu'il y a un côté dérisoire dans les chansons. Il y a un contrepoint entre la noirceur des textes et un peu de dérision dans la musique qui peut donner l'impression de quelque chose d'un peu kitsch. Mélanger une guitare 60's, une boîte à rythme 80's et que ça fasse un ensemble contradictoire mais équilibré néanmoins. Encore une fois, il faut trouver l'équilibre pour que ce ne soit pas trop connoté. On n'est pas un groupe radical. J'aime beaucoup la new wave, il y en a un peu mais je veux que ce soit une possibilité parmi d'autres.

Ceci dit, il y a quand même une identité forte de la musique d'Institut, elle est assez reconnaissable malgré cela, ces mélanges.

Arnaud Dumatin : En fait, on collecte beaucoup de choses que l'on assemble mais on ne veut pas le faire sans qu'il y ait un travail de transformation de tout ce que l'on a amassé. Cela rejoint le propos du disque. Il y a une idée de pollution de saturation, on vit dans un environnement saturé. On est entouré de choses que l'on collecte, de déchets et l'idée c'est de dire que l'on peut en faire quelque chose.

Les sujets qui te tiennent à coeur, c'est effectivement l'environnement immédiat, ultra contemporain, ce qu'il se passe aujourd'hui que tu synthétises. Aurais-tu envie d'aborder d'autres sujets ?

Arnaud Dumatin : En fait, j'ai l'impression d'avoir trouvé mon mode d'expression, trouver le sujet qui me tient à coeur. La difficulté de l'être humain dans un monde assez tiraillé. Et je pense que le sujet est inépuisable et j'ai vraiment envie de creuser ces thématiques. Après ça peut évoluer musicalement, vers des choses plus électriques. Mais les sujets des textes vont sans doute rester autour de ces idées là. Je voudrais exprimer quelque chose que je ne suis pas le seul à penser. Parler des sites de rencontres, les faux espoirs que l'on a, la politique d'aujourd'hui, l'absence de perspectives, les espoirs que l'on peut avoir. J'aime regarder l'Homme et le voir s'agiter, ses soubresauts. Un peu distancié, factuel. Ce ne sont pas des chansons politiques, je n'ai pas de message en ce sens à transmettre.

L'avenir immédiat du groupe, c'est quoi ?

Arnaud Dumatin : Un EP donc, et puis on a désormais un tourneur, ce qui est une bonne chose. J'ai envie également de faire remixer certains titres de l'album par d'autres personnes. Le fait que l'on travaille à deux fait que j'éprouve le besoin d'aller vers les autres. Comme Christian Quermalet qui a mixé 3 titres de l'album. J'aimerai donc proposer à des gens que je ne connais pas de remixer des morceaux. Il y aura aussi j'espère d'ici la fin de l'année quelques dates de concerts à 3. Et puis j'ai un projet d'exposition avec Elie Jorand. Ce serait une exposition où Institut jouerait. Il y aurait des grands formats de ce que l'on a fait ensemble, photos, clips... Et il y a aussi ce projet de long métrage, sur l'année 2017 sans doute, ce sera un film canadien, qui ne sortira pas en France a priori. On doit composer 40 minutes pour ce film. Rejouer le ciné-concert peut-être également.

Dernière question, si ton ou ta meilleur(e) ami(e) devait partir au bout du monde, quel disque de ta discothèque lui offrirais-tu pour qu'en l'écoutant il se souvienne de toi ?

Arnaud Dumatin : "PInk Moon" de Nick Drake... ou "Five leaves left".

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Crédits photos : Thomy Keat (retrouvez toute la série sur Taste Of Indie)


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Institut (17 mai 2016)


# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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