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Interview  (Paris)  26 août 2016

Après la session c’est en haut d’un escalier en pleine rue à Ménilmontant, une bière à la main parce que le bar où nous voulions discuter était trop plein et trop bruyant que nous avons discuté avec Louis Jean Comier.

Ce ne sont pas des questions extraordinairement intelligentes…

Ok c’est parfait ça va aller avec toi !

C’est exactement ça…Vous avez fait partie longtemps d’un groupe, vous avez sorti un premier album, voici le second. C’est un cap difficile la carrière solo, le second disque ?

La carrière solo c’était vraiment une idée un peu saugrenue, pour moi c’était un épisode, un essai. C’était plus comme de la rigolade que d’autres choses. Et au fur et à mesure que j’avançais dans le disque je me disais ‘mais finalement c’est bon tout ça’. Et en definitive c’est assez pop, c’est plus folk, plus personnel et j’ai senti que ça pouvait plaire à un groupe de gens, et ce groupe de gens fut beaucoup plus grand que ce à quoi j’avais imaginé…
Pour le deuxième album. Je ne souffre pas de ce problème du cap difficile, probablement parce que j’ai fait quatre disques de chansons originales avec Karkwa, parce que j’ai travaillé sur beaucoup de projets de disques différents, en tant que réalisateur et quand j’ai commencé à travailler sur un projet solo j’avais déjà compris dans ma vie que c’est un fil continu de composition, et que quand je fais un disque je ne réfléchis pas, je ne suis pas en train de me dire que c’est une finalité. Oui c’est compliqué, il faut que ça soit bon, mais en fait je suis plutôt déjà en train de penser au suivant, c’est un rouage que j’aime voir, se dire qu’il va y avoir un disque qui va se faire et un autre tous les ans ou tous les deux ans.

Vous avez eu une grosse reconnaissance au Canada avec votre disque précédent donc la suite logique c’était la France ?

Ce n’est pas un passage obligé, peut-être même que j’aurai probablement dû, ou pu du moins venir travailler ici lors de la sortie du premier album, mais j’avais beaucoup beaucoup d’ouvrage chez nous et j’étais bien. J’ai accepté aussi un projet de télévision qui a changé ma vie complétement et qui m’a apporté beaucoup de choses. Ceci dit le passage est un peu obligé quand même dans la mesure où l’on s’exprime en français et le territoire d’activité est assez limité si on s’en tient juste au Québec. Et quand tu côtoies des amis anglophones comme Patrick Watson, Arcade Fire tout ça, tu te dis ‘merde ces amis-là font le tour du monde avec leur musique. Et moi jusqu’où je peux aller en français ?’. Au moment où tu te poses cette question-là bah la France apparait automatiquement dans ta tête et tu dis ‘je devrais quand même essayer quelque chose là-bas…’. Parce que si je veux que mes chansons rejoignent le plus grand nombre de gens possible c’est dur de faire fi de la France.

Vous avez participé à The Voice ‘la voix’ en version québécoise. En France cela serait assez mal vu qu’un chanteur ‘indé’ y participe, comment cela a été reçu ? Et pourquoi avoir accepter ?

Il faut préciser que je n’y ai pas participé en tant que candidat hein, j’étais coach, j’étais un des quatre sur les fauteuils, c’est un show télévisé de coach en fait, tout passe à travers la tête et la mentalité et le discours du coach … Chez nous aussi en fait c’est assez mal vu au niveau d’un artiste underground mais je n’arrive pas à trouver de bon argument, une bonne raison, pour boycotter un show télévisé comme celui-là. Ne serait se que si on le boycotte premièrement on reste dans l’anonymat total y’a personne qui sait que tu faisais un geste en ne regardant pas, mais si on traverse ce rouage télévisuel là en apportant quelque chose de nouveau tout le monde sort gagnant ! Y’a plein plein plein de gens qui sont venu me dire ‘on n’avait pas réalisé à quel point la musique ça pouvait être aussi malléable’ ; ‘on n’avait pas réalisé à quel point y’a une panoplie d’artistes que tu nous as fait découvrir à l’intérieur de ton travail à La Voix’. Et ça, ça ne me serait jamais arrivé si j’avais refusé, donc je suis vraiment sorti indemne de tout ça. De là à dire que je vais miser toute ma carrière sur La Voix ce n’est pas ça du tout, c’était presque un pari avec des amis : ‘- ho tu ne vas pas le faire - Ouais je vais le faire !’, je l’ai fait une fois, une saison, ça a été bien.

On trouve dans vos morceaux un mélange pour ne pas dire hésitation parfois entre faire des chansons faire du 'rock' ou de la ‘pop’ ?

C’est pas du tout de l’hésitation pour moi, c’est de la cohabitation. Ça se bouscule probablement à l’intérieur de moi, mais c’est voulu en fait, c’est une fusion de ses trois choses-là qui sont la poésie, le pop… Je dis trois mais c’est plusieurs choses en fait : le rock, la chanson, l’expérimentation… Y’a tout ça à l’intérieur, je ne suis pas le seul à le faire, y’a plein de gens qui font ça surtout chez nous. Mais ce qui est beau c’est de pouvoir traverser un disque avec toutes ces couleurs là mais de ne pas être dérouté et d’avoir toujours un fil conducteur qui nous ramène. C’est probablement la poésie, la voix, la façon de chanter, la façon de placer les mots sur les mélodies et les mélodies elles même. C’est ce qui m’importe le plus je crois, la mélodie. C’est pour ça que je suis aussi fan de Gilles Vignot et Felix Leclerc parce que je trouve que ce sont deux des plus grands mélodistes de l’histoire, peu importe même si on est au Québec ou pas, moi je n’arrive pas à entendre des mélodies aussi riches que celle-là à la radio commerciale dans les nouvelles musiques. C’est une belle idée que de vouloir intégrer ce genre de mélodie chantante à l’intérieur d’un rouage qui est plus moderne, plus alternatif.

Vos morceaux sont d’ailleurs souvent composés de différentes parties, comme des mouvements, comment les travaillez-vous ?

Ça vient probablement de mon bagage de musique classique, ce que j’aime de la musique classique c’est exactement ça, ce mille-feuille, c’est-à-dire qu’il y a des mouvements, des envolées, de l’amplitude, finalement ça donne des pièces, des morceaux qui sont escarpés. Et ce que j’aime vraiment beaucoup de la musique c’est ça, la nuance, la dynamique, l’accélération, le ralentissement. J’ai, je pense, sans trop le savoir, parce que c’est de l’analyse après coup… j’ai mis en œuvre tout mon bagage d’enfance de piano classique, de mélomanie. Je préfère qu’on puisse faire des œuvres qui sont moins compartimentées et carrées qu’on puisse voir la musique en couleur et en rondeur… C’est ce que fait mon ami Patrick Watson, c’est ce que font plusieurs amis dans les Barr Brothers : le mélange des genres, mais dans une dynamique très musicale pas dans une fusion plastifiée de la musique mais quelque chose qui est vraiment très organique.

Vos influences sont plus américaines qu'européennes…

Oui…

…et je trouve qu’on ne pourrait pas faire ça en France… On ne sait pas le faire…

C’est drôle parce que tous les journalistes m’ont dit ça… Une question de culture … C’est d’autant plus drôle que mes influences viennent vraiment de partout, mais c’est aussi une question de géographie, on est tout prêt de l’Amérique, enfin nous sommes en Amérique de toutes manières, nous sommes tous prêt des Etats-Unis.C’est sûr que mon projet solo est moins anglo-saxon britannique que Karkwa l’était. C’est plus americana, y’a du Neil Young, y’à du Bob Dylan à l’intérieur de ça. Je suis un grand grand fan de Sufjan Stevens, et ça s’entend dans le côté orchestral, dans le côté pop, dans le côté banjo, mélodie, parce que lui a ramené cette affaire-là, c’est un très très grand mélodiste et il n’y en a pas des masses qui font ce genre de mélodie, et puis oui forcément y’a quelque chose de géographique là-dedans. Peut-être que l’accent québécois nous permet de… c’est dur à dire, mais il y a peut-être un naturel dans ce mariage de musique nord-américaine en français. Qui ramène à la question du pourquoi en France on n’en entend pas beaucoup, ce sont des choses qui ne s’expliquent pas, on n’est pas meilleurs que les autres, c’est juste un parcours, un habitat.
Moi, je ne me sens pas dans une case, dans une catégorie. Si on écoutait la vieille garde des producteurs, si on écoutait les directeurs musicaux de radios commerciales on ne ferait que de la merde, qu’on se le dise vraiment. Avec Karkwa on a toujours été indépendants. Avec mon projet solo ça s’est mis à marcher et ça c’est une des choses les plus étranges, le plus gros tube que j’ai pu écrire de ma vie, c’est la chanson ‘tout le monde en même temps’ qui apparait sur l’album le treizième étage. C’est la chanson la plus compliquée que j’ai pu faire de ma vie, compliquée mais avec un thème et un sujet très simple, des mots très simples, une mélodie qui rattachait le tout, mais musicalement c’est quasi injouable, il y a des accords, c’est fou, ça module ça bouge c’est bâtard. Mais en même temps c’est le plus gros succès, donc c’est une fausse bonne idée de vouloir écouter les producteurs, en plus pour la plupart ce sont des gens qui n’arrivent même pas à s’ajuster à la métamorphose du marché, on n’est plus une industrie plastique on est rendu ailleurs.

Tu parles de mots simples et effectivement tes mots sont simples d’ailleurs tu n’emploies pas trop de ‘québécisme’ c’est volontaire ?

C’est plutôt ma manière d’être, c’est drôle parce qu’avec mon frère et ma sœur nous avons cette espèce de vocabulaire là, instauré par mon père et ma mère depuis longtemps, qui fait que c’est un peu anecdotique mais des fois on est juste en train d’écrire un texto à un ami et on écrit une formulation de phrase qui est complètement dingue, qui vient du grand journal ou de la littérature. Je remarque à quel point c’est une juste construction de langue francophone à l’intérieur de nous, quoique j’en fais quelques-uns des québécismes dans mes chansons mais honnêtement peut être… Je viens de le réaliser mais j’ai peut-être une plume plutôt ‘français international’, j’ai un accent québécois. Ça fait en sorte que le propos peut se faire comprendre un peu partout avec l’épice exotique de l’accent.

Il y a sur le disque un morceau qui s’appelle La Fanfare, et pas une seule fanfare dessus, pourquoi mentir de la sorte ?

Y’en a une à la toute fin… vraiment à la toute fin…
Pour être franc avec toi il y avait une fanfare du début à la fin de la chanson et puis on l’a coupé parce qu’il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas, c’était trop… cliché. Et puis c’était envahissant au niveau de l’arrangement et on a préféré l’amener juste à la fin, on a modifié l’arrangement pour apporter juste des petits ‘paaaouum haaa’ des sforzando. à la toute fin on entend vraiment la fanfare qui est quand même plus louisianaise mais en même temps musique contemporaine c’est un mélange des genres pour ça aussi…
Et c’est drôle parce qu’après coup en spectacle on s’est mis à rajouter une caisse claire un peu militaire.. On fait tout dans le désordre en fait.


Dans vos morceaux il est souvent question d'amour déçu, ils sont assez tristes dans l'ensemble, c'est une volonté vous penser qu'on ne peut pas faire de chansons sur le bonheur ?

Il y a deux choses, c’est vrai que c’est un disque de rupture et que c’est plus facile, je ne sais pas si c’est de la paresse intellectuelle mais c’est plus facile de plonger dans le drame pour être inspiré, pour créer, les chansons tristes vont toujours être plus faciles à écrire que les chansons sur le bonheur.
Ecrire sur le bonheur c’est peut-être une des choses les plus difficiles qui soit, surtout si tu ne veux pas tomber dans la Compagnie Créole, chanter les oiseaux et le beau temps, c’est une sacrée paire de manches. J’aime beaucoup le concept de la mélancolie dans l’art, dans la musique entre autres ; il n’y a pas un médium artistique plus convaincant, et un meilleur fil conducteur pour la mélancolie que la musique. Comme disait Victor Hugo : 'La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste’. C’est de s’amuser avec la tristesse pour l’emmener dans des zones pour faire réfléchir les gens, donc c’est un disque que j’ai eu beaucoup de plaisir à faire, mais il est vrai que je traversais une période de ma vie qui était tourmentée et c’est une zone qui est générationnelle aussi. Je ne sais pas si en France vous l’avez vécu, mais en 2015 la mi trentaine s’est séparée au grand complet, tout le monde se séparait. Donc ça a donné ce disque et c’est drôle parce que les sorties de disques comme ceux de Marie Pierre Arthur ou Ariane Moffatt etc. c’était des disques de rupture, c’était très drôle.
Il faut se rappeler que l’amour est quand même le sujet de prédilection d’une bonne chanson, les chansons les plus marquantes, les plus fédératrices de l’histoire sont forcément des chansons d’amour.

Des projets / envies de collaborer avec autres artistes ou groupes dans l’art ou dans la musique possible ou impossible…

J’aurai tellement aimé rencontré John Lennon dans ma vie. Mais en artiste vivant Sufjan Stevens, on a des amis en commun, ce serait probablement faisable donc. Sinon, j’ai rencontré une fois Neil Young, j’avais l’impression que le sol était en pudding, en train de fondre. Il a levé son chapeau il avait un regard perçant, ça m’intimiderait beaucoup mais j’aimerai beaucoup une fois partager la scène. Jouer un solo de guitare avec Neil Young ça serait incroyable… En France j’aime beaucoup Lou Douillon, j’aimerai beaucoup aussi partager la scène avec Bertrand Belin que j’ai invité il y a quelques temps chez nous à Montréal, pour ouvrir un festival et c’était super bien. J’aimerai bien aussi voir en spectacle Feu ! Chatterton, parce que j’aime le disque et je me dis que ce truc là en spectacle ça doit être fou...

Justement ton disque est très produit avec beaucoup d’effets comment tu vois la retranscription de ça sur scène ?

La scène c’est une autre affaire, c’est un autre habitat et puis je ne suis pas fervent des gens qui retranscrivent le disque sur scène, j’aime vraiment voir l’artiste dans toute sa splendeur, dans sa malléabilité, son authenticité. Tu vois on a fait plus de cent cinquante spectacles chez nous, et ça s’est toujours constamment métamorphosé, changé mais c’était vraiment beaucoup plus Neil Youngest un petit peu, plus rock, plus terre à terre, plus simple mais avec une force de frappe à tout casser, et c’est là que l’on sait si on a de bonnes chansons ou pas ! Une bonne chanson ne doit pas être dépendante de son arrangement, une bonne chanson doit se défendre autour d’un feu de camps en guitare voix, elle doit se défendre un peu n’importe comment et ça marche, je ne suis pas en train de dire que j’ai des bonnes chansons, mais des chansons qui peuvent se transposer facilement. Mais c’est vrai que je compose surtout guitare voix, ça aide. J’ai commencé dernièrement à repianoter parce que j’ai fait longtemps du piano classique dans ma jeunesse puis j’avais un peu abandonné cet instrument qui est formidable finalement ! Un bel instrument qui est très visuel, ce n’est pas comme le violon où ça prend des années avant de sortir un son qui a du bon, là on appuie ça sonne juste !

Si tu devais partir à l'autre bout du monde quel disque de ta discothèque donnerais tu à ton meilleur ami pour qu'il se souvienne de toi en l'écoutant ?

Quelle belle question… Je donnerai mon vinyle The Planets de Gustav Holst à mon ami Martin Léon à Montréal. C’est un grand chanteur en plus, un compositeur de grand talent c’est un de mes plus… bah mon meilleur ami, et j’aime beaucoup les Planètes de Host, c’est vraiment un disque incroyable, y’a presque de la pop là-dedans, y’a tout !

Enfin la question la plus importante : qu’est-ce que tu conseilles de manger ou de boire en écoutant ton disque ?

C’est un disque qui s’est écrit dans le whisky pas mal. Donc un très bon scotch peut être un Highland Park dix-huit ans ou un Dalwhinnie, ou sinon accompagné d’une belle bière très très très fraiche comme la Kilkenny, et à manger... Ce qui est bien contrairement à ce qu’on peut penser c’est les fruits de mer avec le whisky, manger des huitres… ça va être difficile pour les français mais ça serait manger du crabe des neiges avec un whisky. C’est une demande spéciale, venez au Québec en avril mai manger du crabe des neiges !

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Crédits photos : Thomy Keat (toute la série sur Taste Of Indie)


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Louis-Jean Cormier (26 aout 2016)


# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

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"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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