Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Bruno Boussagol
Interview  (Paris)  juin 2005

Bruno Boussagol, comédien, metteur en scène, directeur de la compagnie "Brut de béton production", animateur de la compagnie "Aujourd'hui ça s'appelle pas" créée dans le service de pédo-psychiatrie au CHS Sainte-Marie du Puy-en-Velay, s'inscrit dans une pratique théâtrale en prise directe avec la vie, le social et le politique.

Cette saison, il a proposé au public parisien "La trilogie des positions" composée de trois spectacles dont il a assuré l'adaptation et la mise en scène : "Diotime et les lions" de Henry Bauchau, "4.48 Psychose" de Sarah Kane et "Elena ou la mémoire du futur" de Svetlana Alexievitch qui, à travers le destin exceptionnel de trois femmes emportées dans la tourmente de l'Histoire, aborde des thèmes universels et intemporels comme le mythe fondateur d'une civilisation, la psychose, le suicide, l'amour.

Un théâtre exigeant, impliquant, terriblement juste et bouleversant d'une force et d'un impact uniques. Du théâtre vivant dont on ne ressort pas indemne au sens positif du terme.

Rencontre avec un humaniste passionné et charismatique.

Commençons par Brut de Béton.

Bruno Boussagol : Brut de Béton Production est une structure de production pour aider les jeunes compagnies indépendantes à monter leurs spectacles Nous nous sommes orientés vers la production sachant que mon métier c'est la mise en scène et que j'ai également besoin d'une structure de production pour financer mes projets de théâtre.

Parallèlement à cela, et souvent en articulation avec ce travail, nous avons une petite maison d'édition pour publier des textes (Brut de Béton Editions) et un journal de liaison trimestriel qui représente un travail assez important avec tout un travail de communication pour permettre à d'autres professions, des journalistes, des professionnels, des diffuseurs d'œuvrer à partir de notre travail de base. En tant que structure de production nous garantissons les 20 preimères représentations. Nous lançons le spectacle en payant la salle et les comédies. Si le spectacle trouve des engagements, nous sommes contents. Sinon, nous sommes un peu mal.

Quelles sont les orientations de Brut de Béton Production?

Bruno Boussagol : Nous sommes orientés exclusivement sur l'écriture contemporaine et essentiellement sur une écriture non théâtrale. J'adapte pour le théâtre des textes de la littérature contemporaine et si possible des livres qui sortent. J'ai des coups de foudre pour des textes. Et j'ai l'œil J'ai monté Michel Houellebecq il y a plus de 10 ans dans la rue, "Baise-moi" de Virginie Despentes avant que ce soit un best-seller. J'ai monté Svetlana Alexievitch il y a 8 ans. J'ai goût pour les auteurs qui font de la recherche dans l'écriture.

Et mon impression est que les auteurs de théâtre ne font pas ce travail. Ils travaillent sur l'histoire mais rares sont ceux qui révolutionnent l'écriture. Alors que tus les 3-4 ans il y a une révolution dans le monde de la nouvelle et du roman. C'est la raison pour laquelle j'ai beaucoup aimé "4.48 Psychose" de Sarah Kane. Car c'est exceptionnel, un auteur de théâtre qui travaille l'écriture. De plus, il s'agit plutôt des textes tragiques. Et je ne monte jamais de comédies. C'est une réaction à l'ambiance. Je ne support plus les émissions comme Les fous du roi ou la Star Académy. C'est de la pollution.

J'ai une aversion absolue au rire. Moi même je ris bien sûr mais tant qu'à faire de produire, mais il y a assez à faire du côté de la dérision. Il y a souvent une orientation autour de la folie qui pour moi est un thème central. Je travaille également avec des autistes et des psychotiques : comment un personnage vit sa vie et son rapport avec sa folie ou la folie de l'autre.

Votre actualité est constituée par "La trilogie des positions qui regroupe 3 spectacles". Comment est né ce projet de les réunir alors qu'ils existaient déjà individuellement.

Bruno Boussagol : Le projet a suivi la réalisation. Je me suis rendu compte que depuis 2002 je travaillais avec des comédiennes qui tenaient une position particulière sur la scène. J'avais commencé avec "Elena ou la mémoire du futur" mais elle était debout face à un public ce qui en soit n'est pas une véritable prise de position. Le spectacle suivant était "Diotime et les lions" que j'avais tenté de monter en 2003 mais qui a été interrompu par les grèves des intermittents du spectacle auxquelles nous avons activement participé. Là, l'actrice est assise à 2 mètres du sol sur un petit podium d'un mètre carré, totalement isolée du public par la hauteur.

Et puis "4.48 psychose" qui s'est imposé comme étant un spectacle où la comédienne était allongée. Et je me suis rendu compte que j'avais les 3 positions debout, assis et couché qui s'imposaient à moi. Ce sont des femmes, des histoires d'amour, etc et j'ai repéré tous les points communs. Et la variation c'est la position. Ce sont aussi des positions féminines par rapport à l'amour. Elles réagissent ou décident ou subissent par rapport à l'amour. Par exemple dans "4.48 Psychose", l'amour non partagé pour le médecin conduit à l'échec.

Revenons un peu sur chacun de ces spectacles en commençant par "Diotime et les lions"

Bruno Boussagol : Nous le jouerons à Rouen pendant une semaine en novembre 2005. C 'est un texte magnifique d'Henry Bauchau. Il s'agit d'un auteur âgé aujourd'hui qui récrit autour de la mythologie grecque. Pour moi Diotime est un personnage de femme qui manquait dans les figures féminines de la mythologie. Elle est celle qui assure la transition avec les grecs. Pour Bauchau, avant étaient les perses avec les déserts qui vénéraient les lions et avaient une fête annuelle rituelle au cours de laquelle ils tuaient les lions mâles au risque de leur vie.

Et Diotime, la petite fille du chef est la première femme qui participera à ce rituel sur le terrain des hommes. Elle tombe amoureuse d'un grec qui éprouve une aversion totale pour ce type de relation avec les animaux et la mort. Mais elle a réalisé un acte initiatique très important. En tant que femme elle va transmettre quelque chose à ce dernier et ils seront les premiers représentants de la civilisation grecque. Et, XXXXXXXX, qui est une actrice qui avait17 ans, est pleine de fougue et un peu magique.

Ce qui est nécessaire puisqu'elle ne bouge pas. Tout doit venir de la bouche et d'un corps sur lequel on peut projeter ses propres images. C'est un point commun de mes spectacles : créer des images qui ne soient pas closes, par la lumière et le comportement de l'acteur.

"4.48 psychose" de Sarah Kane traite du suicide qui est également un thème qui vous intéresse puisque vous l'avez abordé à plusieurs reprises.

Bruno Boussagol : Cette pièce fera l'objet d'une nouvelle série de représentations à pendant 3 semaines au Lavoir Parisien en septembre. Il s'agit d'une pièce mythique contemporaine qui commence à être jouée un peu partout en Europe et qui pose question puisqu'à la fois l'auteur raconte sa vie et sa mort puisqu'elle s'est effectivement suicidée. Connaissant bien le monde de psychotiques, j'ai été très intéressé par sa faculté de transposer des choses, comme le délire, le fantasme, qui sont absolument impossibles à écrire quand on est dedans.

L'écriture d'une personne qui est dans la dépression est très pauvre. Il est très difficile de traduire en mots la souffrance. "4.48 psychose" y est parvenu et c'est exceptionnel. Je relie ce texte à Becket. Pour moi, il y a eu un trou de 50 années. Il y a eu "En attendant Godot" et puis il y a "4.48 Psychose" qui sont importants dans l'histoire du théâtre.

Dernier volet avec "Elena ou la mémoire du futur".

Bruno Boussagol : Nous sommes du côté de Tchernobyl. Il s'agit toujours d'un positionnement de la femme contemporaine. Même Diotime puisqu'il s'agit de comment grandir et de l'exigence que doit avoir une adolescente pour devenir une femme indépendante. Elena montre comment il arrive à un individu lambda un événement dont le retentissement est mondial. Diotime fabrique sa mythologie et là c'est l'événement qui fabrique une héroïne, l'épouse d'un des 32 soldats du feu qui devinrent des héros. Son amour va grandir devant nos yeux tout au long des 14 jours pendant lesquels il va mourir.

Il y a un niveau d'exigence et d'abnégation qui est très important, très fort. C'est magnifique. Il n'est pas facile de raconter aujourd'hui des histories d'amour fortes et puissantes. Il y a aussi une transcendance, comment l'individu est dépassé par l'amour. Je voulais montrer ces beaux sentiments au public. Et il faut aujourd'hui aller loin pour trouver ces mots et ces sentiments. Svetlana Alexievitch a fait un important travail de recherches sur place pendant 3 ans. Elle est même tombée malade. Et elle a fait un travail d'écriture à partir de cela. A partir de ce texte puissant, je malaxe pour fabriquer la théatralisation.

"Elena ou la mémoire du futur" est un spectacle adapté d'un extrait de "La supplication" que vous avez adapté dan on intégralité et qui se perpétue avec un autre projet d'envergue : "La diagonale de Tchernobyl".

Bruno Boussagol : Oui. Il faut préciser que j'ai adapté ce livre il y a 7 ans et que je veux aboutir à la fin du cycle qui a consisté à créer un festival, à jouer en Biélorussie, à tourner en France, par "La Diagonale de Tchernobyl". Elle partira le 26 avril 2006, à la date anniversaire de l'incendie, 20 ans après, de Tchernobyl où nous jouerons devant l'usine. Nous prendrons ensuite la route et nous traverserons l'Europe en 4 mois avec une sorte de caravane qui comprendra une dizaine de véhicules. Il y aura un musée de la catastrophe, un restaurant, un cabaret, un espace de spectacle.

Une cinquantaine d'artistes seront associés à ce projet : des comédiens, des musiciens, des danseurs, des plasticiens, des vidéastes et tout le monde est censé d'être chauffeur en passant son permis poids lourd. Nous nous arrêterons dan une quinzaine de villes pour des durées entre 3 jours, pour celles qui ont un festival et qui nous prendront, et 15 jours pour les autres où l'on pourrait travailler avec la population sur des projets artistiques. Voilà l'idée, tout tournant autour de la dette de l'Europe envers environ 1 million de personnes qui ont sacrifiés leurs vies pour nettoyer le site contaminé et celles qui meurent encore sans qu'on le sache et sans qu'on leur dise merci.

Pour moi il est très important que cet anniversaire crée un électrochoc dans les populations européennes. Il est évident que la population, les journalistes et les politiques ne veulent rien savoir de ce qui s'est passé et de ce qui se passe encore aujourd'hui.

Selon vous, à quoi tient ce consensus de silence ?

Bruno Boussagol : La catastrophe est passée. Seul son côté événementiel est intéressant. Il n'y a qu'à voir pour le tsunami. De plus, le moment fort c'était l'incendie mais il n'était même pas spectaculaire. Le problème des accidents nucléaires est son "invisibilité". On ne voit rien. Il n'y a pas de spectacle et les gens, même ceux vivants dans les zones contaminés, sont sceptiques car il n'y a rien de visible. De plus, les effets nocifs ne sont pas foudroyants mais se révèlent à long terme.

Malgré le silence au niveau de l'information, les scientifiques continuent leurs études sur place?

Bruno Boussagol : Oui, mais elles ne sont pas publiées car cela n'intéresse personne !

Ce qui est particulièrement incompréhensible puisque les territoires contaminés constituent une sorte de laboratoire grandeur nature.

Bruno Boussagol : Oui, mais la publication des études aurait des conséquences immenses. Les victimes du tsunami vont reconstruire leurs maisons là où elles étaient-. A Tchernobyl, cela voudrait dire l'exode de 8-10 millions de personnes, ce qui est inenvisageable, et, contrairement à ce qui s'est passé par exemple en Franc cependant la seconde guerre mondiale un exode sans retour. Mais ces gens n'ont pas envie de cela. Ils ne sont pas dans une politique d'émigration. Les ukrainiens l'ont fait. 14 millions d'ukrainiens sont partis mais il n'y a pas eu de départs en masse en Biélorussie.

Ce projet est pour 2006. Quels sont ceux pour le second semestre 2005 ?

Bruno Boussagol : J'ai un spectacle avec des enfants psychotiques. C'est un pan de mon travail qui dure depuis 28 ans. J'ai un atelier de théâtre dans un hôpital psychiatrique en Haute Loire, l'hôpital Sainte Marie du Puy en Velay qui peut recevoir jusqu'à 1 500 malades. Il s'agit d'une très grosse unité comparable à celles de Paris, la plus grande entreprise du département.

Dans les années 70 a été crée un service spécialisé pour les enfants et le pédopsychiatre a souhaité qu'ils puissent avoir des pratiques artistiques mais pas d'animation artistique ou d'art thérapie. Il a donc engagé des artistes à part entière qui n'avaient aucune compétence en matière de thérapie. Il y a donc de la musique, de la peinture, des arts plastiques et du théâtre. Je monte régulièrement des spectacles avec les enfants qui forment la compagnie "Aujourd'hui ça s'appelle pas", nom qui a été trouvé par un enfant il y a 25 ans Les titres des spectacles sont toujours l'objet de réflexion à plusieurs et cela donne toujours des métaphores, des jeux de mots, des images très fortes.

C'est un travail que j'adore car je me trouve avec les enfants les plus radicaux du monde. Les autistes c'est "non!" à tout. Ils ont donc une position très forte que je ne prends pas comme une défaillance mais comme une position même si je nie pas l'existence de causes biologiques ou autres. Je fais une sorte de travail sur le théâtre à sa source. Ce n'est pas le récit et les personnages, c'est encore en amont. L'extrême c'est un individu qui est dans une position particulière par rapport à un autre et qui exprime quelque chose. Là est la situation théâtrale. Et puis cet individu reviendra à un moment donné avec les autres. C'est aussi la raison pour laquelle les questions du lien social, de la démocratie sont toujours travaillées par le théâtre.

Dès lors comment quelqu'un qui est totalement dans l'hostilité fondamentale à toute manifestation de la civilisation dans son historicité va-t-il accepter d'être sur une scène de théâtre. Tout le travail consiste à ce qu'il pense que sa place puisse être là. Cela peut durer des années car ce n'est pas thérapeutique ni éducatif donc il n'existe pas d'obligation de résultat. J'ai entre 25 et 30 enfants par an qui sont répartis dans plusieurs groupes dont un est la troupe de théâtre qui comprend des enfants qui ont fait plusieurs années d'atelier et qui sont en mesure d'entrer et sortir de scène.

Quand ces conditions sont réunies on peut créer un spectacle et cela va alors très vite car ce sont des personnes exceptionnelles. Le simple fait qu'elles soient sur scène nous transporte. Et les représentations ont lieu dans des salles théâtrales hors de l'hôpital. Je fais des choses très simples. Il n'y a pas de texte à apprendre par coeur. On est vraiment ailleurs. Je travaille beaucoup avec des fleurs, des os, des plumes et même des pierres ce qui pourrait s'avérer dangereux mais ils ne les ont jamais jeté.

Et ils construisent des choses dont on ne sait pas d'où elles viennent. Il y avait un gamin qui mettait une demie heure à créer une spirale avec ces objets et quand il avait fini il quittait la salle et les gens étaient subjugués alors qu'il ne se passait pas loin de rien. Il n'y avait rien de spectaculaire mais tout transparaissait chez lui, tellement il était loin de nous. D'autres racontent l'histoire du Petit Poucet qu'ils connaissent par cœur en mélangeant tout et c'est passionnant.

Les représentations ne sont-elles pas aléatoires ?

Bruno Boussagol : Non car tout est négocié avec les lumières par exemple. On code tout. Par exemple, ils choisissent la lumière rouge ils sont sur scène tant qu'ils sont éclairés en rouge. Quand le rouge s'éteint ils savent qu'ils vont partir. C'est assez magique quand on y parvient. Il faut des années pour y arriver. Il ne faut pas être angoissé du tout et il ne faut pas avoir peur qu'il ne se passe rien.

Moi le rien m'intéresse énormément. Je suis très "becketien" dans mon approche du théâtre et même dans la vie. Je ne crains pas l'ennui qui peut être même être une source de création. Aujourd'hui, on veut absolument que l'enfant soit toujours occupé. Or, l'ennui est très constitutif chez l'enfant. Il rêvasse, crée, avoir de l'angoisse. Je le pense en général et quand on vit dans le monde de la psychose qui est un monde d'ennui et de souffrance c'est évident qu'il ne faut pas être gêné par ça.

Quand et où aura lieu ce spectacle?

Bruno Boussagol : La dernière semaine de septembre au Lavoir Moderne Parisien. Il faut préciser qu'il y aura une ou deux filles qui feront partie d'une distribution comprenant des comédiens. J'ai un projet important pour septembre sur Georges Bataille qui ne sera joué qu'une seule fois et dont y je garderais des élément pour ce travail à Paris. Il y aura sans doute un danseur et 1 ou 2 musiciens. Je monterai peut être sur scène pour lire des textes. Et puis l'année prochaine, toujours au Lavoir Moderne Parisien je vais travailler sur Valère Novarina.

Je crois que nous avons fait un large tour d'horizon.

Bruno Boussagol : Oui (rires).Ça fait peur parfois !

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de "4.48 Psychose"
La chronique de "Elena ou la mémoire du futur"

En savoir plus :

Le site officiel de Brut de Béton Production


MM         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 14 avril 2024 : En avril, de la culture tu suivras le fil

Un peu de soleil, des oiseaux qui chantent, le calme avant la tempête olympique. En attendant, cultivons-nous plutôt que de sauter dans la Seine. Pensez à nous soutenir en suivant nos réseaux sociaux et nos chaines Youtube et Twitch.

Du côté de la musique :

"Kit de survie en milieu hostile" de Betrand Betsch
"Let the monster fall" de Thomas de Pourquery
"Etat sauvage" de Chaton Laveur
"Embers of protest" de Burning Heads
"Sin miedo" de Chu Chi Cha
"Louis Beydts : Mélodies & songs" de Cyrille Dubois & Tristan Raës
"Arnold Schönberg : Pierrot lunaire" de Jessica Martin Maresco, Ensemble Op.Cit & Guillaume Bourgogne
"C'est pas Blanche-neige ni Cendrillon" de Madame Robert
"Brothers and sisters" de Michelle David & True Tones
"Prokofiev" de Nikita Mndoyants
"Alas" de Patrick Langot, Alexis Cardenas, Orchestre de Lutetia & Alejandro Sandler
"Symptom of decline" de The Black Enderkid
"Tigers blood" de Waxahatchee
"Not good enough" de Wizard
et toujours :
"Le carnajazz des animaux" de Dal Sasso Big Band"
"Deep in denial" de Down To The Wire
"Eden beach club" de Laurent Bardainne & Tigre d'Eau Douce
"Ailleurs" de Lucie Folch
"Ultrasound" de Palace
quelques clips en vrac : Pales, Sweet Needles, Soviet Suprem, Mazingo
"Songez" de Sophie Cantier
"Bella faccia" de Terestesa
"Session de rattrapage #5", 26eme épisode de notre podcast Le Morceau Cach

Au théâtre

les nouveautés :
"Tant que nos coeurs flamboient" au Théâtre Essaïon
Notes de départs" au Théâtre Poche Montparnasse
"Les chatouilles" au Théâtre de l'Atelier
et toujours :
"Come Bach" au Théâtre Le Lucernaire
"Enfance" au Théâtre Poche Montparnasse
"Lîle des esclaves" au Théâtre Le Lucernaire
"La forme des choses" au Théâtre La Flèche
"Partie" au Théâtre Silvia Monfort
"Punk.e.s" Au Théâtre La Scala
"Hedwig and the angry inch" au théâtre La Scala
"Je voudrais pas crever avant d'avoir connu" au Théâtre Essaïon
"Les crabes" au Théâtre La Scala
"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille
"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche
des reprises :
"Macbeth" au Théâtre Essaion
"Le chef d'oeuvre inconnu" au Théâtre Essaion
"Darius" au Théâtre Le Lucernaire
"Rimbaud cavalcades" au Théâtre Essaion
"La peur" au Théâtre La Scala

Une exposition à la Halle Saint Pierre : "L'esprit Singulier"

Du cinéma avec :

"Amal" de Jawad Rhalib
"L'île" de Damien Manivel
zt toujours :
"Le naméssime" de Xavier Bélony Mussel
"Yurt" de Nehir Tuna
"Le squelette de Madame Morales" de Rogelio A. Gonzalez

et toujours :
"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz
"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle
"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"L'origine des larmes" de Jean-Paul Dubois
"Mort d'un libraire" de Alice Slater
"Mykonos" de Olga Duhamel-Noyer
et toujours :
"Des gens drôles" de Lucile Commeaux, Adrien Dénouette, Quentin Mével, Guillaume Orignac & Théo Ribeton
"L'empire britanique en guerre" de Benoît Rondeau
"La république des imposteurs" de Eric Branca
"L'absence selon Camille" de Benjamin Fogel
"Sub Pop, des losers à la conquête du monde" de Jonathan Lopez
"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=