Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Festival Solidays 2005 (dimanche)
Patrice & Shasshamani Band - Debout sur le zinc - Mouss et Hakim - Gomm - Camille - Calogero - Prohom - Ridan - Steel Pulse - Kassav - Vincen Delerm - Kool Shen - Matmatah - Tiken Jah Fakoly  (Hippodrome de Longchamp)  10 juillet 2005

Pour ce dimanche, Solidays propose une affiche essentiellement grand public mais toujours variée.

De la musique festive avec des noms connus.

Coup d'envoi pour l'apéro avec Debout sur le zinc.

Depuis 10 ans, Debout sur le zinc, un des groupes majeurs de la scène française dite alternative, sillonne les routes avec sa musique festive qui allient banjo, violon et clarinette aux instruments rock sur des airs de valses, tangos, java, musiques tzigane yiddish, irlandaise, et même rock'n'roll.

Impossible de ne pas trouver rythme à son pied pour guincher un peu !

Et puis, le Dôme a pulsé avec Mouss et Hakim.

Les ex-chanteurs de Zebda présentent sous le dôme des chansons plus électriques qu'à l'accoutumée, mais toujours avec l'accent toulousain.


Y a-t-il encore quelqu'un qui ne connaît pas Kassav ?

25 ans de musique, plus de 30 albums, le groupe fondateur du zouk est le spécialiste incontesté et incontournable du genre pour qui apprécie les rythmes chaloupés.

A partir des multiples influences caribéennes, il a composé un cocktail détonnant et créé une véritable musique de variété antillaise chantée en créole qui a su essaimer hors des frontières de leur communauté.

Aujourd'hui, Kassav est encore une grosse machine qui a du métier et du succès.

En introduction, Jocelyne Béroard regrettera qu'il n'y ait qu'un groupe antillais à Solidays et donnera le message du groupe : "Les jeunes, on les aime. Protégez-vous ! Nous partons ce soir en Afrique mais il n'y a pas qu'en Afrique qu'il faut se protéger !" sans oublier de rappeler au public qu'il faut acheter leur dernier album !

Et c'est parti pour une heure de zouk à tous les étages et un voyage en chansons et en danse pour le soleil des îles .

La chanson française d'aujourd'hui.

Longue intro musicale. Les musiciens entrent deux par deux et chauffent la salle en tapant des mains pour faire monter la pression avant l'entrée sur scène de Ridan, Victoire de la musique en 2005 dans la série "révélation album".

Nadir ex-rapeur est devenu Ridan, parce que "en arabe, on lit de droite à gauche". Il a gardé la capette pour un répertoire de variété : un peu de rap, un peu de festif, un peu de funk, un peu raï, un peu hip hop pour décrire le mal des cités qui déchaînent les youyous.

Les fans étaient au rendez-vous.

Elu par la profession meilleur artiste masculin aux victoires de la musique 2004, Calogero ne veut pas qu'on le photographie. Veut-il qu'on l'écoute?

C'est sous la tente dédiée aux artistes français que la nouvelle idole de toute une génération va se produire. Je parle de Vincent Delerm et de son public de trentenaires (qui semble s'élargir à + ou - 10 ans).

Attendu tel une rock Star, le public scande son prénom. Les années 90 avaient la Bruelmania, en 2005, nous avons la Delermania.

L'arrivée de  Vincent au piano, se fait sans un mot mais avec une bande son faisant office de petite voix intérieure qui se pose l'importante question : Comment dire bonsoir ?

Puis débute le concert musical avec "La vipère du Gabon" où le public, connaissant parfaitement l'œuvre, se fend d'un "Ah bon!" complice à la fin de chaque couplet.

Suivent "Charlotte Carrington", "Quatrième de couverture", "Tes parents », "Le baiser de Modiano". Le public est sous le charme de ce chanteur désabusé, qui seul avec son piano distille sa chanson française quotidienne, faite d'histoires sans forcément grand intérêt mais où chacun peut se retrouver.

Là serait donc le principe de base de ses chansons. Mais le prévoyant Vincent prend ses détracteurs de vitesse et en voix off François Morel (ancien Deschien) critique la "patte" Vincent Delerm, faite de noms de marques et autres noms propres.

En tout cas le public, lui, est à cent pour cent derrière son chanteur, et le prouve en reprenant a capella un couplet du "Monologue shakespearien".

Avec ses histoires universelles, Vincent Delerm a su être en phase avec toute une génération portée sur la mélancolie. De nos jours, la nostalgie commence de plus en plus tôt...

>>> La conférence de presse de Vincent Delerm

Devant une foule massée sous le chapiteau Domino, Camille, accompagnée de 3 compères invente un monde bien à elle, fait de piano, de contrebasse et de voix aux utilisations multiples.

Un soupçon de rap

NTM n'est plus. Kool Shen en solo n'en finit pas de faire ses dieux.

Bon ça rape dur...mais le temps passe....

 

 

Du rock de qualité

Ne vous y trompez pas ! Le quartet cravaté de Gomm, chemises et pantalon noir, arborant un look des années 70, ne vous propose pas un revival yéyé/SLC (Ndlr : Salut Les Copains). Gom c'est du metal goth électro-punk rock !

Univers métronomique et électricité dans l'air, influencé par la rythmique répétitive d'outre-Rhin et le punk synthétique anglo-saxon, Gomm attaque avec "Karl Heinz Mucke" qui scotche le public.

De l'électro-punk "I need" au lancinant "Rejoice" (les paroles "I'cant give up my obsession I want naked truth" résonneront longtemps dans vos petites cellules grises), Gomm a vite fait de vous séduire.

Les guitares éclaboussent, les synthés psychédéliques électrocutent, la batterie hypnotise et Marie, sorte de Kazu blonde aux yeux bleus, a une voix qui oscille entre la babydoll et la rriot girl.

Ça dépote et nettoie les oreilles au bon sens du terme !

Attention, danger addiction !

C'est avec l'envie évidente d'en découdre que le quatuor emmené par son chanteur Philippe Prohom se présente sur scène.

Mélange de techno et de rock, la musique de Prohom se veut intègre. L'utilisation de samples se fait sur toutes les chansons et se mêlent aux guitares électriques.

Se succèdent notamment "Georges" et "Et ça oublie d'aimer", tirés de leur premier album "Prohom", et "Prouve le moi", tiré de leur dernier opus qui finit en tambour du Bronx.

Le chanteur, ne faisant pas dans l'à peu près a ses techniques pour motiver la foule et lance "Ce n'est pas le festival des mous du cul !". Il sait trouver les mots juste pour atteindre son public "Il ne s'agit pas de taper des mains comme avec Calogero" (Ce dernier le précédait sur une scène voisine).

Le rock-électro pêchu de Prohom, emmené par un chanteur rentre-dedans, reste cependant efficace et donne au public matière à bouger.

Leur carrière a débuté sur un malentendu. Dès qu'on parle de Matmatah, on imagine les menhirs, la musique celtique, les fest-noz, le chouchen. Pour faire simple, on imagine un groupe breton.

Pas que cela soit péjoratif, mais dans le cas de Matmatah, cela semble quelque peu réducteur.

Pour qui les a vu à un de leurs 800 concerts (ah, l'endurance bretonne !), la musique de Matmatah tient plus du rock 70' qu'autre chose. Le rythme est binaire, les guitares saturées, la basse bien carrée, c'est rock quoi !

Et aux Solidays, le quatuor nous a envoyé des décibels pleins les oreilles. Le public n'attendait que ça et il a été servi. Reprenant en chœur le refrain de "Au conditionnel", il a exulté sur "La ouache".

Matmatah y va à l'énergie, alternant chansons en anglais et en français, dont une chanson de comptoir "Il fait beau sur la France". "Emma" s'est ensuite invitée finir le concert…

L'inévitable et très demandé rappel aura lieu avec "Alzheimer" dédicacée "aux dirigeants du G8 et au ministre qui doit se bourrer la gueule avec Bono" (le concert de U2 avait lieu le même soir).

Matmatah a montré ce soir un visage très rock, plein de fougue et d'énergie. Forcément il y avait bien 2-3 drapeaux bretons qui flottent dans le public, mais finalement je pense qu'ils avaient du s'égarer.

Une affiche exceptionnelle pour le reggae de la Jamaïque à la côte d'Ivoire en pssant par l'Angleterre avec Patrice, Steel Pulse et Tiken Jah Fakoly

C'est Patrice, qui comme l'année passée, monte le premier sur scène alors que les nuages s'éloignent pour laisser place au soleil. Car, toujours comme l'année dernière et comme il nous l'avait assuré en interview, il fait toujours beau quand il chante.

Et il est manifestement vrai que les cieux sont avec lui. Il lui ont accordé la beauté, le talent, la gentillesse, la générosité et le charisme . Fidèle à Solidays, il n'a pas hésité à venir spécialement d'Espagne.

Fils spirituel de Bob Marley, il s'inscrit dans cette nouvelle génération de reggaemen qui sans renier leurs racines et leur attachement à la trinité rasta, P eace, Love and Unity vivent dans leur temps.

Du reggae roots au funk débridé, du hip hop rythmique au néo-soul, sa voix protéiforme et terriblement émouvante fait des merveilles sur des mélodies percutantes.

Il joue une intro seul à la guitare acoustique avant d'être rejoint par les efficaces membres du groupe jamaïcain Shashamani Band le rejoignent. Pour nous proposer le meilleur de son dernier album Nile dont les sublimes "Africanize drem" et "Done".

D'une énergie indomptable, il improvise une chanson pour Solidays et n'hésite pas à quitter la scène pour se dresser bras levés devant la bannière de Solidarité-Sida. Il danse, parle avec le public et demande : "Paris are you ready to get spiritualized ?". Pas de doute quant à la réponse !

>>> L'interview de Patrice à Solidays 2004

Rappelez-vous, ou au moins faites appel à votre culture musicale. En Angleterre, il y aura bientôt 30 ans, en pleine mouvance punk et new wave, un goupe de roots reggae faisait la première partie de The Clash, The Stranglers et Police et en 1978, il assurait la première partie de Bob Marley & The Wailers en tournée européenne. Qui est-ce? Steel Pulse, mené par son leader charismatique David Hinds.

Régulièrement nominé aux Grammy Awards, toujours chaleureusement accueilli en France, Steel Pulse est un mythe vivant, sans doute le dernier de la lignée exceptionnelle des groupes pratiquant à la fois la philosophie rasta et un militantisme intransigeant.

 

Le chapiteau du Dôme était trop petit pour contenir le public. Impossible d'approcher de la scène devant laquelle se masse le public. La clameur monte jusqu'à ce que David Hinds apparaisse sur un "Bonsoir Paris ! ".

A ce moment, un mouvement de foule telle une vague venant de l'extérieur propulse les gens à trois mètre en avant. Et pourtant le Dôme est de nouveau bondé. La clameur, les applaudissements et la reprise des paroles en choeur par le public ne cesseront pas.

Avec des morceaux comme "African holocaust" et "No more weapons", Steel Pulse c'est un reggae intemporel comme celui de Bob Marley qui ne prendra jamais une ride.

>>> La conférence de presse de Steel Pulse

Tiken Jah Fakoly clôturait cette journée et la 7ème édition du Festival Solidays. Choix pertinent que ce groupe de reggae ivoirien généreux et militant sans manichéisme.

Longue introduction instrumentale avant que le diable rouge entre sur scène sous les acclamations. Il salue Paris et harangue les festivaliers

Vêtu de son ample "poncho" flamboyant, toujours en mouvement, il saute, danse, court sur la scène qui devient trop petite pour lui et exécute une sorte de ballet incantatoire qui le fait ressembler à une torche vivante.

Tiken Jah Fakoly offre au public très nombreux un concert flamboyant de reggae cuivré et militant.

Le public reprend en chœur "Africa" poing levé et "L'Afrique doit du fric" joué après qu'il ait lancé "Nous présentons une Afrique qui ne veut plus pleurer mais qui veut parler ! Après tout ce qui s'est passé l'Afrique doit-elle encore du fric ?".

Exorcisant les vieux démons et fustigeant les malfaisants, qu'ils soient noirs ou blancs, iI joue les meilleurs titres de ces deux derniers albums Françafrique et Coup de gueule.

Le public connaît par coeur : "Le balayeur", "Tonton d'Amérique", "Le pays va mal", "Plus rien ne m'étonne", "Quitte le pouvoir" et "Discrimination" qui sont autant de titres explicites.

Un concert qui ne saurait laisser indifférent et qui clôturait judicieusement la 7ème édition du Festival Solidays.

>>> La conférence de presse de Tiken Jah Fakoly

 

A lire sur Froggy's Delight :

Les concerts du Vendredi
Les concerts du Samedi

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Les promesses de Debout sur le zinc
La chronique de l'album La fuite en avant de Debout sur le zinc
La chronique de l'album Vian par Debout sur le Zinc de Debout sur le Zinc
Debout sur le zinc en concert au Festival Garorock 2005 (vendredi)
Debout sur le zinc en concert à Paléo Festival #34 (2009)
Debout sur le zinc en concert au Festival Solidays #14 (édition 2012) - samedi
Mouss et Hakim en concert au Festival Les Nuits Secrètes 2005
L'interview de Mouss et Hakim (13 août 2005)
La chronique de l'album Destroyer to perfection de Gomm
La chronique de l'album 4 de Gomm
Gomm en concert au Festival Les Transmusicales de Rennes 2004 (jeudi)
Gomm en concert au Festival Fnac Indétendances 2005
Gomm en concert au Festival Les Femmes S'en Mêlent 2007
Gomm en concert au Festival Le Rock dans tous ses Etats 2007 (samedi)
L'interview de Gomm (19 août 2005)
La chronique de l'album Love Musik de Camille Bazbaz
La chronique de l'album Mille bouches de Camille Hardouin
La chronique de l'album Après le Soir de Camille Bénâtre
La chronique de l'album Après le soir de Camille Bénâtre
La chronique de l'album Camille Saint-Saëns : Duos pour piano et cordes de Laurent Wagschal & Ensemble Le Déluge
La chronique de l'album Gainsbourg de Brussels Jazz Orchestra & Camille Bertault
La chronique de l'album Crépuscule de Camille Laïly
La chronique de l'album Les Eaux célestes de Orchestre national de Lyon, Ben Glassberg & Camille Pépin
Camille en concert au Festival Art Rock 2005 (Dimanche)
Camille en concert au Festival Les Eurockéennes 2006 (samedi)
Camille en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort 2008
Camille en concert au Festival Le Rock Dans Tous ses Etats 2008
Camille en concert au Festival Fiesta des Suds
Camille en concert au Café de la Danse (dimanche 18 décembre 2011)
Camille en concert au Festival Beauregard #4 (édition 2012) - Dimanche
Camille en concert au Festival Les Nuits Secrètes 2012 - 11ème édition
Camille en concert au Festival Les Nuits Secrètes 2012 - 11ème édition - Samedi
Camille en concert au Festival We Love Green #2 (édition 2012)
Camille en concert au Festival We Love Green #2 (édition 2012) - Samedi 15 septembre
Camille en concert à Dame de Canton (jeudi 19 février 2015)
Camille en concert au Festival Chansons & Mots d'amou #4 (édition 2015)
Camille en concert au Festival Chansons et Mots d'Amou (édition 2015)
Camille en concert à Théâtre de la Verdière (dimanche 17 juillet 2016)
Camille en concert au Festival Les Francofolies de La Rochelle #32 (édition 2016)
Camille en concert à L'étrange petit sirène (mercredi 9 novembre 2016)
Camille en concert au Festival Détours de chant #16 (édition 2017)
Camille en concert au Festival Nancy Jazz Pulsations #44 (édition 2017)
L'interview de Camille Laïly (jeudi 5 janvier 2023)
Calogero en concert au Festival des Terre Neuvas 2005 (dimanche)
Calogero en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2015 - Du jeudi au dimanche
La chronique de l'album Un monde pour soi de Prohom
La chronique de l'album Brille de Prohom
Prohom en concert au Grand Logis (21 octobre 2004)
Prohom en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2005 (jeudi)
La chronique de l'album Madame la République de Ridan
La conférence de presse de Steel Pulse - David Hinds (10 juillet 2005)
Kool Shen en concert au Tryptique (11 mai 2004)
La chronique de l'album Plates coutures de Matmatah
La chronique de l'album You're here now what ? de Matmatah
La chronique de l'album Miscellanées Bissextiles de Matmatah
Matmatah en concert au Vauban (21 octobre 2004)
Matmatah en concert au Festival Les Rockeurs ont du coeur 2005
Matmatah en concert au Festival des Vieilles Charrues 2008
Matmatah en concert au Transbordeur (jeudi 16 mars 2017)
Matmatah en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2017 - du vendredi au dimanche
Matmatah en concert au Fil (vendredi 31 mars 2023)
L'interview de Matmatah (vendredi 31 mars 2023)
Tiken Jah Fakoly en concert au Festival Alors..chante ! 2005
Tiken Jah Fakoly en concert au Festival Le rock dans tous ses états 2005
Tiken Jah Fakoly en concert au Festival des Vieilles Charrues 2005 (dimanche)
Tiken Jah Fakoly en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2008 (Vendredi)
Tiken Jah Fakoly en concert à Yugen Blakrok - Tiken Jah Fakoly - Demi Portion - Goran Bregovic - Zoufris Maracas - Thérap (2 au 4 août 2019)
Tiken Jah Fakoly en concert au Festival Foreztival #17 (édition 2023) - Samedi 5 août
La conférence de presse de Tiken Jah Fakoly (10 juillet 2005)

Crédits Photos : David / Laurent (Plus de photos sur Taste of Indie)

Crédits Article : Collectif Froggy


        
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=