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Interview  (Paris)  lundi 22 mai 2017

Le soir d’un concert de Erevan Tusk à la Java dans le Xème arrondissement, je retrouve Alex Viudes et Jim Paillard (Erevan Tusk) ainsi que Nico Puaux (Narrow Terence) à la terrasse d’un bar étrange qui ne sert pas de bière à la pression, pour une discussion autour du nouveau groupe qu’ils ont formé ensemble avec Sammy Decoster : Wellbird.

Leur premier EP Menu est sorti le 28 avril sur le label Sound Like Yeah! Records. Au "Menu" de cette soirée, outre les cacahuètes visiblement achetées à la supérette du coin et des bières en bouteilles, des questions et des réponses, des rires et des chants en suédois.

Vous êtes tous issus d’autres formations, est-ce que le terme de "supergroupe" correspond à l’image que vous vous faites de Wellbird ?

Nico : De façon un peu ironique oui.

Alex : Ouais c’est un super groupe, on est tous super et le groupe est super (rires)

Qui a été à l’initiative de la création du groupe ? C’est toi Alex vu que tu travailles déjà avec tes 3 acolytes dans d’autres projets ?

Alex : C’est exactement ça, j’ai voulu à un moment créer un groupe avec des gens avec lesquels je jouais dans différents projets et ça c’est fait naturellement. J’avais envie de faire quelque chose avec Jim, Nico et Sammy, et au lieu de faire des choses différentes en plus avec chacun, j’ai créé ce groupe Wellbird, qui n’est pas un collectif mais un vrai groupe. C’est juste parti d’une idée de faire quelque chose avec des potes, des amis.

Donc Wellbird c’est un supergroupe de potes ?

Alex : C’est ça !

Et comment s’est fait le choix du nom du groupe ?

Alex : Littéralement c’est Puits/Oiseau. Il n’y a pas vraiment de symbole en fait, c’est un nom de groupe comme un autre, on s’est échangé des mails où chacun proposait des noms de groupe et on a tous choisi celui-ci à un moment donné.

Qui fait quoi dans le groupe ? Comment vous répartissez-vous les tâches ? Je sais que vous chantez presque tous, en français ou en anglais.

Nico : On avait tous un pool de chansons qu’on avait en stock et Wellbird s’est trouvé être une bonne occasion pour les bosser.

C’est uniquement des idées que vous aviez auparavant ?

Nico : Au départ c’est ça, et il y a des choses qui sont nées avec le groupe, notamment Jim qui a pas mal composé. Ensuite oui, on essaie de vraiment troubler les pistes vocalement, on arrive avec une grille et un texte et puis ensuite on essaie effectivement de marier les voix, de ne plus savoir trop bien qui est le lead. C’est encore un travail qui va s’affiner avec les disques, mais il y avait déjà cette ambition de faire un chanteur un peu indéfini avec tous les organes vocaux du groupe.

Tu parles d’album à venir ? Est-il déjà dans les tuyaux ?

Nico : Oui on est dans une vraie dynamique.

Alex : Une dynamique de groupe quoi ! Effectivement, on commence à en parler de l’album de comment on va faire pour l’enregistrer, je pense qu’ on appliquera la même méthode qu’on avait eu sur l’EP, à savoir de rester spontanés, et puis qu’il y ait plein de choses qui se passent en studio et éviter de tomber dans l'hécatombe des maquettes, des pré-prod qui durent pendant deux ans. Je pense que là maintenant on a acquis des bases d’écriture...

Jim : (il le coupe) Acquéri !

Alex : Euh ...Bah voilà tu m’as coupé je sais plus ce que je voulais dire, merci !

Jim : Faut qu’on fasse des fautes un peu.

Alex : Qu’on fasse ?

Jim : Faut qu’on fait des fautes ! (rires)

Comment avez-vous enregistré cet EP ?

Alex : On a enregistré on va dire à 95% en live y compris les voix, et pour l’album à venir ça sera de la même façon. En tout cas, je n’ai pas réuni tous ces gens pour faire un énième groupe où on va faire des pré-prod, et entrer dans une spirale sans fin, mais plutôt avec une méthode entre guillemets de musiciens de jazz, c’est-à-dire que les mecs se retrouvent dans un studio et tout se crée dans le studio.

Et au niveau des musiques ? Chacun apporte ses idées aussi ?

Jim : Ouais alors il y avait pas mal de choses déjà définies dans les lignes de chant à savoir qu’elle correspondaient déjà à des grilles. Ensuite comme le disait Alex, c’est vraiment lors de l'enregistrement que les formes ont pu changer chacun mettant une pierre à l'édifice et apportant sa patte, ce qui au final est un beau résultat parce que chacun a réussi à mettre sa patte sur celle d’un autre. C’est vraiment cet échange en studio qui a créé cette identité assez singulière.

Nico : Tout à fait, je pense qu’il y avait un gros pari de la part d’Alex, c’était de faire jouer ensemble des gens qui n’avaient jamais joué ensemble et parfois même qui ne se connaissaient pas, je pense à Sammy que je ne connaissais pas avant. C’était assez essentiel pour garder cette démarche de faire les choses vite qu’on arrive quand même avec un peu de matériau à la base et qu’il y ait quand même des grilles, des lignes de chants. Je pense qu’à l’avenir, maintenant qu’on sait comment on joue, le son que le groupe s’est constitué avec ce premier EP et là où on voudrait aller, c’est quelque chose que l’on pourra plus travailler ensemble dans le processus de composition et de structuration, vraiment à la source. J'imagine qu’on pourra arriver avec des choses moins définies sur le prochain disque et vraiment composer ensemble.

Jim : Aller encore plus plus loin dans cette démarche-là.

Alex : Oui c’est ça, c’est une première pierre à l’édifice cet EP. L’idée est partie de moi et on s’est tous vu deux fois en résidence de trois jours où on a enregistré, ensuite j’ai récupéré tout ça, et puis j’ai arrangé, affiné, proposé des choses, pour que ça aille vite tout simplement parce que je voulais rester dans cette dynamique. Mais c'est vrai que dans le futur ce qu’on veut c’est vraiment faire les choses ensemble, plutôt que ce soit moi qui récupère les choses, qui travaille de mon côté et qui propose tout ce qui est arrangements et direction artistique. Désormais on la connaît et on sait exactement ce qu’on veut tous ensemble.

Est-ce que ça a été difficile de les faire travailler ensemble ?

Alex : Je connaissais très bien tout le monde en fait vu qu’avec Narrow et Erevan on a beaucoup tourné ensemble, on se connaît depuis longue date. Sammy est aussi quelqu’un avec qui j’ai tourné pendant pratiquement deux ans, et j’avais déjà enregistré avec lui. Je savais pertinemment que ça allait fonctionner, déjà musicalement c’était sûr que ça allait fonctionner, mais humainement aussi, et voilà maintenant c’est lancé !

Dans cet EP il y a autant des chansons pop assez gaies comme "Gris Métalisé" et d'autres plus sombres et plus appuyées musicalement comme "Soldier On The Ground", comment expliquez-vous qu’en vous mettant tous ensemble il y ait des choses si différentes qui soient sorties ?

Nico : Oui c’est évident que "Gris Métalisé" et "Soldier" ont des choses très distinctes au niveau des climats. Mais je crois qu’il y avait l’envie de conserver ce truc jeté, donc du coup on n'a pas cherché à comprendre si les chansons étaient trop mineures ou trop majeures, on a dit : ok on va coller un son de groupe là-dessus. Je me souviens que le mot qui revenait, c’est qu’il fallait que ce soit sale, qu’il y ait un côté un peu débrayé et là où les chansons auraient pu être encore plus appuyées dans leur direction naturelle, on a toujours essayé de garder cette espèce de bonhomie de groupe avec ce côté défroqué, un peu grunge 90’s.

"Sebadoh" est souvent revenu dans les références, avec ce truc un peu "à la va-comme-je-te-pousse", c’est surtout à ça qu’on a fait confiance à cette prod et cette manière de jouer les chansons plutôt que de se poser la question si elles collaient les unes aux autres. C'est vrai que le disque peut avoir des allures de patchwork dans le sens où il y a beaucoup de climats mais j’ai l’impression qu’il a été vachement rassemblé au niveau du son et de la prod en particulier avec les arrangements qu’Alex a fait a posteriori de nos répétitions, il a lié le tout avec une direction vocale, une direction subtile d’électro. Tout ça a créé un fil rouge entre les chansons.

Alex : Et puis on s’est pas posé la question de se dire cette chanson est plus gaie ou plus sombre ou c’est en anglais ou en français... on voulait vraiment créer juste quelque chose entre nous parce que humainement ça se passait bien.

Par rapport à vos autres formations, quelle est la différence principale entre Wellbird ?

Jim : Il y a un côté très spontané que je ne retrouve pas forcément dans Ervervan Tusk où on prend le temps, où on a besoin de temps pour faire les choses bien et pour trouver notre signature. On a réussi à obtenir cette maturité au bout de 5-6 ans voire même plus, on arrive vraiment à quelque chose d’intéressant et fort maintenant, alors qu’avec Wellbird, je trouve qu’en une rencontre, en deux-trois séries de répétitions, on s’est tous dit il y a déjà un truc assez fort et marquant et qui surtout nous parle à tous. C’est peut-être moins dans la sur-intellectualisation et la sur-analyse qu’on arrive à obtenir des choses très fraîches et très concrètes. Je pense qu’aussi le fait d’avoir accumulé de l'expérience via nos autres projets, cela nous a permis d'être assez rassurés et assurés pour proposer et assumer des choses et les faire vite.

Nico : Par rapport à Narrow pour moi le guide, ça a vraiment été Alex qui avait une bonne connaissance de tous les individus, c'est vraiment une histoire humaine et c’est truc-là qui a vachement compté. Je pense qu’il y a plein de moments en répétitions où si Alex m’avait laissé faire, j’aurais fait chier comme je peux faire avec Narrow où il y a un côté hyper orfèvre où je veux vraiment tout essayer avant de trancher. Là il y avait un côté où justement puisqu’on n'a pas les mêmes places dans Wellbird que dans Narrow, du coup il y a des moments où je voyais dans son regard, dans ses yeux qui me disait : "non mais là ça fonctionne on s‘en branle qu’on puisse doubler le thème à l’aigu, ce n’est pas là le propos, c’est que là ça fonctionne" et naturellement on a une énergie et c’est ça qu’il faut garder. C’est là-dessus que ça change vraiment beaucoup avec Narrow où il y un côté beaucoup plus analytique. Et d’ailleurs, c’est marrant parce que je vois déjà un effet de vases communicants entre les projets, car avec Narrow j’ai aussi envie de retrouver cette spontanéité qui m’a été ouverte avec Wellbird, et que je ne soupçonnais pas aussi efficace. Les projets vont se nourrir comme ça l’un de l’autre.

Jim : J’ai aussi l’impression qu’il y a un côté accouchement non douloureux avec cet EP et que tu as envie d’en faire un deuxième, je n’ai pas eu d’enfants, mais je peux l’envisager comme ça tu vois. Pour les albums, on fait toujours la comparaison accouchement douloureux ou pas et celui-ci j’ai l’impression qu’il s’est passé nickel et on envisage déjà un deuxième enfant quoi.

Nico : Ensemble.

Jim : Ensemble bien sûr ! Extra-conjugal peut-être, je n’en sais rien (rires)

Alex : Comme tu dis, effectivement c’était aussi une façon de vous montrer qu’il y a d’autres méthodes d'écriture que ce qu’on peut faire dans nos différents projets.

Et par rapport à vos camarades dans les autres formations, avez vous peur qu’ils vous reprochent de passer plus de temps sur ce projet que sur les autres ?

Jim : Non, parce que déjà eux aussi sont occupés à d’autres choses dans plein de projets différents. De quoi ?

Nico : Je disais "oui" et puis je repensais à Narrow et je me disais "non pas tous en fait" (rires)

Jim : En tout cas dans Erevan Tusk, il sont quand même pas mal occupés, ils vaquent à d’autre occupations et au contraire, ils sont très sympathiques à l’idée qu’on fasse ça, ça ne rentre pas en conflit.

Nico : Moi ça me dérange pas en plus que ça mette de la pression, je trouve que c’est vachement porteur.

Jim : S'il y en a une, elle est bonne.

Nico : Quand tu vois le petit voisin de tes potes qui avance bien, tu as aussi envie. Tout ça est très frais et va pousser tous les groupes. C’est mon côté libéral ! (rires)

Et au niveau de vos places dans le groupe ? Toi Alex tu es à la batterie, est ce que tu touches à d’autres instruments ?

Alex : Non, dans Wellbird comme dans Narrow en fait je fais du clavier aussi, en fait on change tous plus ou moins d’instruments dans Wellbird à un moment donné.

Et quelqu’un prend ta place à la batterie ?

Alex : Pour l’instant non mais bon, volontiers, pourquoi pas.

Jim : On a expérimenté quelque chose aujourd'hui où tu étais carrément en lead sur une chanson, pas sur l’intégralité mais en tout cas tu prenais le lead sur un couplet, bon ce n’était pas forcément concluant pour cette fois-ci et je ne dis pas ça uniquement pour lui hein ! (rires)

Alex : On a fait un truc un petit peu spécial en répétition aujourd'hui, où en fait on chantait un couplet chacun.

Toujours dans l’idée de vraiment brouiller les pistes ?

Alex : Ouais c’est un peu ça l’idée. Et pour revenir à l’album, oui effectivement maintenant qu’on se connaît bien humainement mais surtout musicalement c’est là où tout va se passer, où on va sortir vraiment quelque chose d’encore plus fort. Et c’est une force de pouvoir proposer des univers très différents, de les mêler et qu’ils interagissent entre eux même en français, anglais ou même d’autres langues, peut-être suédois, portugais pour Nico, espagnol pardon.

Jim : Lusophone s’il en est !

Alex : Voila pourquoi pas, en fait mais ce sera toujours la même méthode de se voir en répét et expérimenter.

Jim : Cela serait marrant une chanson en suédois (il se met à chanter en suédois).

Vous êtes prêts à expérimenter de nouvelles choses, justement le fait d’avoir un nouveau groupe c’est la porte ouverte à plein de nouvelles choses ?

Alex : Effectivement c’est ça ! C’est vraiment ce groupe-là, c’est une énorme porte ouverte.

Au niveau de la pochette de l’EP, vous avez choisi des sortes de caricatures de chacun ?

Alex : Alors non justement, pas du tout, il y a 4 personnages dessinés mais ce ne sont pas du tout des caricatures parce qu’autrement il y aurait un chauve dans le groupe, même si je commence à avoir une calvitie ce n’est pas encore moi. Mais non ce ne sont pas du tout des caricatures, c’est un très bon ami à moi qui est dessinateur qui habite Angoulème, ville de la BD à qui j’ai demandé de faire cette couverture. J’ai travaillé avec lui tout simplement et je lui ai dit surtout il ne faut pas de caricature, pars sur des traits simples continus, tu fais des bonhommes dans ton imaginaire. C’est personne en particulier.

Vous vous êtes un peu inspiré dans la méthode d’enregistrer de ce qui se faisait dans les années 90, est-ce qu’il y a certains groupes de cette époque qui vous ont influencé ?

Alex : C’est venu naturellement, on a vraiment connu cette époque, donc on a toujours baigné là-dedans, même si on est ouverts sur plein de musiques on a des influences différentes chacun, mais c’est vrai que tous les 4 on connaît énormément de groupes de cette période.

Jim : On se rejoint là-dessus ouais !

Nico : Parmi les références j’ai déjà parlé de Sebadoh, moi je vois des trucs vraiment toujours 90’s, je vois des trucs un peu à la Deus.

Jim : Violent Femmes, des trucs comme ça.

Nico : Ouais voilà, cet espèce de côté folkoïde, joué dans l’ampli, un peu sale, etc. Il y a peut-être du Beat Happening, il y a peut-être un peu de Beck première période, des choses un peu comme ça.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Menu de Wellbird

En savoir plus :
Le Soundcloud de Wellbird
Le Facebook de Wellbird

Crédits photos : Thomy Keat (retrouvez toute la série sur Taste Of Indie)


Emmanuel Richard         
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