A
Rome, Le service du général Botando, spécialisé
dans la recherche des œuvres d'art disparues, périclite et un coup
d'éclat serait le bienvenu pour assurer sa pérennité sans
laquelle le service serait impitoyablement transféré sous les
ordres de l'affreux commissaire vénitien Bovolo.
Et miracle ! Un meurtre est commis à Venise. Meurtre qui ne peut être
relégué au rang des banales agressions dès lors que la
victime est une éminente professeur d'art qui appartenait au comité
Tiziano chargé de répertorier les œuvres du Titien.
Cette nouvelle enquête de Botando et de son acolyte Flavia sert de fil
rouge, une fois encore, à Iain Pears, pour nous entraîner dans
les arcanes du monde de l'art, et de ses affaires véreuses, à
travers les dédales de Venise.
Et comme le monde est petit, ils retrouvent Argyll, l’étudiant
devenu depuis l'affaire
Raphael négociant d'art, qui tente d'acheter des tableaux sur lesquels
la victime travaillait. A partir de ce moment, tout s'embrouille et s'accélère.
Ce deuxième volet de la trilogie consacrée aux enquêtes
dans le monde de l’art, nous incite à fréquenter un peu
plus les musées et particulièrement ceux d'Italie, oeuvre d'art
géante, même si l'anglais Iain Pears (par les yeux de Argyll) égratigne
un peu les latins. |