Sur un timbre n'allant pas sans rappeler les omniprésentes envolées du chanteur de Cold Play, Ozark Henry construit une œuvre magistrale, faite d'ambiances aériennes et aérées, où les chansons très oniriques s'élèvent dans des plaines humides et sombres.
Hybride mais tendant vers le concept, toute cette quête de d'identification s'efface devant de bons titres, évidents de grâce "Jocelyn, it's crazy we ain't sixteen anymore", "At sea", "Free haven".
Agréable et mélancolique.
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