2005 aura été une année faste pour la famille Dune.
Entre la publication de leur album Not on Top, des demi-douzaines de CDR d'André (en vente chez Ground Zero), les différentes sessions enregistrées (allez voir sur leur site), les deux fantastiques tournées (printemps, automne comme les collections grande couture), on ne sait plus où donner de la tête.
Les Dune fusent, propagent, distillent leur folk rock partout où ils le peuvent. Et les endroits ne manquent pas.
On peut dire que les Dune sont une sorte de … virus.
D'ailleurs quand on l'attrape ce virus, on ne veut pas le lâcher : on devient drogué du Dune, addicted comme on dit. Pire que la coke, la Dune family.
En tous cas, pour cette avant-dernière date de la tournée automnale (commencée chez Ground Zero fin octobre – oui j'adore Ground Zero… Je veux même y faire un showcase…), les Dune jouaient avec la délicate Julie Doiron sur leur terrain, à Paris, dans un Trabendo plein à craquer (quand je vous dis qu'on devient accro aux Dune).
Ceux qui les ont déjà vus ne s'en remettent toujours pas. Ceux qui les voient pour la première fois sont envoûtés : ce son, cette techniques, ces voix… Ca colle le frisson. On le voit à leurs têtes.
Et puis, André en position de corbeau éructant, David gigotant, presque possédé, Julie qui gigote à la façon d'une barbie montée sur ressort et le robotique Neman (Neman, sais-tu que tu habites à côté de chez moi, n'hésite pas à passer. Code : 3423) aux fûts, on voudrait que cela ne finisse pas, qu'ils jouent cinq heures quoi !
Voilà : l'année 2005 est celle de la plénitude et de la réussite pour les Herman Dune.
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