Au départ, on angoisse d’un énième disque de soul jazz lounge. Malheureusement...
Amber Navran (voix, saxophone ténor, flûte, claviers, batterie électronique), Andris Mattson, trompette, bugle, claviers, batterie électronique) et Max Bryk (saxophone alto, clarinette, claviers, synthé basse, batterie électronique) mélangent jazz, R’n’B, hip-hop et une sorte de néo-soul. Une musique (très) soft, bien jouée et réalisée, toute en rondeur (le son du Rhodes, mélodies conforts...) et surtout sans la moindre aspérité, limité désincarnée.
Dans un forum de discussion, en parlant de ce disque et de Moonchild en règle générale, un internaute avait écrit cette phrase : "I want to love Moonchild so badly but everything they release sounds like the same song. What a sham". Force est de constater qu’il a absolument raison. Anecdotique, soporifique et redondant donc.
# 13 octobre 2024 : Sur un malentendu ca peut marcher
Le replay de la MAG#91, du théâtre, du cinéma, de la musique, de la littérature, c'est parti pour notre sélection de la semaine...Pensez aussi à nous suivre sur nos réseaux sociaux.