"I've been writing all these words down to you
Waiting for some kind of break-through
Apologies that never sound the way you want them to
We do our best to avoid uncomfortable truths
When the warning bells are ringing through
I wonder if you hear them calling you ?"
Un peu de douceur, cela ne fait jamais de mal. Surtout quand elle est faite avec délicatesse, finesse, sans mièvrerie ou lourdeur. De la sensibilité, de la mélancolie lumineuse, on en trouve en profusion dans la musique et dans le premier disque de l’australien Daniel Trakell.
Sa musique, indie folk est du genre à vous fendre le cœur et à vous tirer les larmes, musicalement avec ces mélodies et ses harmonies comme avec ces textes sur la séparation, la solitude. Sa musique est teintée 60’s ou 70’s avec des influences allant de Tom Petty à Nick Drake. Mais c’est surtout à Neil Young et à Elliott Smith que nous penserons. Des influences qui parfois pèsent encore un peu lourd sur ses épaules. Mais il y a chez lui déjà une certaine maturité, une honnêteté, une justesse, un soin apporté à la production, qui font que sa musique devient une évidence. Et puis il y a cette capacité à écrire naturellement de belles chansons ("Wisdom / Boredom", "So long", "Let me be", "Warming bell", "Love waltz" ou "Start again") qui font que ce disque touche simplement...
Cette semaine, c'est le retour de la MARE AUX GRENOUILLES, vendredi soir à 21h en direct sur Twitch, c'est gratuit alors on compte sur vous ! D'ici là, voici le programme de la semaine. Retrouvez-nous aussi sur nos réseaux sociaux !