Bienvenue dans un univers parallèle !

L’histoire de Rest In Gale commence en 2014 quand Julien Howler et William Rains forment le groupe.

Ils décident de partir à Londres pour s’y installer définitivement, trouver un job et tourner. Mais voilà qu’ils se retrouvent finalement à jouer sur le trottoir et sur les barques à touristes de Regent’s Canal.

De retour de ce voyage un peu casse-gueule, ils reviennent avec des passagers clandestins dont ils se seraient bien passé : des sarcoptes, responsables de la gale). Voilà donc résolu le mystère de leur nom.

Il leur vient alors l’envie de monter un groupe au complet, histoire de venir titiller le public français, leur chahut entraîne les foules et c’est avec Louis à la batterie, Volker à la basse, Bul au clavier et des guests comme Thomas Guendafa au tambourin ou Paco au saxophone, sans compter les magnifiques Broussettes qu’ils se lancent dans leur projet.

Ils vont sortir deux EP, sobrement nommés God Bless Jacob Delafon 1 et 2, histoire, disent-ils de tirer la chasse derrière eux une bonne fois pour toute. Ils gagnent le Tremplin Rolling Stone France, selon la légende sur une gueule de bois et un coup de chance. C’est ainsi que "Methylene Blue" et "Ladyboy" sont diffusés sur les plateformes du Disquaire Day.

Le groupe est lancé et après avoir composé tout un album schizophrène, ils le balancent tout de go à leurs partenaires de jeu lors d’une répétition.

Alors musicalement, c’est quoi ? Allez-vous me demander parce que quand même, on va parler musique un peu ! C’est du rock psyché, du pub rock, tantôt mélancolique comme "Page Blanche" ou nettement plus entraînant. On retrouve des mélodies aux tons orientaux, des paroles en arabe, en anglais et le chanteur a une voix d’outre-tombe juste phénoménale. C’est disent-ils une poésie névrotique sur fond d’érotisme avec des refrains entraînants.

C’est frais, c’est atypique, c’est chouette et c’est à découvrir de toute urgence !