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Interview  (Paris)  15 février 2006

La compagnie Même le dimanche est à l'affiche du Ciné 13 Théâtre avec Mastication un spectacle conçu et mis en scène par son directeur Pierre-Marie Carlier à partir des textes d'"Oratorio in progress" de Patrice Kermann.

Rencontre avec Pierre-Marie Carlier un homme de théâtre passionné et exigeant.


Pouvez-vous nous parler de ce spectacle, du choix du texte de Patrice Kermann et de votre travail ?

Pierre-Marie Carlier : J'ai découvert le texte de Patrick Kermann il y a environ 2 ans et j'en suis immédiatement tombé amoureux de par la qualité de tous les types d'écritures abordés par cet auteur, que je ne savais pas décédé. Il manie aussi bien la prose que l'écriture automatique ou la répétition rapide, une prose sensuelle chargée de sens comme dans le texte de Christine Letourneux qui subit le viol à répétition de son père. J'ai tout de suite été intrigué par cette oeuvre et je me suis dit qu'un jour je la monterai. Ensuite , je m'en suis un peu détaché, j'ai monté "Mademoiselle Julie" de Strindberg et j'y suis revenu l'an dernier.

C'était comme un appel, une quasi obligation alors que je travaillais sur un autre projet dont je tairais la substance, nous verrons si cela se concrétise dans le futur. Je me suis dit que c'était le moment de monter ce texte que je savais n'avoir jamais été monté à Paris. En fait, il l'a été une fois en France à Villeneuve-les-Avignon dans le cadre des présentations de la Chartreuse. Il a été diversement monté par des compagnies plus ou moins amateurs dans le cadre de festivals de fin d'année. Car s'agissant d'une chronique avec une multitude de personnages et de portraits c'est un sujet merveilleux pour un professeur de théâtre permettant de faire jouer tous ses élèves.

La difficulté était de donner un fil rouge et d'avoir un véritable un fil conducteur à ces textes magnifiques . Il ne s'agit pas de venir sur scène, présenter son petit truc ce qui ferait sketch, café-théâtre. Ce que je ne voulais pas?Et c'est en lisant un livre sur l'Egypte ancienne et sur les cérémonies d'intronisation du nouveau pharaon après la mort du père, qui consistait en une cérémonie de résurrection se pratiquant encore de nos jours dans de nombreuses sociétés ésotériques que j'ai su tenir là mon fil conducteur.

Ensuite, il a fallu mettre en place les choses, définir du nombre d'acteurs, puisque ce qui est formidable c'est que ce texte peut être joué à 1 comme à 50. Donc, j'ai choisi un nombre d'acteurs spécifiques de manière à conserver une puissance symbolique. Je me suis très vite attaché au pentagramme car je venais de lire un ouvrage sur Léonard de Vinci. Je suis très sensible au symbolisme. La scénographie s'est dégagée tout naturellement avec des cierges qui éclairent sans éclairer cet au-delà, cet ailleurs. Ensuite il a fallu déterminer un ordre de passage . J'ai monté la pièce en 3 tableaux.

Un tableau ésotérique : pour l'accueil fraternel et la résurrection de l'impétrant. Un tableau sociologique : sur la vie du village et ce qui se passait dans ce village imaginaire. A ce propos j'ai lu la dernière interview de Patrick Kermann datant du 24 février 2000 (il s'est suicidé le 29 février 2000 !  .Il y explique les tenants et aboutissants de son écriture et notamment son noyau dur (la Shoah et le devoir de mémoire) de son ?uvre.

J'y ai appris également qu'il avait fait un grand tour de France des cimetières ruraux et, qu'hormis le nom de Moret sur Raguse et celui des personnages, tout est vrai au détail près. Il est fascinant pour les acteurs de savoir qu'ils jouent la petite histoire de vraies personnes n'appartenant pas à l'Histoire. Les formes d'écritures de Kermann démultiplient la puissance des personnages. On sent que c'est eux, vous, moi, nous tous.

J'ai placé le 3ème tableau, parce que c'est important pour moi, sur le plan politique. Je ne vous apprendrais pas naturellement que le théâtre est un outil politique depuis la grecs anciens et qu'il est l'art de la mort et du désir (Eros et Thanatos), qu'aujourd'hui on en est à cette sempiternelle gaudriole "crac crac badaboum" (bien évidemment il en faut !) qui représente 95% du panorama théâtral. Et là, comme un des personnages de Kermann, je dis "Stop!".

Avec ces 3 tableaux, j'avais un spectacle pratiquement construit. Là, j'ai choisi les personnages en fonction de leur truculence, de leur verve et de leurs interconnexions au sien de ce village. Ce qui a donné l'unité à l'ensemble des personnages.

Que privilégiez-vous dans votre travail ?

Pierre-Marie Carlier : C'est avant tout un travail sur le texte, le sens du texte avec, toujours une recherche symbolique et parabolique. L'accent est également donné à la direction d'acteur. Mais, la chose qui me parait primordiale est de se nourrir de la différence des autres. On peut avoir des convictions même des certitudes, quoique les certitudes peuvent être dangereuses, et prêter une oreille attentive à celles des autres, à leurs réflexions, à leurs goûts, à leurs investissements qu'ils soient théologiques, politiques ou philosophiques.

C'est toujours très intéressant car personne ne détient la science infuse et on peut s'apercevoir à un certain moment que la seule certitude à avoir consiste en la mise en doute de tout en toute chose. Il faut tout mettre en doute avant d'essayer de tirer une conclusion. Respectant la dualité des choses, le ying et le yang, le reflet dans le miroir? parce que ce qui est vrai pour soi aujourd'hui s'avère, pas nécessairement, mais presque obligatoirement faux dans10 ans. Il faut garder cela à l'esprit.

Et le choix des comédiens?

Pierre-Marie Carlier : Ce choix a été avant tout dicté par les membres de la compagnie avec lesquels j'avais déjà travaillé sur "Dom Juan" hormis Fabrice Carlier, qui m'a été présenté par Jean-Claude Dreyfus, et Elodie Monsenert. J'ai choisi Fabrice Carlier en fonction de son univers particulier intéressant pour le groupe ; Elodie Monsenert, pour faire le pendant avec Karine Mauran, j'avais besoin d'une fille plus brune, plus sombre, plus dessinée en termes de mimiques. Karine Mauran est le côté diaphane des personnage tandis qu' Elodie représente le côté plus tranché des personnages féminins.

Pouvez-vous nous dire quelques mots sur la compagnie que vous venez d'évoquer ?

Pierre-Marie Carlier : J'ai fondé cette compagnie en 2000 (Ndlr : la compagnie Même le dimanche). Elle comporte un noyau dur, le metteur en scène, son irremplaçable assistant (Bertrand Liebert) et quelques acteurs qui participent régulièrement aux projets de la compagnie, Karine Mauran, Cyril Aubin, Arnaud Dautzenberg, Philippe Moutte, Ivola Pounembetti (absente de ce spectacle).

Les autres sont des satellites avec des degrés de "satellisation" divers. Cela étant, les liens se créent très vite et nous essayons de travailler dans une ambiance fraternelle afin de créer un véritable groupe. Pas d'individualité au détriment du collectif ! Je m'y oppose formellement et quand je sens qu'une individualité, pour des raisons d'ego ou autre, prend le pas sur le collectif, je tranche?

Vous êtes metteur en scène et comédien et vous jouez dans "Mastication" dont vous assurez la mise en scène. Les deux sont-ils indissociables?

Pierre-Marie Carlier : A mon sens cela fait partie de la démarche théâtrale. Je fais assez peu de distinction entre le jeu, la mise en scène, l'écriture qui entrent dans une globalité. Dans "Mademoiselle Julie" je ne jouais pas. Je mettais en scène et j'avais fait une nouvelle adaptation française. En effet, j'avais situé l'action dans les Antilles françaises à la fin du 19 ème siècle.

Dans "Mastication", je tenais absolument à jouer deux textes? parce qu'ils sont à mon avis l'essence et la signature de l'auteur dans une ?uvre où j'ai plongé et dont je ne suis pas encore sorti. Je trouve Kermann fascinant et s'il était encore vivant j'irais lui signifier mon admiration.

Avez-vous d'ores et déjà d'autres projets?

Pierre-Marie Carlier : Rien n'est encore finalisé. Il y a une création prévue avec Jean-Claude Dreyfus, pour une pièce contemporaine à laquelle il a donné son accord, dans laquelle il aura pour partenaire Claude Brosset. J'ai une autre création que j'ai proposée à Madame Annie Cordy, une femme exceptionnelle, qui adore le texte mais elle est actuellement en tournée.

Et j'ai d'autres projets de mise en scène plus "évanescents" pourrait-on dire comme monter Ettore Scola. Comme acteur, je vais tourner au cinéma et jouer au théâtre en 2006-2007. J'ai également en projet un court-métrage, que j'ai commis, avec Jean-Claude Dreyfus et Karine Mauran, dont l'idée de scénario provient de mon travail sur Patrick Kermann.

Certains de ces projets se concrétiseront-ils cette année?

Pierre-Marie Carlier : Non, plutôt 2006-2007, notamment en raison des difficultés à trouver une salle.

Quelles sont les difficultés rencontrés actuellement dans votre métier notamment pour monter un spectacle ?

Pierre-Marie Carlier : Aujourd'hui, on est "bankable" ou "not bankable". L'alternative est simple? Pour cette raison, soit on entre dans l'économie de marché c'est-à-dire le divertissement immédiatement consommable, soit on entre dans une catégorie un peu différente, un théâtre plus réfléchi, plus politisé, plus philosophique. Cela étant le théâtre avec une essence plus intellectuelle n'est pas forcément chiant !.. Mais il faut bien dire une chose, et je vais être méchant, si j'étais un coureur cycliste médiatisé j'aurais plus de facilité à monter un spectacle qu'en ayant eu 3-4 très bons dossiers de presse sur mes spectacles précédents. Car c'est l'argent qui prime. Alors que faire? Y croire !!! Et ne pas perdre un temps précieux à critiquer un système ou le fric et le népotisme sont rois. C'est une constatation, et c'est un peu dommage.

A ce propos, je vais vous narrer l'histoire de "Mastication". Nous devions jouer cette saison au Théâtre du Lucernaire où j'avais monté "Dom Juan" et qui s'était donné pendant près d'un an certes sans retombée financière ( pour la compagnie !) mais avec un bel engouement du public et de très bons retours de presse. En mars 2005, j'ai proposé "Mastication" au Lucernaire qui m'a demandé de passer une audition. Je leur ai proposé un montage de 30 minutes du spectacle qui leur a beaucoup plu. J'ai reçu quelques jours plus tard une lettre d'engagement officielle pour la saison 2005-2006, si bien que j'ai entamé toutes les démarches auprès des collectivités territoriales pour obtenir des subventions. Je tiens d'ailleurs à remercier l'ADAMI qui nous a donné une subvention conséquente constituant une véritable bouffée d'oxygène. J'ai également eu un très bon contact avec Mme Rapoport à la DRAC île de France. Malheureusement, le dossier lui a été soumis avec retard comme celui déposé à La ville de Paris en raison des faits que je vais vous raconter.

Après avoir reçu cette lettre d'engagement, j'ai donc initié les démarches administratives. Nous sommes partis, à l'initiative de Jean-Claude Dreyfus, créer "Mastication" au Festival de Fréjus, qui nous a réservé un très bon accueil. A notre retour, en septembre, j'ai contacté le Lucernaire pour connaître la date de programmation afin de pouvoir débuter la campagne de presse et de publicité. Et on a commencé à me faire lanterner !!! J'ai insisté en évoquant les dates butoir de dépôt de dossiers à la DRAC et à la ville de Paris ( six mois avant la date de la première ). Et en novembre 2005? j'ai reçu une lettre de désengagement dans laquelle on m'annonçait que "suite à la nouvelle politique de programmation du Lucernaire", le spectacle n'était plus programmé. Ces deux lettres, engagement et de désengagement, sont immédiatement parties chez mon avocat et j'ai assigné en justice le Lucernaire Forum s'imaginant sans doute que face à une grosse structure les petites vont baisser la tête !

Vous vous doutez bien que, compte tenu des rôles et de leurs significations dans "Mastication", il est hors de question de se laisser faire. L'homme véritable est celui qui met ses actes en adéquations avec sa pensée et sa parole? Je pense que l'éthique est souvent absente dans ce métier. Il y a des gens formidables comme Pierre Santini ou Jean-Claude Dreyfus et puis il y a des aigrefins, des gens qui n'ont aucune parole. Il faut avoir une conviction et on ne peut pas se comporter n'importe comment avec les gens. Je remercie le Ciné 13 théâtre de nous avoir accueilli en catastrophe pour sauver notre saison car le Lucernaire a gravement mis en péril le spectacle, les acteurs et la compagnie. En effet, cette lettre d'engagement a servi de support aux annonces faites pour indiquer à la profession notre programmation dans ce théâtre - notamment après les représentations de Fréjus. Un préjudice conséquent.

Vous avez abordé le problème des théâtres qui sont des entreprises commerciales dirigées en fonction non plus de paramètres culturels mais critères purement économiques et qui proposent donc des spectacles qui permettent de bonnes retombées pécunaires. Mais il y a aussi le public qui privilégie les spectacles de pur divertissement. Pensez-vous qu'il soit possible d'inverser la tendance?

Pierre-Marie Carlier : Absolument. Car c'est une histoire de formatage. Quand on est habitué à manger du pain avec une fourchette, on n'est pas habitué à manger du riz avec des baguettes. Je pense honnêtement que tout ceci participe d'une décérébration volontariste des masses par nos dirigeants. "Amuse toi, tu ne penseras pas !". Nous imaginons que parce qu'ils nous laissent prendre un peu de plaisir et de loisirs, nous sommes libres, mais ceci n'est pas un espace de liberté. La liberté c'est pouvoir juger par soi-même, avoir suffisamment d'ouverture d'esprit pour être au courant de ce qui se passe et l'accepter ou non... Or, aujourd'hui, nous ne sommes réellement informés de rien car l'essentiel nous est caché. Il n'y avait pas de nuage qui a survolé la France après Tchernobyl !!!

Le poison total de cette société, c'est la télévision. Je n'ai qu'une chose à dire : "Jetez vos postes de télévision par la fenêtre !". Ca déplaira peut être mais ce n'est pas grave. Que voulez-vous q'ils me fassent? Je ne suis personne.

Ils boycotteront vos spectacles!

Pierre-Marie Carlier : Oh, ils le font déjà ! (rires).

Homme de théâtre, allez-vous au théâtre?

Pierre-Marie carlier : Oui. Je suis venu au théâtre par goût à la suite d'un coup de foudre absolu à 26 ans alors que je faisais des études de médecine pour être psy. J'adore découvrir de nouvelles choses et tous les genres me plaisent à partir du moment où c'est fait avec sincérité et honnêteté. J'aime le sens. Il faut que cela amène quelque chose. Dans les pièces comiques, tout repose sur les acteurs qui doivent jouer avec sincérité. Je n'aime pas la vulgarité, ce qui n'est pas la grossièreté. On peut être grossier et pas vulgaire ! J'aime découvrir des talents, des envolées, de la réflexion.

Il faut vraiment réapprendre à lire, à penser. Car sinon nous allons droit dans le mur. J'ai l'impression qu'aujourd'hui nous sommes dans un train lancé à vive allure vers une montagne et toute notre énergie consiste à essayer de faire reculer la montagne. Ce n'est pas la peine, il faut arrêter le train. "Le monde est fou, laissez moi descendre !" Dernièrement, rien ne m'a vraiment passionné. Il y a un acteur que j'aime beaucoup qui est Jean-Claude Dreyfus. J'aime sa truculence, sa facilité, son univers. J'aime beaucoup aussi Pierre Santini, qui est un homme ouvert aux autres, une qualité exceptionnelle et rare.

Au niveau de la mise en scène soit on fait de la rigolade et on s'accroche au tiroir-caisse soit on fait un théâtre intello-chiant qui fait fuir. Ainsi Strindberg n'est pas chiant ! Il suffit de le comprendre et de le monter avec passion ! Et je ne cite pas de noms?

Ils se reconnaîtront.

Pierre-Marie Carlier : Non, je ne pense pas? car il y a des gens tellement certains d'être visités régulièrement par le génie? Mais il y a encore des gens formidables. Il n'y a pas que ? l'hégémonisme américain, qui n'est pas acceptable ! Depuis quelques temps, je ne rencontre que des gens gentils et bons, ce qui redonne confiance en l'humanité?

 

 

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