À défaut de contacts humains pendant le confinement et plus généralement pendant l’année 2020, c’est avec cinq claviers : un piano Fazioli, un Fender Rhodes, un mini Moog, un orgue Hammond et un Nordstage qu’Yvan Robilliard a dialogué.
12 mois et 15 morceaux (janvier : "Double Jeu", février : "Aria", mars : "ADN", avril : "Pause", mai : "Brut" et "Liberté", juin : "Chez soi", juillet : "Bal masqué" et "Le Palais", août : "Cèdre en Méditation" et "Anahata", septembre : "Voile", octobre : "Egalité", novembre : "Peau Lisse" et décembre : "Fraternité").
Entre musique écrite et moments d’improvisation, le pianiste nous balade dans son univers où les cinq claviers, cinq couleurs franches (et de nombreuses possibilités) se mêlent dans un jeu de textures entre l’acoustique et l’électronique, entre passages aériens, poétiques, organiques ou plus rythmés. Et comme le sentiment d’être pris par la main et invité à partager un beau moment en toute intimité avec lui.
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