Vois-tu cher lecteur, alors que j’écris ces lignes et que tourne l’EP de MATW sur ma platine, je réalise ma chance. Cela fait plusieurs semaines déjà que ce disque tourne chez moi et je mesure ma chance et mon privilège de l’avoir découvert un peu avant le public.
J’avais déjà parlé de MATW lors de la sortie Through The Looking Glass, EP qui m’avait énormément plu.
L’effet de ce nouvel opus est similaire : on est secoué dans tous les sens, et ne te fie pas à la douceur du premier titre, parce que tu vas vite ensuite te retrouver dans un immense volcan en éruption. De la lave en fusion parsemée de petits îlots où tu auras un peu de répit comme "November Pain".
Ils ont fait de cet EP en quelque sorte la suite du précédent EP jusqu’à entretenir la continuité dans la pochette et je trouve ça génial. Peut-être parce qu’à l’origine les titres devaient se retrouver sur un seul et même album ?
Musicalement c’est rock, puissant, fédérateur et gonflera ta petite poitrine avec une furieuse envie de chanter et de balancer ta tête d’avant en arrière. On entend des riffs à la Iron Maiden, sur "Hang Black" par exemple. On y retrouve Fall Out Boy ou Avenged Sevenfold. Tu l’as compris c’est du, pardon d’avance, putain de bon rock’n’roll.
Et je ne sais pas s’ils sont contre le monde entier (oui, je dois le rappeler, leur nom est l’acronyme de Me Against The World) mais ce qui est sûr, c’est que le monde entier ne les déteste pas et en redemande. Ne serait-ce que pour le titre "Hang Black" où apparaît Chloé Niziolek, également à l’origine de leur superbe pochette.
Tu l’as compris, ils ne font pas dans la dentelle (quoique) et envoient des décibels. Idéal pour attaquer la rentrée avec un sourire aux lèvres !
# 06 octobre 2024 : Sur un malentendu ca peut marcher
Beaucoup de choses à découvrir encore cette semaine en attendant la MAG#91 vendredi. Du théâtre, du cinéma, de la lecture et de la musique au programme, et toujours le replay de la MAG#90...Pensez aussi à nous suivre sur nos réseaux sociaux.