Pièce écrite par Alain Sachs et Annabelle Sodi-Thibault, mise en scène par Alain Sachs avec Annabelle Sodi-Thibault, Alice Buro, Morgane Touzalin-Macabiau, Anne Herrscher.
Dans un décor de vieux bistrot parisien alors que le pianiste joue, entrent trois femmes d'horizons complètement différents : une infirmière, une policière et une religieuse. C'est la musique qui les réunira. Ensemble, avec l'aide du pianiste enthousiaste, elles entonnent des tubes légendaires. Une façon de se raconter leurs vies.
Les trois femmes, flanquées de leur pianiste facétieux, décident de s'allier et de tenter leur chance dans la chanson. Elles se lancent alors à la conquête de la scène en participant aux émissions les plus populaires de la télévision pour faire connaître leur talent.
Après le triomphe de "Et Dieu créa le swing !", les Swing Cockt'Elles reviennent avec "Et la lumière fût !", leur nouveau spectacle. Encore une fois, le quartet revisite, avec de belles harmonies et un grisant entrain, des titres qu'on connaît forcément. Et l'on suit avec plaisir ces trois femmes dans leur quête de liberté.
La mise en scène virevoltante d'Alain Sachs, toujours au manettes après le précédent opus, parsème d'humour et d'un petit grain de folie cette fête de la musique et de la voix sous la direction musicale émérite d'Annabelle Sodi-Thibault.
Alice Buro (pêchue et piquante), Anne Herrscher (à la voix cristalline et touchante) et Morgane Touzalin-Macabiau (irrésistible, émouvante et drôle, un vrai rayon de soleil) forment un trio homogène qui partage la même faculté pour chanter dans toutes les langues avec accompagnement ou a cappella des airs intemporels.
Soutenues par Djahiz Gil, étincelant et talentueux, présent en permanence aux instruments (piano, accordéon, percussion), au chant ou au jeu, les trois belles proposent un formidable voyage en chanson, conclu par un medley spécial Paris tout à fait de circonstance, dont on sort ragaillardis.
Une joyeuse et jubilatoire fantaisie pour réchauffer les coeurs !
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