Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Festival International de Benicassim 2006 (samedi)
The Organ - Calla - Morrissey - Vénus - Jay-Jay Johanson - Lou Barlow - Mojave 3 - Soulwax - Justice - The Kooks - Nada Surf - Luke Pritchard - Rufus Wainwright - Franz Ferdinand - Ponihoax - Morning runner  (Espagne)  22 juillet 2006

Relativement gentils jusqu'à maintenant, les concerts du FIB reprennent ce samedi, et on entend ça et là le public espérer de meilleurs concerts ce soir. En avoir pour son argent, se prendre une bonne grosse claque au niveau du tympan. On comprend.

On se dirige vers la scène Fiberfib.com pour assister au concert de The Organ, cinq filles dans le vent canadien dont la notoriété grandissante nous incite à transpirer pour elles.

Fin d'après midi, aucun nuage dans le ciel, The Organ débute son show minimaliste emporté par sa chanteuse Katie Sketch, et autant dire que l'émotion ne filtre pas trop sur leurs visages. Comme si Joy Division rencontrait Ladytron.

L'ambiance tarde à monter, on s'ennuie un peu devant les comptines désabusées des canadiennes, qui récite pas coeur le contenu de Grab that gun, leur dernier album. Un choeur à trois sur "Brother" achève le concert qu'on se demande encore quel en était le moment fort. Peut-être la fin. La musique de The Organ se prête sûrement mieux aux lieux intimistes et impénétrables.

Autre groupe sous les feux de l'actualité, Calla et son Collisions, sorti voila quelques mois.

Calla qui fait quelques remous dans le rock indé avec un album de très bonne facture, et qui joue ce soir sur la même scène que The Organ. D'emblée le set électrique des New-Yorkais embrase la foule un peu endormie par le live précédent.

Le groupe misant sur la simplicité de titres comme "Play dead" ou "So far so what" pour dynamiser son set. Guitare empoignée solidement, batterie sèche, le set de Calla séduit le public ignorant jusqu'alors l'existence du groupe, qui reprend l'espace de quelques minutes "Stranglers" ou "Don't hold your breath" , issus de leur disque antérieur Televised.

Dur de résumer un concert rongé jusqu'à l'os, dur et nerveux.

La bande à Calla s'en sort avec les honneurs et devra être revu encore et encore pour en apprécier la teneur rock. Le public ayant déserté le concert à l'arrivée de Morrissey sur la scène principale, regard triste du chanteur, dura lex, sed lex...

Grosse sensation. Morrissey ouvre le bal ce soir sur l'Escenario Verde. L'ancien leader des Smith dispose encore d'une aura capable de déplacer des foules sur son nom. Et continue sa carrière solo, avec Ringleader of the tormentors.

Morrissey arrive sur scène, chemise jaune, le reste du groupe étant paré d'un tee-shirt playboy rouge (un hommage au drapeau espagnol?).

Occupant le devant de la scène, le reste du groupe est relégué à l'arrière plan, l'orgueil de l'anglais sans doute ! La star est Morrissey et personne ne doit lui faire de l'ombre.

Un style grandiloquent, de la prétention, Morrissey apparaît sûr de lui et de son aura, de son charisme. C'est un vieux standard des Smith, "Panic", qui sert d'ouverture. D'autres titres des Smith suivront, "Still ill" ou "Girlfriend in a coma". La suite est piochée essentiellement dans ses deux derniers albums You are the Quarry et le récent Ringleader of the tormentors, tels "You have killed me" son single ou "Youngest was the most loved" . "I ‘ll never be anybody's hero here", tiré de son dernier album, est l'occasion d'un hommage à feu Syd Barret. Morrissey s'amuse à décrire des figures avec le fil du micro

Toujours classieux, Morrissey retire sa chemise, se frotte énergiquement son corps avec puis avant un détour par son entrejambe e la lance dans le public. Tel un vieux crooner, Morrissey fait le beau et en fait des tonnes, et fait exploser le public sur "Irish Blood /English heart" .

L'Angleterre dans toute sa splendeur, sa décadence, son rock sensible. Il fallait sûrement être fan pour apprécier ...mais Morrissey reste une bête de scène.

Premiers frissons du samedi. L'arrivée de Vénus sur scène, à la tombée de la nuit. Vampires belges en costumes, beautés extrêmes, première classe pour un public venu en nombre apprécier la force tranquille du groupe, accompagné ce soir de l'ensemble Un-pop Classik.

Une façon d'appréhender Vénus différemment. Frisson qui commence à l'entrée du chanteur Marc Huygens, tout en débardeur musclé, beau comme un diable.

C'est d'abord The red room qui est passé au crible par Vénus, ce dernier album blues-rock de très bonne facture.

Groupe soudé, foule silencieuse pleine de respect. Les trentenaires assurent le live, et reprennent en choeur sans doute leur chanson la plus connue, "Beautiful Day", issue de Vertigone, dans une version épurée. Plus rock en somme, avant d'enchaîner sur un "Mother's voice" beau comme un chanteur belge.

Et, surprise, de reprendre "Amsterdam" de Brel dans la langue de Shakespeare. D'autres ont déjà repris Amsterdam, certes, mais l'émotion ce soir est réelle, en dépit des trous de mémoire de Marc, vite rattrapés cela dit. On aurait aimé les voir sur la scène principale, devant 40 000 personnes dans un silence monacal. Les belges conservent leur aura et leur intégrité.

Beau concert qui se solde par un accident, Marc Huygens cassant l'une des cymbales lui servant de tambourin, continuant malgré tout sur sa lancée, possédée, achevant son concert de bien belle manière.

Comme à l'accoutumée, Jay-Jay Johanson revient au FIB comme le messie en Espagne.

On peine à comprendre la relation d'amour entre le public espagnol et le crooner suédois. Forcément, standing ovation et applaudissements avant même que Jay-Jay ait prononcé le moindre mot. On connaît la chanson. Jay est là ce soir pour défendre Rush, étonnant album centré sur les 80' et les productions Daft Punk période Discovery.

Subtil mélange de pop acidulé et de techno bidouillée, les chansons de Jay-Jay, "Because of you" ou "On the radio" passent bien mieux en live que sur disque. Et la foule de proclamer son amour à Jay Jay qui en redemande, qui a trouvé un jeu très rigolo. Faire le tour de la scène par les backstage, et réapparaître de l'autre coté pour réclamer...Des bisous. A la limite de la dépendance.

La pop électronique de Jay-Jay fait malgré tout mouche, et revisite forcément les classiques comme "I'm older now" ou "Tell the girls I'm back in town". Grosse sensation sur "Believe in us", peut-être la plus connue des chansons de Jay-Jay, interrompue en plein milieu par le public, fou de joie, ivre de bonheur. Jay-Jay, aux anges, ne peut qu'acquiescer. Un rare moment de partage entre un artiste et son public.

A deux pas de là, Lou Barlow rencontre moins de succès avec sa formule solo.

Lui, qui était passé l'année dernière sur la scène principale avec Dinosaur Jr, passe ce soir sur une scène confidentielle pour défendre Emoh, son opus solo.

Devant un public forcément moins fourni que pour Dinosaur Jr. Logique et prévisible, les chansons folks intimistes de Lou se défendent seul à la guitare ou au clavier.

Episodique. Le lieu est mal choisi.

Beaucoup de spectateurs apres le show de Morrissey ont préféré aller onduler leur corps sur des rythmes électros. Les autres (les plus fatigués, les plus mélomanes …?) on choisit d'attendre Mojave 3.

Neil Halstead et son acolyte Rachel Goswell envahissent la scène principale avec leur groupe, déjà passé au FIB en 2000. Leur folk a depuis fait des petits, les voila propulsés tête d'affiche. Et leur bluegrass, rock sudiste, country Nashville, peu importe semble calmer l'audience.

Il ne manque plus que de la pedal steel à Halstead, pour faire rentrer ce concert dans une autre dimension. Puzzle like you fraichement sorti dans les bacs, le groupe assume la tranquilité en ouvrant les hostilités avec "Starlight no1", avant de poursuivre sur "Truck Driving man", histoire country forcément, avant de faire reprendre au public "Give what you take", avec sa mélodie simple et intimiste.

Les secondes défilent, les minutes s'égrènent et tout le monde a conscience du fait que Mojave 3 est une plage de détente dans la turpitude rock du festival. "Breaking the ice" débute, le public suit, et Neil semble heureux d'être là ce soir, sur cette grande scène, tous ces yeux rivés sur Mojave. "Bluebird of happiness" démarre dans une atmosphère candide et naive, comparable à un Pet Sounds country, avec bottes en croco' en sus.

Moment savoureux pour ce groupe de rock tendance shoegaze.

Direction maintenant la tente de Fiberfib. Très attendus par les festivaliers, ce soir c'est Soulwax featuring Justice bref que du beau monde. C'est Justice qui démarre le set.

Le duo parisien, Xavier et Gaspard, formé en 2003 surfe sur la vague rock électro et a déjà collaboré avec les plus grand comme Daft punk, Fatboy Slim, Franz Ferdinand et oui quand même !

C'est assez incroyable, en moins de 5 minutes, Justice met définitivement la foule en folie avec des morceaux comme "NY excuse" ou encore " Waters of Nazareth " très ‘tech'.

Le style varie aussi et donne des inspirations plus tech-house type dance floor avec "We are your friends". Cette reprise du groupe rock Simian finira par exploser l'ambiance ! Et ce n'est pas les quelques brumisateurs positionnés au plafond qui vont abaisser la température.

Les 10 000 personnes présentes transpirent à moitié nues et déhanchent leurs corps vampirisé par les 120 décibels…bref du n'importe quoi comme on aime !! Après pratiquementtrois quart d'heure de mix intensif, place à Soulwax Nite version .

Le mot d'ordre est de garder la même cadence… David Dewaele et Stephen avec les membres de Justice : l'affiche est plutôt alléchante. Les plus grands fans sont ravis, des morceaux comme "Teachers" , "E T alking" ou "Another Excuses" transcendent un public au bord de l'asphyxie. Le batteur est incontestablement l'homme de la soirée, il enchaîne les morceaux avec autant d'énergie qu'au début…tout bonnement incroyable !

Inside in inside out. Verre à moitié plein à moitié vide pour The Kooks .

Encore un groupe en THE, dont la moyenne d'age ne dépasse pas vingt ans. Celui là nous vient, pour ne pas changer, d'Angleterre, Brighton exactement.

Et le groupe revendique une pop anglaise influencée de leurs illustres prédécesseurs (the Kinks, the Clash) propageant un rock teinté de son garage, groove ou bien même reggae (Police n'est pas loin). L'insouciance de son âge excusant toutes les audaces, le groupe, sans complexes, y va à l'énergie et fait bouger le public, très demandeur de Benicassim.

Comme le rock de stade binaire, qui a au moins le mérite de défouler et libérer les hormones mâles...Notamment sur "Seaside" et "See the World". Luke Pritchard, chanteur de The Kooks, semble emprunté et gauche, peu adroit dans sa manière de jouer le showman.

Ce soir la scène était peut être trop grande pour le groupe. Il faudra donc attendre encore un peu, le groupe n'a même pas un an d'existence. Pas le temps de finir le set qu'il faut s'extraire de là, prendre une bouffée d'air frais et partir du coté de Vodafone.

Là se prépare le concert de Nada Surf.

Eh oui près de dix années nous séparent désormais du tube "Popular". Entre temps deux albums ont fait leur apparition, Let go en 2003 et The weight is a gift en 2005. Un concert qui plonge un public dans un mix des morceaux les plus connus tel que "Popular" justement, puis "There is a light that never goes" out ou bien "Always love" tiré du dernier album.

Autant dire qu'avec les années le groupe s'est rapproché d'un style plus popiste avec des allures romantique sur fond de positivisme…rien que ça ! Il faut croire qu'avec l'âge on s'adoucit !

L'émotion est palpable sur la scène Motorola, puisqu'un autre crooner décadent rentre en scène. Plus jeune que Morrissey, Rufus Wainwright reste l'une des attractions majeures du festival.

Chapiteau plein à craquer, à vomir son admiration du canadien. Seul sur scène, au piano, pour débuter un concert mémorable en forme de visite de son propre répertoire. Ce garçon fait penser à Jeff Buckley. Touché par la grâce, voix d'ange, impression de facilité déconcertante.

Ce garçon a 33 ans ce soir, clin d'oeil christique.

Et le concert débute par un "Grey Gardens" suivi d'un "Makers make", frissons sur la peau devant la voix sortie d'un autre monde. Puis "11.11", qui prend son envol. No comment.

Pour l'occasion, sa soeur Lucy le rejoint sur scène, histoire de lui offrir un gâteau d'anniversaire de rigueur. Et le public d'entamer un "Happy birthday to you" de circonstance. Emotion sincère. Peut être le concert du festival. Lucy et Rufus embrayent sur une poignée de chansons country, Rufus à la guitare acoustique. Et puis vient la reprise tant attendue, celle d'"Hallelujah", entendue par les plus jeunes sur la BO de "Shrek". Les plus vieux pensent à Leonard Cohen, ou Buckley.

C'est la grâce qui parle à travers Rufus, le concert dure et dure encore. "Il fait tellement chaud que j'ai envie de me déshabiller totalement" déclare Rufus. On veut bien le croire. Vient le moment du clin d'oeil au film "Moulin Rouge" avec la reprise en français de "La butte Montmartre". Autre clin d'oeil.

Dix minutes se passent, Wainwright revient sur scène et entame "Gay messiah" et "Cigarettes & Chocolate". Le public en a pour son argent, se dit-on ce soir, cela valait bien la peine de transpirer et de se mettre sur la pointe des pieds pour admirer le spectacle.

Aussitôt l'émotion du moment estompé, direction Escenario Verde pour une grande affiche, on veut bien sur parler de Franz Ferdinand.

On pensait avoir fait le plein avec the Strokes la veille et bien là c'est sold-out ! Une vraie marée humaine s'est littéralement amassée pour assister au concert des écossais, mieux valait ne pas arriver en retard...

Les Franz ne sont pas au complet ce soir et ont du faire face à un petit remaniement.

En effet le batteur du groupe Paul thompson est absent : il vient d'être papa ! Du coup Andy Knowles le remplace et c'est Scott Paterson des Sons & Daughters (autre groupe écossais) qui prend la guitare. Outre ce jeu de chaise musicale, les Franz Ferdinand nous préparent LE concert du FIB…

"Do you want", "Take me out" ou "Darts of pleasure" revisitent leurs influences des années 80' à la sauce 2000. Un mélange qui donne vraiment du sens à leur énorme succès du moment. Au début du morceau "Walk Away" Alex tient à le dédicacer à sa sœur…pour le public c'est un vrai moment d'émotion…Il y a vraiment une communion avec le public et on peut apprécier le live non formaté des écossais.

Un concert qui a largement répondu à notre attente…merci les Franz'

Dernière sensation française encensée par la presse ça et là, les parisiens de Ponihoax entrent en scène à 2 h 00 du matin.

La concurrence fait rage avec la présence sur la scène principale de Franz Ferdinand . Peu importe, le combo n'en a cure, quitte à retarder volontairement le début du live pour "récupérer" le public des anglais.

Ponihoax est impressionnant, vraiment, avec son rock-electro foutraque, débordant de claviers et deb beats pas mous. La fosse se remplit peu à peu, le chanteur de Poni enchaîne bières et cigarettes, l'ambiance se détend et l'un des deux tubes évidents, "Budapest", est joué par le groupe.

Budapest, c'est la rencontre de l'électro et de la pop, ses violons joués au synthé, sa batterie se cassant comme un navire sur les récifs. C'est beau, ça marche, le public étranger découvre le groupe en se demandant d'où ils viennent, où ils vont.

Et puis "She's on the radio", deuxième single hyper-puissant, débute. Et là, c'est le coup de massue pour l'audience. Cette histoire de nana passant sur les ondes radio achève de convaincre. Ponihoax est un groupe au futur tout tracé, en dépit des errances de son chanteur, qui boit, qui fume, qui vocifère, qui titube.

C'est le rock & roll qui gagne, quoi qu'il en soit. Vivement le retour à Paris pour les revoir encore et encore.

Sympathique petit groupe qui a la tâche de fermer l'Escenario Verde, Morning runner ne marquera pas les esprits. Après Franz Ferdinand, le public s'est retourné dans ses chaumières, ou parti sous les tentes electro.

Le public d'irréductibles restant est soit trop alcoolisé pour pouvoir se mouvoir soit réellement intéressé par ce jeune groupe qui vient de sortir son premier album Wilderness in paradise now .

Le quartet de Reading distille un rock easy-listening, tendance Ryan Adams. Très content d'être la malgré l'heure tardive, Morning Runner offre ses mélodies dans la nuit encore chaude et moite du festival, en évoquant la pop millimétrée de Starsailor ou Coldplay sur des titres comme "Have a good time", "The great escape" ou "Burning benches" .

Le chanteur, Matthew Greener, avoue "passer la meilleure nuit de sa vie". Ah... Le flegme et l'ironie anglaise...

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Grab that gun de The Organ
La chronique de l'album The Organ King de F.M.
The Organ en concert au Festival La Route du Rock 2005 (samedi)
The Organ en concert à L'Antipode (5 novembre 2005)
The Organ en concert au Festival Les femmes s'en mêlent 2006
La conférence de presse de The Organ (13 août 2005)
La chronique de l'album Collisions de Calla
La chronique de l'album Strength In Numbers de Calla
Calla en concert au Nouveau Casino (15 février 2006)
L'interview de Calla (février 2006)
Une 2ème interview de Calla (février 2006)
La chronique de l'album You are the Quarry de Morrissey
La chronique de l'album Live at Earls Court - Who put the M in Manchester ? de Morrissey
La chronique de l'album Ringleader of the tormentors de Morrissey
Morrissey parmi une sélection de singles (juin 2006)
La chronique de l'album Tomorrow will be beautiful de Flo Morrissey
Morrissey en concert à La mutualité (28 octobre 2002)
Morrissey en concert au Festival Les Eurockéennes 2006 (samedi)
Morrissey en concert au Festival International Benicàssim 2008
Morrissey en concert au Festival International Benicàssim 2008 - 2ème
Morrissey en concert au Zénith (vendredi 13 novembre 2009)
Morrissey en concert au Grand Rex (27 octobre 2014)
La chronique de l'album A single room de Venus del Rocco
La chronique de l'album Le meurtre de Vénus des Shades
Une 2ème chronique de l'album Le meurtre de Vénus des Shades
La chronique de l'album Venus Gets Even de Nadéah
La chronique de l'album Venus Parade & More Songs Beyond Love de A Singer Must Die
La chronique de l'album Jean-Baptiste Lully : Ballet royal de la Naissance de Vénus des Talens Lyriques
La chronique de l'album The Venus Ballroom de Dead Chic
Vénus dans la rubrique Ni Vus Ni Connus
Vénus dans la rubrique Ni Vus Ni Connus
La chronique de l'album Relapse de Venus Worship
Vénus en concert au Festival des Inrockuptibles Nokia 2003
Vénus en concert au Festival Art Rock 2006 (Dimanche)
Vénus en concert au Festival FNAC Indétendances 2006
Vénus en concert au Festival International de Benicàssim #18 (samedi 14 juillet 2012)
Vénus en concert à Pzzle Festival #3 (édition 2017)
L'interview de Vénus (octobre 2003)
La chronique de l'album Rush de Jay-Jay Johanson
La chronique de l'album The long term physical effects are not yet known de Jay-Jay Johanson
La chronique de l'album Self Portrait de Jay-Jay Johanson
La chronique de l'album Spellbound de Jay-Jay Johanson
La chronique de l'album Cockroach de Jay-Jay Johanson
La chronique de l'album Opium de Jay-Jay Johanson
La chronique de l'album Sélection singles & EP de Bantam Lyons - Clara Néville - Jay-Jay Johanson - Nadéah - Matt Low - OMOH - Zebra - Perez
La chronique de l'album Bury the hatchet de Jay-Jay Johanson
La chronique de l'album Kings Cross de Jay-Jay Johanson
La chronique de l'album Rorschach Test de Jay-Jay Johanson
Jay-Jay Johanson en concert au Bataclan (22 novembre 2005)
Jay-Jay Johanson en concert à L'Aéronef (jeudi 17 novembre 2011)
Jay-Jay Johanson en concert au Festival MaMA 2015 (6ème édition)
L'interview de Jay-Jay Johanson (30 août 2005)
L'interview de Jay-Jay Johanson (mardi 31 mai 2011)
L'interview de Jay-Jay Johanson (décembre 2013)
L'interview de Jay-Jay Johanson (lundi 22 juin 2015 )
L'interview de Jay-Jay Johanson (jeudi 30 mars 2017)
L'interview de Jay-Jay Johanson (mercredi 20 mars 2019)
La chronique de l'album Mirror the eye de Lou Barlow as Sentridoh
La chronique de l'album Goodnight Unknown de Lou Barlow
La chronique de l'album Brace The Wave de Lou Barlow
La chronique de l'album Spoon and Rafter de Mojave 3
La chronique de l'album Puzzles like you de Mojave 3
Mojave 3 en concert au Festival La Route du Rock 2004 (dimanche)
L'interview de Mojave 3 (14 novembre 2003)
La conférence de presse de Mojave 3 (août 2004)
La chronique de l'album Part Of The Weekend Never Dies de Radio Soulwax
La chronique de l'album Essential de Soulwax
Soulwax en concert au Festival des Eurockéennes 2017 - Jeudi 6 juillet
Soulwax en concert au Festival Beauregard #10 (édition 2018) - Samedi 7 juillet
Soulwax en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2018 - Jeudi 19
Justice parmi une sélection de singles (décembre 2007)
Justice parmi une sélection de singles (mai 2008)
Justice en concert au Festival La Route du Rock 2007 (mercredi)
Justice en concert au Festival La Route du Rock 2007 (jeudi)
Justice en concert au Festival des Inrocks Motorola 2007
Justice en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2008 (Samedi)
Justice en concert à Main Square Festival 2012 - Programmation
Justice en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2012
Justice en concert à Main Square Festival 2012 - Vendredi
Justice en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2012 - samedi
Justice en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2012 - samedi & dimanche
Justice en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2017 - du vendredi au dimanche
La conférence de presse de Justice (15 août 2007)
L'interview de Justice (octobre 2007)
La chronique de l'album Inside in, inside out de The Kooks
Articles : Festival Rock en Seine 2010 - Programmation du vendredi - Minus The Bear - All Time Low - Roken is Dodelijk - Band of
The Kooks en concert à La Maroquinerie (15 décembre 2005)
The Kooks en concert au Festival Les Inrocks 2006
The Kooks en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2008 (Mercredi)
The Kooks en concert à EMI ( 6 mai 2008)
The Kooks en concert au Festival des Inrocks iDTGV 2008
The Kooks en concert au Festival Pukkelpop 2010 (jeudi 19 août 2010)
The Kooks en concert au Festival Rock en Seine 2010 (vendredi 27 août 2010)
The Kooks en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #24 (2012) - vendredi
The Kooks en concert au Festival BIME Live! 2014 (édition #2) - samedi 1er novembre
La chronique de l'album Let Go de Nada Surf
La chronique de l'album Live in Brussels de Nada Surf
La chronique de l'album The Weight Is A Gift de Nada Surf
La chronique de l'album If I Had a Hi-Fi de Nada Surf
Nada Surf en concert à l'Elysée Montmartre (20 novembre 2005)
Nada Surf en concert au Festival Art Rock #25 (2008)
Nada Surf en concert au Festival International Benicàssim 2008
Nada Surf en concert au Festival International Benicàssim 2008 - 2ème
Nada Surf en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2010 (jeudi 15)
Nada Surf en concert au Festival FNAC Indétendances 2010 (samedi 31 juillet 2010)
Rufus Wainwright en concert à La Cité de la Musique (16 juin 2009)
La chronique de l'album eponyme de Franz Ferdinand
La chronique de l'album You Could Have It So Much Better de Franz Ferdinand
La chronique de l'album Tonight : de Franz Ferdinand
La chronique de l'album Always Ascending de Franz Ferdinand
Franz Ferdinand en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2004
Franz Ferdinand en concert au Festival La Route du Rock 2006 (dimanche)
Franz Ferdinand en concert au Festival des Inrocks iDTGV 2008
Franz Ferdinand en concert à L'Aéronef (16 mars 2009)
Franz Ferdinand en concert à l'Olympia (17 mars 2009)
Franz Ferdinand en concert à Paléo Festival #34 (2009)
Franz Ferdinand en concert au Festival Garden Nef Party #4 (2009)
Franz Ferdinand en concert au Festival International Benicàssim #15 (2009)
Franz Ferdinand en concert au Festival International Benicàssim #15 (2009) - 2ème
Franz Ferdinand en concert au Festival Beauregard #4 (édition 2012) - Dimanche
Franz Ferdinand en concert au Festival Rock en Seine 2013 (vendredi 23 août 2013)
Franz Ferdinand en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #26 (édition 2014) - Samedi
Franz Ferdinand en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2014 - Vendredi
Franz Ferdinand en concert au Festival Cabaret Vert #13 (édition 2017) - Samedi 26 août
Franz Ferdinand en concert à Music Festival Reims La Magnifique Society #3 (édition 2019)
Franz Ferdinand en concert à Music Festival Reims La Magnifique Society #3 (édition 2019) Vendredi 14 juin
La vidéo de DVD par Franz Ferdinand
La conférence de presse de Franz Ferdinand (24 avril 2004)

En savoir plus :

Le site officiel de The Organ
Le site officiel de Calla
Le site officiel de Morrissey
Le site officiel de Vénus
Le site officiel de Jay Jay Johanson
Le site officiel de Lou Barlow
Le site officiel de Mojave 3

Le site officiel de Soulwax
Le site officiel de The Kooks
Le site officiel de Nada Surf
Le site officiel de Rufus Wainwright
Le site officiel de Franz Ferdinand
Le site officiel de Ponihoax

Crédits photos : Little Tom sauf Justice (Nathalie Paco), Morrissey (Oscar Tejeda) et Franz Ferdinand (François Ollivier)

Collaboration rédactionnelle de Christian Frattini


Little Tom         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :

• A écouter aussi sur Froggy's Delight :

Jay-Jay Johanson (22 juin 2015)
Jay Jay Johanson (31 mai 2011)


# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=