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Interview  (Paris)  27 octobre 2007

Caroline Darnay, comédienne, metteur en scène, auteur dramatique, enchaîne les projets avec passion dont les plus récents "Le demi- Monde" qui s’est joué en 2006 au Théâtre du Renard et qui se joue désormais en tournée et le petit dernier, "Basile", créé en 2007 et actuellement à l’affiche du Petit Gymnase.

Dans "Basile", comédie dramatique de cape et d’épée, qui mêle amour, gloire et complot, elle incarne une superbe duchesse de Chatillon, belle, noble et intelligente aux prises avec le fougueux Basile Fouquet.

Rencontre avec une jeune femme belle, intelligente et talentueuse.

Quels sont les jalons de votre métier de comédienne, metteur en scène et auteur dramatique, depuis la découverte de la passion du théâtre au spectacle "Basile", dont vous êtes l’auteur et l’interprète, actuellement à l’affiche du Petit Gymnase ?

Caroline Darnay : J’ai commencé très jeune, enfant, dans le cirque et la prestidigitation, puis à l’adolescence j’ai tourné pour la télévision et le cinéma. Je faisais un peu de théâtre également mais j’ai essentiellement une formation de danseuse et la grande passion de ma vie c’est la danse. La danse était donc mon métier et j’ai travaillé en France puis aux Etats-Unis jusqu'à ce qu’un accident au genou m’empêche de continuer. J’ai traversé une période d’incertitude car je me demandais si je pouvais continuer de faire de la scène, ce que j’avais fait toute ma vie et où je me sentais le mieux, alors que je ne pouvais plus y exercer ma passion.

J’ai envisagé de revenir au théâtre et m’y consacrer mais je souhaitais acquérir une solide formation en trouvant un cours et une façon de travailler qui susciterait une passion analogue à celle que j’éprouvais avec la danse. Et j’ai travaillé sur un Shakespeare avec un metteur en scène qui était un ancien élève de Jean-Laurent Cochet et qui m’a conseillé son cours comme étant celui qui se rapprochait le plus, en terme de travail et d’exigence, de ce ceux qui existent en danse ou en musique car il offrait une grosse base technique. Car être comédien n’est pas un métier qu’on pratique par hasard mais qui nécessite du travail. J’ai donc intégré le cours de Jean-Laurent Cochet en 2000.

Pour le premier cours, je me suis assise au fond et j’ai pleuré pendant trois heures car c’était exactement ce que j'avais besoin d’entendre et ce que je voulais faire. Cette exigence et cette rigueur de travail me convenaient car je m’y retrouvais. J’y ai aussi trouvé une famille dans ce cours avec Rémy Préchac qui est le metteur en scène de "Basile", avec Damien Boisseau qui joue avec moi, et tous les comédiens qui jouaient dans "Le demi-monde".

"Le demi-monde", une pièce de Dumas qui se situait dans le registre du théâtre en costumes. Basile également même s’ils se situent à des époques historiques différentes. S’agit-il de simples coïncidences ou d’un choix délibéré de registre ?

Caroline Darnay : Ce n’est pas un choix délibéré de registre, définitivement non. "Le demi-monde" résulte d’un coup de cœur inopiné qui résulte de la lecture de cette pièce qu’un ami m’avait donnée à lire pour voir ce que j’en pensais alors que je travaillais sur la mise en scène de "L’heureux stratagème" de Marivaux et qui faisait suite à une mise en scène de "La répétition" d’Anouilh. Cela se passait lors des dernières dates du Marivaux et on me demandait quel serait mon prochain projet alors que j’avais envie de faire une pause et de n’être que comédienne.

J’ai lu cette pièce en une nuit et il est vrai qu’à chaque fois qu’on me demandait me projets je répondais que "Le demi-monde" était ma seule envie du moment mais que cette pièce n'avait pas été montée depuis 60 ans, qu’il s’agissait d’un projet assez compliqué et que le thème n’était pas vraiment d’actualité. Mon entourage m’a poussé à monter ce projet en insistant pour connaître la date du début des répétitions. Et il se trouve que j’ai eu la possibilité de le faire et j’ai foncé tête baissée. Nous reprendrons d’ailleurs ce spectacle en 2008 à Neuilly et cela fait donc quatre années que nous le jouons régulièrement.

Et ce qui est amusant c’est que nous avons joué cette pièce en banlieue face à des jeunes qui n’étaient jamais allés au théâtre et ils nous ont écouté avec une attention comme nous en avons rarement eue. Les professeurs nous ont même fait part de leur étonnement car ils ne les avaient jamais vus passionnés de telle manière. Cette pièce, qui traite d’un univers qui n’est manifestement pas le leur, a été très bien reçue et le côté théâtre en costumes, de manière un peu sacralisé, a été perçu par eux comme une marque de respect.

Cela étant le théâtre en costumes n’est pas une fin en soi puisqu’en l’occurrence la pièce traite d’une histoire d’amour et de la vie d’une femme qui essaie de sortir de sa condition face à des hommes qui veulent l’y maintenir ce qui est un thème qui trouve un écho aujourd’hui.

"Le demi-monde" est donc toujours d’actualité ?

Caroline Darnay : Oui, tout à fait, nous le reprenons régulièrement et qui trouve un public très étendu ce qui constitue un énorme plaisir pour moi car si l’on trouve que c’est démodé de jouer costumes, c’est tout aussi démodé de monter des spectacle sen costumes de chantier ou en tenue hawaïenne. Je suis tout à fait dans la modernité mais il ne faut pas en faire une donnée artificielle et la chercher là où elle n’est pas.

Vous êtes également à l’origine du spectacle "Basile" dont vous êtes l’auteur et l’interprète. Monter des projets et les porter avec les difficultés supposées que cela implique est une formule que vous affectionnez ?

Caroline Darnay : Ce n’est pas une vocation mais c’est la seule solution pour faire des choses que j’ai très envie de faire et que personne ne me propose. Il est clair que j’aurai pu attendre longtemps que l’on me propose de jouer "Le demi-monde".

Et il se trouve que j’ai la possibilité de le faire avec des insomnies, des angoisses terribles, de ulcères à l’estomac, des pertes de kilos phénoménales avant chaque première. C’est toujours une bataille car ce n’est pas facile.

Pour "Basile", vous êtes également l’auteur. Comment et pourquoi ce choix écrire une pièce historique qui se situe au 17ème siècle ?

Caroline Darnay : A l’origine, il y a un pari un peu idiot. J’ai déjà écrit un texte sur la guerre de cent ans, qui n’est pas encor finalisé, et j’ai d’autres projets d’écriture de textes contemporains notamment de scénario de film. Le pari consistait à se demander dans quelle période de l’histoire nous aurions aimé vivre comme par exemple pour voir le vrai visage de Jeanne d’Arc ou la rencontre de César et Cléopatre, etc. Comme j’aime les fêtes et les feux d’artifice, Mon choix s’est porté sur cette prestigieuse fête de Vaux le Vicomte avec le buffet mirobolant de Vatel sur un feu d’artifice fabuleux de Torelli qui avait confectionné tous les décors, Molière créait "Les fâcheux" avec Madeleine Béjart, avec l’architecture de Le Vau, les peintures de Le Brun.

Cette fête a réuni tous les talents et tous les plus beaux esprits du moment et a constitué une des plus belles fêtes du siècle. Et j’ai commencé à travailler sur un projet qui se passait en temps réel pendant cette fête qui concrétisait l’ascension de Louis XIV et la chute de Fouquet. Celtet phase d'écriture se déroulait pendant les représentations de "Le demi-monde" et un des comédiens de la distribution, Aurélien Legrand m’a suggéré d'écrire une pièce avec une distribution plus légère. Ce que j’ai fait et et j’ai donc extrait deux personnes, Basile Fouquet et la duchesse de Chatillon pour présenter l’histoire à travers leurs yeux.

Ce qui était amusant est qu’Aurélien est le portrait craché de Basile, un homme châtain, au teint clair et yeux bleus et qui me ressemble aussi physiquement. Donc il paraissait amusant qu’il joue ce personnage ce qui donnait une certaine harmonie. Finalement il n’a pas pu le faire et je l’ai proposé à Damien Boisseau qui apporte à ce personnage une fougue particulière. Nous avons, en quelque sorte, rétablit la ressemblance par inversion puisque la duchesse de Chatillon était très brune aux yeux noirs et Basile blond aux yeux bleus.

Quel est l’avenir de cette pièce que vous jouez une fois par semaine le dimanche au Petit Gymnase Basile ?

Caroline Darnay : La pièce a été créée il y a un peu moins d’un an à Paris et nous l’avons présenté à Avignon cette année. Nous jouons au Petit Gymnase jusqu’au 23 décembre 2007. Nous avons déjà des dates de tournée pour 2008 mais nous cherchons une programmation plus conséquente pour le printemps 2008. Cela étant les choses se déroulent selon un rythme relativement rapide par rapport par exemple au demi-monde qui a mis plus longtemps à démarrer mais que nous jouons encore.

La conception scénique de Basile est très originale puisque l’histoire est racontée de manière chronologique et cinématographique avec la projection d’images filmées qui assurent les transitions mais aussi relate tout ce qui précède et introduit ce qui va ensuite se jouer sur scène. Qui est à l’origine de ce "montage" ?

Caroline Darnay : C’est une idée de Rémy Préchac qui avait déjà mêlé le théâtre et le cinéma pour son spectacle "Lucienne et les garçons" pour lequel il a reçu un Molière 2006. Et le réalisateur du film, Alexandre de Seguins, est le même. Rémy et moi venons tous deux de la danse avec une formation de danse, de comédie musicale et de spectacles très visuels et nous partageons le même imaginaire car nous avons grandi avec les mêmes romans de Dumas, des familles qui aiment l’histoire, ce qui nous a amenés à nous construire une culture par goût et non par intérêt.

Il a été tout de suite emballé par "Basile" et, bien qu’ayant pensé en assuré la mise en scène, je lui ai laissé ce soin d’autant que j’avais vraiment envie, après trois projets successifs de mise en scène, d’être comédienne et d’être dirigée par une metteur en scène. Je pense que cette idée de la vidéo filmée lui est venue assez rapidement et il ne s’agit pas d’un artifice moderniste mais d’un soutien narratif au service de la pièce. Ce qui introduit une linéarité entre la scène et l’écran qui se répondent pour constituer une histoire globale.

Le tournage de ce film a été une aventure fabuleuse et les spectateurs sont bluffés car il y a vraiment une continuité entre le film et la scène. Ainsi Basile descend de cheval sur l’écran et entre sur scène, après les images de l’empoisonneuse qui concocte ses poisons, je suis sur scène versant le poison dans le verre de Basile. Tout cela fait voyager le spectateur et c’est aussi cela qui nous a donné envie de faire du théâtre et de raconter des histoires.

"Basile" raconte l’histoire d’une passion amoureuse entre deux personnages qui sont pétris d’ambition mais aussi qui sont de rangs différents. Basile très fougueux est fidèle, fidèle à son roi et à une femme et Madame de Chatillon est une aristocrate comploteuse.

Caroline Darnay : La différence de condition est la pierre sur laquelle se construit leur relation sachant que pour lui l’ascension est très rapide, puisqu’il était petit-fils de drapier et fils de magistrat issue de la bonne bourgeoisie bretonne mais des commerçants.

Avec son frère Nicolas Fouquet ils ont été quasiment les deux hommes les plus puissants de France puisque c’est grâce à eux que Louis XIV a accédé au trône et que Mazarin est revenu en France. Cette ascension fulgurante leur laisse croire que tout est possible et tout est neuf.

Ils n’avaient pas d’expérience d’échec et ils sont pris dans un mouvement ascensionnel alors que la vicomtesse de Chatillon n’a pas bougé depuis des siècles. Elle appartient à une des familles aristocratiques les plus élevées donc les enjeux ne sont pas identiques pour ces deux personnages.

De plus, elle a eu un très grand amour, qui est mort très jeune, le duc de Nemours qui est mort en duel probablement pour elle, qu’elle a idéalisé avec quelqu’un de son milieu. Pendant la Fronde elle avait traversé le rangs ennemis pour le rejoindre quand il était blessé et donc son amour pour Basile ne revêt pas l’aspect d’un grand amour puisqu’elle l’a déjà vécu.

Alors qu’elle représente pour Basile tout ce qu’il a toujours voulu obtenir. C’est son grand amour, même s’il a séduit d’autres femmes de la noblesse. Bussy de Rabutin, le neveu de Madame de Sévigné, qui était le meilleur ami de Basile et aussi l’amant de Madame de Chatillon, a dit qu’après leur séparation il cessa de la voir mais jamais de l’aimer. Ce qui ne fut pas son cas à elle.

Chaque scène revêt le caractère d’une confrontation.

Caroline Darnay : Oui, et il s’agit d’une réalité historique. Puisque les faits ont été rapportés par La Grande Mademoiselle et Madame de Sévigné. La pièce s’appuie et relate des faits réels. A part le troisième acte puisqu’on ne sait pas s’ils se sont vraiment retrouvés à Vaux le Vicomte. Jean Christian Petitfils qui a écrit la biographie de Fouquet sur laquelle je me suis appuyée a vu la pièce et m’a demandé quand j’écrirai le 4ème acte. Il est vrai qu’après cette fête sur laquelle se clôt la pièce, Basile et Madame de Chatillon ont vécu encore de longues années et donc ils peuvent se retrouver. Les spectateurs nous font part de cette même curiosité. Mais la chute de Fouquet marque la fin de leurs aventures donc il me paraît cohérent qu’elle marque le terme de la pièce

Finissons sur les projets.

Caroline Darnay : Bien évidemment, "Basile" est la grande priorité. Nous avons vraiment envie que ce spectacle vive sa vie car il a commencé comme une pièce à deux personnages pour déboucher sur un film avec 50 figurants, des chevaux, des châteaux …

Effectivement, il faut d’ailleurs préciser qu’il ne s’agit pas d’une vidéo amateur mais d’un véritable film court.

Caroline Darnay : Tout à fait. Nous continuons d’ailleurs, avec Rémy Préchac et Alexandre de Seguins, à développer l’histoire de Basile qui va donner lieu à un scénario. Pour ma part, j’ai des projets d’écriture en cours, dont celui sur la guerre de cent ans mais peut être mettrai-je autant de temps à l’écrire qu’a duré la guerre. Pour 2008, il y a la reprise de "Le demi monde" à Neuilly et la tournée de "Basile". Je vais également faire la mise en scène d’une pièce de Maupassant pour début 2008. Et puis mon travail de comédienne au fil des propositions que me seront faites.

 

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Crédits photos : Marie Préchac (sauf 1 DR)


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