Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce MSTRKRFT
Interview  (Clermont Ferrand)  14 novembre 2007

Rencontre avec le duo Mstrkrft, composé de Jesse et de Al-P avant leur set endiablée du 14 Novembre à la Coopérative de Mai (Clermont Ferrand). L'occasion rêvée de parler de leur musique, de leurs envies futures et de la scène électro mondiale qui cartonne en ce moment.

C'est bizarre de s'attaquer à de la musique électronique, très club finalement, après un projet comme Death From Above 1979...

Jesse : Mais on avait essayé de faire de l'électro avant. Tous les deux, on avait vraiment envie d'avoir un projet comme MSTRKRFT, alors on a décidé de le faire ensemble. Mais avant DFA 1979, j'essayais de jouer de la musique house.

MSTRKRFT s'est crée pendant la période de Death From Above 1979, non?

Jesse : Oui, c'était planifié. On voulait être plus que de simple djs, mais avoir notre propre studio d'enregistrement, produire et enregistrer d'autres groupes et artistes. D'ailleurs, notre studio d'enregistrement s'appelle MSTRKRFT aussi. Mais finalement, on n'a vraiment pas de temps pour se consacrer à autre chose qu'à notre propre groupe.

Ton expérience de producteur doit beaucoup t'aidé pour la création de ce son spécifique à MSTRKRFT Al-P, non?

Al-P :...(sourit sans dire un mot)

Je ne me trompe pas, tu étais bien producteur de Death From Above 1979?

Al-P : Non...

Jesse :En fait, il essaye de se débarasser de son passé de producteur avec DFA 1979, mais c'était bien lui (Rires)

Cette passion pour la musique électronique est venue comment?

Jesse: Je l'ai découvert avec la drum'n'bass.

Vous avez commencé avec des remixs. Les compositions, c'était une envie dès le départ ou c'est venu au fur et à mesure?

Al-P : On voulait faire notre propre morceaux, mais peut etre pas aussi vite que la manière dont ca s'est passé.

Vous qui avez fait beaucoup de remixs, vous avez l'intention d'en faire beaucoup d'autres?

Al-P : On en choisit juste quelques uns, pas énormément en fait. On essaye d'etre vraiment sélectif.

Jesse : J'aime vraiment faire des remixs. Mais c'est vraiment un gros travail, qui demande beaucoup de temps. Et puis, il y aussi le fait d'être dans l'ombre de l'artiste, tu travaille dur pour que quelqu'un d'autre gagne de l'argent. Surtout dans notre manière de remixer puisqu'on refait totalement la chanson. On leur fait complètement une nouvelle chanson et la major colle le nom de l'autre artiste dessus et empoche l'argent.

Ca doit être étrange sur scène de passer du rock, avec des instruments, à l'électro, avec des consoles et des platines. C'est vraiment différent, non? Ne serait ce que pour l'énergie sur scène...

Jesse : C'est totalement différent. Très différent sur scène, mais au niveau du public aussi. Pour un concert de rock, le public ne peut rien faire. Il ne peut que faire (il remue timidement la tete et applaudit). C'est vraiment pas génial... (Rires)

Vous allez pas me faire croire que pendant les concerts de Death From Above 1979, le public ne bougeait pas...

Jesse : Ca dépendait vraiment. Mais avant DFA 1979, j'essayais de jouer de la musique house, ça m'a toujours séduit.

En studio, ça se passe comment? Vous utilisez des instruments ou juste vos ordinateurs?

Jesse: Oui bien sur: des synthés, des guitares...

Al-P : ...mais les ordinateurs sont nécessaires.

Jesse : Mais on joue chacun plusieurs instruments. On s'est d'ailleurs rencontrés en jouant ensemble dans un groupe.

Et vous pourriez utiliser avec des instruments plus tard sur scène ?

Jesse : Pourquoi pas. Mais avant de monter sur scène avec des instruments, on veut vraiment voir ce que ca peut rendre sur scène. On veut pas que ça soit juste bien alors qu'on sait qu'on peut vraiment faire des supers Djs Sets. Je ne veux pas faire un concert en live juste pour le fait de dire qu'on joue en live. Ca serait stupide.

En général, dans ces Djs Sets, vous jouez d'autres chansons que celle de MSTRKRFT?

Jesse : C'est souvent 50/50.

Al-P : Et ca dépend du temps du concert.

Jesse : On joue la musique qu'on a crée mais aussi la musique qu'on aime. On découvre plein de groupes tous les jours.

Vous avez des coups de coeurs en ce moment?

Jesse : Oui, un groupe italien, les Bloody Beatroots, ils avaient un groupe de punk avant de faire de l'électro. On retrouve la même agressivité dans leur musique.

Vous aussi, on peut dire que votre musique a la même énergie, la même force, que le rock très musclée que vous faisiez avant...

Al-P : La musique de Jesse a toujours été...quel mot je vais utiliser pour ne pas tourner ça de manière trop stupide...agressive. Tous ces projets, au niveau du son, sont très agressifs. Et comme il compose une grande partie des morceaux de MSTRKRFT, alors on retrouve évidemment cette agressivité dans notre musique. On ne peut pas dire que notre musique soit inspiré de l'énergie et de l'agressivité de Death From Above 1979, qu'on est dans cette continuité, parce que tout vient de la même personne qui aime et crée ce son là.

Comment tu pourrais l'analyser? A ton avis, pourquoi fais tu une musique si agressive?

Al-P : C'est son coté petit coq, il s'énerve facilement. (Rires)

Jesse: Salaud! (Rires) Non, je sais pas. Pour moi la musique a toujours été comme ca. C'est un peu une forme d'excitation, une manière de se lâcher. J'aimerais faire ressentir des émotions aux gens, en quelque sorte une "bande son de la vie". Je sais pas si il y a beaucoup de moyens pour les gens de se vider de leur agressivité et la musique est un moyen de le faire.

Ce n'est pas l'agressivité de la société dans laquelle nous vivons qui vous incite à jouer et composer une musique agressive?

Jesse : Non, c'est peut être même le manque d'agressivité. Et puis dans notre monde, chacun a son espace, on se touche peu ou on n'est pas proche les uns des autres. Regarde là, je communique avec mes amis qui sont loin, les gens n'ont pas l'opportunité d'être tous ensemble, de danser tous ensemble. C'est pour ça que j'aime la musique électronique, c'est un moyen de se retrouver tous ensemble et de communiquer: et on retrouve cela uniquement dans la musique dance.

Al-P : Puis dans l'électro, nous, Djs, on ne peut pas avoir de plaisir, passer un bon moment, sans le public. C'est un tout, un ensemble.
Jesse: Notre challenge, qui n'est pas facile, c'est de réussir à communiquer et à "communier" avec le public.

Vous avez joué au Zenith avec Justice et les Klaxons il y a quelques jours. Quel effet ça fait de jouer dans une grosse salle?

Jesse : C'est vraiment fun. C'est toujours bien de jouer dans une grosse salle comme ça.

J'ai beaucoup entendu dire que le public européen était plus ouvert que le public américain...Vous trouvez aussi?

Jesse : Je crois vraiment qu'en Europe les gens sont plus ouverts pour découvrir de nouvelles choses. Peut être que ce soir, certaines personnes seront venus sans même penser danser et quand nous allons commencer, ils vont alors bouger. Alors qu'aux USA, c'est beaucoup plus dur. Quand on a commencé à jouer avec MSTRKRFT, sachant qu'en Amérique il n'y pas une grande scène qui joue une musique comme la notre, la première demi heure d'un concert, personne ne dansait, les gens du public hochaient uniquement la tête...

Comme pendant un concert de rock? (Rires)

Jesse : (Rires) Exactement! C'est venu petit à petit les gens qui dansaient. On a du leur apprendre jour après jour! Mais maintenant, une note et c'est parti. Mais c'est vrai que quand on a commencé à jouer en Europe, on commençait quelques secondes d'une chanson et tout le monde la connaissait. En Amérique, on fait la meme chose et personne ne connait.

En faisant une interview de Justice il y a quelques jours, j'ai voulu savoir si ils avaient écouté le Simian Mobile Disco et ce qu'ils en avaient pensé...

Jesse : (Rires) Je l'ai écouté une fois. Je pense qu'ils sont très bons et j'ai du mal à comprendre pourquoi ils ne sont pas très populaires actuellement.

Gaspard (un des deux Justice) m'a dit qu'il trouvait que leur son était typiquement anglais. Tu partage ce point de vue; tu pense réellement qu'il y a un son américain, un son français ou un son anglais?

Jesse : Le plus drôle dans l'histoire, c'est que les Justice nous ont dit qu'ils étaient influencés par Death From Above 1979 (Rires). Ils m'ont demandé quand ils étaient en tournée et qu'ils passaient vers chez moi d'aller voir mes amplis pour voir comment je faisais ce son (Jesse éclate de rire).

Al-P (s'adressant à Jesse) : Ne leur montre pas ou alors montre leur quelque chose de complètement différent. (Rires)

Jesse : Oui, comme ça on regardera le secret intact! Mais c'est vrai qu'en Amérique, notre son est bien souvent plus agressif. On est tout le temps en train de courir et les gens sont beaucoup plus impulsifs. Si tu conduis, qu'il y a un feu et qu'il passe au vert, et si tu as le malheur de ne pas démarrer tous de suite, il y a tout de suite trois ou quatre automobilistes qui klaxonnent violemment (Rires).

Et en parlant de Justice, vous en pensez quoi de toute cette scène française?

Jesse : Je pense réellement que c'est le centre de la musique électronique mondiale. En tout cas, il y réellement quelque chose qui s'y passe.

Al-P : Mais en Amérique, en terme de musique de club, en r'n'b et rap, la production est massive. Puis, des groupes comme Justice inspirent déjà plein de passionés de musique électronique. La nouvelle génération arrive, avec des nouveaux hits tout droit sortis de leur ordinateur (Rires).

Votre remix de "D.A.N.C.E" de Justice, c'est un peu pour rendre la pareille à leur remix de Death From Above de "Blood On Our Hands"?

Jesse : D'ailleurs, ils se sont inspirés de notre remix pour le live (Rires). Leur remix de "Blood On Our Hands" est le seul remix d'un morceau de Death From Above que j'aime (il rejoue le rythme du morceau en tapant sur la table). On dirait qu'ils ont fait ce morceau avec un lecteur cassette, comme s'ils l'avaient enregistré puis après rajouté un gros son saturé.

Al-P : Les remixs des Justice sont très bons. Ce qui est génial dans leurs remixs, c'est ce son saturé reconnaissable entre mille, on sait tout de suite que c'est un remix de Justice, sans même en avoir confirmation. Leur originalité est leur principal atout. Et puis leur grande croix sur scène, c'est vraiment fun. C'est surtout original.

Vous n'auriez pas aimé avoir un jeu de scène comme celui là?

Jesse : Pour moi, un concert, un Dj Set, c'est une fête et pas un spectacle. A partir du moment où il y a un jeu de scène comme celui là, ce n'est plus une fête, mais un "show". C'est super, ça ne change rien à ça mais pour moi, qui préfère le milieu des clubs, je veux faire une fête pour tout le monde, que tout le monde y participe.

La croix, ca fait aussi très symbole marketing...

Jesse : Peut être, tu as sans doute raison, mais ça marche (Rires). Mais musicalement, je les trouve vraiment bon. Puis au niveau marketing et promotionnel ils ont quand même fait quelque chose de dingue. Et quand l'album de Justice est sorti, tout le monde a adoré, un peu comme Daft Punk avec "Homework".

Mais est ce qu'on peut aller jusqu'à parler selon toi de renouveau de la scène électro de 97, avec Air, Daft Punk ou Cassius?

Jesse : Bien sur. Je pense que le label Ed Banger Records est plus important que Justice tout seul, rien que par cette notion de travail d'équipe et surtout le fait qu'ils viennent de Paris, et puis ils changent le paysage musical de ce que les gens considèrent comme de la musique électronique avec tous les cds qu'ils sortent. Et puis partout dans le monde cette scène francaise est aimé, partout où ils vont, les Ed Banger sont adulés...

Tout le monde aime peut être Ed Banger juste parce qu'ils sont français; ce label surfe vraiment avec la "french touch", et on sait que ça plait beaucoup...

Jesse : Il y a sans doute ça aussi, mais c'est frais et c'est arrivé si vite

Al-P : C'est une chose excitante, c'est tout neuf, c'est original...

Jesse: Et puis musicalement c'est bon aussi. Mais je suis content de ne pas forcément être associé à Ed Banger, qu'on ai notre propre identité, je suis vraiment très fier de notre artwork, de l'univers de MSTRKRFT et il ne ressemble en rien à celui d'Ed Banger.

Que ce soit vous ou les Justice, on parle beaucoup des nouveaux Daft Punk, d'une espèce de relève. Ca te gêne?

Jesse : J'ai rencontré Thomas Bangalter de Daft Punk deux fois que c'était drôle pour nous ou les Justice, voir même d'autres artistes, d'être toujours ramené et comparé aux Daft Punk, il m'a répondu que ça lui était égal parce que quand ils débutaient, ils étaient toujours appelés les prochains Chemical Brothers. (Rires) Comme quoi, ça ne veut pas dire grand chose.

Paradoxalement, on a l'impression qu'il n'y a plus de frontières entre les artistes de musique électronique; on parle un peu de scène française, mais on a vraiment l'impression que c'est une scène internationale.

Jesse: Exactement

Al-P : Merci Internet!

Internet a joué un grand rôle pour vous?

Al-P : Oui bien sur, c'est grâce à ça que l'on est connu, que Justice est connu et que tous les autres aussi. En Amérique, on ne connaîtrait rien de France si ce n'était pas sur le net.(Rires)

Vous avez été bien accepté par le public électro, qu'on sait sévère et pointu?

Jesse : Très bien. On vient de jouer dans un festival électro très réputé, le "I Love Techno Festival", samedi soir ou plutôt dimanche matin. (Rires) Je sais pas vraiment, on a joué soit très tard, soit très tôt.

Al-P : Disons dimanche matin. (Rires)

Jesse: Et lundi on est rentré à la maison à Paris.

Paris?A la maison?

Jesse : Oui, on y est tellement souvent qu'on ne s'y sent pas à l'étranger. Il y a d'autres endroits comme ça: Los Angeles, Miami, Tokyo, New York et...(il réfléchit quelques secondes) ça fait déjà pas mal de maisons quand même (Rires). Il faut dire qu'on y est tellement souvent, on a des bons amis dans tous ces endroits là.

L'envie de faire de la musique électronique, ce n'est pas aussi pour faire danser les jolies filles?

Jesse : C'est un but! Mais pas tout le temps, juste parfois, parce qu'en général, les jolies filles n'aime pas la musique trop bruyante. Mais maintenant ça va, elles dansent sur notre musique et elles viennent me dire "Hey, j'aime ta moustache!" (Rires)

Une dernière question pour toi Jesse, j'ai entendu dire que tu devais jouer sur le dernier album des Queens Of The Stone Age, "Era Vulgaris", mais cela ne s'est finalement pas fait et j'ai lu que cela n'avait pas aboutit à cause de conflits d'enregistrements...

Jesse : En fait, j'étais sur le point d'enregistrer avec eux, j'avais bien répété avec eux, mais ils voulaient enregistrer l'album au moment où MSTRKRFT devait jouer à Pukkelpop et Lowlands, on devait venir en Europe aussi et c'était prévu depuis longtemps, ils ont changé les dates, donc j'ai choisi MSTRKRFT. Pour moi, c'était plus important que Queens Of The Stone Age.

Merci beaucoup de nous avoir accordé un peu de votre temps, si vous voulez conclure...

Jesse : Non, mais si tu veux, on peut refaire toute l'interview mais cette fois en francais. J'essaye: (dans un français approximatif) On s'apelle MSTRKRFT, on joue de la dance music (Rires)

Al-P : C'est pas "nous faisons"?

Jesse : Je sais pas, j'ai appris un peu le français au Canada mais j'ai vraiment tout oublié. Je connais juste les insultes que So_Me (graphiste d'Ed Banger Records) et les Justice m'ont appris, mais je sais pas si tu peux les écrire. (Rires)

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

MSTRKRFT parmi une sélection de singles (mai 2007)
MSTRKRFT en concert au Festival des Inrocks Motorola 2007
MSTRKRFT en concert au Festival des Inrocks Motorola 2007 - 2ème
L'interview de MSTRKRFT (janvier 2007)

En savoir plus :

Le site officiel de MSTRKRFT


Clément T.         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=