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Interview  (Paris)  février 2004

Cerise interprète Margot la ravaudeuse, l'héroïne d'un roman libertin du 18ème siècle écrit par Louis Fougeret de Monbron, récit dont, sur un coup de coeur, elle a assuré l'adaptation.

Pleine de gouaille, d'allant, de vivacité et de finesse, elle nous donne une interprétation vivante et légère de l'itinéraire de la petite ravaudeuse dont le chemin vers l'émancipation passe par le commerce de l'amour.

Dans sa loge, quelques heures avant de retrouver la loge recrée sur la scène, elle nous accueille avec gentillesse et naturel pour nous parler de cette belle aventure.

Du casino de Deauville au Petit Hebertot, quel est le chemin parcouru par Cerise ?

Cerise : Oh la la !

Sans rentrer dans tous les détails de votre biographie, le théâtre est une vocation, une passion ?

Cerise : C’est forcément une passion car la vie d’artiste est trop dure.
J’ai le souvenir extrêmement vivant et précis de cette première rencontre avec le théâtre. J’avais quatre ans et j’ai joué le rôle d’un petit champignon vénéneux mais j’étais dans un jardin d’enfants, et cela a eu lieu au casino de Deauville parce que c’était une vraie salle de spectacle et j’habitais Deauville.

Je faisais un petit solo et on m’a bissé et je l’ai refais. J’ai senti qu’il y avait quelque chose qui se passait. Et c’est resté imprimé dans ma tête. Et puis après, ça a été oublié, évidemment. C’est à l’adolescence que j’ai voulu refaire cela. Alors j’ai changé d’école et je suis allée chez les sœurs parce que je savais que tous les ans elles faisaient un spectacle de théâtre au casino de Trouville. Et j’allais toujours dans des écoles où je savais qu’il y avait des spectacles organisés pour y jouer. J’ai fini par être en pension à Paris et j’ai joué dans des spectacles amateurs. C’était impératif. Mes parents voulaient que je fasse des études mais cela ne me lâchait pas.

Donc quand j’ai eu fini mes études de bibliothécaire, j’ai tout lâché pour faire saltimbanque. Et puis ce fût le parcours classique : j’ai pris des cours, j’ai fait le Conservatoire et j’ai embrayé sur la vie d’artiste avec tous ses aléas, ses hauts et ses bas, et des rencontres.

Margot la ravaudeuse est-elle une de ces rencontres ?

Cerise : Au cours d’une tournée à Marseille, je furetais dans une librairie – j’adore les livres, c’est un peu une déformation professionnelle – et j’ouvre un livre et je suis transpercée. Il s’agissait non d’une pièce de théâtre mais un ouvrage d’un auteur de la Renaissance italienne, la vie des nonnes de Pierre l’Arétin qui se présentait sous forme de dialogues en six volumes, qui traitait des courtisanes. J’étais éblouie. J’ai acheté les deux premiers volumes et cherché à avoir les autres qui devaient être édités plus tard. L’éditeur m’a conseillé de chercher l’édition originale et j’ai crapahuté pour la trouver.

J’ai lu toute l’œuvre, une œuvre magistrale et j’ai travaillé dessus pour en faire une adaptation théâtrale. Il s’agit d’une œuvre très puissante et noire tout en étant, comme on le disait à l’époque, pornographique avec des images picaresques, des scènes très croustillantes et des métaphores absolument inimaginables pour parler de la chose. C’était compliqué à faire et j’y ai travaillé plusieurs années. Je vous en parle parce que vous verrez le lien avec Margot. Les dialogues mettaient en scène trois femmes : une courtisane, Nanna, qui avait réussi et qui était au faîte de sa gloire, un peu comme la maîtresse de Raphaël, adulée de tous les princes de l’époque, sa fille de vingt ans et la fille galante qui n’a pas réussi et qui est malade. La courtisane s’interroge sur l’avenir de sa fille et se demande si elle doit la mettre au couvent. La fille galante dit que le couvent est une solution épouvantable car c’est une abomination, un vrai lupanar . Autre solution le mariage mais comme la courtisane a été mariée, elle renonce. Reste donc d’être courtisane qui n’est pas une solution idéale mais qui, si on a de la jugeote, permet de s’émanciper. Elle opte pour ça et décide d’apprendre à sa fille toutes les ruses du métier.

Mais c’est une peinture très noire des hommes et des moeurs de l’époque. J’ai beaucoup travaillé sur ces dialogues car il y a une grande différence entre un récit magnifique et un objet théâtral. Et ça jusqu’au moment où Alain Sachs me dit qu’il n’y avait aucun rôle pour moi dans cette adaptation.

Et donc au moment où je vais abandonner, je tombe sur Margot la ravaudeuse de Fougeret de Monbron. Et là, j’ai compris que Margot était faite pour moi et que cela traitait pratiquement du même sujet. Et j’ai eu en plus la surprise de voir que cet ouvrage parlait de l’Arétin. A un moment, je dis : "Et même l’Arétin avec tout son savoir ne fut pas capable d’inventer la moitié des attitudes et des postures qu’il me fît tenir toute la nuit et une partie de la journée".

Je me suis très vite rendue compte que cette admirable langue française du 18ème pleine de verve, de gouaille, d’humour, cette légèreté, car ce n’était pas la noire œuvre de l’Arétin, me correspondait, correspondait à l’actrice que je suis. Je me suis investie dans ce texte qui était plus facile à adapter pour le théâtre. Le cheminement fût long mais au bout il y avait ce cadeau.

Margot raconte aussi l’histoire d’une courtisane mais dans une version plus solaire, plus joyeuse que l’Arétin.

Cerise : Exactement. Bien sûr, il y a des passages moins légers, quand il traite de la maladie, mais Margot est plus joyeuse, plus…je ne dirais pas désinvolte, mais pertinente. Elle a tous les traits de ce 18ème siècle français, le bel esprit français. Fougeret de Monbron a mis en scène les mœurs un peu dissolues de Louis XV, ce qui lui a valu la prison.

Comment avez-vous travaillé, en termes de temps et de coupures, pour parvenir à une adaptation de qualité tout en respectant un certain format pour la mise en scène théâtrale ?

Cerise : Si j’avais pu, j’aurais appris tout le livre. Il m’a donc été très difficile de procéder à des coupures. Mais ce travail a été facilité par le fait que l’œuvre originale comportait des parties dialoguées, ce qui me permettait de jouer les personnages et d’exploiter mes qualités de comédienne. Cela évitait le côté linéaire du récit. J’ai donc privilégié cet aspect.

J’ai fait des coupures mais de faible ampleur, sur des anecdotes ou sur des descriptions assez longues des protecteurs de Margot car si ce n’est pas gênant à la lecture, en revanche au théâtre cela peut ressembler à un catalogue un peu ennuyeux, répétitif et indigeste. J
’ai essayé de conserver dans l’adaptation tous les passages qui me permettraient sur scène de changer de ton, de registre en gardant toutes les couleurs du texte afin de surprendre et captiver l’attention du spectateur et le séduire.

Comment Alain Sachs a-t-il été amené à assurer la mise en scène ?

Cerise : Quand je suis rentrée chez moi après ce coup de foudre pour ce texte, je n’ai rien demandé à Alain Sachs car je savais qu’il ne faisait pas de mise en scène à un personnage. Je lui ai simplement dit quelques mots sur le thème du récit. Donc pour moi il s’agissait d’un projet très personnel et je pensais faire appel à un autre metteur en scène ou à défaut assurer moi-même la mise en scène. Et puis, j’ai travaillé sur l’adaptation. Je sentais bien qu’il fallait, dans le souci de ne pas ennuyer le spectateur, mettre le texte en perspective. Cela ne pouvait pas être un récit linéaire avec Margot dans sa belle robe de courtisane adulée.

Et le travail de mise en scène d’Alain Sachs ?

Cerise : La mise en scène a été très difficile à mettre en place techniquement pour moi notamment parce qu’il fallait que je sois l’actrice qui répète son texte dans sa loge tout en faisant son thé ou son repassage. Au début ça me gênait un peu parce que cela me distrayait mais maintenant c’est au contraire une grande aide pour trouver des ruptures et des points d’appui pour enchaîner sur des dynamismes différents. Et un jour, il m’a fait une suggestion, alors qu’il ne connaissait pas le texte : jouer une actrice qui répète dans sa loge. Oh !!!!! Je lui ai dit : "Tu veux faire la mise en scène ?" Mais nous n’en avons pas parlé davantage.

Nous sommes partis en voyage au Maroc et là je lui fais lire l’adaptation. Il trouve que le rôle est vraiment parfait pour moi. Je ne lui avais pas encore demandé officiellement s’il voulait faire la mise en scène et il ne s’était pas proposé de la faire. Au point où j’avais déjà envisagé de demander à quelqu’un d’autre. Cependant j’ai bien senti que son intérêt était piqué. Mais tout est resté dans le flou.Et puis, dans les souks, je le vois acheter des tas de babouches et des coffres mais sans y prêter davantage d’attention.

De retour à Paris, je lui fais une demande officielle tout en insistant sur le fait que de toute manière je ferais ce spectacle. Et il me réponds : Si tu veux bien de moi, je veux bien. Il est bien évident que je n’allais pas me priver de son énorme talent. Et soudainement j’ai compris la finalité de tous ses achats dans les souks.

Voilà donc l’auteur de la symbolique de la chaussure !

Cerise : Oui, il cogitait déjà. Petit à petit, il s’est imposé mais de manière très subtile. Et cette symbolique permet de faire le parallèle entre l’actrice qui reçoit des cadeaux d’admirateurs et la courtisane qui reçoit des cadeaux de ses protecteurs, deux vies de séduction, mais aussi de matérialiser l’ascension sociale de Margot.

Le télescopage des espaces temps est une idée intéressante. Dans ses notes de mise en scène, Alain Sachs indique : "Avec ce miroir à trois faces, Margot la ravaudeuse s’efforcera de devenir, avant tout et par tous les moyens, un véritable spectacle de théâtre".

Cerise : Je suis Cerise qui joue une actrice dans sa loge qui répète un texte sur la vie de Margot. Ces trois facettes donnent un rythme au spectacle et évite que les spectateurs soient assommés par une avalanche de mots Il faut que ce soit passionnant et montre une progression, tout l’itinéraire de Margot, afin de créer une dramaturgie.

Effectivement, cela permet de raconter une histoire et d’une certaine façon faire participer le spectateur. Qui a eu l’idée de prendre un spectateur pour lui faire jouer, ponctuellement, le rôle de souffleur ?

Cerise : C’était presque écrit dans le texte original. Il y avait cette phrase inouïe dans la bouche de Margot : Oh Je vous raconte dans l’ordre sinon je ne m’en sors pas !. Je crois que cela a donné l’idée à Alain Sachs de l’actrice qui a un souci de mémoire et qui va demander de l’aide à la première personne venue, en l’occurrence le public. Du coup ça donne un côté complice avec le public et puis je fais souffler des mots un peu croustillants, donc c’est amusant.

Cela participe aussi du choix de la salle, le Petit Hébertot, où il y a une grande proximité entre la salle et la scène.

Cerise : J’ai aussi joué Margot dans des grandes salles. Mais je suis capable de descendre dans la salle.

Vous avez déjà joué Margot à Paris ?

Cerise : Non. J’ai joué dans de grandes salles en banlieue, comme à Puteaux. Tiens c’est amusant, avant Paris, j’ai joué à Gland en Suisse dans une sorte de grand paquebot où j’ai mis un temps fou à aller chercher le public. Cela a créé un petit happening. Mais il est vrai que la salle du Petit Hébertot permet une grande intimité avec le public et c’est un véritable bijou pour moi qui convient tout à fait à ce spectacle.

Vous avez dit que à défaut de metteur en scène, vous auriez assuré vous-même la mise en scène. La mise en scène vous tente-t-elle ?

Cerise : Oh je me serais peut être vautrée..

Vous êtes comédienne, auteur – vous avez écrit des spectacles solo - , adaptatrice…

Cerise : J’adore faire des adaptations. J’en ai fais plusieurs et notamment de textes en anglais.

Et je reviens à la mise en scène…

Cerise : En fait, je ne m’y suis encore jamais confronté. J’ai dit par provocation que je le ferais pour Margot parce qu’il y avait une urgence, mais je ne sais pas. Cela me tente bien sûr, diriger les autres peut être, me diriger moi-même je ne saurais sans doute pas. Je ne sais pas si je passerais à l’acte. Surtout quand je vois le travail d’Alain Sachs, ses idées, la nécessité d’avoir une vision globale et prospective du spectacle pour transcender une œuvre, je me dis que je ne suis pas encore prête.

J’ai lu que vous aviez dit que vous aviez trouvé en Margot une âme sœur, quelqu’un dont vous vous sentiez proche. A quoi tient cette identification ?

Cerise : Margot dresse le portrait d’une femme qui, à une époque où les femmes de condition pauvre n’avaient guère de possibilités de sortir du ruisseau, gagne sa liberté grâce à sa beauté mais aussi à sa jugeote en devenant une fille galante. Outre la langue qui est magnifique, cet itinéraire m’a intéressé d’autant qu’elle manifeste de l’humour et de la coquinerie.

Et puis je connais l’âpreté de la vie, quand il faut relever les manches pour faire face aux difficultés de la vie. J’aime aussi le regard qu’à Margot sur la vie et les gens, elle ne s’apitoie jamais sur son sort, elle va de l’avant ne se laissant jamais décourager par les déboires. Et puis j’aime sa gouaille naturelle, très parisienne. Il y a peu d’œuvre qui présente cet aspect.

Ce qui est également intéressant réside entre le contraste entre cette gouaille du personnage de Margot et la langue très précieuse dans laquelle écrit Fougeret de Monbron.

Cerise : J’adore la langue du 18ème siècle et j’espère que j’arrive à faire partage cet amour. Et pourtant cette langue très structurée, complexe, j’arrive à la dire comme s’il s’agissait d’une langue contemporaine. On me dit souvent que cela paraît très moderne. Mais c’est un immense travail. J’espère la rendre limpide.

Le travail de répétition a dû être laborieux ?

Cerise : Oh la la la !!!! Il a fallu d’abord apprendre le texte, mot à mot, avec parfois des phrases très longues puis ont suivi de très longues répétitions. C’était très dur. D’ailleurs la première à Avignon, il y a deux ans, était ratée. Je dis ratée parce que je me sentais dans un carcan, tellement le texte était frais dans mon esprit. Je ne m’en amusais pas du tout. L’aisance que j’ai l’air de donner maintenant résulte d’un énorme travail, beaucoup d’incubation, de travail, de répétitions, de reprises.

Donc maintenant le spectacle est à peu près cadré ?

Cerise : Oui. Maintenant je me sens à l’aise dans le rôle. J’étais mûre pour Paris. Je ne l’aurais pas fait l’an dernier. Heureusement que je l’ai beaucoup tourner cet hiver qui permet une progression constante avant d’affronter la capitale.

La programmation actuelle du Petit Hébertot ne prévoit que 30 représentations jusqu’au 20 mars. Est-il prévu d’autres représentations ailleurs, à Paris ou extra-muros ?

Cerise : Je ne peux pas continuer ici puisqu’il y a un spectacle de prévu mais je pense le reprendre à Paris. Et puis je suis persuadée que Margot est un personnage qui va m’accompagner toute ma vie. Elle n’a pas d’âge. Dès que j’aurais un petit créneau, je le ferais. Elle fait partie de ma vie.

Parce que c’est beaucoup d’investissement ?

Cerise : Oui. Et après le spectacle, qui demande beaucoup de concentration, je suis rincée. Donc le jouer en petite série me convient bien.

Et l’idée du chien, votre caniche, sur scène ?

Cerise : Je ne sais même plus…mais sur les gravures de l’époque on voit souvent les femmes accompagnées de chiens.

Il aurait été amusant aussi de prendre un des spectateurs pour jouer le rôle de votre habilleuse…

Cerise : Oui c’est une bonne idée mais en fait ce n’est pas très simple de vêtir quelqu’un avec ces vêtements, tel le corset.

Etes-vous amateur de littérature érotique et libertine ?

Cerise : Je ne suis pas une spécialiste de cette littérature mais oui puisque j’ai adapté un texte libertin. J’adore Crébillon, Feydeau le père et l’Arétin. Je dois être coquine dans la vie (rires). Mais il n’y a pas que l’aspect libertin. Ce sont également des oeuvres littéraires dont j’adore le style. J’aime beaucoup la littérature et même dans la littérature romanesque je suis particulièrement, et presque uniquement, sensible au style.

Dans le texte original de Margot, y a-t-il des passages plus crus que vous n’avez pas retenus afin de ne pas céder à la facilité racoleuse qu’induit toujours les scènes osées ?

Cerise : Non, j’ai conservé tous les passages croquignolets qui sont effectivement écrits en des termes plus imagés et suggestifs que pornographiques.

Vous avez conservé également toutes les scènes dialoguées. Dès le départ, vous aviez l’intention d’être seule en scène ?

Cerise : Oui. C’était justement mon plaisir d’actrice d’interpréter tous les protagonistes, Margot comme le vieux libidineux, la grosse Madame Thomas comme le chanoine. J’avais envie de m’éclater comme comédienne. Après ce long et dur travail, c’était aussi ma récompense.

Avez-vous actuellement des projets d’adaptation ou autres en cours ?

Cerise : J’ai adapté une pièce américaine qui va se jouer à la rentrée au théatre Tristan Bernard, sur une mise en scène d’Alain Sachs, sur laquelle nous avons travaillé ensemble. Il y a aussi une pièce irlandaise qui va certainement se faire. Ce sont deux pièces magnifiques sur lesquelles je suis tombée par hasard. Je me reconnais une qualité : j’ai du flair. C’est incroyable. Comme j’ai une vie d’actrice un peu chaotique et ce sont mes petits cadeaux, des petits signes qui m’encouragent à ne pas lâcher.

Y a-t-il un rôle pour vous dans ces deux pièces ?

Cerise : Et bien non. Il n’y a rien pour moi. Mais ce sont des textes que j’adore et j’y vais à fond la caisse. Dans la pièce irlandaise, il y aurait bien un rôle qui me conviendrait mais comme il faut des stars… ce n’est pas moi qui le jouerais. Mais ce n’est pas grave. Je préfère qu’elle soit montée et jouée.

Vous venez de dire quelque chose qui ne peut pas laisser indifférent : "Il faut des stars".

Cerise : Ah oui. Il faut des stars. Bien sûr ça dépend des projets. Il y a des pièces un peu chorales qui reposent davantage sur une équipe. Et puis il y a des projets qui dépendent des coûts économiques et financiers.

Pourquoi Cerise ?

Cerise : Il s’agit d’une vieille histoire privée…( rires).

 

 
A lire sur Froggy's Delight :
la chronique de la pièce Margot la ravaudeuse


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# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

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Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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