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puce Festival Le Printemps de Bourges 2010 (jeudi 15)
Arpad Flynn - Carmen Maria Vega - Les Cowboys Fringants - The Black Box Revelation - Eiffel - Nada Surf - Gazelle - Fanfarlo - Revolver - Health  (Bourges)  jeudi 15 avril 2010

Printemps de BourgesAujourd’hui, au Palais d’Auron, soirée rock : The Black Box Revelation, Nada Surf, Eiffel et les BBrunes (qui à eux seuls remplissent la salle de jeunes filles en fleurs).

Les premiers sont les Black Box Revelation, à deux sur scène, qui ont d’entrée de jeu amené une ambiance très rock. Puis arrivent les américains francophones de Nada Surf. Belle surprise : claviers et trompette sont assurés par Martin Wenk de Calexico, qui amène sa petite touche personnelle très appréciable. On les a senti très détendus, alternant anciens titres (et tubes) et reprises. En effet, le groupe explique qu’ils ont sorti un album de reprises qu’ils ne vendent qu’en tournée pour le moment : If I had Hi Fi. Une prestation sans prétention, enchainant pourtant des titres cultes : reprises de "Love goes on" de The Go Between, de "Enjoy the Silence" de Depeche Mode et "Electrocution" de Bill Fox ou encore leur "Always Love" planant et le tube "Popular". Le public adhère, même les plus jeunes qui reprennent en chœur les refrains. Un son qui résonne dans les oreilles et qui rappelle toujours de bons souvenirs. Puis les français de Eiffel et BBrunes ont assuré la fin du spectacle.

Changement de décor et d’ambiance : direction l’Auditorium et son acoustique si agréable, avec une belle découverte : Fanfarlo. Ce groupe, créé en 2006, fait inévitablement penser à Arcade Fire mais aussi à l’esprit de Belle and Sebastian. Avec leur look année 80, pantalons à pinces, polos et chaussures bateau, tout propre sur eux, on a l’impression de voir une petite famille qui attire tout de suite la sympathie du public. Les accents folk et country sont toujours surprenants et se mêlent à ce joyeux bazar en beauté. Les morceaux gagnant en intensité nous font complètement plonger dans leur univers, même si nous ne connaissions pas l’album. C’est une musique chamarrée qui rallie vite tout le monde à sa cause, et qui égaie la soirée de chacun des spectateurs qui se pressent nombreux pour acheter leur album et le faire dédicacer sur le coin de la scène à la fin du concert.

Après la déferlante Fanfarlo, on imaginait difficile la tâche des jeunes Revolver pour arriver à regagner l'attention d'un public conquis par les non moins jeunes anglais et leur pop sautillante et farfelue. Si le fait que l'auditorium est assis est plutôt un atout pour calmer les ardeurs de tout public par trop enthousiaste, on comptait quand même surtout sur le talent légitimement affiché du groupe pour se mettre le public dans la poche qui avait quand même eu droit avant Fanfarlo à une sorte de soul, jazzy de Bosque Brown.

Mais la pop de Revolver a cela de bien qu'elle est plutôt douce et propre, assurant presque l'adhésion des plus anciens encore abasourdis par l'énergie des jeunes anglais mais qu'elle sait aussi se faire énergique et ludique, captant alors les suffrages des plus jeunes encore pas tout à fait remis de la petite heure passée avec Fanfarlo. De plus, à la faveur de quelques titres tubesques passés sur toutes les radios et sifflotés par sans doute 80% du public présent ce soir, c'est quand même assez détendu que le quatuor (pour ceux qui pensaient que le groupe était toujours en trio, il faut réactualiser vos tablettes) arrive sur scène et commence à livrer au public un show ... presque parfait.

Et c'est peut-être le plus gros problème de Revolver. Ce groupe est trop. Trop bon, trop inventif mais aussi trop propre, trop sage et trop obnubilé par la volonté de bien faire pour la communion tant attendue se fasse. Pourtant, les voix sont sublimes, les chants à trois voix vraiment charmeurs, le batteur est dans le ton, ni trop fort pour couvrir la pop délicate du groupe, ni trop mollasson pour jouer les faire valoir, le violoncelliste fait des prouesses de son instrument... Bref, c'est un beau concert, et l'énergie du groupe est réelle mais n'arrive pas à passer la fosse pour arriver jusqu'au public qui commence à s'en aller par grappe.

Pourtant, le groupe ne mérite pas cela, loin de là et quelques mots d'humour, notamment lors de la reprise d'un slow des Flamingo, "I only have eyes for you", en invitant le public à se lever et danser un slow, sont les bienvenus pour réduire cette étrange distance entre eux et nous, mais il y a toujours un truc qui coince même si on prend un grand plaisir à écouter cette musique qu'ils qualifient eux-mêmes de "pop de chambre" et qui a rencontré suffisamment de succès pour devenir rapidement une pop du salon de chacun d'entre nous.

Revolver est un excellent groupe de pop de chambre donc, une pop raffinée, légère et élégante, faite d'harmonies et de mélodies caressantes. Mais, malgré l'ajout du batteur, l'ensemble reste encore trop propret pour rendre leur écoute jubilatoire.

Néanmoins, à défaut d'avoir vu le concert évènement du Printemps, on aura vu assurément un excellent concert, d'un niveau que bien d'autres groupes pourraient leur envier. Avec la marge de progression que l'on devine, nul doute que l'avenir réserve à Revolver de bien belles choses, d'autant que tous les ingrédients de la réussite sont entre leurs mains.

Au Phénix, ce soir, à guichet fermé jouaient Carmen Maria Vega, Cœur de Pirate, Olivia Ruiz et Les Cowboys Fringants. Pour les deux premières artistes, la salle n’était pas forcément  adaptée, car trop grande, même si le public n’en a pas tenu rigueur. Les Cowboys, pour leur premier passage à Bourges, étaient tête d’affiche et ont tout fait pour mériter cet honneur. Leurs morceaux festifs et engagés ont fédéré le public dès les premières notes et amené la bonne humeur sous le chapiteau.

Parfois, on entre dans une salle de concert un peu par hasard, parce que la soirée touche à sa fin et que l'on a dû courir partout pour voir des concerts, faire des interviews, des photos... des trucs fantastiques à faire mais qui vous coupent les jambes aussi sûrement qu'un rhum arrangé.

Bref, on arrive ce soir là au 22, pour échapper aux Cowboys Fringants et après une courte hésitation entre les drôles de délires de Gazelle, à l'Est, on décide de passer à l'Ouest pour découvrir 4 drôles d'énergumènes sur scène en train de se démener comme des possédés et livrant une musique tendance ultra. Ultra forte, ultra puissante, ultra énergique, ultra inventive et ultra addictive.

Ce que l'on ne peut s'empêcher de remarquer avant tout, c'est un grand gaillard au milieu de la scène aux cheveux longs qui lui cachent entièrement le visage et qui est en train de sauter partout en faisant d'étranges bruits avec sa basse surpuissante. Ensuite, on remarque un géant derrière la batterie en train de taper comme un forcené et nous asséner des infra basses qui viennent nous titiller le plexus. Accroupi la plupart du temps se trouve un guitariste qui passe donc le plus clair de son temps à manipuler ses pédales et sans doute quelques synthétiseurs au sol, si on en croit les sons bizarres qu'il produit. Pour parfaire l'ensemble, un guitariste chanteur caché sous sa casquette joue discrètement les maîtres de cérémonie, chef d'orchestre indispensable à ce vacarme parfaitement organisé quelque part entre de la musique pour rave party et de la noisy façon My Bloody Valentine (difficile de ne pas au moins comparer la façon de chanter de l'homme à la casquette avec celle des MBV).

Le grand chevelu redouble d'effort pour se faire remarquer, tapant de toutes ses forces sur un tambour en secouant frénétiquement ses longs cheveux (frissons garantis et dégustation de gros sons de basses offerts dans le prix du concert !), utilisant un micro voix qu'il colle tantôt à la batterie, tantôt à l'ampli guitare pour en sortir d'autres sons encore plus étranges que tous les autres sons étranges déjà entendus depuis le début, et ainsi de suite.

Mais Health, puisque c'est le nom du groupe, n'est pas un groupe expérimental chiant et inécoutable, ni inaudible, comme on pourrait le croire. Derrière ce mur du son qui ne s'arrêtera qu'à la fin du concert, Health possède quelques morceaux vraiment incroyables et leurs expérimentations sonores sont parfaitement accessibles à tout un chacun (pour peu qu'il ne soit pas trop sensible des tympans) et avec un plaisir non feint.

L'autre concert qu'il ne fallait pas rater avec celui de Fanfarlo aujourd'hui était sans doute celui des américains de Health donc, qui devraient conquérir un public de plus en plus large, notamment grâce à la sortie de leur dernier album en date Get Color, débauche de trouvailles mélodiques et électroniques offrant un regard sinon différent, assurément complémentaire sur ce groupe atypique et enthousiasmant !

Coté Découvertes, si le chanteur de Arpad Flynn ressemble quelque peu à Arnaud Rebotoni (coupe sauvage, moustache et rouflaquettes), ce n'est peut-être pas par hasard. Si le parcours des deux hommes n'est évidemment pas semblable, la musique des Arpad Flynn rappelle parfois celle du leader de Black Strobe, gomina en moins : énergique, rock, aux guitares incisives, à la basse perforante tout comme la batterie et avec son lot d'électronique mélodique et entêtante.

Le résultat est sans appel, Arpad Flynn sur scène ça envoie du lourd. A peine intimidé par l'enjeu, c'est-à-dire participer à une scène découvertes dans un festival prisé des programmateurs, tourneurs et autres labels managers, Arpad Flynn joue sans retenue, mais sans précipitation, bien décidé à gérer sa demi-heure au mieux plutôt que de tenter une démonstration de force zélée. 30 minutes seulement et un pari réussi pour eux car la salle est de toute évidence réceptive au rock des stéphanois (nos fidèles lecteurs savent que Saint-Etienne est un joli coin pour faire de la musique en ce moment avec les B R OAD WAY, Angil et autre Raymonde Howard) qui se font visiblement plaisir sur scène, plaisir tout aussi communicatif que l'énergie déployée.

De titres très pop (un petit air de Cure sur certains titres peut-être ?) à des morceaux tout en puissance et totalement hypnotiques, effet renforcé par les gesticulations savantes du chanteur, le registre de Arpad Flynn est impressionnant de diversité, de maitrise et d'influences ingérées et surtout digérées.

Une découverte, certes, mais un groupe qui ne devrait pas rester anonyme longtemps et pas seulement parce qu'il offre des savonnettes à leur nom au stand merchandising.
A noter que leur premier album sortait justement ce même jour et que nous vous en reparlerons très rapidement sur Froggy's Delight. En attendant, filez les voir en concert, réclamez les aux salles près de chez vous et surtout foncez sur cd1d.com pour vous procurer le disque !

 

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En savoir plus :
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# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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