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Conférence de presse  (Solidays)  10 juillet 2004

Cali est sans aucun doute une des révélations de la chanson française 2003. Son premier album L'amour parfait, dont le titre "C'est quand le bonheur?" a inondé les ondes, a su rencontrer un vrai et fidèle public qui l'a suivi tout au long de sa tournée-marathon. Il n'attendait rien mais sa réussite n'est pas due au hasard : il a derrière lui des années de travail.

Réservé, sensible, presque intimidé devant les micros, il parle de son métier, de ses projets professionnels, de sa nouvelle vie mais reste vigilant...pour garder la tête sur les épaules.

Cela représente quoi pour vous d'être à Solidays?

Cali : Je suis très impressionné et très fier que l'on ait fait appel à nous parce que nous suivons cette cause depuis toujours.

Quel doit être le rôle d'un artiste dans la société?

Cali : Je crois qu'il ne faut pas en dire trop. Il faut faire attention et j'ai toujours peur des groupes qui développent des discours politiques et font des mauvaises chansons car cela dessert la cause qu’ils sont censés servir.

Quel souvenir retenez-vous de vos débuts ?

Cali : J’ai fêté mes 36 ans il y a quelques jours et démarré à 17 ans. Chaque année il se passe quelque chose de plus que l'année précédente. J'ai le souvenir de mon premier groupe qui était très punk et quand on jouait on n'arrivait pas à s'accorder. On poussait des cris, c'était très frais.

Une anecdote de votre vie d'étudiant?

Cali : Un bon souvenir est un concert que j’ai donné dans mon lycée avec un groupe très punk. Tous les professeurs étaient là. J'étais très fier et juste avant le concert on m'a dit : "Alors Bruno, tu joues ce soir, on est très fier de toi !" Et puis on s'est fait virer au bout de 3 morceaux parce qu'il y avait le mot "encule" dans les paroles.

Vous avez évoqué votre parcours depuis vos jeunes années. En un an vous êtes passé du café de la Danse pour un concert promo lors de la sortie de votre album à l’émission Vivement Dimanche de Michel Drucker. Est-ce le parcours que vous ambitionniez ?

Cali : Je ne souhaitais rien au départ. Je subis et j’apprécie. quand on me dit ça va vite je réponds que j’ai mis 20 ans à aller très vite. Tout ce que j’ai vécu auparavant, toutes les aventures antérieures, me permettent de passer certains paliers que d’autres mettent peut être plus de temps à passer.

Vous tournez depuis un an avec votre album. Eprouvez-vous un début de lassitude vis-à-vis de ses morceaux et un prochain album est-il déjà en préparation ?

Cali : Lassitude, non parce que nous avons la chance de partir de pas grand chose pour arriver à quelque chose de plutôt pas mal aujourd’hui. Nous avons côtoyé tous les types de salles en France depuis celles de 50 personnes jusqu’à celles de 6 000. Donc il n’y a pas de lassitude possible. Quant aux nouveaux titres, nous en proposons quelque uns sur scène aujourd’hui. D’autres arrivent. Nous les travaillons dans le bus en tournée.

Quelle est votre actualité proche ?

Cali : Ce matin nous avons mixé un DVD du concert au Bataclan du 26 mai 2004. C’est assez difficile de se regarder car on voit tous les défauts. Mais c’est également émouvant car on se dit que peut être l’an prochain j’existerais plus ou il y aura plus les mêmes musiciens parce qu’ils voudront plus jouer avec moi. Ça c’est touchant. J’ai voulu que les bonus qui figureront dans le DVD ne soient pas que des brouillons de ce qu’on n’a pas mis dans le live. Régis Mansart qui est le réalisateur de mon clip du titre C’est quand le bonheur ? s’est attelé au projet et nous avons monté des trucs surprenants avec des amis comme Dyonisos.

Quelle est la date de sortie prévue ?

Cali : Septembre. Pour le prochain album, nous envisageons un enregistrement en avril 2005.

Comment s’est fait le choix du morceau L’amour parfait comme bonus pour la réédition de votre album ?

Cali : Lors de l’enregistrement du premier album nous avions enregistré 17 chansons dont 13 figurent sur l’album. Il en restait donc 4. L’une vieillit trop vite, que je veux quasiment l'oublier, donc on en parle pas. Il y avait "La vie parfaite" que l’on développe sur scène et qui nous touche beaucoup. C’est la raison pour laquelle nous l’avons proposé en bonus. Nous jouerons sur scène aujourd’hui une troisième, "L’amour m’a tué". Quant à la 4ème, sur l’inceste, elle reste encore dans les cartons pour le moment. C’est un texte fort et je cherche un réalisateur pour un format court-métrage qui pourrait y coller des images.

Vous avez une préférence quant au choix du réalisateur ?

Cali : Je préfère que ce soit l’inverse.

Le public qui vous suit est plutôt jeune. Pensez-vous qu’il ait besoin d’être encadré face aux risques encourus comme le sida ?

Cali : Vue l’évolution des chiffres quant au nombre des malades atteints du sida, il est clair que les jeunes ne sont pas assez conscients du réel danger. Mais j’ose espérer aussi que tous ceux qui viennent à Solidays sont plus sensibilisés.

L’amour que vous donne le public ressemble-t-il à l’amour parfait ? (sic !)

Cali : Je dirais non parce que l’amour parfait est l’amour absolu, total. On m’a souvent demandé ma définition de l’amour parfait. Pour moi l’amour parfait, celui que je vis, c’est des moments très hauts et puis il y a des moments très bas, de détresse totale. Cette année avec le public c'est une histoire d'amour très bizarre.

Ces moments de détresse sont essentiels pour votre inspiration ?

Cali : Je ne les recherche pas. C’est juste comme ça. Je me pose trop de questions. Quand tout va très bien je me demande pourquoi tout va très bien.

Vous avez des dates de prévues jusqu’en décembre. Allez-vous prendre quelques vacances ?

Cali : Je sus assez fière de cette tournée car c’est un marathon et nous tenons le coup pour le moment. Cela représente 160 dates. Nous avons gardé pour nous du 20 août au 20 septembre pour plus nous voir du tout car cela commence à devenir impossible.

Est-ce plus excitant de venir jouer dans un festival pour venir chercher un public qui n'est pas forcément le vôtre, celui qui vient voir vos concerts?

Cali : Je ne dirais pas excitant. C’est toujours rassurant de voir les amis venir à vos concerts. Des têtes inconnues qui commencent à sourire c’est aussi gratifiant. La particularité du festival pour moi est la rencontre avec les autres artistes. Et je trouve ça génial. Nous avons fait un festival à Aix les Bains où nous avons perdu au foot contre les M mais gagné à la pétanque contre les Sansévérino.

Quel serait votre grand rêve ?

Cali : Je ne veux rien du tout et je prends tout. Je n’ai même jamais pensé à tout ce qui se passe maintenant. Pour l'instant tout va bien, j'ai la tête sur les épaules. Je me dis que quand je vais arrêter cela sera sans doute surprenant pour moi. Quant aux rêves, j’aimerai bien un jour faire la première partie de Nick Cave. J’aimerai inventer un hymne pour une bonne cause avec aux chœurs masculins Mick Jagger, Bono et Bowie, aux choeurs féminins Annie Lennox, Chrissie Hynde, au piano Tom Waits, à la batterie Steward Copland, une chorégraphie avec Léo Ferré et Mick Jagger allongé nu par terre devant.

Assisterez-vous au concert de Nick Cave à Paris en novembre ?

Cali : J’ai raté son concert du 3 juin, j’ai raté aussi les Waterboys dont je suis très fan en janvier parce que nous jouions ces soirs-là. C’est l’horreur. Nous jouons beaucoup en novembre mais je vais faire tout mon possible.

Vous attendiez-vous à une aussi bonne réception du public pour des chansons qui sont très personnelles et intimistes ?

Cali : Je ne m’attendais à rien. Le plus important c’est d’être fier de ce que je fais. Il y a quelques années ce n’était pas le cas. Je n’étais pas spécialement fier de mes textes et quand on mixait les chansons je demandais toujours que l’on baisse la voix. Aujourd’hui, et ce n’est pas pour faire le malin mais je demande à ce qu’on monte la voix, qu’on la mette très devant. J’articule beaucoup lors des concerts parce que je suis fier de tout ce qui se passe et que cela me fait du bien aussi. Ce que je raconte m’est arrivé mais est arrivé aussi à plein d’autres personnes. Ce qui est troublant ce sont les gens qui viennent m’en parler à la fin du concert en disant : "C’est ma vie".

La chanson est une thérapie ?

Cali : Oui. Il y a l’idée de ne plus mentir du tout, ou pas trop. J’ai souvent été un grand menteur, un imposteur total. Et quand tu te couches le soir tu te dis : "C’est pas bien ce que tu dis car ce n'est pas la vérité". Et là aujourd’hui c’est tellement vrai, je le dis. Je sors de là lavé et heureux. C’est bien de ne pas tricher et de s’en rendre compte. On m’avait posé cette question et j’avais répondu 2–3 fois que depuis, ce qui était troublant c’est que, j’ai des frères et des sœurs, 2 de mes sœurs me parlent de choses précises avec moi sur ma vie. Ce qui est parfois tabou dans les familles.

Le titre de l’album est "L'amour parfait" parce que vous êtes à sa recherche ou c'est le sens de vos chansons ?

Je suis fan de Brautigan et au début quand je choisissais un titre il faisait 4 lignes, des trucs anti-commerciaux au possible que tu ne peux pas retenir. Ça faisait beaucoup rire et ça me plaisait. Didier Varot de France Inter m'a dit "Mais cet album c'est l'amour parfait !". Et le titre était trouvé. Deux mots pour un titre qui a toujours autant de relief pour moi.

Comment se passait l'écriture des morceaux? Dans de grands moments de déprime?

Cali : Non, ce n'était pas de la déprime. J'étais seul dans mon studio, la guitare dans la cuisine et le piano dans le salon dans un bordel de célibataire. L'idée était d'attraper des moments d'émotion hors vie. Quand on est heureux, perché, ailleurs après une lecture ou un film. A ce moment là on écrit, et quand on sent ce moment retomber il n'y a plus rien à dire. Il faut s'arrêter sinon c'est du remplissage. Aujourd'hui, j'écris dans le bus et l'hôtel. L'écriture c'est mon truc. Si aujourd'hui plus personne ne veut de moi et que je fais un autre métier pour vivre, je continuerai à écrire des chansons.

Est-ce une bonne idée d’organiser un festival autour d’une maladie ?

Cali : Il ne faut pas dénigrer le côté financier. J’ai demandé à mes musiciens et ils ont accepté de ne pas être payés aujourd’hui. Ce festival doit remplir les caisses. Solidays c’est super. Mais je crois aussi à des événements nationaux. Parce que Solidays n’a pas beaucoup d’écho à Perpignan d’où je viens. Nous sommes derrière les Têtes Raides avec leur Chaos social et le 25 septembre prochain nous organisons un concert nous à Perpignan eux à Paris et nous espérons qu'il y en aura plein dans d'autres villes pour dire qu'il se passe quelque chose partout ce jour-là. Il faudrait que Solidays existe partout en France le même jour. Il y a eu le Band aid il y a quelques années...

Le problème c'est qu'il y a toujours des connards pour dire que les artistes devraient se contenter de chanter. Or, il y a des gens qui savent chanter et qui ont la conscience et l'intelligence de pouvoir bouger les choses. Les critiques contre Bono me révoltent. Dans le festival j'ai rencontré des gens responsables et intelligents. Il y a une bonne scène et on pourrait faire des choses.

Cela vous plairait-il d'écrire une musique de films?

Cali : Oui, beaucoup. L'idée de poser de la musique sur des images…waouh

Qu'est ce qui est le plus angoissant dans une tournée?

Cali : C'est de ne pas être avec ma famille. Nous faisons 160 dates cette année et quand on ne joue pas je fais la promo. Comme je suis de Perpignan je dois monter à Paris. Je fais un métier d'égoïste. Ma famille est fière de ce que je fais mais je ne suis jamais là. Et cela fait partie des petits mensonges de ma vie. Je ne raconte pas tout. Quand il se passe des choses très belles je dis que c'était bien mais je ne dis jamais qu'on s'est éclaté parce que les miens n'étaient pas là pour le vivre. C'est le prochain palier de ma carrière. Aujourd'hui c'est de bien avancer professionnellement pour ramener ma vie de famille à côté. Sinon ce n'est pas la peine de continuer.

Vous seriez prêt à arrêter pour votre famille ?

Cali : Oui.

Grand blanc...

 

 

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En savoir plus : Cali sur Internet

crédit photos : Froggy


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"Pièce montée" de Pierre Palmade
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Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

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