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The Washington Dead Cats - Garage Lopez - Two Tone Club  (Paris (La Maroquinerie))  22 décembre 2004

C’est à la Maroquinerie que s’est déroulé, à l’initiative des Washington Dead Cats, la seconde édition du Festival Treat me bad (le titre de leur dernier album).

18h30 : Mathias, le chanteur du groupe, nous explique peu avant le début des festivités, qu’il se sent ici "comme à la maison", et que c’est pour les Wash» l’occasion d’inviter les artistes qu’ils apprécient.

Au programme de cette soirée les Garage Lopez, puis les Two Tone Club, et enfin pour clôturer le festival les Wash.

 

20h15 : Un drôle de M. Loyal (Spaceman), la guitare en bandoulière et des reprises d’Elvis plein le sac nous accueille.

C’est ce personnage à l’humour anglais très décalé qui officiera pendant les intermèdes musicaux et mettra le feu à la salle pour annoncer les groupes. Il tiendra son rôle à merveille, un gentleman.

 

 

 

20h30 : Les Garage Lopez font leur entrée.

C’est une formation rock canonique que nous découvrons : guitare, batterie et le chanteur à la basse.

Les morceaux s’enchaînent à vitesse supersonique, que dis-je, à la vitesse des Ramones sans le fameux "One, two, three, four" en ouverture.

 

Du rock garage pur jus. Les instruments sont prêts à prendre feu.

Nous remarquons la performance du batteur, dont les lunettes noires sont le seul attribut vestimentaire dès la moitié du concert.

Le mot pour qualifier leur prestation: efficace !

 

 

 

21h00 : Intermède. Dans la salle, Mademoiselle Noël essaime des pétales d’amour.

21H15 : Les Two Tone Club débarquent en force.

Cuivres nombreux, clavier, guitare, basse, batterie et un chanteur sans entrave instrumentale, normal ; il n’arête pas de danser et bouger.

C’est le moment SKA du festival, ultra festif et très communicatif.

Difficile de prendre des photos, mes jambes ne répondant plus et entamant seules des pas de danse. Sur la gauche de la scène, les Blues Brothers manient avec dextérité leurs instruments : trompette, trombone et saxo.


Sur la droite, un contraste saisissant entre un bassiste stoïque et longiligne, et un guitariste aux allures de lutin survolté. La complémentarité des instruments est évidente, et l’interprétation très réussie. Sur le dernier morceau, Mathias se joint au groupe et esquisse des pas de danse, lui non plus ne peux résister à l’univers festif des Two Tone Club.

Très bon.

22h00 : Petit intermède, Spaceman est de retour !

22h15 : Les Washington Dead Cats entament leur concert en fanfare. Les monstres prennent la maroquinerie d’assaut : un sorcier vodou, des morts vivants, des momies et Frankenstein. Seul Mathias, le chanteur est déguisé en être humain !

Là encore, la formation musicale est étoffée : des cuivres (sax, trompette et trombone) viennent compléter un chœur composé d’une guitare, d’une basse et d’une batterie. La voie profonde de Mathias apporte la dernière pierre à l’édifice, suave ou sèche selon les titres.

 

Le thème du diable est souvent présent dans les textes des morceaux, et c’est son image sexy que nous découvrons, entourée des flammes de l’enfer.

Les Wash savent faire monter la pression, et capter l’attention. L’enchaînement des titres est savamment orchestré, une alternance de morceaux rapides et plus lents.

 

 

 

Une large place est laissée aux titres de leur dernier album, que nous découvrons avec délice.

C’est à la fois punk, cadencé et très rock, sans jamais sombré dans la vulgarité.



Le jeu de Fred Beltran à la guitare étaye le propos, fin et puissant. Plus de quatre vingt dix minutes de pure folie. On en redemande !

Aux alentour de 0h00 : Après plusieurs rappels, les Wash clôturent le festival sur "Viva Las Vegas", une reprise qui synthétise leurs influences.

Le public en nage et repu de rock quitte la salle.

On reviendra !

 

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Crédits photos : Laurent

Plus de photos : www.tasteofindie.com


Laurent         
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Le monde d'après ne sera sans doute pas mieux que celui d'avant. Ces 2 mois de répit n'auront sans doute servi qu'à amplifier les frustrations en tout genre. Sans prétendre y remédier voic de quoi vous détendre un peu avec notre sélection culturelle de la semaine.

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"Christophe Alévêque revient bien sûr"

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de l'Europe :
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et plus loin encore aux Etats-Unis vers le Musée Isabella Stewart Gardner à Boston
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de la comédie : "Le boulet" de Alain Berbérian et Frédéric Forestier
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"Marion, 13 ans pour toujours" de Bourlem Guerdjou
"Happy Sweden" de Ruben Östlund
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"Coup de foudre à Jaïpur" de Arnauld Mercadier
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du thriller :
"The Watcher" de Joe Charbanic
"Résurrection" de Russell Mulcahy
du fantastique : "Godzilla" de Masao Tamai
les années 40 au Ciné-Club :
"Boule de suif" de Christian Jaque
"Le carrefour des enfants perdus" de Léo Joannon
et un clin d'oeil au début du cinéma avec "Le Voyage dans la Lune" de Georges Méliès

Lecture avec :

"BeatleStones" de Yves Demas & Charles Gancel
"L'obscur" de Phlippe Testa
"La géographie, reine des batailles" de Philippe Boulanger
"Trouver l'enfant / La fille aux papillons" de René Denfeld
et toujours :
"J'aurais pu devenir millionnaire, j'ai choisi d'être vagabond" de Alexis Jenni
"Les Beatles" de Frédéric Granier
"Washington Black" de Esi Edugyan

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

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