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puce The Vandals - Underminded - The God Awfuls
La Boule Noire  (Paris)  27 janvier 2005

Kung Fu Records ça vous dit quelque chose? Non pas savatte-manchette double kick-kick-nesquick dans ta face, c'est l'un des plus gros labels de punk-rock US (c'est ce qu'on appelle une entrée en matière francassante...soignez vos accroches qu'ils nous répêtaient à l'école...là, on peut dire que c'est soigné), et en ce jeudi 27 janvier ils nous envoient trois groupes de chez eux histoire de dégourdir nos menbres frigorifiés.

Soirée spéciale Kung Fu ou pas, la présence des Vandals à l'affiche a suffi à rameuter une bonne partie des keupons de la capitale boulevard Rochechouart.

19h30, c'est le jeune groupe Underminded qui ouvre la soirée devant une trentaine de curieux. L'acceuil se fera mitigé et plutôt froid, il faut dire que ces 4 garçons aux alllures de teenagers U.S (en même temps c'est ce qu'ils sont) pratiquent un punk-hardcore à la frontière de l'emo un peu trop ancré hardcore pour le parterre de punks rockers présents (ce qui moi ne m'a pas dérangé).

Pendant 30 min, ils déversent leur musique à classer entre Shaï Hulud (avec une voix moins vénère) et Thrice. Un rythme déstructuré, lourd, mené par une voix geularde (mais pas trop), avec des passages double-pédales bien senties (le batteur se débrouillait pourtant bien) et quelques plans carrément punks. Rien de bien original, mais une musique bien foutue, bien éxécutée qui donne envie de sauter partout.

Ensuite, c'est le punk rock'n'roll de The Gods Awfuls qui débarque. Un punk qui doit beaucoup à des groupes comme Rancid ou les Dropkick Murphys, avec une voix éraillé, des choeurs très stylé californiens et une réelle énergie sur scène qui fait plaisir à voir. Perso, j'ai trouvé que tout ça se ressemblait beaucoup dans l'ensemble et j'ai assez vite décroché. Mention spéciale aux deux derniers titres où le chanteur guitariste délaisse sa gratte pour se poser un vrai frontman, ce qui donnera un peu plus de relief au show.

21h35, les légendaires californiens des Vandals arrivent, sans Josh Freeze évidemment (l'un des meilleurs batteurs au monde qui officie dans près de 12 groupes et qui est le batteur studio des Vandals et qui les accompagne en tournée seulement qu'aux U.S.A, peut-être la seule personne du monde de la musique à être plus busy que Mike Patton). A partir de ce moment là je ne sais plus vraiment quoi penser de ce concert.

Un show totalement contradictoire se déroule devant moi.

D'un côté, le chanteur nous prévient qu'il a des petits problèmes de voix et qu'il ne faudra pas lui en vouloir, il ne semble pas heureux outre mesure d'être sur scène et il mettra un terme au concert au bout d'une heure seulement (ah ces amerloques).

Et de l'autre, le guitariste (chanteur sur quelques morceaux) pêta totalement les plombs et devint imprévisible (ce qui agacera son collègue décidemment peu enclin à rigoler ce soir). Quand il passe au chant sur le tubesque "Don't stop me now" (tiré d'Hollywood potato chips leur dernier album en date) et le non moins énorme "I have a date", il fait taire le reste du groupe sur le break pour emmener le public dans un interminable sing along avec lui (il chante, on reprend etc...). Il s'empare d'une toute petite guitare se la met dans le pantalon et l'agite bizarement, il renverse des bouteilles d'eau sur les toms du batteur (celui d'Alkaline Trio, en remplacemant de Josh Freeze donc), et finira le concert à poil. Une attitude assez hilarante et incontrôlable (il faudra que la chanteur lui signifie qu'il aimerait bien continuer à jouer sinon je pense qu'on n'y serait encore à l'heure qu'il est).

Bref, un concert bizarre, imprévisible, mais sacrément trop court

A 35-40 ans, on peut comprendre qu'un groupe comme les Vandals n'est plus la même excitation de jouer qu'il y a 15 ans, mais quand même ce n'est pas tous les jours qu'ils viennent jouer à Paris !

Allez les gars, sans rancunes et à une prochaine fois.

 

Romain         
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# 2 février 2020 : Place aux crèpes

Finie la saison des galettes, place aux crèpes. Un début d'année placé sous le signe de la gourmandise. On se régale aussi de nouveautés au théâtre, au cinéma, au musée, chez nos libraires et disquaires. C'est parti pour le programme.

Du côté de la musique :

"A fuck toute, a love tout" de Rodrigue
"Sentinelle" de Superbravo
"Juillet" de En Attendant Ana
"Brahms : Fantasien, 116, Intermezzi, 117 & Klavierstucke OP 118" de Hortense Cartier Bresson
"Ce qui demeure" de Jean Louis Bergère
Philippe Katerine était au Fil de Saint Etienne avec Eveno
"Prévert parade" de André Minvielle et Papanosh
"Everything begins" de BO
"Bretagne[S]" de Ensemble Gustave
"The underground secession" de Feu Robertson
"Whosampled.com Part 2", le nouveau mix de Listen in Bed
"Paradais" de Tito Candela
et toujours :
"Pesson, Abrahamsen & Strasnoy : Piano concertos" de Alexandre Tharaud
"Paris Beyrouth" de Cyril Mokaiesh
"Water is wet" de Theo Hakola
"Musique de chambre" de Le Noiseur
"Les identités remarquables" de Tristen
Interview avec No One Is Innocent à Saint Lô
Theo Lawrence et Mr Bosseigne au Fil
"La légende de Nacilia" de Nacilia
"C'est quoi ton nom ?" de Blankass
"Il est où le bonheur" 9ème émission de Listen in Bed
"Swin, A Benny Godman story" de Pierre Génisson, BBC concert Orchestra et Keith Lockhart

Au théâtre :

les nouveautés avec :
"Huis Clos" au Théâtre de l'Eepée de Bois
"Splendeur" au Théâtre 71 à MAlakoff
"Les Bains macabres" au Théâtre Athénée-Louis Jouvet
"Est-ce que j'ai une gueule d'Arletty ?" au Théâtre Gaité Montparnasse
"Marie des Poules" au Théâtre du Petit Montparnasse
"Uncanny Valley" au Centre Culturel Suisse
"Le Paradoxe sur le comédien" au Théâtre La Croisée des Chemins- Belleville
"Choses vues" au Théâtre de Poche-Montparnasse
"C'est bizarre l'écriture" au Théâtre Les Déchargeurs
"Mamma, sono tanto felice" au Lavoir Moderne Parisien
"François Rabelais" au Théâtre Essaion
"Rien plus rien au monde" au Théâtre de la Contrescarpe
"Aimez moi" au Théâtre Les Déchargeurs
"La Lune en plein jour" au Théâtre de la Huchette
"Olivia Moore - Egoïste" à la Nouvelle Seine
"Mudith Monroevitz" à la Nouvelle Seine
les reprises :
"Le Voyage musical des Soeurs Papilles" à la Comédie des Trois Bornes
"Fausse note" au Théâtre de la Contrescarpe
"Cyrano" au Théâtre Le Funambule-Montmartre
"La Passe imaginaire" au Théo Théâtre
"Jos Houben - L'Art du rire" à La Scala
et la chronique des autres spectacles à l'affiche

Expositions avec :

la dernière ligne droite pour "Greco" au Grand Palais

Cinéma avec :

"La Dernière vie de Simon" de Léo Karmann
et la chronique des films sortis en janvier

Lecture avec :

"Basse naissance" de Kerry Hudson
"Comment le roi à perdu la tête" de Ville Ranta
"Et Mara ferma les yeux" de Denis Jeambar
"La cité de feu" de Kate Mosse
"La septième croix" de Anna Seghers
"Les sables de l'empereur" de Mia Couto
et toujours :
"Le ciel à bout portant" de Jorge Franco
"Le prix de la démocratie" de Julia Cagé
"Les champs de la Shoah" de Marie Moutier Bitan
"Les rues bleues" de Julien Thèves
"Trois jours d'amour et de colère" de Edward Docx

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

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