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Lazaretto  (Third Man Records / XL Recordings / Columbia Records)  juin 2014

Tout a déjà été dit sur Jack White. Il fait partie désormais et, souhaitons-le pour longtemps, de ces artistes qui se suffisent à eux-mêmes. Un disque sort et ses fans se précipitent. Deux Olympias dans la foulée, pas de problème. Le tout sans 4x3 dans le métro, ni pub TV. Juste des fans et des tas d'articles dans la presse parce que tout bon journaliste culturel ne doit pas passer à côté du phénomène White aux mains d'or. Et c'est bien mérité, qu'on se le dise.

Bref, je me suis dit comme ça en écoutant pour la énième fois ce Lazaretto que ce n'est pas parce que le gars White n'a pas besoin de moi pour vendre ses disques que je ne peux pas donner mon avis, qui sait quelques lecteurs qui ne liraient que Froggy's Delight pourraient faire une belle découverte.

Alors d'abord, il faut dire que Jack White et son indéfectible label Third Man Records ne se foutent pas de la gueule du client. Si l'album existe évidemment en numérique et en CD, c'est sur la version vinyle que l'effort a été fait. Si, de prime abord, le disque ressemble tout à fait à n'importe quel autre, il s'avère néanmoins plein de surprises au rang desquelles un mastering spécifique au support et différent des autres versions, une face qui se lit du centre vers l'extérieur et d'autres choses à découvrir une fois l'objet en mains. C'est classe et cela incite évidemment à l'achat plutôt qu'à écouter de tristes fichiers sur son PC.

Ceci dit, quel que soit le support choisi, c'est tout de même le contenu qui est le plus important et là aussi, il y a de quoi se réjouir. Le blues de White est plus que jamais énergique et jouissif, avec un potentiel tubesque qui n'a rien à envier à son "Seven Nation Army" à commencer par le titre introductif "3 women". C'est à la fois brut et pourtant ciselé à la perfection, une énergie canalisée mais pas retenue. On se trouve indéniablement en face d'un artiste en pleine maîtrise de son art et dont le plaisir pris à faire des disques se communique par et au-delà de ses morceaux.

Il n'y a qu'à écouter "Lazaretto" pour s'en convaincre, White y jouant à prendre son propre contre-pied sur un etonnant final. Maîtrise des instruments et des mélodies mais aussi de sa voix qui se promène du côté de chez Bowie, le temps d'un "Temporary Ground" ou des Stones sur "Just one drink".

Ce disque est à la fois un exercice de style et un hommage au blues qu'il aime tant et qu'il modernise largement en s'autorisant aussi à peu près tout et n'importe quoi, comme cette diction presque rap sur un fond un rien funky sur le titre "That black bat licorice", un brin Prince-ier boosté. Un disque riche, réjouissant et original que ce Lazaretto, certes au casting moins spectaculaire que ses précédents projets mais qui risque néanmoins de faire date. White is White.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Blunderbuss de Jack White
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Jack White en concert au Festival Beauregard #10 (édition 2018) - Vendredi 6 juillet

En savoir plus :
Le site officiel de Jack White
Le Myspace de Jack White
Le Facebook de Jack White


David         
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# 21 juin 2020 : la Fête de la Musique Sanson

Cette année, pas vraiment de Fête de la Musique, juste un exercice imposé par le gouvernement de faire chanter un titre de Véronique Sanson à tous les musiciens (non nous ne sommes pas en Corée du Nord). De notre côté nous avons réalisé notre 3ème numéro de la Mare Aux Grenouilles à revoir ici. Pour le reste voici le sommaire.

Du côté de la musique :

"As found" de Fugu
"Désordres" de Austyn
"Anda Lutz" de Cie Guillaume Lopez
"A l'instinct A l'instant" de Daniel Jea
"Cérébro dancing" de Epilexique
"Cobra" de François Club
"Coquette" de Hailey Tuck
"Springtime with no harm" épisode 18 des mixes de Listen In Bed
"Fanfare XP, volume 2" de Magic Malik
"Avec son frère" de Volo
"Safeplace" de Yadam
et toujours :
"Après le soir" de Camille Bénâtre
"Le love & le seum" de Charles-Baptiste
"New age norms 1" de Cold War Kids
Interview de Datcha Mandala autour de leur album "Hara"
"Mutations Les chimères de Clément Janequin" de Ensemble Thélème & Quatuor XASAX
"Le sismographe / Noyé" de Gontard!
"La battue" de Les Marquises
"Two Lovers" 17eme mix de Listen in Bed
"C'est la vie" de Olivier Perrot
"Knot" de The Nits
"To save what is left" de Roseland
"Parisienne" de Sarah Lancman

Au théâtre

l'actualité du spectacle vivant avec en "direct live" :
"Hedda" au Théâtre de Belleville
"Fabrice Petithuguenin - C'est compliqué" au Théâtre Le Bout
et toujours dans un fauteuil de salon avec :
des créations :
"Sales gosses" de Mihaela Michailov
"Le Bonheur (n'est pas toujours drôle)" d'après Reiner Werner Fassbinder
"Pichet Klunchun and myself" de Jérome Bel
"Le pont du Nord" de Marie Fortuit
"Invasion !" de Jonas Hassen Khemiri
"Jimmy's blues" à la Maison de la Poésie
 du classique avec Marivaux en deux versions :
Le Mariage de Figaro" par Jean-Paul Tribout
"La Folle Journée ou le Mariage de Figaro" par Rémy Barché 1ère partie - 2ème partie
Au Théâtre ce soir :
"Am Stram Gram" de André Roussin
"Des choses merveilleuses" de Claude Reichman
"Noix de coco" de Marcel Achard
et du côté des humoristes ::
"Noëlle Perna - Mado la niçoise" 1ère partie - 2ème partie
"Jérôme Commandeur se fait discret"

Expositions :

voir des expositions en "real life" avec la réouverture progtressive des musées :
"Harper's Bazaar, premier magazine de mode" au Musée des Arts Décoratifs
"James Tissot (1836-1902), l'ambigu moderne" et "Au pays des monstres - Léopold Chauveau"  au Musée d'Orsay
"Christan Louboutin - L'Exhibition[niste]" au Palais de la Porte Dorée
"Cézanne et les maîtres - Rêve d'Italie" au Musée Marmottan-Monet
"Coeurs - Du romantisme dans l'art contemporain" au Musée de la Vie romantique
"Les Contes étranges de N.H. Jacobsen" au Musée Bourdelle
les Collections permanentes du Musée Cernushi
"Le Monde selon Roger Ballen" à La Halle Saint Pierre
"Helena Rubinstein - La collection de Madame" et "Frapper le fer" au Musée du Quai Branly
"Monet, Renoir... Chagall - Voyages en Méditerranée" à l'Atelier des Lumières
"La Force du dessin - Chefs-d'oeuvre de la Collection Prat" au Petit Palais
"Esprit es-tu là ? Les peintres et les voix de l'au-delà" au Musée Maillol
"Soleils Noirs" au Louvre-Lens
la salle "Les Nymphas de Claude Monet" au Musée de l'Orangerie
"Le dessin sans réserve. Collections du Musée des Arts Décoratifs" au Musée des Arts Décoratifs
"Le 61 rue de Monceau, l’autre hôtel Camondo" au Musée Nissim de Camondo
et pour ceux qui ont vut l'exposition numérique "Gustav Klimt" à l'Atelier des Lumières à Paris,découvrir celle intitulée "Gustav Klimt, d'or et de couleurs" au nouveau site du Bassin des Lumières à Bordeaux

Cinéma at home avec :

à visionner en "home cinéma" :
des films contemporains :
"Jeune femme de Léonor Serraille
"Soul kitchen" de Fatih Ak?n
"Claire Dolan" de Lodge Kerrigan
de la comédie : "Mr et Mrs Smith" de Doug Liman
du peplum : "La charge de Syracuse" de Pietro Francisci
de l'action : "Kickboxer : Vengeance" de John Stockwell
des films cultes avec :
un western :"La Chevauchée fantastique" de John Ford
du kung fu : "A touch of zen" de King-Hu
du drame à l'indienne : "Vanaja" de Rajnesh Domalpalli
le Ciné-Club des années 60 :
"Qu'est-il arribé à Baby Jane ?" de Robert Aldrich
"Main basse sur la ville" de Francesco Rosi
"Le Tracassin ou Les Plaisirs de la ville" d'Alex Joffé
et une curiosité : "Jack Brooks, tueur de monstres" de Jon Knautz

Lecture avec :

"Le jour où Kennedy n'est pas mort" de R.J. Ellory
"Mauvaise graine" de Nicolas Jaillet
"Une immense sensation de calme" de Laurine Roux
et toujours :
"Et les vivants autour" de Barbara Abel
"L'iguane de Mona" de Michael Uras
"Mothercloud" de Rob Hart
"Trahison" de Lilja Sigurdardottir

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Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

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