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Interview  (Paris)  vendredi 8 avril 2016

Parfois on a de la chance, par exemple assister à une session de Séverin tout en "hop une prise", malheureusement parfois on a moins de chance, puisqu’il aura fallu deux prises pour que cette interview se fasse. Evidemment, ce n’est pas ma faute c’est la faute de mon enregistreur et quant à l’adage qui dit : "il n’y a pas de mauvais outils, il n’y a que de mauvais ouvriers", sachez-le il est faux. Heureusement, Séverin est poli (le cœur, le visage), il est aussi très charmant et a donc gentiment accepté de se re-prêter dans son studio à un interview en mode bis repetita.

Voce ja fala melhor portugues ?

Séverin : Falo português molto bon.

Não me… On va continuer en français. Sur internet pour teaser l’album, vous avez choisi des petits extraits de films ou d’émissions en introduction des morceaux, avec France Gall, Souchon… Comment avez-vous fait le choix de ceux-ci ?

Séverin : C’est moi qui ai fait le choix et les petits montages, ce sont des vidéos qui me parlaient soit parce que c’était des artistes que j’aimais bien, soit parce que ça racontait des choses qui correspondaient au disque que je propose. Je finis d’ailleurs avec un extrait avec Coluche où il dit qu’il faut "absolument acheter ce disque" !

Vous imaginez vos chansons comme des petites histoires ou vous ne vous concentrez que sur des aspects autobiographiques ?

Séverin : Ce n’est pas contradictoire, non ? Je pense que c’est autobiographique ou biographique pour certaines parce que ce sont des histoires de gens que je connais, c’est ce que j’ai cherché à faire, m’inspirer d’histoire que je connaissais, je n’ai pas inventé des histoires, j’ai mis en histoire des choses que j’ai vécu, c’est donc un peu les deux. Mais pour moi l’écriture en français, et ce que je veux faire, c’est raconter des histoires.

Vos textes sont très personnels, comme dans "Ton ADN" par exemple, quelle limite posez-vous à dévoiler votre intimité ?

Séverin : Le but, c’est que ça puisse toucher d’autres gens que moi, donc on ne va pas trop rentrer dans les détails vraiment précis de choses trop personnelles qui n’affectent que moi parce que chacun a ses particularités quand même, chacun est sensible sur des petites choses. Mais après il faut que ce soit vrai et penser à l’auditeur, mais ça dépend des chansons, sur beaucoup j’ai vraiment pensé à l’auditeur que ça puisse leur parler, c’est-à-dire enlever les choses qui étaient un peu trop détaillées. Mais il y a aussi des chansons comme "Parasol", où je vais quand même loin dans l’intimité, et cette chanson je l’ai faite pour ma femme, je ne l’ai pas tellement faite pour le public.

C’est un peu un mélange des deux en fait, c’est ce que m’avait dit Etienne Daho quand je l’avais rencontré : globalement plus tu parles de toi, plus tu parles aux autres. Si tu essaies de mettre des filtres pour maquiller un peu quelque chose que tu as connu, tu vas croire que c’est plus large, plus universel, mais en fait les gens vont moins se retrouver dedans…

Il y a un contraste entre la forme (une pop légère) et le fond (des textes graves), comment l’envisagez-vous ?

Séverin : C’est l’âge ! C’est le fait d’avoir trente ans… ou un peu plus. On sait que la vie n’est pas facile, donc je n’ai pas envie de raconter que du "Youpla Boum !". C’est une forme de politesse que j’ai, c’est-à-dire que ce ne soit jamais trop premier degré, un peu trop frontal, que même les textes un peu durs puissent être soit un peu jolis soit même joyeux, même si le fond n’est pas forcément joyeux.

Justement en parlant de texte sérieux, il y a un texte comme "France", une véritable déclaration d’amour, comment cela vous est venu ?

Séverin : C’est vrai que ce n’est pas tellement les sujets que j’aborde d’habitude, même jamais en fait. Mais là c’est vraiment une coïncidence, c’est-à-dire que j’habite au-dessus d’une synagogue, et voir plein de CRS garder un mariage, puis voir des catholiques intégristes qui gueulaient contre l’avortement, juste après avoir vu Zemmour à la télé. Tout ça en une journée, j’ai eu un sentiment d’être un peu pris à la gorge, j’ai eu envie de dire que tout ça ne ressemblait plus à la France et à l’idée que je m’en faisais, à mes souvenirs d’enfant...

Dans votre précèdent disque, il y avait un petit côté Jacno alors que celui-ci est plus dans une certaine variété comme pouvait le faire Pierre Vassili ou Nino Ferre ou Pierre Barouh, comment avez-vous envisagé ce petit changement de registre ?

Séverin : Je ne l’ai pas envisagé, ce n’était pas tellement pensé mais maintenant qu’il faut analyser puisque le disque est fini et qu’on m’en parle, je pense que c’est le fait de moins se cacher. Se mettre en mode chanteur et laisser les musiciens jouer ma musique plutôt que vouloir tout diriger, sentir plus un sentiment de liberté et que les mots, le chanteur soit plus en avant, ce que je ne faisais pas avant, je mettais beaucoup de maquillage alors que là il n’y en a pas trop. L’idée, c’était de se concentrer sur le propos, comment j’en suis arrivé à ça ? Je pense que c’est d’être un peu mieux dans ses baskets, de mieux savoir qui on est… Avant je voulais être "cool", je voulais être "branché" et maintenant je crois que je m’en fous…

Après le mot variété, évidemment il ne fait pas rêver, moi qui suis né au début des années quatre-vingt, quand tu me dis variété c’est Calogero, Pascal Obispo tout ça, et ce n’est pas du tout ma culture. Donc si on me met dans la même case que ça, ça me fait un peu mal. Mais c’est comme la chasse, il y a les bons et les mauvais chasseurs ! Pour beaucoup de gens qui aiment la musique anglo-saxonne, variété sonne comme un péché, alors que c’est le mot pour dire "Pop". Et ce que j’aime bien avec le français qui peut être presque plus varié que la musique anglo-saxonne, et c’est vrai pour beaucoup d’artistes que j’adore, tu peux en français, avec des mots qui ont tellement une incidence sur la musique, faire plusieurs disques, dans des styles complétement différents et garder toujours l’identité du chanteur, ce qui est plus rare en anglais. Gainsbourg par exemple, il peut faire tous les styles de musique, ça reste du Gainsbourg et il y a moins d’exemple anglo-saxon de gens qui font tous les styles dans leur carrière.

Que gardez-vous de l'expérience où justement vous contrôliez tout, où vous faisiez tout tout seul ?

Séverin : Ça me sert surtout pour mon métier à côté de réalisateur de disque pour les autres ou de producteur, ça me sert toujours. Mais aujourd’hui c’est séparé, aujourd’hui j’ai commencé, enfin je continue toujours, à écrire de nouvelles chansons et je ne m’intéresse plus du tout à l’emballage, je ne me concentre plus que sur le texte et la mélodie. Alors qu’avant je cherchais vite, dès que j’avais un début d’idée je voulais l’enregistrer, essayer de la construire. Maintenant je n’allume même plus l’ordinateur, je prends ma guitare et j’enregistre sur mon téléphone...

Vous avez travaillé avec Jean Felzine qui s’occupe des guitares sur le disque, comment s’est faite la rencontre ?

Séverin : Je le connais depuis longtemps, on s’était croisé à la base par des amis en commun et par Jo Wedin, avec qui il a un groupe désormais, on s’est bien entendu. On a travaillé ensemble au studio où il jouait juste de la guitare, ça s’était super bien passé. C’est un excellent guitariste, c’est un des rares qui ait un son, et c’est pour ça que j’ai voulu travailler avec lui. On avait besoin d’un guitariste, moi je joue de la guitare mais je voulais chanter durant les prises, lui il a un son de guitare bien à lui, tu lui donnes n’importe quelle guitare il aura toujours son son c’est un vrai truc, ça fait un peu cliché de dire "holala c’est dans les doigts", mais c’est une réalité avec lui vraiment. Quoi qu’il fasse, il a plusieurs fois changé de guitares, même en utilisant certaines de mes guitares, franchement sur le disque je ne peux même pas dire quelles guitares il utilise contrairement à d’autres guitaristes où je pourrais savoir, parce que certains s’adapteraient à la guitare pour changer un peu leur façon de jouer. Lui il joue toujours avec sa façon, et il n’y en a pas beaucoup des guitaristes comme ça.

Du coup mon disque, c’est sa première expérience comme Sideman sur un autre projet, il l’a super bien fait et je crois qu’il a vraiment aimé. C’était un peu un pari, j’ai construit un groupe avec Mathias Fish (Lilly Wood & The Prick), Steffen Charron, Ambroise Willaume (Sage, Revolver) et Jean donc. C’était cinq jours d’enregistrement avec des gens qui n’avait jamais joué ensemble mais qu’avec des gens très doués et très forts et donc avec un certain ego, normal. On s’est réuni et le premier morceau qu’on a joué c’était "Contrôle ta Samba", on s’est retrouvé à neuf heures du matin et à dix heures et demi on avait le morceau bouclé, on a enchaîné comme ça et on en a fait dix en cinq jours…

D’ailleurs sur "Contrôle ta Samba", on retrouve Katerine…

Séverin : Oui j’avais fait des premières parties de sa tournée précédente pour mon album précédent, on s’est bien entendu. Je suis parti en Vendée écrire des chansons tout seul, juste à côté de là où il vient un peu par hasard et quand j’ai fait le morceau je n’ai pas tout de suite pensé à lui j’avoue, mais en revenant à Paris je l’ai croisé un soir, il m’a dit qu’il aimait bien ce que je faisais et puis le lendemain je lui ai envoyé un mail, et puis le surlendemain il était ici pour enregistrer, tout simplement.

C’est un chanteur dont vous vous sentez proche ? A l’écoute de votre disque, on retrouve parfois une certaine proximité avec Albin de la Simone également…

Séverin : C’est un peu la même famille je pense. Albin de la Simone a un morceau "Mes épaules" qui est super beau. D’ailleurs, je lui ai dit à Albin, au moment où je commençais à faire ce disque il avait dit en interview que sur son dernier disque il s’était autorisé à faire du "beau", pas réfléchir plus loin que ça, juste que ce soit beau, je me souviens que ça m’avait marqué cette phrase, j’avais trouvé ça… je ne sais pas… j’avais trouvé ça… beau... Enfin j’avais trouvé ça clair net et précis, vrai, alors qu’on était à un moment où je cherchais… C’est le sentiment que j’ai aujourd’hui avec les bons retours que j’ai sur le disque et le fait que ça plaise plus que mes précédents, il y a des choses intemporelles dans le disque qui n’est pas tellement finalement ce que les gens osent faire ces temps-ci, où on essaie toujours de vouloir faire "moderne", je prêche pour ma paroisse, mais ça y est on a tout fait, la modernité c’est donné du sens surtout. Moi j’ai juste essayé que ça ait du sens c’est ça le truc principal.

On dit souvent de vous que vous êtes "le chouchou de ces dames", vous le vivez bien ? Vous avez des conseils ?

Séverin : J’aimerai bien, je ne me rends pas compte… C’est parce que j’ai fait chanter beaucoup de filles mais bon… Mais moi je ne suis pas un mec à filles… Quand tu dis ça, j’ai l’impression d’être un playboy alors que ce n’est pas le cas hein, quand j’arrive dans une pièce, les gens ne s’arrêtent pas de parler. En fait, ce n’est pas du tout un truc de séducteur, c’est simplement que globalement je préfère la compagnie des filles, vraiment. Si tu me proposes un dîner entre cinq mecs et un diner avec cinq filles, je préfère largement aller avec cinq filles. Il y a plein d’idées de chansons qui me sont venues en écoutant des conversations de filles, je trouve que les femmes parlent beaucoup plus facilement que les hommes et en plus de façon plus intéressantes…

D’ailleurs, après avoir chanté avec beaucoup de chanteuse, vous chantez avec votre femme, qu'est-ce que cela fait de chanter avec sa femme ?

Séverin : Déjà elle n’était pas chère ! J’appréhendais un peu mais quand on s’est retrouvé en studio, c’était professionnel, ce n’était pas ma femme qui chantait, c’était une chanteuse au travail, par contre quand on a enregistré le clip dans ma cuisine, là c’était étonnant de chanter avec ma femme, et ça m’a fait exactement le même effet, lorsqu’au concert, elle est venue sur scène pour chanter avec moi, là c’était ma femme, je la voyais toute tremblante, presque paniquée, ici au studio, je la voyais toute studieuse, il y avait Etienne l’ingénieur du son, on était en face un peu caché par les micro, mais la voir sur scène comme ça, c’était… je ne sais pas…c’était ma femme quoi…

En parlant justement du clip France-Brasil, comment voyez-vous la mise en image de vos chansons ?

Séverin : Moi je fais confiance au gens qui ont leur vision des chansons, je n’ai pas souvent d’idée sur la mise en image des choses, je sais qu’il y a pas mal de chanteurs, de musiciens même quand ils font leur morceau ils imaginent déjà le clip et tout ce qui va avec. Moi je ne vois jamais tellement ça, je vois ce qu’il ne faut pas faire. Je suis pour laisser libre la personne qui dirige, ne pas mettre de barrière. Par exemple pour "Ca Ira tu verras", je trouve que le clip est réussi mais beaucoup de gens ne l’aiment pas parce qu’il est trop sérieux par rapport à ce qu’ils imaginaient quand ils écoutaient la chanson, mais ça ne pouvait pas être entre les deux. Le clip est peut-être un peu trop lourd pour certaines personnes d’après certains commentaires mais ça rejoint aussi un peu ce que je fais. Alors que pour "France-Brasil", ce n’est pas moi qui ait eu l’idée c’est mon manager, je trouve que ça représentait bien la chanson, ça ne pouvait pas être sérieux de toute façon, ça représente exactement notre duo, ce n’est pas une mise en abyme de la chanson, ça la prolonge.

Et enfin question art de vivre avec votre disque, vous conseillez plutôt une Feijoada sur une plage avec des amis ou un cassoulet en tête-à-tête avec une fille ?

Séverin : Des amis si c’est des amies filles, une feijoada évidemment. Bon il n’y a pas beaucoup de différence entre le cassoulet et la feijoada mais je crois que je préfère la feijoada quand même parce qu’il y a du manioc, et dans le cassoulet les haricots sont blancs et je préfère les noirs…

Après ce n’est pas forcément un disque à écouter entre amis, ça s’écoute plutôt tout seul. Moi j’ai du mal à écouter des disques avec des amis, tu sais il y a des gens quand tu vas diner chez eux ils mettent un disque en fond, bon moi je le fais aussi pour mettre une sorte d’ambiance, je pense qu’il y a beaucoup de gens qui n’écoutent de la musique que comme ça, moi j’ai besoin d’écouter religieusement, j’aime avoir l’objet, les livrets, lire les paroles en même temps…

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Crédits photos : Thomy Keat (Toute la série sur Taste of Indie)


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Séverin (08-04-2016)


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