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puce Festival Lollapalooza Paris #1 (édition 2017) - Dimanche
Seasick Steve - Rival Sons - I AM - Pixies - Lana Del Rey - Red Hot Chili Peppers  (Hippodrome de Longchamp, Paris)  22 & 23 juillet 2017

Seasick Steve

Seasick Steve débarque sur scène avec une bouteille de rouge à la main, s’installe dans son éternel vieux fauteuil rapiécé, attrape une de ses "pieces of shit" (des hybrides de guitare / banjo, fabriqué par Seasick à partir de tout et de rien avec souvent des cordes en moins) et dès les premiers riffs, la foule semble conquise !

S’enchaînent alors des morceaux blues plus ou moins calmes ou plus ou moins noisy. Comme à son habitude, il dédiera une ballade, à une jeune femme choisie dans le public pour monter sur scène et qui recevra un vinyle dédicacé. Le bonhomme communique beaucoup avec le public, plaisante, explique comment il fabrique ses instruments…

Musicalement, c’est simple mais efficace. Guitare / voix / batterie ni plus ni moins. Une vieille voix cassée qui rythme ce mélange énergique de blues, country, folk et rock dans une ambiance redneck à couper au couteau. L’homme est attachant et généreux. Il tourne régulièrement en Europe en festival. C’est vraiment un artiste à voir. On ne peut qu’apprécier même si on n'écoute pas ce genre de musique.

Très bon début de journée pour moi. Seul problème de ce concert, il était sur une main stage et les musiciens assez reculés sur la scène, donc pas très visibles, même pour ceux aux premiers rangs. Il aurait peut-être été judicieux de le placer sur une scène plus petite mais où il aurait été plus visible (surtout que le papy joue assis).

Rival Sons

Pour celles et ceux qui ne connaitraient pas Rival Sons, c’est un groupe de rock-blues californiens, fortement influencé par la scène des années 70 (Led Zep, les Doors, Deep Purple ou Black Sabbath…). L’entrée sur scène se fait sur "The Good, the Bad and the Ugly", d’Ennio Morricone (comme le faisaient les Ramones). La rythmique est lourde, le son est plus hard (teinté de psyché) que blues (ce n’est pas pour rien qu’AC/DC les ont déjà pris en première partie).

Jay Buchanan a une présence extraordinaire et sa voix fantastique envahit tout l’espace. Le chanteur ultra charismatique à une voix éraillée comme on aime bien et se donne à fond (malgré l’absence de chaussures et de chaussettes, ce qui est dangereux après le passage de Seasick Steve, on n’est pas à l’abri de marché sur un tesson de bouteille). C’est soul, c’est blues, c’est rock et c’est vraiment bon. Le son est fabuleux (ce qui sera le cas de tous les concerts du festival, ce qui est assez rare pour ne pas le dire), et les musiciens sont excellents. Le set est très énergique et groovy, avec peut-être des solos un peu trop longs. Pas le meilleur concert de la journée, mais suffisamment efficace !

I AM

Je n’ai jamais trop écouté I AM… J’étais plutôt Team NTM… Ce n’était pas une question régionale étant originaire de la moitié sud de la France, j’aurais normalement été pro I AM… C’est juste que je trouvais leur image trop gentillette. Trop lisse et moins énervé qu’NTM. Mais j’ai toujours eu beaucoup de respect pour eux. C’est donc avec beaucoup de plaisir que je suis allé voir le groupe sur scène (alors qu’Editors jouait en même temps).

Après une courte intro, Akhenaton et Shuriken ont déboulé sur scène et se sont donné sans compter... C’était directement le feu ! L'ambiance était plus que bouillante. Les reprises de vieux tubes s’enchaînent comme "Nés sous la même étoile", "L'école du micro d'argent", "Demain c'est Loin", "Le MIA", mais aussi des morceaux solos, comme "Les Bad Boy" d'Akhenaton, ou "Samouraï" de Shuriken. C’était vraiment génial, court mais très bon.

Seul énorme point négatif : la scène. Comme souvent avec les festivals organisés par Live Nation, ils programment les groupes locaux, mais en ont un peu rien à foutre. Au Download festival 1ère édition, ça a donné Mass Hysteria ou Gojira programmé en début d’après-midi, alors qu’ils ont la capacité de tenir des main stage en tête d’affiche. Avec I AM, c’est pareil. Programmé à 17h30 sur une petite scène, la foule a répondu présent et c’était donc assez difficile de les voir tellement il y avait de gens (même sur les côtés…) et pas d’écran géant vu que c’est une petite scène. Dommage. Mais d’un point de vue artistique, ce concert était une bonne petite claque !

Pixies

J’avais peur de ce concert. J’adore les Pixies, mais l’histoire du groupe est tellement chaotique. Les membres se détestent. La tournée anniversaire de leur album culte Doolittle avait donné lieu à des concerts les plus chiants dans l’histoire du rock. Puis depuis que Kim Deal a quitté le groupe (mais cette fois-ci en les laissant continuer à enregistrer et tourner sans elle), j’avais peur que ce soit encore plus chiant, Kim étant l’âme du groupe… Bref, je n’étais pas rassuré. Mais j’ai oublié mes peurs rapidement, tellement le concert était bon.

Alors comme d’hab, aucune communication ou presque avec le public (à part un ou deux merci de la part de la nouvelle bassiste qui a pas dû être bien briefée !). Comme d’hab, ça ne bouge pas trop sur scène. Mais comme ça n’avait plus été le cas depuis longtemps, ils ont déchiré, hurlé comme jamais. Ils ont enchaîné les classiques (sauf ceux écrits par Kim, faut pas déconner…). J’avais la chair de poule et j’ai chanté avec eux pendant 1 heure non-stop. Putain que ça fait du bien… La nouvelle bassiste fait le job, car il faut le reconnaître, c’est chaud de prendre cette place dans ce groupe. C’était presque aussi bon que leur concert à Rock en Seine juste après la reformation (presque aussi bien, mais sans la magie…).

Pour les concerts suivants, j’avais prévu d’aller voir Lana Del Rey, histoire de voir si j’allais trouver ça moins pathétique que lors de son passage à Rock en Seine il y a quelques années.

En arrivant devant la barrière de sécurité avec les autres photographes, on a appris que les photos entre la barrière et la scène n’étaient pas autorisées, et que si on en faisait en étant au milieu du public, il faudrait signer un contrat photographique avec Lana Del Rey. Au même moment, j’ai appris que contrairement à ce qu’on m’avait dit par mail deux jours avant, je n’aurais pas accès au Pit Photo pour les Red Hot non plus… Ce n’est pas grave, je vais donc continuer en dessin…

Lana Del Rey

Lana Del Rey est un peu plus à l’aise sur scène. Elle dit elle-même qu’elle déteste ça et qu’elle voudrait juste faire des albums sans avoir à faire de concert. Ça se voit moins qu’il y a quelques années. Mais ça reste chiant comme la mort. Je n’ai jamais vu quelqu’un minauder autant que Lana Del Rey… C’est insupportable.

Red Hot Chili Peppers

Pour les Red Hot Chili Peppers, je dois reconnaître que j’avais envie de les voir. Surtout qu’ils commencent à dire en interview qu’ils pensent à arrêter de faire des concerts car ils vieillissent. Donc j’allais à ce concert en espérant m’en prendre plein la tronche. Et je suis tombé de très haut. Si le début du set était sympa, c’est vite devenu assez chiant. Ils n’ont joué principalement que des tubes des derniers albums, mais rien des tubes des années 90… Où sont passés "Under the bridge", "My Friends", "Aeroplane", "Suck my kiss" ? Par contre, ils nous ont fait trois reprises (des Stooges, de Chris Isaak et de Stevie Wonder). Putain, on vient voir les Red Hot, alors donnez-nous du Red Hot et pas 3 reprises sur un concert d’une heure trente. Même le "Give it away" final était plutôt mou du genou.

Bref, je parle des mauvais points mais j’ai quand même kiffé à deux ou trois moments. Je m’imaginais avec mon pote Julien, qui est un grand fan des Red Hot et avec qui je vais régulièrement en concert, mais qui n’était pas là ce soir.

Je suis content de les avoir vus, je suis content de les avoir vus en festival avec un pass press et donc de pas avoir payé un prix exorbitant pour une des tournées de grandes salles.

Sinon le festival en lui-même n’était pas foufou non plus. Une programmation pas terrible et un peu déséquilibré. Beaucoup de trucs intéressants le dimanche mais pas grand-chose le samedi, en tout cas pas suffisamment pour avoir envie de prendre un pass 2 jours… C’est décevant surtout car Lollapalooza est le festival culte des années 90… Je rêvais d’y aller quand j’étais ado. Quand tu vois que des groupes comme NIN, Body Count, Soundgarden, Pearl Jam, RATM, Tool, Cypress Hill, Temple of the Dog, Alice in Chains, les Ramones, Beck, Patti Smith, Metallica, Wu-Tang Clan, QOTSA y passaient et que nous pour cette première version française, on a eu Walk off the earth ou London Grammar… ça fait moyennement rêvé !

Par contre, pour un festival Live Nation, je dois reconnaître qu’ils ont fait un effort sur les stands, beaucoup plus facile de s’acheter à boire ou à manger que dans ce qu’ils organisent d’habitude. Par contre, comme d’hab, pas assez de chiottes. Si t’es une fille et que tu n’as pas envie de pisser par terre devant tout le monde en mode Kohlanta, prépare-toi à faire la queue environ une heure. Quand est-ce qu’ils comprendront qu’il faut beaucoup plus de toilettes dans les festivals en France ? Au Download (même organisateur), c’était exactement pareil. Aucun réseau 4G, une vraie galère et les soi-disant points Free Wifi qui ne marchent pas.

Autre énorme point noir récurrent dans les festivals Live Nation, la non-organisation de la sortie. Pas assez de navettes, pas assez de gens qui gèrent la foule. Quand j’ai voulu prendre la navette pour aller à Porte Maillot, j’ai fait la queue pendant une demi-heure. Sauf que les gens continuaient à arriver et comme personne ne gérait la foule, la queue de départ s’est transformée en masse compacte de gens, stationnant sur une butte de terre, sous la pluie, donc dans la boue glissante. Très dangereux. Des gens se faisaient écraser et quand ils enjambaient la barrière pour partir pour ne plus se faire écraser, il se faisait engueuler par l’unique personne qui était censée nous gérer.

Une fois de plus, la non-organisation et le manque de personnel à certains endroits clefs auraient pu faire des victimes. Et ça arrive souvent avec les gros évènements Live Nation… Au bout d’une demi-heure, je n’avais avancé que de 50 cm dans la queue pour les navettes. J’ai donc décidé de rentrer par un autre chemin. Je suis allé voir la queue pour les taxis et VTC (mieux organisée mais toute aussi longue et bonjour la majoration sur les prix vu le nombre de gens). J’ai donc fini comme beaucoup de gens par traverser le bois de Boulogne à pied sous la pluie pour pouvoir attraper le dernier métro. Donc sachez que si vous allez au festival Lollapalooza l’année prochaine et que vous n’avez pas de voiture, en plus du billet, il vous faudra prendre en compte le prix d’un taxi / VTC (entre 40 et 60 euros) et compter au moins 2 heures juste pour sortir du lieu du festival (soit 30 minutes de plus que le temps de concert d’une tête d’affiche).

Bref, un festival bien mais pas foufou. En espérant que Live Nation France se réveille un jour, regarde ce qu’il se fait ailleurs en Europe et donc pense un peu moins à gagner du fric rapidement en essayant de couler les autres festivals, mais qu’ils investissent plutôt un peu de ce fric dans l’infrastructure et une meilleure organisation. Ainsi ils verront qu’ils peuvent se faire encore plus d’argent mais le public sera aussi très content. Car on ne va pas se mentir, même si c’est un peu plus cher à cause des billets de trains ou de l’hébergement, ça commence à être beaucoup plus intéressant de faire les gros festivals en Belgique ou Allemagne, car beaucoup mieux organisé et avec exactement les mêmes groupes qu’en France.

En tout cas, je suis quand même content d’avoir revu Seasick Steve et les Pixies et d’avoir découvert la puissance d’I AM en live.

Je mets en fin d’article un vrai portrait de Lana Del Rey, pour montrer que si j’ai envie je sais mieux dessiner.


 

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Crédits photos et illustrations : Didier Richard (toutes les séries sur son Flickr)


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# 24 novembre 2019 : Black Friday culturel

De la musique, des livres, de la réalité virtuelle, du cinéma, du théâtre, des expos... Bref, vous êtes sur Froggy's Delight et on vous a préparé une chouette petite sélection culturelle pour la semaine.

Du côté de la musique :

"Ravel : Miroirs, la valse" et "Stravinsky : Petrushka, The firebird" de Beatrice Rana
"Les mauvais tempéraments" de Christophe Panzani
Interview de Robert Forster réalisé ce printemps. Il sera en concert à la Boule Noire de Paris
Rencontre avec Lau Ngama, autour d'une session acoustique de 3 titres
Listen In Bed consacre sa 5ème émission au fabuleux groupe Broadcast
Rencontre avec Ultra Vomit
"Pulsions" de Duo Ypsilon
"The deepest space of now" de Enik
"Malsamaj" de Geysir
"Poussière" de Grèn Sémé
"Love and chaos" de Igor and the Hippie Land
"Dark shade" de Match
Kosh en concert au 3 Baudets
et toujours :
"L'année du loup" de Alma Forrer
"Lucarne" de Cassagrande
"Air India" de David Sztanke
"Immanent fire" de Emily Jane White
"Bach, Liszt, Wido : Organ works at La Madeleine" de Jae Hyuck Cho
"What's in it for me ?" le Mix numéro 4 de Listen In Bed
"Femme idéale" de Ludiane Pivoine

Au théâtre :

les nouveautés avec :
"Nous pour un moment" aux Ateliers Berthier
"Macbeth" au Théâtre L'Etoile du Nord
"Beginning" au Studio Hébertot
"Douce" au Théâtre Lepic
"Soulèvement" au Théâtre national de Chaillot
"Mort prématurée d'un chanteur polulaire dans la fleur de l'âge" au Théâtre du Rond-Point
"Au Café Maupassant" au Théâtre de Poche-Montparnasse
"Les Folies Gruss" au Cirque Alexis Gruss
dans le cadre du Festival Focus au Théâtre Ouvert :
"Grand Menteur"
"Juste ça"
des reprises :
"Les Femmes de Barbe-Bleue" au Lavoir Moderne Parisien
"Les couteaux dans le dos" au Théâtre Les Déchargeurs
"Evita - Le destin fou d'Evita Peron" au Théâtre de Poche-Montparnasse
"Une Chambre en Inde" au Théâtre du Soleil
"D'un retournement l'autre" au Théâtre de la Reine Blanche
"Les Bijoux de pacotille" au Théâtre des Abbesses
et la chronique des spectacles à l'affiche en novembre

Expositions avec :

"Hans Hartung - La fabrique du geste" au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris

Cinéma avec :

Oldies but Goodies avec :
"Moonrise" de Frank Borzage
"L'incinérateur de cadavres" de Juraj Herz
et la chronique des films à l'affiche en novembre

Lecture avec :

"Cauchemar" de Paul Cleave
"La grande aventure de l'égyptologie" de Robert Solé
"La ligne de sang" de DOA & Stéphane Douay
"Matière noire" de Ivan Zinberg
"Que les ombres passent aux aveux" de Cédric Lalaury
et toujours :
"L'affaire Lord Spenser" de Flynn Berry
"La curée d'après le roman d'Emile Zola" de Cédric Simon & Eric Stainer
"Les faire taire" de Ronan Farrow
"Mondes en guerre tome 2, l'âge classique" de Hervé Drévillon
"Résistante" de Jacqueline Fleury Marié
"Une histoire de France tome 1, La dalle rouge" de Michel Onfray, Thomas Kotlarek & JEF

Froggeek's Delight :

"Oculus Quest" Le casque de réalité virtuel autonome

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

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