Avec leur look d'échappés du vaisseau L'entreprise qui se serait scratché à Roswell et leur iconographie gothico-indus, le groupe Lady Godiva, composé de Krees, Major Den et Koxx Murder qui entourent l'icôneTallulah, prône "a new kind of pop" qu'il décline dans son deuxième album 21 st century beatnixx.
A priori ça fout plutôt les jetons !
Et en fait, à l'écoute, rien de bien méchant pas de quoi casser le doigt surnuméraire d'un petit homme vert. Avec le premier morceau "The 2 faces of sci-fi" l'invite est claire "It's time now to kill your habits/Let's go dancing on the space beat/It's time for something psychedelic/Here come the 21 st beatnixx". En route donc pour un space opéra, une comédie musicale pop-électro-dance-glam-kitsch pour tous ceux qui ont adopté le credo "Be hip 2 B hype" qui serait un hybride in musicum de Garbage et Evanescence.
Pendant que la lady danse ("She's dancing"), le poor lonesome space cow boy ("Loser", "Rocket over the bay") a quand même intérêt à se méfier de la révolution des bébés ("Raw flowers").
Au final, même si elle nous elle fait découvrir un autre carpe, le sweet little finger de "Substitue lover", la petite dame n'est pas zen ("Zen people" I'm not zen, zen people disturbing my mind as a cheap red wine")
Bon, elle atterrit quand…la soucoupe ?
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