Bien le bonjour, les amis !

C’est avec beaucoup de retard que je viens te parler de l’album des Buttertones, sorti en mai. Je suis impardonnable, j’en suis conscient mais ce n’est pas ma faute !

Ben oui, comment voulez-vous que je puisse écrire dans une nuit sans lune et sans rêve (allusion que les plus doués en langue auront immédiatement saisie).

J’avais adoré leur précédent album, Gravedigging, dont je t’avais parlé ici même d’ailleurs. Si le début de celui-ci est prometteur, j’avoue être passé à côté de leur univers, qui se veut proche de Suicide, Bauhaus ou même The Cramps.

Cet album, plus sombre, nous entraîne dans l’ambiance, d’un New York des années 70. Toutefois, il y a des nouveautés : nouveau son pour la première fois des cordes, mais ils revendiquent aussi une nouvelle approche pour écrire et composer ensemble.

Cet album laisse transpirer des influences multiples : rock’n’roll, surf mais aussi jazz et post-punk. Il faut se laisser aller et transporter dans ce labyrinthe lynchien.

Comme d’habitude, je t’invite vivement à aller y prêter une oreille attentive et te faire ton propre avis.