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Interview pour Radio Evasion  (Quimper)  29 octobre 2005

Dionysos reprend la route et fait escale à Quimper pour le Festival Halloween. L'occasion est trop belle de rencontrer ce combo si attachant et singulier. Rendez-vous est pris avec Babet.

Babet, bonjour. 3Monsters in love3 est sorti il y a deux mois maintenant. Comment a-t-il été appréhendé ? On voit notamment qu'il y a plus d'arrangements que sur les précédents.

Babet : "Western sous la neige", qu'on a avait fait avant les lives ("Whatever the weather" album électrique, album acoustique et DVD), on avait eu envie de faire quelque chose d'assez live, d'assez épuré et très rock'n roll. Donc, on était allé à Chicago avec Steve (Albini) le faire. Et puis ensuite, on est passé au live, on a fait des concerts acoustiques, des concerts électriques, donc c'est là qu'en fait sont apparus les premiers nouveaux instruments. Et puis, ça nous a donné envie de continuer sur cette voie, parce que on aime vachement travailler sur les ambiances, raconter des choses à plusieurs étages, à plusieurs degrés.

Donc, on a rajouté plein d'instruments. Mathias s'est fait offert un ukulélé. Voilà tout le monde s'y est mis un peu. Mike s'est acheté une espèce de platine qui scratche. Et puis on a pris Stephan en plus avec nous, qui n'était que backliner et qui venait que de temps en temps. Finalement, on l'a fait rentrer dans le groupe, il vient avec nous jouer et il a composé avec nous l'album.

Donc ensuite, on s'est dit que Steve n'était peut-être pas le bon pour faire quelque chose de plus arrangé. Comme on avait adoré la rencontre qu'on avait eue avec John (Parish) pour la reprise de "Thank you Satan" (Avec Léo, tribute à Léo Ferré), on avait eu un super contact avec lui. Du coup, on s'est dit "John, c'est bien" on aime bien sa production, on a un peu les mêmes feelings. En fait, il prend les instruments vraiment de façon très pure, il n'équalise pratiquement pas, il prend le son comme il est. En plus, il se permet de donner des petits conseils, il va rajouter des shakers.

Tous les petits shakers qui sont sur l'album, c'est lui qui les a fait. Il donne des petites idées et il est hyper ouvert à des arrangements, des bruits de talon, des bruits… Il est super ouvert à ça. Du coup, on sait qu'avec John, ce serait pas mal. On s'est croisés sur Paris avant de partir enregistrer. Il a écouté tous les morceaux, il a pris des notes et on est partis à côté de chez lui pour faire l'album.

L'enregistrement s'est passé comment ?

Babet : En fait, le studio à Bath, c'était un peu comme une espèce de grand hôtel, sur plusieurs étages. En fait, c'était aménagé comme des chambres. Tu joues à côté d'un canapé et d'un robinet, il y a une cheminée au fond et une plante verte...

Ce n'est pas du tout le studio super propre, propre au millimètre comme chez Steve Albini. Lui, c'était vraiment le bordel, le joyeux bordel, avec des supers micros qui traînent par terre, des jacks, des trucs… Donc du coup, c'était assez propice à une espèce d'exaltation, parce que dès qu'il y avait un truc qui traînait, hop, on se mettait devant le micro et on faisait quelque chose.

En fait, ce n'est pas vraiment chez lui qu'on l'a fait. Mais on est allé à Bristol dans un studio où il a sa table. C'est là qu'on a enregistré pas mal de cordes et c'est là qu'on a enregistré aussi le morceau qu'on a fait avec les Kills. Ils ont enregistré leurs voix là-bas.

Justement cette rencontré avec The Kills. Il me semble que vous les avez rencontrés lors du festival Art Rock à Saint-Brieuc, il y a deux ans.

Babet : Je crois que c'est ça. On les a rencontrés en festival. En fait ce qui s'est passé, c'est qu'on jouait juste après eux. Donc, on a vu leur concert. On était déjà supers fans, on écoutait l'album dans le camion. On a adoré leur concert. On a joué après. On était pas super contents de notre concert, on a avait eu quelques soucis techniques et ça te sort un peu du concert des fois. Ça casse un peu la magie, et on est rentrés, on n'était pas dépités mais en demie teinte.

Et sur la table de la loge, qu'est-ce qu'on voit, une petite feuille avec marqué : « super concert, on espère vous revoir, The Kills ». Et nous, on était : "Ils sont où ?, ils sont où ?, ils ne sont pas partis ? Il faut aller les chercher". Donc, on est allés les retrouver, puis on les a ramenés dans la loge et on a passé la soirée ensemble à discuter dans notre anglais approximatif. On s'est bien entendu, on a pris une photo ensemble et on s'est dit qu'on ferait quelque chose ensemble si c'était possible.

Et ça a failli ne pas être possible, parce qu'ils étaient en tournée. Mais ils ont été adorables avec nous, en plein milieu d'une tournée entre les Etats-Unis et l'Angleterre, ils n'avaient pas dormi depuis 38 heures, un truc hallucinant. Ils passaient à Bristol justement, ils ont réussi à se libérer 4 heures dans l'après-midi pour venir au studio de Bristol, enregistrer le morceau. Ensuite, on ne s'est pas quittés. Le soir on est allés voir leur concert.

C'était un cadeau magnifique parce que le morceau, on l'a composé sans leurs voix. C'était Mathias qui chantait et puis moi les petits chœurs à la fin. Quand ils étaient là et qu'ils ont posé leurs voix, qu'ils mettent les micros à fond, ça larsen dans leur casque, ils fument comme des pompiers. Ils sont super charismatiques. Ils se sont mis à chanter, nous on était tous dans le canapé derrière la console et on avait l'impression de rêver parce que c'était super beau. On était ravis. C'est un super cadeau qu'ils nous ont fait et puis c'était une très, très belle rencontre.

La reconnaissance d'artistes étrangers tels The Kills ou John Parish, ça doit faire plaisir ?

Babet : Ca fait plaisir mais en même temps, peut-être qu'on a rencontré des gens très ouverts, mais on n'a jamais senti qu'on était vraiment considérés comme "un petit groupe français". John Parish travaille avec plein de groupes européens, il est allé en Italie enregistrer. En fait, ce sont des gens qui aiment bien la musique et quand tu les vois, tu es sur la même longueur d'ondes, ou ils ont une sensibilité proche de la tienne.

Ils ne te disent pas que tu es spécialement français, ils aiment juste ce que tu fais. John, demandait à ce qu'on lui traduise les textes en français pour bien comprendre, pour rentrer dans l'univers. Je pense que les gens ouverts se retrouvent n'importe où dans le monde, du moment que tu as les oreilles assez ouvertes pour écouter les autres. Ça se passe de toute façon très bien.

Dionysos a une réputation scénique phénoménale. "Monsters in love" est un album aux arrangements très fournis. Comment s'est passé le passage du studio à la scène pour les morceaux du dernier album ?

Babet : Nous sommes repartis au Maroc, là où on avait commencé à composer parce qu'on s'était super bien entendu avec le directeur de l'Institut français de Meknès. Il nous a dit : "Faîtes de la résidence scène chez moi et puis à la fin vous ferez le concert, comme ça la boucle sera bouclée".

Donc en fait, on a bossé, je crois, dix jours, parce qu'en fait on avait vachement envie de jouer plus des derniers morceaux que des vieux, puisqu'on avait déjà sorti les lives. On s'était dit que c'était bon, qu'on pouvait axer plus sur cet album-là. Donc on a remanié plein, plein de morceaux, parce qu'évidemment avec tous les arrangements, tu ne peux pas les jouer comme ça. Même avec Stephan, il ne peut pas tout jouer, sample, trois violons, plus des chœurs… Il ne peut pas tout faire.

Donc on a tout remanié au Maroc, on a fait notre premier concert là-bas. Et après, on est repassés par Evreux quatre jours pour vraiment se les remettre dans les pattes, parce qu'on avait fait ça, je crois, au mois de juillet ou au mois d'août.

Pour les personnes qui vous suivent depuis un moment, un morceau comme Wet, il existe près de cinq, six versions différentes. C'est important de déstructurer les morceaux pour se les approprier de nouveau ?

Babet : Tu nous enlèves les concerts, on ne sait rien faire d'autre. Moi, c'est ce que je sais faire de mieux parce que cela fait huit ans maintenant que j'en fais. Donc quand tu ne fais que ça et que ça donne carrément un sens à ta vie, tu ne peux pas jouer tous les soirs la même chose. Comme quand tu vis, comme quand tu travailles, quand tu as un boulot un plus "normal", tu as besoin de te surprendre, d'évoluer…Les morceaux, c'est pareil. C'est à travers ça que nous, on continue à se faire plaisir, en essayant de chercher d'autres intentions, d'autres univers dans une chanson.

Tu évoquais tout à l'heure Evreux. Il me semble que vous avez un projet avec un collège de la ville. Tu peux nous en parler ?

Babet : En fait, ce n'est pas avec un seul collège, c'est avec plein de collèges et plein de lycées mélangés. Je ne sais plus combien il y en a. On les a déjà rencontrés, en fait c'était le tout premier concert de cette tournée. Donc on les a rencontrés, on a joué devant 250 élèves. Certains n'étaient jamais venus à un concert de leur vie. Il y a des classes qui écoutent essentiellement du hip hop. Donc ce n'était pas forcément des fans.

D'ailleurs, il y avait très peu de fans à nous. Donc, on les a rencontrés, on leur a joué nos morceaux et en janvier on va faire des ateliers. Mathias va faire un atelier un peu écriture et puis il va leur faire écouter de la musique qu'il aime pour les ouvrir à plein de sortes de musique. Mike va en faire un sur le son. Moi, je vais faire un atelier carrément dans "l'Abordage" (salle de concert d'Evreux), dans les salles de répétitions. On va faire de la musique avec certains élèves qui ont des petits groupes déjà.

C'est une façon pour nous de nous surprendre, de rencontrer des gens qui n'ont pas du tout la même sensibilité et de nous nourrir de cela, de ces différences. On va rencontrer des gens qui n'écoutent pas de rock et je trouve ça super excitant.

Vous aviez mené un projet de ce type en Allemagne, il y a quelques années.

Babet : C'était à Fribourg.

Ce soir, vous partagez la scène avec Louise Attaque. Ce sont en quelque sorte vos parrains dans la mesure où vous avez fait leurs premières parties il y a quelques années. C'est un joli clin d'œil de les retrouver ce soir.

Babet : Pour nous, ce sont nos grands frères. Moi, je les considère comme nos grands frères. C'est vrai qu'au début, ils nous ont vachement aidés, ils nous ont fait faire des belles salles. Et puis, ce sont des gens vachement gentils, ils n'ont pas du tout perdu la tête. Avec le succès énorme qu'ils ont eu au premier album, ils auraient pu se la péter, être désagréables. Ils sont restés comme ils étaient au départ. J'ai beaucoup d'affection pour eux.

Du coup, en retour, vous essayez d'aider des jeunes groupes ?

Babeth : Nos premières parties, on les choisit et on choisit des gens qu'on aime. Donc on a choisi Cyrz, on a choisi Houdini, on a choisi Kim de Bordeaux, Tar King TH et on a choisi un groupe un peu plus gros Rhésus. Pour l'instant, on a fait joué ces gens-là, on est vachement contents. Et on a fait joué aussi Julie B. Bonnie, l'ancienne chanteuse de Cornu. C'était à Reims à la Cartonnerie. Elle a bien balisé parce que c'était bien gros, mais elle a fait un super concert. Moi, j'ai adoré.

Tu as participé à l'album de Houdini me semble-t-il ?

Babet : Je leur ai offert un morceau, j'ai chanté et j'ai fait toutes les cordes sur leur album.

Pour conclure, comment définirais-tu Dionysos?

Babet : Surprenons-nous ! Tous les soirs. Comme si c'était le dernier concert de notre vie tous les soirs.

Un grand merci à Babet pour sa disponibilité et sa gentillesse.

Merci à Carol de Régie Scène pour l'accueil.

 

Interview réalisée pour Radio Evasion , radio de l'Aulne Maritime

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