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Interview  (Paris)  1er novembre 2006

Nosfell et Pierre Lebourgeois ont eu la gentillesse de répondre à nos questions le 1er novembre dernier lors d’une interview qui s’est déroulée dans un café du quartier de Ménilmontant à l'occasion de la sortie de leur 2ème album "Kälin bla lemsnit dünefl labyanit".

Commençons par parler de votre actualité et commençons par votre nouvel album. Votre second album est sorti le 23 octobre 2006. Dès la première écoute, on remarque la richesse instrumentale et l’emploi d’instruments qui n’étaient pas présents sur le premier album. Pouvez-vous nous parlez de votre collaboration avec Bertrand Belin et Peter Corser ?

Nosfell : L’idée était de faire appel à ces deux personnes surtout par rapport à l’approche qu’elles ont de leurs instruments. Même si Peter Corser jouait autre chose que du saxophone, on lui aurait demandé de venir. On n’était pas spécialement attaché à la couleur du saxophone. J’étais pour ma part un peu réticent au début à cette idée, mais quand Pierre Lebourgeois m’a fait écouter ce que faisait Peter Corser, j’ai dit oui tout de suite.

J’aime sa démarche musicale et on a eu envie de lui laisser de la place sur l’album : pour cela, on avait quatre morceaux, et au fur à mesure de l’écriture des morceaux et des arrangements, on a laissé de l’espace à Bertrand et à Peter à différents endroits. Tout cela s’est fait très simplement : on a loué un studio d’enregistrement et chacun avait sa journée d’enregistrement afin de faciliter l’organisation. On a donné à Peter et à Bertrand la grille de départ des morceaux sur lesquels ils jouaient, puis ils ont eu libre champ pour intervenir comme ils l’entendaient.

Ils ont donc eu beaucoup de liberté sur ces morceaux ?

Nosfell : Oui, le but n’était vraiment pas de leur écrire leur partie.

Pierre Lebourgeois: On ne s’est pas mis de tabou sur les instruments à jouer car on n’est pas instrumentiste, d’une part pour l’intervention de Peter et même pour l’intervention de Bertrand. Nosfell fait de la guitare, on n’allait pas lui demander de jouer une partie que Nosfell aurait pu jouer. On voulait qu’il nous amène sa façon de jouer et de travailler…

Nosfell : …et bien sûr, qu’ils nous amènent leur vision de l’improvisation.

Je rebondis sur cette notion d’improvisation. Lors de l’écoute de l’album, les sonorités du saxophone (le final de « Your elegant Hat », par exemple) m’ont rappelées un groupe, Akosh. S Unit et l’univers free jazz. Est-ce qu’en terme d’influence musicale, cet univers est pour vous une source d’inspiration ?

Pierre Lebourgeois : Oui, complètement, ceux sont même des choses que nous proposons en live. C’est notre façon de voir les textures sonores…

Nosfell :..et de voir aussi l’instrument comme objet sonore et pas spécialement, comme peut le dire Pierre pour son instrument, pour ce qu’il représente historiquement. Nous essayons de le sortir de tous ces carcans là. Pour illustrer cette idée, ça peut paraître anodin mais je pense à quelqu’un qui avant sa mort à ouvert une école de musique pour sensibiliser les enfants à cette approche instrumentale : Mark Sandman, le bassiste chanteur de Morphine.

Il avait une démarche par rapport à sa basse qui n’était pas particulièrement Free (Jazz) mais qu’il considérait comme un générateur de son et de mélodies. Je pense aussi à des improvisateurs comme Zorn, qui vont vraiment jusqu’au bout du… instrument objet… instrument générateur de sons… instrument couleur et aussi instrument arrangement…

Pierre Lebourgeois : …sans nier l’aspect mélodique de l’instrument car les gens du Free Jazz) sont souvent d’excellents musiciens.

Nosfell : Oui, complètement. Zorn en est la preuve : Masada est un nid à mélodies incroyable, et cela avec 4 notes !

Pierre Lebourgeois : (s’adressant à Nosfell) : Continue avec Mark Sandman, je ne connais pas cette histoire.

Nosfell : Oui, Mark Sandman a ouvert une école, mais si on le reprend à ses débuts (avec Morphine), son approche était très dogmatique, du genre en jouant juste avec une corde sur sa basse et un bottleneck. C’était sa façon d’écrire des chansons mais dans une démarche de remise en question de l’instrument, et il a poussé celle-ci jusqu'à financé une école de musique pour enfant. Il est malheureusement mort d’un infarctus sur scène.

Vous n’avez pas voulu effectuer vous-même le mixage, vous avez confiez cette tâche à Dominique Brusson, pour quelle raison ?

Nosfell : Edouard Bonan, qui est la personne qui enregistre et qui fait aussi le son pour les concerts, est un ami d’enfance avec qui je travaille sur toutes les prises de sons depuis mes débuts. La démarche du deuxième disque était de confronter nos prises de son à quelqu’un d’autre. Une personne qui a une vision de l’espace et une vision du mix. très particulière. On est allé vers Dominique Brusson en connaissance de cause : Pierre m’avait fait écouter Remué qui est un album magnifique de Dominique A en me disant…

Pierre Lebourgeois : …un album qui est sous-estimé

Nosfell : (rires) Oui, oui . Et donc Pierre m’a dit que ce mec là (Dominique Brusson) avait une vision très intéressante du son et de l’espace. En plus ça correspondait à l’époque où Dominique A commençait à faire des boucles et Dominique Brusson n’a pas voulu apparemment faire du "re re", mais il a voulu enregistrer les boucles, donc c’était des micros devant des amplis qui généraient des boucles.

Et en même temps, ce qui est aussi très intéressant et dont je m’en suis rendu compte après avoir rencontré Dominique Brusson, c’est qu’en fait il n’aime pas particulièrement le studio et qu’il fonctionne aussi au coup de cœur. Pour nous c’était assez gratifiant et encourageant que ce mec là veuille bien mixer le truc, parce que… voilà… lui, c’est le "sondier" de Dominique A.

Les morceaux du premier album mêlaient le klokobetz et l’anglais. Dans ce second album chaque morceau est interprété exclusivement en anglais, en Klokobetz ou (et c’est une nouveauté) en français. Le choix de la langue française répond-elle à une envie particulière ?

Nosfell : J’ai fonctionné avec le français exactement comme avec les autres langues. A partir du moment où j’écris quelque chose et que cette chose là me donne une mélodie, je vais la garder dans ma tête et à force de cogiter, la mélodie va s’affirmer. Après, je la soumets à Pierre afin d’avoir son regard et prendre du recul. Puis, on se lance, ça ne va plus loin que ça. Le fait d’avoir choisi de mettre ces morceaux en français dans le disque correspond pour moi à une autre façon d’aborder la voix et de proposer une autre couleur vocale, car chanter du français et pour moi différend que de chanter de l’anglais ou du klokobetz.

C’est donc les sonorités qui ont guidés ce choix ?

Nosfell : Oui, au départ. Après, j’étais aussi attaché à ce texte personnellement. En fait, j’ai découvert l’univers d’Henri Michaux assez récemment et ça m’a beaucoup frappé : cette poésie en prose avec des moments un peu fantasmagoriques, où il n’hésite pas à aller dans des choses qui sont parfois un peu… (rires) … un peu tendues. Je pense que cet auteur m’a un peu libéré et un peu décomplexé par rapport à l’écriture.

Après, je n’ai pas de prétention littéraire, je ne me sens pas songwriter, je n’écris pas de la chanson non plus… donc, c’est vrai que pour moi les sonorités sont des choses qui sont importantes avant le texte, même si je travaille énormément le texte et que j’ai beaucoup de respect pour des gens qui ont une plume…

Dans cet album, il y avait aussi la volonté de mettre beaucoup plus de klokobetz. Cette langue prend dans ce disque une place beaucoup plus importante que dans le précédent. La volonté de ne pas mélanger les langues dans le texte était un postulat de départ, avec une exception pour confirmer cette règle, le titre "Majodilo tepu jaredu" qui comporte deux lignes en anglais à la fin.

En faisant ce choix de séparation, je savais qu’on irait musicalement vers des choses très précises, qu’on allait proposait une mosaïque de morceaux qui formerait un vrai tout, une écoute globale.

Alors que faire des refrains en klokobetz, des couplets en anglais, me permettait de jouer sur la voix, de changer la voix, de jouer différents personnages...etc... Me plier à une langue par morceau, me permettait de faire ce travail mais plus sur la longueur de l’album et de pénétrer d’avantages dans ses petites portes, ses petits tableaux et ses couleurs en fait.

Combien de temps a duré l’enregistrement de cet album et le mixage ? Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur le travail de composition et ce qui vous a guidé ?

Pierre Lebourgeois : L’enregistrement a commencé le 2 février 2006 et s’est étalé sur une période de 3 mois avec deux sessions d’enregistrement de 20 jours.

Nosfell : Le mixage s’est fait en deux sessions d’une semaine avec un titre par jour, sauf pour "Path of green" et "The gorgeous hound" qui était plus simple à mixer et qui ont pris moins de temps.

Une partie de l’enregistrement s’est passé au Mexique lors de votre résidence ?

Nosfell : Oui, c’était aussi le but de cette résidence. Une des deux sessions de 3 semaines d’enregistrement s’est donc passée au Mexique. L’AFAA (l’Association française d’aide aux artistes) qui s’appelle maintenant "Génération musique" sont venus nous voir en nous proposant une résidence. Le choix de l’Amérique du sud nous intéressait car l’association n’y est pas implantée depuis longtemps (à la différence d’autres pays comme le Liban, la Syrie ou l’Egypte où ils sont présents depuis plus longtemps), ils sont donc encore en train de se chercher dans ces nouveaux lieux ce qui correspondait bien à notre état d’esprit du moment et aussi à notre recherche.

Ca nous a permis de nous retrouver dans les conditions un peu particulières, un peu "roots" qu’on recherchait. On savait que ces conditions allaient nous servir dans notre façon d’enregistrer la musique et d’appréhender l’enregistrement. Je crois que l’association avait des appréhensions à nous envoyer sur cette destination, car nous étions le premier groupe à partir sur une période longue au Mexique en résidence pour enregistrer et pas pour faire des concerts.

Finalement, on est ravi de cette expérience : on a rencontré des gens, on s’est retrouvé chez des mexicains et on en a ramené pleins de souvenirs. C’était vraiment génial.

Pierre Lebourgeois : Ca nous a vraiment fait du bien de nous dépayser tout en travaillant sur ce projet.

La résidence s’est conclue par une représentation publique ?

Pierre Lebourgeois : En fait, on a donné deux concerts à Saint-Domingue et à Mexico City, qui n’était pas vraiment une conclusion, mais qui nous ont plutôt permis de respirer à côté de l’enregistrement. C’était des grandes bouffées d’air de retrouver du public.

Une rencontre avec un nouveau public ?

Nosfell : Oui et ça s’est bien passé, c’était assez violent (rire)…

C'est-à-dire ?

Nosfell : (rire) on n’avait pas joué depuis tellement longtemps qu’on était vraiment très content de remonter sur scène.

En avez-vous profité pour tester les morceaux que vous veniez de composer ?

Pierre Lebourgeois : Non, c’était vraiment trop frais.

Nosfell : Par contre on a pris le temps d’improviser des choses, de faire des "lisums". Les "lisum", ca veut dire simplement "musique" en klokobetz, sont des moments qu’on s’impose à chaque concert. Dans la play-list qu’on essaie de changer à chaque concert, on se dit qu’à tel endroit on fait un « lisum ». C’est un moment où on part de rien et on se laisse aller à interpréter le morceau ou le texte différemment on partant de rien de préconstruit.

Un morceau m’a beaucoup étonné et énormément plu : "Jalin Madaz". On dirait une sorte d’hymne tribale. De quoi parle ce morceau ?

Nosfell : Dans ce morceau, un narrateur raconte l’histoire de Jalin Madaz : il y a une région qui prend tout le littoral Est de Klokochazia. Dans cette région très étroite et très longue qui s’appelle "Gokikochiz", les habitants vénèrent une déesse qui se nomme "Goïa elogolan" et qui est emprisonnée dans la mer glacée qui entoure klokochazia.

Cette mer a été gelée avant que klokochazia s’appelle klokochazia. Un jour, un certain Jalin Madaz est parti de "Gokikochiz" vers l’ouest en déclarant que là-bas se trouvait le coupable (de l’emprisonnement de Goïa elogoloan), qu’il le trouverait afin de délivrer la déesse. Ce morceau raconte son épopée et notamment la fin de ce personnage.

Cette histoire se recoupe avec celle d’un autre personnage qu’on a appelé "Blik Jalin Bin", où le "Jalin" est sûrement le même que Jalin Madaz. On raconte que ce "Blik Jalin Bin" aurait été, pour un temps extrêmement court, le roi tout en entier de klokochazia. Du coup, les habitants de "Gokikochiz" qui n’avait jamais plus entendu parler de leur héros se sont dit que c’était pour assouvir son besoin de pouvoir qu’il était parti. En fait, la vraie histoire de "Blik Jalin Bin", est celle d’un personnage qui a vécu très peu de temps, qui a été extrêmement craint mais qui est mort dans des conditions presque cocasses et un peu pathétiques.

Dernière question. Nosfell, c’est toi et Pierre Le Bourgeois sur scène, mais c’est aussi Edouard Bonan à la console son. Quel a été sont rôle sur l’album ?

Nosfell : Edouard a fait toutes les prises de sons.

Pierre Lebourgeois : Durant tout l’enregistrement de l’album, c’était des débats entre nous trois pour déterminer tous les paramètres afin de créer les différentes ambiances,… Edouard était notre oreille à la fois technique et artistique qui comprenait ce qu’on voulait sur chaque morceau à la production.

Il a réussi parfaitement à retranscrire le son que l’on voulait malgré des conditions techniques difficiles, car il se trouvait souvent dans la même pièce que nous, pas dans un studio où il aurait pu s’isoler du son lors de l’interprétation. Sa présence a été très importante et son talent nous a beaucoup servi.

Il reprend avec vous sur la nouvelle tournée avec le même rôle que sur la précédente ?

Nosfell : oui, tout à fait. Pour nous c’est un vrai trio.

Pierre Lebourgeois : Un vrai trio sonore, et on devient même aussi un quintet d’équipe avec l’ingé. retours et l’ingé. lumière. Julien Bony continue la deuxième tournée avec nous et va continuer son projet d’écran de couleurs, de clair obscur.

Nous remercions Nosfell et Pierre Lebourgeois pour leur gentillesse durant l’interview et pour leur patience lors de la séance photo qui a suivi.

 

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En savoir plus :

Le site officiel de Nosfell

Crédits photos : Laurent


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