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puce Festival Rock en Seine 2009 (dimanche 30 août 2009)
Metric - Lilly Wood & The Prick - Robin McKelle - Macy Gray - Sliimy - Eagles Of Death Metal - Them Crooked Vultures - MGMT - Klaxons - The Prodigy  (Saint-Cloud, Domaine National)  dimanche 30 août 2009

Point d'orgue du festival, ce dimanche est aussi la plus excitante des trois journées (sont attendus Macy Gray, Eagles Of Death Metal, les fameux "Petits Pois", MGMT, Klaxons et The Prodigy). On entame l'après-midi avec le rock puissant et mélodique de Metric. Efficace, carré, envoyé avec un gros son. Emily Haines, la chanteuse en robe blanche, saute, tente tant bien que mal de secouer un public amorphe. Même si cela manque d'originalité, ce n'est pas mal du tout. Mais on préfère largement le projet solo intimiste de la chanteuse (Emily Haines & The Skeletons), qui a autrement plus de caractère que les gentilles pop song de son groupe.

Après Gush vendredi, le programme nous laisse enfin un moment de libre pour aller voir un autre groupe des Avant-Seine : Lilly Wood & The Prick. Ce duo (Lilly Wood au chant et The Prick aux claviers), accompagné d'un batteur et d'un guitariste, propose une pop sucrée matinée tantôt de folk tantôt d'électro. C'est sympa, mais il manque encore quelque chose pour que l'on soit complètement convaincu. Un peu plus de caractère ? La mélodie ultime ? Moins de réserve ? Un peu tout cela à la fois. On passe quand même un bon moment sous le soleil dominical. Lilly Wood chante très bien, on apprécie également leur bonne reprise de "L.E.S. Artistes" de Santigold (exit le "o" de Santogold).

Après James Hunter vendredi et en attendant Macy Gray, le swing est une nouvelle fois à l'honneur avec Robin McKelle. Secondée par un combo classique (orgue Hamond, basse, batterie, saxo, trompette, trombonne à coulisse), elle offre d'honnêtes chansons jazzy parfaites pour ce début d'après-midi. Sa très belle voix soul ne souffre aucune discussion, mais on aimerait qu'elle extériorise davantage. Elle a du mal à se lâcher, semble crispée. Bref : faire le show, ce n'est pas son truc. On passe tout de même un bon moment, ponctué par deux reprises sympathiques et judicieuses ("Eleanor Rigby" des Beatles et "Lonely Avenue" de Ray Charles).

On a un peu perdu de vue Macy Gray, à vrai dire depuis son remarquable premier album (On How Life Is, 1999). On la retrouve donc dix ans plus tard, derrière son pied de micro argenté et scintillant. On constate que sa voix soul, rocailleusse et écorchée, n'a rien perdu de sa superbe. On recense à ses côtés un clavier, une guitariste, un bassiste, un batteur, un percussionniste et deux choristes bien en chair. Très à l'aise sur scène, décontractée, elle alterne judicieusement entre nouveaux et anciens titres. Ceux d'On How Life Is reçoivent immédiatement l'approbation du public ("Sex-O-Matic Venus Freak", "Why Didn't You Call Me", "I Try").

La musique de Macy Gray brasse plusieurs genres : Soul, R&B, Hip-Hop, et même Trip-Hop sur un titre où elle laisse la musique s'installer et respirer. Elle est en quelque sorte le pendant soft d'Ebony Bones. Elle distille quelques clins d'oeil à Michael Jackson, Tina Turner, Jackson 5 et Bob Marley.

Après un intermède musical marrant où un uluberlu sappé comme Mario Bros parcourt la scène en brandissant à la foule un panneau où est inscrit en gros "CRIEZ !" (le public s'exécutant sans broncher), le groupe entâme "Oblivion" (titre présent sur The Id, le second album de la chanteuse). Mario Bros fait défiler sur son panneau les paroles de la chanson (référence à Bob Dylan et son clip de "Subterranean Homesick Blues"), alors que le titre vire en ska. Vient le final incontournable et langoureux avec forêt de bras levés, briquets et public chantant en choeur : "I Try", le tube planétaire de la chanteuse, toujours aussi beau. On ressort ravi de ce show qui, sans être renversant, n'en demeure pas moins passionnant.

Un crochet par la Scène de la Cascade pour constater que Sliimy, le soit disant Mika français, ne tient pas la comparaison avec son confrère anglais : il paraît bien seul sur cette grande scène. Vêtu d'une veste dorée à paillettes, mèche de côté comme il se doit, sa voix efféminée ne nous dérangerait pas si elle n'était pas si maniérée. Quelques chansons sympathiques (la reprise de "Womanizer", "Wake Up", "Trust Me") mais pas franchement transcendantes : cela fait bien peu pour conquérir un public de festival.

Les choses (très) sérieuses commencent avec Eagles Of Death Metal sur la Grande Scène. Il est 17h59, en coulisses apparaît Josh Homme : le nom du groupe mystère caché derrière le sobriquet de "Petits Pois" ne fait désormais plus aucun doute, et on en frémit d'avance.

Avant même le premier accord de guitare, Jesse "Boots Electric" Hughes fait déjà son malin, sonde la foule, la regarde droit dans les yeux l'air de dire :"Vous êtes venus pour voir un putain de bon concert de rock & roll ? Here we are baby !". Il n'en rajoute pas et cultive son image d'obsédé sexuel en draguant à tout va (dès la fin de la deuxième chanson, il adresse un message aux filles de l'assemblée, qui "peuvent venir sur scène toucher sa moustache, elle est juste ici"). Il fait le pitre entre deux morceaux, ponctue chacune de ses phrases adressées au public par un "Can u dig it ?", sort un peigne pour se coiffer la moustache et replacer les trois cheveux de son guitariste, souffle sur ses doigts tel un as de la gâchette avant de balancer ses riffs mortels... Bref, les Eagles Of Death Metal ne se prennent pas au sérieux et transmettent avec jubilation cette tension sexuelle inhérente au rock.

Le groupe assure comme une bête (même si le son aurait pu être plus puissant), sûr de sa force et de ses chansons. La set-list pioche dans les deux derniers albums (Death By Sexy, 2006 et Heart On, 2009) : "Cherry Cola", "Secret Plans", "I Want You Soo Hard (Boy's Bad News)", "Now I'm A Fool", "Heart On"... Le concert atteint son zénith lorsque Josh Homme - leader des Queens Of The Stone Age et moitié des Eagles Of Death Metal (mais qui ne prend pas part à leurs tournées) - rejoint Jesse Hughes pour chanter un "Wannabe In L.A." d'anthologie. Jesse fait semblant d'être surpris ("What a surprise ! I wasn't expecting that !"). Notre seul regret : qu'il n'y ait pas eu davantage de chansons de l'extraordinaire Heart On dans la set-list. Pour le reste, on a eu droit à un concert de haute volée. Leur heavy boogie cradingue est un pur moment de rock & roll poilu, et Eagles Of Death Metal s'impose comme le meilleur représentant actuel de rock hédoniste.

Dix minutes après son apparition aux côtés des Eagles Of Death Metal, on retrouve donc Josh Homme et son nouveau projet, Them Crooked Vultures (a.k.a. Les Petits Pois) sur la Scène de la Cascade.  Les quatre membres du groupe entrent lentement sur scène, et celui qui se présentera un peu plus tard comme "Monsieur Homme" plaisante derrière son micro, sourire en coin et sûr de son effet : "Bonjour, nous sommes les Petits Pois". N'en déplaise à Faith No More, ce concert sera l'Evénement du festival (avec un grand "E"). Jugez plutôt du casting : au chant et à la guitare, donc, Josh Homme (Queens Of The Stone Age, Eagles Of Death Metal, Kyuss), à la batterie Dave Grohl (Nirvana, Foo Fighters), à la basse John Paul Jones (Led Zeppelin), à la seconde guitare Alain Johannes (Queens Of The Stone Age). Que de beau monde !

Dans ce choc des générations, c'est d'ailleurs John Paul Jones qui, de loin, recueille la majorité des suffrages (le public scandant son nom à deux reprises). De génération en génération, Led Zeppelin reste un groupe cultissime, ce qui est rassurant. En attendant l'album, qui sortira vraisemblablement à l'automne, ce concert nous a complètement rassuré sur la qualité de la musique proposée par l'alléchant projet. Car Them Crooked Vultures est aussi excitant en vrai que sur le papier, ce qui n'est pas franchement le cas de tous les super groupes. Leur show est d'une sauvagerie inouïe et le public, échauffé par Eagles Of Death Metal, réagit au quart de tour en lançant un pogo énorme. Difficile de juger les titres sur une seule écoute, mais à croire ce qu'on a entendu, le disque risque de valoir son pesant de cacahuètes.

MGMT investit immédiatement après la Grande Scène. Comme à l'Olympia en novembre dernier, il ne faut pas longtemps pour comprendre que MGMT n'est pas (encore ?) un groupe de scène. Ils semblent avoir du mal à retranscrire les splendides arrangements d'Oracular Spectacular, et les titres perdent de leur force. Est-ce pour cette raison que les quelques nouvelles chansons présentées aujourd'hui sont beaucoup plus nerveuses et directes ? Elles semblent en tout cas se détacher du psychédélisme lyrique de leur premier album. Le chant d'Andrew VanWyngarden, poussif, n'est pas non plus à la hauteur. Le public, qui connaît tout Oracular Spectacular par coeur, n'en n'a cure : il écoute sagement les nouveaux titres et s'extasie dès les premières notes de "Time To Pretend", "Electric Feel", "The Youth" ou "Weekend Wars". Décidemment, les gens chantent toujours aussi faux sur "Kids", qui provoque un remou monstre dans la fosse. Après la mention "Très Bien" de ses compères New-Yorkais vendredi (Vampire Weekend et Yeah Yeah Yeahs), MGMT ne récolte qu'un "Bien". On est sans doute exigeants, mais on attend clairement plus d'eux.

Les anglais de Klaxons, eux, ont vécu en 2007 un engouement comparable à ceux de MGMT. Leur premier album, Myths Of The Near Future, comportait quelques pépites électro-rock accrocheuses et très bien produites. Suffisant pour que nos camarades d'outre-Manche les proclame chef de file d'un soi-disant mouvement Nu-Rave, dont plus personne n'a cure aujourd'hui. Voilà de nombreux mois maintenant que le groupe planche sur la suite, leur maison de disque les ayant sommé de revoir leur copie après l'écoute de premiers titres "expérimentaux et psychédéliques", selon le chanteur. A écouter les nouveautés jouées lors du concert, on se dit qu'elles ne passeront peut-être pas à la postérité. Ils réutilisent la même recette que Myths Of The Near Future, mais en moins bien. Par contre, les titres du premier album sont toujours aussi efficaces ("Golden Skans", "As Above, So Below", "It's Not Over Yet", "Totem On The Timeline", "Atlantis To Interzone").

Avant The Prodigy, on patiente avec CSS et leur fameux "Let's Make Love And Listen To Death From Above". Le concert des anglais provoque des mouvements de foule énormes, le public est en jump style pendant 1h30. Comme tout au long des 3 jours, la fosse soulève un nuage de poussière monstrueux (un des désavantages d'avoir un temps ensoleillé et sec), ce qui est fort désagréable à la longue.

Rayon musique, rien de surprenant, les Prodigy font exactement ce que l'on attend d'eux, et plutôt très bien : beats lourds, son énorme, rugissements, frontmen carburant au Red Bull et à l'agressivité calculée. On se demande juste ce que vient faire là un guitariste qui sert de déco la moitié du temps. Logiquement, les titres de The Fat Of The Land ("Breathe", "Firestarter", "Smack My Bitch Up") sont les plus appréciés et les plus attendus. Mais, même si l'album ne rentrera pas dans les annales, les titres d'Invaders Must Die (sorti en 2009) font leur effet en live, chaque montée de testostérone rendant le public littéralement hystérique.

Rock en Seine se conclut cette année en beauté par un troisième jour passionnant et mené d'une main de fer par le duo Josh Homme / Jesse Hughes. Malgré le bug Oasis du premier jour, la septième édition du festival redresse la barre après une année 2008 moribonde.

 

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Pierre Baubeau         
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# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

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Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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