Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Autour de Lucie
Interview  (Palais de Tokyo, Paris)  jeudi 21 mai 2015

Autour de Lucie, plus libre qu’avant

Elle a un petit creux, il n’a dormi que deux heures… Ce 21 mai au Palais de Tokyo, Valérie Leulliot et Sébastien Lafargue terminent un après-midi promotionnel pour le cinqième album d’Autour de Lucie : Ta Lumière Particulière. L’occasion pour Valérie "d’arrêter le temps dans un endroit où l’art nous ramène à l’humain".

Quel effet cela vous fait-il de revenir à Autour de Lucie et d’assurer la promotion d’un nouvel album ?

Valérie Leulliot : On retrouve les habitudes de… 2004, année du dernier album (éponyme) d’Autour de Lucie. Pour Caldeira, en 2007, c’était différent. Les réactions étaient surtout liées au fait qu’il s’agissait d’un album solo. On me demandait si Autour de Lucie c’était fini. Je répondais à chaque fois que je n’en savais rien. Depuis le tout début, il n’y a jamais eu de plan. Tout s’est vraiment déroulé de façon empirique : j’ignorais que la musique deviendrait mon métier, que je ferais un deuxième disque. Au moment du quatrième album, j’ai senti qu’il fallait faire une pause. J’avais besoin de retrouver un peu de fraîcheur, de changer de méthode de travail. C’est là que Sébastien est entré dans l’histoire. Je lui avais laissé les clés de Caldeira car j’aimais bien les ambiances qu’il créait. En musique, les rencontres sont assez difficiles à expliquer. Mais ses musiques m’inspiraient ; des successions d’accords me donnaient des idées de textes. Un langage que je comprenais.

Comment avez-vous collaboré pour ce disque ?

Valérie Leulliot : Depuis Caldeira, Sébastien a produit deux disques : Madjo (Trapdoor) et Patxi Garat (Amour Carabine). De mon côté, j’ai participé, en tant qu’interprète, à Frère Animal, le roman musical de Florent Marchet et Arnaud Cathrine. Une expérience très enrichissante, entre théâtre et lecture. Pendant les pauses, j’ai commencé à écrire des chansons, ce que je n’avais pas fait depuis 2002. C’est à ce moment que j’ai retrouvé le plaisir de composer, au piano et à la guitare. Sébastien et moi avons avancé, chacun de notre côté, avant de confronter nos "chantiers". C’est ensuite allé assez vite. À deux, il n’y a pas de polémique qui dure des heures.

Sébastien Lafargue : C’est un vrai travail en duo. Nous avons brodé ensemble, en explorant tout ce que l’on souhaitait, sans rien nous interdire, tant au niveau de la composition que de la production.

Et avec Antoine Kerninon ?

Valérie Leulliot : Antoine réalise des programmations, s’occupe des boîtes, joue de la batterie. C’est compliqué d’aller en studio, d’enregistrer des batteries avec de bons ingénieurs. Tout ça coûte de l’argent. Ce jeu live était important pour nous et nous avons fait en sorte qu’il s’inscrive dans un mélange avec le son des machines.

Sébastien Lafargue : Antoine est arrivé au moment où l’on s’est dit que l’on pouvait jouer les morceaux qui étaient déjà bien avancés. J’avais très envie de mettre en avant les rythmiques. Je suis passé par plein de choses, le hip-hop notamment. Et je trouvais que ce mix entre boîtes et batterie brute pouvait parfaitement s’articuler avec les étages que nous avions déjà montés dans la production, avec ses climats, ses synthés. Il était important que certaines parties soient interprétées par quelqu’un, avec son ressenti. En fonction des morceaux, nous avons gardé la batterie entière ou uniquement quelques éléments. Antoine était la personne idéale pour cela. Après avoir enregistré l’album avec nous, il nous accompagne sur scène.

L’électronique et les expérimentations ont toujours été très présentes dans votre musique qui lorgne parfois vers les pistes de danse.

Valérie Leulliot : J’ai été bercée par le disco. J’ai ce fantasme depuis longtemps, même si je ne suis pas Barry White ! Chanson Sans Issue, que j’adore, avait fait l’objet d’un EP de remixes par Dj Cam, Le Monocle, Snooze… Pour ce disque, j’avais à nouveau envie de faire des morceaux dansants mais sans prétention. Quelque chose qui sonne cheap et cheesy. J’aimerais qu’il y ait des remixes ou que Sébastien fassent pourquoi pas des versions extended de certains titres.

Sébastien Lafargue : Dès l’instant où un élément pouvait le déclencher, on s’est effectivement amusé à orienter le morceau pour qu’il devienne dansant, tout en conservant un format pop autour d’une vraie chanson. J’adore le principe du maxi, le fameux 12 Inches – mon frère en possédait beaucoup. Certains remixes sont proprement géniaux mais je trouve les versions longues plus captivantes. Partir d’un titre et l’habiller soi-même sur huit ou dix minutes. C’est plus excitant que de le voir être transformé par un autre, avec plus d’électronique et de rythme souvent. Là, tu peux décider de mettre en lumière telle ou telle partie d’un arrangement, comme dans l’intro de "Don’t Stop The Dance" de Roxy Music. Voilà un bon exemple.

Certains morceaux de Ta Lumière Particulière prennent d’ailleurs leur temps.

Valérie Leulliot : Nous étions libres, sans label, alors on s’est autorisé à faire durer certains titres ou à laisser un passage s’exprimer, comme lorsque Sébastien a trouvé le gimmick qui fait décoller Le Goût des Chardons. Ne pas se brider avec le format radio ou le diktat pop couplet / refrain, favoriser notre émotion avant la raison. Nous imaginions aussi le live. Je me projetais notamment dans la partie finale d’Îlienne et ce fut d’ailleurs pour moi l’un des plus beaux moments de notre concert à la Maroquinerie le 9 avril.

Sébastien Lafargue : Et puis ce sont les morceaux eux-mêmes qui nous ont emmenés. Au fur et à mesure de leur composition, le jeu de lumières qui se mettait en place nous a ouvert des horizons.

Jouer l’album live avant sa sortie était un pari risqué. Comment vous y êtes-vous préparés ?

Valérie Leulliot : Cette date devait initialement épouser la sortie de l’album qui était prévue en janvier. Ce n’était pas facile pour le public de le découvrir ainsi pour la première fois. Nous avons donc essuyé les plâtres d’une façon un peu "hybride" dans une formule à trois avec Antoine. Mais ces contraintes ont finalement été positives et si le disque est sorti trop tardivement pour les festivals estivaux, il y aura d’autres dates : à la rentrée à Paris, au Petit Bain ou à la Flèche d’Or, et en octobre et novembre en Province.

Sébastien Lafargue : Ce concert avait une odeur d’autant plus particulière que nous n’avions nous-mêmes encore jamais joué sur scène. À l’inverse d’un set bien calibré, qui roule tout seul, cela te met en situation de fragilité mais aussi d’excitation, soit le meilleur état pour faire un concert finalement ! Sans bassiste, ni guitare supplémentaire, il nous a fallu harmoniser l’ensemble, trouver une cohérence avec les anciens titres en puisant dans une collection de registres différents. La priorité étant de traverser le répertoire en privilégiant l’émotion avant tout.

L’industrie du disque et les comportements des consommateurs de musique ont beaucoup évolué ces dernières années. Comment vous y adaptez-vous ?

Valérie Leulliot : En ne mettant que neuf chansons sur l’album ! Une autre solution aurait pu consister à ne faire que des EP ; j’étais d’accord avec ça. Mais le contexte est ambigu ; seul l’album te permet à la fois d’entrer dans l’arène des médias et de faire partager ton univers, de proposer un voyage.

Sébastien Lafargue : Enregistrer des formats courts sur la longueur, des rendez-vous réguliers tout au long d’une année par exemple, cela peut être intéressant. Mais je suis né avec l’album dont le support, suivant l’époque, a imposé des choix : le vinyle, une répartition face A / face B et le CD, des titres accrocheurs en premier (cf. les bornes d’écoute). On sait qu’aujourd’hui les gens piochent parmi les morceaux, en ignorent certains. Nous avons donc conçu ce disque comme un livre dont chaque chanson constitue un chapitre à part entière qui raconte sa propre histoire et peut être écoutée individuellement.

Vos textes sont très personnels, introspectifs.

Valérie Leulliot : J’ai toujours parlé de ce qui me touche, de ce qui m’est cher, pour trouver une émotion pure qui fasse écho. Mais je suis aussi très inspirée par la phonétique. Réunir le sens et la musicalité des mots dans une démarche poétique et ludique à la manière de Serge Gainsbourg, Georges Perec, Jacques Prévert, Raymond Queneau… mes maîtres en écriture. Je revendique une certaine "simplicité" de prime abord, comme dans "Détache", mais qui se révèle toute relative au final. Des situations à partir desquelles chacun peut ensuite se faire son propre scénario. Brighton Beach est une photographie d’un endroit qui peut être mise en perspective avec son propre état, romantique et paumé, comme je le dis dans les paroles. J’assume totalement cette part de romantisme en moi, même si cela paraît parfois désuet ou vieillot. La pochette de l’album, cette peinture bleue réalisée par des moines au 17ème siècle, est aussi un message d’humanité à une époque où l’on est tous en train de se robotiser.

La renaissance et la résilience sont-ils des thèmes de prédilection ?

Valérie Leulliot : Sur cet album oui – "C’est là Que Je Descends" évoque le "départ" de quelqu’un. L’acceptation de l’échec aussi, sur "OK Chaos". Aujourd’hui, l’échec est vu comme un truc abominable, alors que ça fait partie de ton chemin. Si un jour tu connais un succès, c’est que précédemment tu as vécu des déboires sur lesquels tu as rebondi. Nier l’échec est donc idiot. C’est ce que j’essaie de dire, d’une façon très personnelle, en mariant gravité et légèreté à l’instar d’Étienne Daho. Le corps et la danse, la tête et l’esprit, je trouve cela très sexy et élégant. Comme dans les sociétés asiatiques, je crois que les deux forment un tout que j’essaie de concilier dans mes chansons, ainsi que d’autres contrastes : l’ombre et la lumière, les morts et les vivants.

La mélancolie m’a poussée à faire de la musique. Lorsque j’ai commencé, j’avais accumulé pas mal d’expériences dans ma jeunesse et mon adolescence. La musique m’a permis de mieux respirer l’air qui m’entourait. Elle a été une voie de résilience, comme d’autres formes d’arts. J’ai appris en autodidacte, par la rencontre avec d’autres artistes et la confrontation de nos idées.

Quels contacts avez-vous gardés avec les anciens membres du groupe ?

Valérie Leulliot : Jean-Pierre Ensuque (guitariste) est musicien et ingénieur du son ; il travaille sur des projets électro et des BO pour des séries. Il nous arrive de croiser Fabrice Dumont (bassiste et arrangeur) qui avait monté Télépopmusik. Avec Frédéric Monvoisin (Village Vert & Catalogue), il a cofondé en 2007 le label Green United Music (GUM). Ça marche très bien (Woodkid, The Shoes, Herman Düne) et ils se sont développés aussi bien à Londres qu’à Shangai. J’ai revu Frédéric Fortuny (claviers) aussi, un peu moins maintenant. J’ai gardé quelques liens, pas assez. J’aurais aimé les voir plus souvent, rester plus proches. La scène nous a fait vivre des moments très forts.

Quel regard portez-vous sur la nouvelle scène French Pop ?

Valérie Leulliot : J’aime beaucoup Aline. Leur premier album est vraiment bien foutu ; Romain (Guerret) a un vrai talent d’écriture. Fauve, qui sont une réminiscence de Diabologum mais qui ne le savent peut-être pas. Autour de Lucie n’était pas bien vu au départ : trop anglais, pas assez chanson française !

Sébastien Lafargue : La langue française revient, totalement décomplexée. Des barrières sont tombées et l’on assiste à une vraie émulation. Des groupes et des projets très créatifs, avec une identité et une image. Un univers total qu’ils construisent eux-mêmes avec les outils d’aujourd’hui. Cela donne lieu parfois à un mélange entre des textes très lettrés et des sonorités anglo-saxonnes. Je pense à Feu! Chatterton notamment. Dominique A, Miossec, Valérie et d’autres ont contribué à ouvrir cette voix et je trouve admirable cette capacité, ce courage qu’ils ont eu à l’époque de s’exprimer en Français.

Avez-vous conscience que "L’Accord Parfait" est devenu une référence pour toute une génération ?

Valérie Leulliot : J’ai l’impression... Même si je lui trouve plein de défauts – ma façon maladroite de chanter – je me souviens qu’après de multiples mixages nous étions, avec Fabrice, très contents du résultat. On s’est dit que ça avait été bordélique mais qu’il y avait un truc dans ce morceau.

Il faut dire que je n’avais pas une idée très précise de ce que j’attendais, sinon de vouloir un peu The La’s. C’était chouette de le jouer avec Aline (lors de leur concert à l’Alhambra le 28 mai 2013), comme un pont entre nous. Il vient d'être sélectionné par Bernard Lenoir pour la prochaine édition de sa compilation "Bernard Lenoir L'Inrockuptible" qui sort le 29 juin. C’est très touchant.

Vous rendez hommage à Mark Linkous, le leader de Sparklehorse, sur "Cheval Étincelle".

Valérie Leulliot : C’est l’une des premières chansons que j’ai écrites. Je l’ai composée dès que j’ai appris qu’il s’était donné la mort en mars 2010. J’étais scandalisée, en colère. C’était un cri du cœur. Le refrain en anglais est une manière de m’adresser à lui, de m’en rapprocher. Mais à travers ce titre, j’évoque aussi Eliott Smith ou Nick Drake, des génies qui n’ont pas été suffisamment reconnus de leur vivant. La tonalité est très eighties car nous étions dans ce trip-là au début de l’enregistrement.

Sébastien Lafargue : On ne voulait pas qu’il soit cérémonial. Le morceau et sa partie de guitare au milieu sont très spontanés. Ça part, comme ça, comme une balle, une étoile filante.

Un lâcher prise que l’on ressent sur tout le disque.

Sébastien Lafargue : On arrive à un âge où l’on constate combien on s’est parfois attaché obstinément, mais à tort, à certaines choses. Une maturité qui nous libère. C’est vital artistiquement. Se débarrasser de l’exigence actuelle d’une certaine immédiateté, d’un rapport au temps très court, même si ça va à rebours de ce qui se fait aujourd’hui.

Valérie Leulliot : C’était notre volonté que de ne pas tout contrôler, ne pas succomber aux cadences que la société nous impose. Ignorer où l’on va, si l’on est dans le beau ou pas, mais être soi et aboutir à un instantané le plus fidèle des trois ou quatre dernières années passées. Je sacralisais trop la musique. Je me posais trop de questions sur la façon dont elle est serait reçue. À un moment, je me suis dit : merde, c’est moi après tout ! Aujourd’hui, on a envie de continuer à travailler ensemble tout en menant des projets personnels, c’est notre équilibre.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Ta lumière particulière de Autour de Lucie

\r\n \t\t

En savoir plus :
\r\n \t\t Le site officiel de Autour de Lucie
\r\n \t\t Le Soundcloud de Autour de Lucie
\r\n Le Facebook de Autour de Lucie

\r\n \t\t

Crédits photos : Thomy Keat (Toute la série sur Taste of Indie)


Christophe Gatschiné         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 21 avril 2024 : Des beaux disques, des beaux spectacles, une belle semaine

On fait le plein de découvertes cette semaine avec des tas de choses très différentes mais toujours passionnantes. Pensez à nous soutenir en suivant nos réseaux sociaux et nos chaines Youtube et Twitch.

Du côté de la musique :

"Génération (tome 1)" de Ambre
"Out" de Fishtalk
"Take a look at the sea" de Fontanarosa
"Venus rising" de Trio SR9 & Kyrie Kristmanson
"Perpétuel" de Vesperine
"Liminal status" de Watertank
"The great calm" de Whispering Sons
"Keep it simple" de Yann Jankielewicz , Josh Dion & Jason Lindner
Quelques nouveautés en clips avec Isolation, Resto Basket, Greyborn, Bad Juice, Last Temptation, One Rusty Band, We Hate You Please Die
nouvel épisode du Morceau Caché, consacré à Portishead
et toujours :
"Kit de survie en milieu hostile" de Betrand Betsch

"Let the monster fall" de Thomas de Pourquery
"Etat sauvage" de Chaton Laveur
"Embers of protest" de Burning Heads
"Sin miedo" de Chu Chi Cha
"Louis Beydts : Mélodies & songs" de Cyrille Dubois & Tristan Raës
"Arnold Schönberg : Pierrot lunaire" de Jessica Martin Maresco, Ensemble Op.Cit & Guillaume Bourgogne
"C'est pas Blanche-neige ni Cendrillon" de Madame Robert
"Brothers and sisters" de Michelle David & True Tones
"Prokofiev" de Nikita Mndoyants
"Alas" de Patrick Langot, Alexis Cardenas, Orchestre de Lutetia & Alejandro Sandler
"Symptom of decline" de The Black Enderkid
"Tigers blood" de Waxahatchee
"Not good enough" de Wizard

Au théâtre :

les nouveautés :

"Sonate d'automne" au Théâtre Studio Hébertot
"Frida" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses

"Preuve d'amour" au Théâtre du Guichet Montparnasse
"Après les ruines" au théâtre La Comète de Chalons En Champagne
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme ?" au Théâtre du Guichet Montparnasse
"Royan, la professeure de français" au Théâtre de Paris
Notes de départs" au Théâtre Poche Montparnasse
"Les chatouilles" au Théâtre de l'Atelier
"Tant que nos coeurs flamboient" au Théâtre Essaïon
et toujours :
"Come Bach" au Théâtre Le Lucernaire
"Enfance" au Théâtre Poche Montparnasse
"Lîle des esclaves" au Théâtre Le Lucernaire
"La forme des choses" au Théâtre La Flèche
"Partie" au Théâtre Silvia Monfort
"Punk.e.s" Au Théâtre La Scala
"Hedwig and the angry inch" au théâtre La Scala
"Je voudrais pas crever avant d'avoir connu" au Théâtre Essaïon
"Les crabes" au Théâtre La Scala
"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
des reprises :
"Macbeth" au Théâtre Essaion
"Le chef d'oeuvre inconnu" au Théâtre Essaion
"Darius" au Théâtre Le Lucernaire
"Rimbaud cavalcades" au Théâtre Essaion
"La peur" au Théâtre La Scala

Une exposition à la Halle Saint Pierre : "L'esprit Singulier"

Du cinéma avec :

"Le déserteur" de Dani Rosenberg
"Marilu" de Sandrine Dumas
"Que notre joie demeure" de Cheyenne-Marie Carron
zt toujours :
"Amal" de Jawad Rhalib
"L'île" de Damien Manivel
"Le naméssime" de Xavier Bélony Mussel
"Yurt" de Nehir Tuna
"Le squelette de Madame Morales" de Rogelio A. Gonzalez

Lecture avec :

"Hervé le Corre, mélancolie révolutionnaire" de Yvan Robin
"Dans le battant des lames"' de Vincent Constantin
"L'heure du retour" de Christopher M. Wood
"Prendre son souffle" de Geneviève Jannelle
et toujours :
"L'origine des larmes" de Jean-Paul Dubois
"Mort d'un libraire" de Alice Slater
"Mykonos" de Olga Duhamel-Noyer
"Des gens drôles" de Lucile Commeaux, Adrien Dénouette, Quentin Mével, Guillaume Orignac & Théo Ribeton
"L'empire britanique en guerre" de Benoît Rondeau
"La république des imposteurs" de Eric Branca
"L'absence selon Camille" de Benjamin Fogel
"Sub Pop, des losers à la conquête du monde" de Jonathan Lopez
"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=