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Interview  (Paris)  lundi 5 septembre 2016

Chaque lundi, on entame la semaine avec l’envie de "commencer du bon pied". En ce qui me concerne, le 5 septembre dernier au matin, je ne pouvais pas mieux démarrer puisque j’ai rencontré An Pierlé la belge, pour lui poser quelques questions à propos de Arches, son septième album. Un entretien très agréable autour d’un jus d’orange et d’un café latte, avec une personne inspirante et inspirée.

An, cette année très chargée pour toi (BO récompensée pour le film Le Nouveau Testament, participation au conte musical Slumberland, tournées…), peux-tu nous parler du contexte dans lequel est né l’album ?

An Pierlé : Au début, c’était un simple petit projet, un simple essayage. Parfois, je fais des choses que je n’ai jamais faites, pour trouver de l’inspiration. J’étais compositrice de la ville de Gand à cette période donc j’avais l’opportunité d’aller dans des endroits où on ne peut pas entrer normalement et j’avais envie de faire quelque chose avec cet orgue et cet organiste [Karel De Wilde], puis Loesje [Maieu, chanteuse] nous a rejoint parce que j’avais envie de chanter à plusieurs voix, et avec quelqu’un pour exploiter les hauteurs de l’église. Parce que dans les églises, tu as toujours envie de chanter haut et elle, elle sait aller haut, aussi haut que moi ! Puis ce projet qui, en 2012, n’était qu’une demi-heure de musique a vraiment bien marché, donc après on s’est dit qu’on allait en faire un plus grand projet dont l’écriture s’est faite pendant plusieurs périodes, on a fait une période d’essais en public aussi.

Tes autres projets professionnels ont-ils influencé ou "contaminé" ton écriture à ce moment là ?

An Pierlé : Je pense qu’à un certain moment, ça s’influence parce que tu es dans un trip. Dans le film, il y a quelques petits morceaux instrumentaux qui sont joués avec l’orgue mais en général, Jaco [Van Dormael, réalisateur du Nouveau Testament] ne voulait pas trop d’orgue parce que ça avait une référence religieuse et il a voulu éviter cette lourdeur dans son film, ce que je comprends totalement, mais en terme de thème non, je ne pense pas que ça ait influencé mon écriture, c’est quand même des périodes de créations artistique distinctes.

Et le fait d’être compositrice officielle de la ville de Gand, est-ce que ça t’a mis une sorte de pression pour "bien faire", ou au contraire est-ce que ça a apporté quelque chose de nouveau à ton processus créatif ?

An Pierlé : Il n’y avait pas vraiment une pression, c’est plus au contraire une vraie liberté. Tu en fais ce que tu veux et moi j’ai fait beaucoup parce que j’avais envie de découvrir, d’essayer de nouvelles choses. J’ai aussi fait beaucoup de projets avec de jeunes étudiants mais dans tous les domaines : du graphisme, de la mode… et ça c’est chouette d’avoir accès à ces tout jeunes talents que normalement tu ne rencontres pas.

C’était une opportunité de renouveler tes idées…

An Pierlé : De prendre, de se nourrir, oui. Tu as toujours le sentiment d’avoir 20 ans bien sûr, mais quand tu vas parler avec de vrais étudiants là tu sens, tu reconnais des choses de ta jeunesse et c’est chouette de voir ce feu. Tu te reconnais mais tu as quelque chose quand même en plus, j’ai quand même dépassé ce stade et eux tu les sens aussi parfois intéressés et à l’écoute des choses que tu as vécues. C’est surprenant de voir que tu as quand même de l’expérience, que tu as accompli des choses, et il faut en faire profiter les autres, alors que normalement on n’en a pas souvent l’occasion.

L’orgue c’est une grande rencontre – peut-on dire qu’il a remplacé le piano sur cet album ?

An Pierlé : Non pas vraiment remplacé, c’est juste une autre approche de l’écriture, et c’était chouette parce que ce n’est pas moi qui le joue, c’est un organiste qui connaît cet instrument donc qui peut m’apprendre beaucoup de choses, et du coup moi je peux lui apprendre mon approche personnelle de la musique, parce que je lui propose des choses. Je compose souvent sur l’ordinateur, sur un clavier avec un son d’orgue pour commencer et la façon dont on doit jouer de l’orgue est tout à fait différente. Sur le piano, avec un pied tu fais comme ça (ndlr : mime l’action d’une pédale) et les notes traînent, avec un orgue tu fais tout en tenant les doigts sur les touches, parce qu’il n’y a pas de pédale qui fait ça. L’orgue, c’est le premier synthé qui a été inventé finalement et c’est gai de jouer avec ça, et puis avec Karel, mon organiste, on discute, il me montre, on échange, c’est gai parce que là je peux me concentrer sur le chant.

D’autant que l’album a été enregistré dans l’église Saint-Jacques, à Gand, donc les sons de l’orgue et de la voix prennent une autre dimension que chez soi. Il faut prendre en compte les échos, ça remplit l’espace… Est-ce que tu peux nous en dire plus sur ces conditions d’enregistrement ?

An Pierlé : Il y a une grande différence sur les morceaux qui sont faits à l’église. Comme pour "Feel For The Child", le premier morceau, par exemple, c’est aussi le premier qu’on a fait et là tu ressens vraiment que tu as fait quelque chose qui reflète un grand bâtiment avec quelque chose qui est un peu imposant et prenant, enveloppant. Aussi il y a beaucoup de chansons assez lentes, justement parce que physiquement tu fais une note de basse et puis l’air va vers cette voûte là-haut, et puis ça se perd… entre le moment où la note est jouée et où on l’entend vraiment, ça prend une seconde et les organistes doivent aussi jouer en avance, donc tu joues, tu n’entends rien. C’est très particulier.

Paradoxalement au contexte de l’église, qui dégage une impression très classique, voire austère pour certains, l’album est très pop dans ces sonorités et dans sa construction, ça fait un peu penser à ta période White Velvet, avec plus d’orgue et moins de rock bien sûr. Est-ce que c’est une envie de retourner à ce genre de projets ?

An Pierlé : Non, ce n’était pas le but de retourner vers ça, juste de faire de la musique, et c’était très vite clair qu’on allait en faire un nouveau concept.

J’avais aussi envie d’essayer d’aller avec un orgue d’église dans des festivals ou dans des salles de rock aussi, pas être cantonnée à un style, à un lieu… j’aime toujours bien mélanger. J’aime aussi le fait d’avoir un énorme orgue et de ne choisir que les petits sons pour colorier le morceau, avec une boîte à rythmes qui est vraiment quelque chose de basique, comme ça tu transformes presque le tout en un petit orgue Casio. Presque.

Ça donne cette couleur années 80 qui fait penser à du Kate Bush. D’ailleurs, dans ce registre, on a l’impression que ta voix est plus haute que sur tes autres albums et plus chantée, c’est peut-être l’harmonie avec d’autres chanteuses qui crée cette impression ?

An Pierlé : Au début, c’était le but : j’avais envie de re-chanter parce que quand tu fais des morceaux pop où tu joues amplifié, souvent tu chantes doucement, surtout quand tu es seul avec le piano, et tu fais toutes les dynamiques toi-même dans le micro, tu cherches l’intimité. Maintenant, j’avais envie de re-chanter fort parce que j’ai une grande voix et j’avais l’impression que parfois, je ne m’en servais pas avec beaucoup d’ampleur. Et je savais dès le début, avec une autre chanteuse, on s’est dit qu’à trois ce serait quand même mieux parce que là tu peux vraiment aller dans des harmonies recherchées et c’est tellement gai de chanter ensemble !

Tu peux nous parler de cette équipe de choc qui t’a accompagnée sur Arches ?

An Pierlé : L’organiste, Karel, c’était très marrant parce que quand je l’ai connu, il n’avait que 22 ans, il était tout jeune et tout classique, et maintenant il a déjà évolué vers un genre de compositeur, il fait aussi de la direction, il a un talent fou ! Pour les chanteuses, il y a Loesje, elle a son propre groupe, Blackie & the Oohoos, et elle chante aussi chez Flying Horseman, ce sont des groupes qui ne sont pas encore connus en France mais qui sont super bien ! Flying Horseman, il faut que tu checkes ça. Et puis il y a Kaat [Hellings] que je connais depuis longtemps.

C’est très gai parce que les trois voix se marient bien. Celle de Loesje est vraiment très haute, et celle de Kaat est assez douce et ronde, et c’est marrant parce que quand on a enregistré et qu’elle chante doux et un peu haut tu ne peux pas reconnaître sa voix et ma voix, ça s’imbrique bien, et une fois que tu connais vraiment tes parties, tu peux créer des harmonies en plus, ça c’est super.

J’imagine que Koen [Gisen, compagnon et producteur d’An] était bien entendu de la partie à la production cette fois encore !

An Pierlé : Oui. Pour les enregistrements justement, c’est lui qui a fait un énorme travail de talent, parce que pour enregistrer un orgue à l’église, c’est un énorme instrument avec une énorme dynamique et donc normalement on ne fait que orgue et chœur ou orgue seul, et non il fallait l’incorporer là.

Puis j’imagine que pour enregistrer, ça ne doit pas être évident non plus de gérer les recoins du bâtiment qui vont avoir de l’écho, il faut savoir où poser ses micros…

An Pierlé : Oui mais il a bien étudié le sujet et puis on est allé l’aider de nuit pour ne pas avoir trop de son de la ville autour. Donc sur le balcon, en haut de l’église, il a placé des micros assez proches de la source du son pour avoir quelque chose de direct, et puis des micros beaucoup plus loin, tous des microphones à lampe.

C’est ce qui doit donner la chaleur du son sur l’album, non ?

An Pierlé : Oui. Notre studio est vraiment devenu un paradis du vintage et du bon matos qui apporte beaucoup de chaleur. C’est comme ça qu’on veut travailler et pour le rythme c’est lui qui les a vraiment tous retravaillés pour donner une cohérence des années… 80 mais quand même en moderne. Et puis quand il commence à jouer de la clarinette basse… il joue de tout, c’est chouette !

L’album s’appelle Arches, il est enregistré à l’église, tu as fait la BO d’un film qui parle de religion, le titre "Vibra" fait penser à du latin… Est-ce qu’on peut dire qu’il y a une aura spirituelle autour de cet album ?

An Pierlé : Il y a peut-être une aura spirituelle mais pas religieuse. C’est forcé quand tu entres dans des églises, même si tu n’es pas croyant, il y a une sorte de repos qui s’impose dans ces murs. Et tu es entouré aussi de choses très vieilles, ciselées par des gens d’il y a des centaines d’années, donc tout ça quand même impose le respect. Même pendant les concerts. Dans la musique même, il y a des liens vers de la musique polyphonique, parce qu’on a chanté à trois voix, et dans l’album qui va suivre c’est encore un peu plus extrême de temps en temps dans cette direction là.

Quand on a fait des concerts d’essai dans des églises avec ce projet d’orgue pour voir si ça avait un futur, les gens aimaient et étaient super émus d’être là parce que justement tu n’entres pas en buvant ta bière, tu te poses et tu regardes, et soudainement il y a beaucoup de souvenirs d’enfance qui viennent, parce que tu as vu plein de choses qui se sont passées dans les églises, tu y as eu plein d’émotion. C’est un lieu d’émotions, on y fait des baptêmes, des mariages, des deuils, et même les moments où tu t’ennuies à mourir parce que tu es petit et que tu dois rester à la messe, assis dans le froid, c’est un souvenir émouvant. Beaucoup de gens nous disent que ça les émeut. Aussi le fait que tu es dans le son, est important. Ici à Saint-Eustache (ndlr : le 5 octobre, à Paris), ça va être génial parce que c’est énorme cette église, tu y es entouré par le son alors qu’à un concert pop ça vient de la scène, ici on se noie dedans.

Tu avais déjà fait une tournée des églises avec le piano. Ça va te servir pour cette tournée qui arrive ? Ou est-ce que c’est vraiment très différent ?

An Pierlé : C’est compliqué. L’organiste sera en haut au fond et nous on est en bas, c’est aussi la raison pour laquelle on a commencé avec les boîtes à rythmes parce qu’il fallait un moyen de communication pour qu’on joue ensemble sur le même temps.

Tu parlais d’un album à venir, Cluster. Tu avais déjà fait paraître un album diptyque avec Strange Days et Strange Ways. C’est ton truc de faire les choses en deux temps ?

An Pierlé : J’écris trop (rires) ! Et je ne veux plus penser pop ou radio parce que ça ne sert plus à rien. Tu dois faire de la musique très formatée pour essayer d’avoir une chance d’être en rotation sur les radios. J’aime tellement écrire, et de plus en plus ! Je suis devenue une vraie auteure, c’est mon métier et je trouvais ça chouette d’avoir des concerts et d’avoir encore un projet qui va venir pour prolonger ce moment, encore faire et redécouvrir, parce que je vais rencontrer de nouvelles orgues, donc peut-être que ça me donnera de l’inspiration.

Cet album, il est déjà en cours de production ?

An Pierlé : Il y a déjà 6 chansons d’écrites. On peut le sortir comme ça en fait, mais ce n’est pas encore abouti et j’ai envie de m’amuser encore.

Est-ce qu’il complètera Arches ? Sera-t-il une suite logique ? Un point final au projet ?

An Pierlé : Je ne sais pas encore. Ce qui sera dessus, ce sont les chansons qui sont un peu plus extrêmes, dans toutes les directions. Avec Arches, j’ai vraiment voulu faire un truc avec une ligne, un genre de dramaturgie musicale, pour que ce soit pas trop long non plus, parce que le son de l’orgue il faut s’y adapter un peu. Et je n'avais pas envie de faire une heure et demi de ça non plus. En choisissant les titres pour Arches, je pensais que garder ces chansons là c’était le plus logique, le plus cohérent, mais j’ai dû en écarter quelques unes qui me tenaient aussi beaucoup à cœur.

Et qu’on retrouvera donc plus tard sur Cluster ?

An Pierlé : Oui. Je vais m’amuser encore !

Finalement Arches, c’est comme une sorte d’introduction à quelque chose de plus expérimental.

An Pierlé : Peut-être, mais dans plus extrême je veux aussi dire qu’il y ait des chansons qui soient vraiment encore plus pop ! Donc il y aura ça, mais aussi par exemple une chanson dont quelqu’un m’a dit : "mais c’est presque bouddhiste ça !". Et ça c’est une des chansons dont les gens disent : "ça, c’est ma préférée", alors que d’autres avouent : "ça, je n’entre pas du tout dedans".

En tout cas, c’est un des projets où vraiment je m’amuse à fond. Et je prends vraiment du plaisir aussi à être avec les filles, ça c’est gai ! Je ne me sens jamais seule, c’est bien aussi d’être la seule fille dans une bande de garçons, mais c’est différent là, et surtout elle vont venir, ce sera la première fois qu’on chantera à trois voix et qu'on fera de la promo à trois. C’est nouveau !

Pas trop stressée quand même par ça ?

An Pierlé : Non je ne veux plus être stressée, j’ai vraiment fait un grand pas là-dessus, je pense qu’il faut faire ce que tu veux faire et l’assumer. Ca ne sert à rien d’être stressée parce que tu es toujours mauvais. Et puis plus je pars dans des directions extrêmes, plus je grandis, plus je me dis que je ne veux pas diluer ma propre œuvre en essayant de plaire à tout le monde, parce que là tu finis avec quelque chose de pas satisfaisant. Il vaut mieux avoir son petit public fidèle, qui t’aime vraiment et qui aime vraiment ta musique pour vraiment être appréciée pour ce que tu es au fond de toi. Ca c’est un grand luxe.

Tu l’as un peu évoqué tout à l’heure, est-ce que c’est envisageable d’amener l’orgue dans des salles de concerts plus "standard" ?

An Pierlé : Oui et ce sera une approche différente parce que là on a une bonne émulation d’orgue, un synthé à double clavier. C’est bien aussi parce que là tu as encore plus de basses, du coup ça donne une direction plus "Massive Attack". Tu apportes un genre beaucoup plus rock.

Tu as fait ta première interview pour Froggy’s Delight en 2003, pour promouvoir la sortie en France de Helium Sunset. As-tu un bilan à dresser entre ce jour et aujourd’hui ?

An Pierlé : En Flandres, ça fait 20 ans que j’ai fait mes premiers pas donc je suis très contente de toujours être là, je me rends compte chaque fois qu’il faut bien en profiter, parce que c’est peut-être la dernière fois que je peux venir à Paris, qu’on s’intéresse à ma musique, pour faire de la promo. Donc je prends vraiment du plaisir et je bosse énormément. Je veux plus que jamais faire de la musique. Il y a encore tant à faire et je trouve que ma vie devient de plus en plus chouette parce que maintenant, j’écris aussi pour les autres, ce que j’aime beaucoup, et je joue pour moi.

C’est de la persévérance tout ça, il faut se battre, parce qu’il y a beaucoup de gens, - surtout quand tu es une fille - qui pensent savoir mieux que toi ou avoir des recettes pour le succès, et je pense qu’à long terme je veux encore faire ça, même quand j’aurais 80 ans. Je trouve que c’est chouette, après autant de temps, que j’arrive encore à me surprendre moi-même. Parfois, tu ne sais pas comment tu as fait les choses et je me dis : "j’ai fait un truc avec un orgue… ça vient d’où ça ?" (rires).

Cela vient de la talentueuse et surprenante An Pierlé, bien sûr.

 

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La chronique de l'album Strange Ways de An Pierlé
La chronique de l'album Arches de An Pierlé
La chronique de l'album Cluster de An Pierlé
An Pierlé en concert au Festival Les femmes s'en mêlent 2006
An Pierlé en concert au Festival de Dour 2006 (samedi)
L'interview de An Pierlé (septembre 2003)

En savoir plus :
Le Soundcloud de An Pierlé
Le Facebook de An Pierlé

Crédits photos : Thomy Keat (retrouvez toute la série sur Taste Of Indie)


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