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Hollywood Porn Stars - Deportivo - Morgan Heritage - Ghinzu - Jamait - Mickey 3D - Gentleman - Starsailor - Kent - Arno - Sinsemilia - Patti Smith - Jeanne Cherhal  (Hippodrome de Longchamp)  8 juillet 2005

Pour la 1ère journée du festival, la programmation est riche et dense.

Le rock brûle les planches avec une bilatérale Belgique (Hollywood Porntars et Ghinzu) et France (Deportivo et Kent) arbitrée par l'unique Patti Smith.

Il est toujours difficile d'ouvrir un festival et cette année c'est Hollywood Porn Stars qui s'y colle sur la grande scène des Solidays 2005.

Le public arrive petit à petit et tandis que "Beat it" sort des enceintes le quatuor se met en place.

Instantanément les guitares rugissent et lancent un riff incisif. La batterie est en avant, les guitares saturées. L'énergie est au rendez-vous.

Hollywood Porn Stars dispense son rock et enchaîne les titres de leur premier album ("Hollybody", le tubesque "Actarus", une chanson présentée comme western "Star west" qui a plutôt des relents de Muse) ainsi que de leur premier EP (Jack back), que selon leurs propres aveux "Peu de gens possèdent".

Le public continue à affluer mais il est encore tôt pour s'exciter.

Le chanteur essaie de motiver la foule sans forcément grande conviction "C'est chouette d'être aussi nombreux à cette heure ci !" et lance une boutade belge "Vous êtes prêt pour le rock n' roll de 4h30". Et sur scène pourtant, le groupe se donne.

Et c'est vers la fin du concert, sur "Fonzie" et "Money" que les gens commencent réellement à se débrider. Le goupe reprend alors un standard des années 80 "Girls want to have fun" de Cindy Lauper avant de finir sur "Apollo" dédié à Ghinzu, également présent sur ce festival.

Ah, la solidarité belge…

Et c'est Ghinzu qui leur succèdera sur la même scène, comme au bon temps de leur tournée commune.

Très attendus, ils ont la réputation de donner des shows autant spectacles que concerts. Et c'est sur le thème de Star wars que s'ouvre le spectacle.

Etonnamment sobres, eux qui nous ont habitué aux perruques et autres masques sont tous en costar.

Ils empoignent leur instrument, le chanteur au look de dandy s'installe derrière son clavier. Here we go !

 

Les Ghinzu attaquent avec un "Blow" de 10 minutes, tiré de leur album du même nom. Le morceau commence assez calme mais très vite le chanteur va trouver matière à s'exciter sur son instrument.

Il se dandine, se lève, les doigts toujours collés à son clavier. Lorsqu'il n'est pas debout sur son clavier John Stargasm fait des pas de danse psychotiques.

Leur musique ressemble au grand huit avec des passages où c'est tranquille, on est bien, puis vient la montée, là on attend et redoute en même temps ce qui va arriver un fois en haut, et enfin la descente qui fait exploser le taux d'adrénaline. Et puis on recommence ...

Le groupe continue sur sa lancée et arrive rapidement sur un "Do you read me" survolté, qui fait affluer les gens. Suit une reprise du dieu Elvis, "Blue suede shoes".

Le final se fait sur un "Purple rain", qui, à l'image de ce concert, aura été complètement allumé.

C'est sous un dôme rempli et impatient que résonne "Les braves gens" de Georges Brassens, repris en chœur allégrement par le public. Un monsieur loyal arrive, présente le groupe et préviens que "l'on fait plus de bruit que vous". Le ton est donné…

Ainsi débute le concert de Deportivo. Le jeune trio de Bois d'Arcy nous met tout de suite dans l'ambiance avec un titre pêchu joué uniquement en live.

Le groupe y va à l'énergie, le chanteur saute dans tous les sens, fait tomber son micro ce qui l'oblige à bousculer son comparse bassiste pour lui piquer le sien.

Le concert continue sur la lancée, les chansons s'enchaînent rapidement dont le single "Parmi eux". Le public exulte et saute sur place, le chanteur hypermobile se jette dans la foule.

Dans tout ça, s'intercalent deux reprises : "Les bières aujourd'hui s'ouvrent manuellement" de Miossec en version saturée et énervée avec un final où le chanteur s'écroule à terre et "Yards of the blond girls" de Buckley dans une version qui a forcément un peu de mal à soutenir la comparaison, mais qu'importe l'important n'est pas là.

C'est bientôt la fin, le groupe demande au public de trouver un partenaire pour danser sur leur chanson "Folklore" et enchaîne "Sur le moment" chanson plus calme, où le batteur abandonne ses tambours pour un kazoo.

Le concert se termine avec "A l'avance". Mais manque à l'appel le trompettiste-ingénieur du son David qui se trouve à l'autre bout du Dôme, à la table de mixage. A la demande du chanteur, il va alors traverser toute l'étendue porté par le public.

Le final est joyeusement bordélique et le chanteur se jette dans la batterie comme au bon vieux temps du grunge.

>>> L'interview de Deportivo

Kent apparaît en blouson de cuir, pantalon rayé, chemise à fleurs, basket rouge et coupe de cheveux à la Beatles. On le croirait échappé de l'époque yéyé et on craindrait presque, si on ne savait que, début des années 80, il officiait au sein de son groupe Starshooter qui électrocuta le public français avec son rock survitaminé, qu'il nous endorme avec un revival des années 70.

Mais, même si les années passent, presque 30 ans de carrière et une quinzaine d'albums - le dernier en date Bienvenue au club vient de sortir - on ne se refait pas et Kent a une pêche et une présence d'enfer.

Même les morceaux de pop fluide comme "Les vrais gens" sont ponctués de sorte de brulôts presque punk. Une reprise de noir Désir prouve d'ailleurs de quelle obédience est le monsieur.

Les chansons toujours en prise directe avec l'époque scrutent le temps présent sans complaisance avec un réalisme non dénué de poésie.

Il joue de la guitare électrique, bouge sans arrêt, saute, danse, tel une pile électrique

Pour faire une pause souffle, il invite une jeune fille puis deux autres pour faire les 5 secondes de chœur introduisant "Notre terre" qui dresse un état des lieux plutôt préoccupant ("Heureusement ya la culture/Picasso en monospace/Bientôt les bons mots d'Arthur/Dans le Bordas").

Parce que les textes de Kent valent aussi la peine qu'on les écoute, qu'il traitent de la difficulté d'être égoïstement heureux ("Le bonheur ne me rend pas heureux"), de la dépression, sujet qui met tout le monde ("Des jours ainsi") ou de ceux qui sont oubliés ("Va dire à Charlie").

Kent a bien raison de ne pas raccrocher sa plume et sa guitare !

Après une journée faite de nuages menaçants et de pluies battantes, la nuit tombée commence à se faire fraîche et humide. Pourtant, beaucoup de festivaliers sont restés pour voir la légende du rock US, Patti Smith.

C'est entourée de ses fidèles, le guitariste Lenny Kaye et le batteur Jay Dee Daugherty, que Patti Smith apparaît, souriante. Look post baba-cool, vieille veste, chemise bleue sans forme, croix autour du cou et jean dans les bottes, Patti apparaît sans artifice.

Elle tente quelques mots en français qui suffisent pour faire le bonheur du public.

Le concert débute et on comprend tout de suite la réputation de la dame. La voix est là, profonde, hantée. Elle parait habitée, chante les yeux fermés et se lance même dans des danses que l'on dirait shamaniques.

Même si on ne connaît pas forcément l‘artiste (c'est-à-dire ceux qui n'étaient pas là dans les années 70!), certaines de ses chansons sont devenues des hymnes (tel "Because the night" co-signé à l'époque par Bruce Springsteen).

C'est donc devant un public conquis, qu'elle chante "Free money" et revisite le "Like a rolling stone" de Bob Dylan.

Puis "People have the power" est l'occasion, le poing levé, de marquer sa protestation. Le micro tendu vers lui, le public reprend en choeur le refrain.

Elle lance alors un pamphlet contre les industries pharmaceutiques et rend hommage à son ami le photographe Robert Mapplethorpe, mort du sida en 1989, qui l'avait immortalisée sur la pochette de Horses.

Le concert prend fin, Luc Barruet vient sur scène clôturer la journée mais, sous la pression du public, rappelle Patti Smith, pour un dernier tour d'honneur. Ce sera "Gloria", chanson de Van Morrison, mais dont on oublie le véritable créateur tellement cette chanson semble lui appartenir.

La brit pop, colorée rock, résiste avec Starsailor.

Pour leur seconde participation aux Solidays, Starsailor vient donner une leçon de pop anglaise au public de l'Hippodrome de Longchamp.

Le groupe, qui tire son nom d'un album de Tim buckley (mais c'était un concours de circonstance !), débute son concert avec "Poor misguided fool", un morceau du premier album Love is Here.

Pendant près d'une heure le groupe va exécuter une série de tubes imparables tirés de leur deux albums.

Le guitariste-chanteur, James Walsh, fait dans l'omniprésence. C'est bien simple, on ne voit que lui. Il dégage à la fois une force tranquille et une timidité touchante.

 

 

 

 

 

Les morceaux rythmés succèdent aux ballades et inversement. Les mélodies sont accrocheuses, la musique légère, l'ensemble coule bien mais est très calibré.

Il y en a pour tout le monde : Séquence émotion lorsque le chanteur présente sa "Song for drunkers", "Alcoholic" accompagné uniquement du piano, séquence dance avec "Four to the floor", le single de l'album Silence is easy qui transforme la scène et le parterre en boite de nuit illuminés de spots multicolores.

Le public est aux anges et se trémousse frénétiquement. Tant mieux pour lui !

>>> La conférence de presse de Starsailor

Le reggae se décline américano-jamaïcain ou germaïcain avec Morgan Heritage et Gentleman.

Plutôt blancs, les petits enfants de Patti Smith sont des rastas avec dreadlocks en tous genres, des 15-18ans plutôt de bonne famille, qui sont venus écouter les Morgan Heritage.

Morgan Heritage est le groupe formé par les enfants du chanteur jamaïcian Denroy Morgan, leader des Black Eyes, patriarhe de 29 enfants, qui pratique un nu-roots relooké de soul et de Rn'B.

Pas de tenue colorée, laplupart en noir, même si les lunettes sont strassées, à quelques mètres d'une table avec des symboles religieux, dans la veine du reggae variante spirit,

Le public reprendra en choeur les morceaux de leur dernier album, Full Circle, "One day", "Hail rastafari", "Im still the same" sans s'arrêter de pogoter.

Les Morgan ont reçu un bien bel héritage. Et à en constater par la présence sur l côté de la scène de la très jeune génération suivante, la relève, au nom de Jah, est assurée !

>>> La conférence de presse de Morgan Heritage

A 19h30 sur la scène Bagatelle débute la prestation reggae du groupe d'outre-Rhin Gentleman.

L'élégance incontestablement caractérise cette formation.

Coiffé d'un chapeau de style cubain, et portant une chemise blanche assez ample et un pantalon beige qui complète avec goût sa tenue, Otto Tillmann semble serein face aux milliers de spectateurs qui se sont rassemblés devant la scène.

Dès le début du concert, on apprécie les rythmiques efficaces et épurées, les basses puissantes, et la voix claire aux accents teutons.

Le groupe enchaîne les morceaux et nous ravit par ce reggae élaboré. Les chœurs accompagnent parfaitement le chanteur dans la composition acoustique de cet univers vocale.

Une des chanteuses s'extrait, pour un morceau, de son rôle d'accompagnement pour venir interpréter un duo avec Otto.

Seul petite ombre au tableau, le côté un peu statique des déplacements sur scène, mais sinon c'est du tout bon et on passe des moments exquis le temps de ce concert.

Arno supervise une chanson française éclectique avec Mickey 3D, Sinsemilia, Jamait, Kent et Jeanne Cherhal.

Puisque c'est la journée belge aux Solidays, voici un monument musical du plat pays. C'est sous une pluie battante qu'Arno commence son concert.

56 ans, dont 35 à égrener les scènes et pourtant toujours fringant, surprenant Arno, qui ouvre le concert aux sons des guitares saturées. Et on n'est pas au début de nos surprises.

Rythmes électroniques, riffs de guitares, reggae, java, un large spectre musical va être visité pendant près d'une heure par le belge qui peut se montrer grave et émouvant et la seconde d'après roublard avec l'œil pétillant.

Le chanteur à la voix éraillée et à l'accent à couper au couteau rugit autant qu'il ne chante. Il pioche les chansons parmi ses 26 albums : "Françoise" et "Chic et pas cher" (French bazaar), "Ratata" (Ratata), "Il est tombé du ciel "(Arno Charles Ernest)

La formation est à configuration variable. Elle se réduit pour laisser Arno avec le guitariste et le batteur pour un rock-blues endiablé et avec le pianiste pour un toujours émouvant "Les yeux de ma mère".

Puis tel un lutin rigolard, il fait résonner des cymbales sur le reggae de "Bathroom singer". Reprenant Adamo, il poursuivra avec "Les filles du bord de mer", chanson qui lui est chère puisque c'est la seule, selon lui, qui puisse décrire sa ville natale d'Ostende.

Arno conclut en remerciant "les mademoiselles et les monsieurs" d'être restés sous la pluie. Mais c'est lui que l'on va plutôt choisir de remercier.

C'est devant un public conquis avant même le début du concert que Mickey 3D distille ses chansons à la façon folk ou électrique.

Il nous offre un concert puissant et revendicateur.

 

Pour Jamait, un abat jour, une chaise de bistrot des années 50, une sellette pose le décor.

La casquette de titi parisien vissée sur la tête, la voix éraillée juste ce qu'il faut, Yves Jamait, à la guitare, attaque avec "Le coquelicot" le registre des chansons naturalistes, genre "Le déjeuner des canotiers " de Renoir, accompagné de Marc Descloitres (basse), Hervé Faisandaz (batterie), Christophe Marozzi (accordéon) et François Cogné (clavier).

Entre jazz et musette, Jamait chante l'amitié, la poésie, la dérision, les affres du petit jour qui lève sur une ville sortie tout droit d'un film de Carné ("C'est l'heure" "C'est l'heure où les camions se gavent de poubelles/Où les bistrots bâillent encore et dorment les hôtels/Où je marche sans souvenir d'une nuit trop lointaine").

Et puis la mélancolie ("La fleur de l'âge" "Ne cherche pas à vouloir/Arrêter le temps/J'aime la beauté dont il te pare/Et dont je suis l'amant") et l'amour, toujours ("Le coquelicot" - "Adieu à jamais" "Depuis qu't'étais partie/Je m'habillais d'ennui/Pour aller pleurer ma bière dans un rade/Je rentrais tout le temps seul").

Devant le grand rideau noir constellé de minuscules lumières, Jeanne Cherhal s'avance telle un petit elfe, toute de noir vêtue, si légère qu'elle semble ne pas toucher terre.

Même si elle a coupé ses nattes de Fifi brin d'acier, elle reste caustique et moqueuse avec ce sens de la pirouette qui désarçonne les plus hermétiques.

Elle a des atouts certains : un répertoire en totale adéquation avec ce qu'elle est mais aussi avec son apparence physique, une voix expressive qui se promène dans tous les registres du grave au drôle, une thématique contemporaine et des mélodies acoustiques. Et puis, et surtout, il faut bien le reconnaître un charme certain.

Du charme pour nous intéresser à son petit univers.

Un univers composé de petites histoires intimes douces-amères qui se présente comme des petites nouvelles ("Super 8", "Un couple normal") qu'elle nous égrène de sa voix limpide sur des mélodies pop presque minimalistes.

Et ça passe plutôt bien

>>> La conférence de presse de Jeanne Cherhal

Sinsémilia fait son show, haut en couleur et en métissage.

Depuis plus de dix ans, ce groupe de reggae world festif et engagé fait partie de la scène dite alternative qui a su aller au devant du public et traîne ses guêtres aux 4 coins de l'hexagone.

Sur des rythmes reggae et ska, la grande famille Sinsémilia vit pour la musique et se nourrit de la scène. Mais Sinsémilia c'est aussi la parole, les mots pour dénoncer et lutter contre les maux contemporains que l'intolérance et l'injustice.

 

 

Aussi n'est-il pas étonnant que cette passion et cette vitalité rassemble beaucoup de jeunes autour de leur discours combatif et militant. Pour "Tout le bonheur du monde"....

 

 

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Crédits Photos : David/Laurent (Plus de photos sur Taste of Indie )

Crédits articles : Collectif Froggy


        
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# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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