Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Margot Cotten
2 & 2  (Autoproduit)  octobre 2015

Margot Cotten ou deux et deux font quatre

La pochette de 2 & 2 en noir et blanc nous montre une Margot Cotten de profil, pensive. Une pochette réussie, qui annonce que mathématiquement le disque sera à la hauteur. Si nous regardons le dos de la pochette, nous trouvons Margot, cuir, jeans et bottes, assise sur des escaliers toujours pensive. Sa chevelure un peu sauvage renforce sa beauté. L’intérieur de la pochette du CD, lorsque vous la découvrez, vous êtes surpris, par la couleur, et en feuilletant le beau livret, et regardant cette voiture américaine et cet homme en position de fœtus, nous pouvons penser : "Ah je comprends pourquoi Margot est pensive". Je comprends pourquoi, eh bien je sèche un peu, nous en saurons un peu plus dans l’interview qui va suivre cette chronique.

Margot Cotten aime le rock Américain et cela la pochette nous l’annonce clairement, ainsi que dix titres que nous allons découvrir.

D’entrée la force du rock américain s’exprime, un pur bonheur, la voix de Margot assure, il n'y a pas à dire le choix de placer ce "Silver Soul" au début nous promet une écoute d’un bon niveau. Nous allons partir sur les routes du far west, nous sentons la poussière, et des noms illustres nous reviennent en mémoire. Des noms qui nous ont tous fait rêver. La musique américaine, ou plutôt le rock, la country, l’outlaw country pour être précis, la country rock et le rock sudiste ne peuvent en aucun cas nous laisser de marbre.

"An elephant in the Deep Blue Sea" nous ramène dans un son plus country, tout en restant assez musclé. Il a bien sa place dans cette palette qui nous peint l’Amérique qu’on aime, celle des grands espaces, celles des amérindiens, des cow-boys, des ranchs, de la Route 66, celle où la vie est différente, dure, oui, mais différente. Dans notre mémoire, au moins, le temps s’est arrêté. Et cette chanson fait du bien aux stressés que nous sommes.

La suite nous laisse dans le calme d’une ballade : "Laughing Without a Smile". Déposons nos bottes, et asseyons-nous au coin du feu à siroter un bon café dans ces fameuses tasses en fer. Pour les paroles, nous verrons avec Margot qui nous répondra à quelques questions. Mais un tel son, une telle ambiance est édifiante, ne cherche pas l’exceptionnel, mais la paix du cœur.

S’en suit une petite merveille avec un solo de guitare bien appréciable, sans parler de la voix de Margot. Un sans faute jusqu’à maintenant. Non, je ne cire pas les bottes de la belle Margot, mais je constate, simplement. Voilà un morceau proche de la perfection, en tous les cas, ce n’est pas avec "Pecan Boy" que nous pourrons dire que ce disque est médiocre.

Nous voilà dans un climat country, folk country (?). En tous les cas, "Mrs Johnson" ressemble à un western, le morceau a un rythme et une slide guitare qui assure tout en douceur. Un tel morceau ne passerait pas dans nos hits parades, mais cela n’est pas grave, je dirais même heureusement, il ne faut pas salir l’œuvre.

Yeap, voilà la country rock qui va faire danser tout le monde "Paris Rain", une chanson qui nous parle de Paris, de la Californie... du cœur de Margot, tiraillée entre les deux ? Un peu comme nous. Mais nous savons que l’Amérique n’est pas toujours un rêve. Cependant on peut aimer ce pays, c’est certain, et en rêver, être tiraillé, c’est certain.

Margot nous chante une ballade dont elle a le secret, sa voix est dramatique, attachante, c’est beau et triste. Margot est à l’aise dans cette chanson "Eve & Earl", comme elle l’est d’ailleurs dans toutes les autres. Quand on pense qu’elle compose tout. Ce n’est pas rien : chapeau pas, à notre country rock woman. Il faudra que Margot nous dise deux mots sur cette chanson qui semble parler de suicide, ah mais tout n’est pas rose en Amérique.

Avec "Eucalyptus Mind", Margot Cotten revient à un rythme plus soutenu tout en restant, ce que je me permets d’appeler, une ballade où le paysage défile sous nos yeux. Cette Amérique tant aimée. Cette Amérique qui nous a donné tant de légendes, défile sous nos yeux. Les guitares renforcent cette impression. Et en entendant cette jolie chanson, je ne peux m’empêcher, avec une certaine émotion, même si cela n’a certainement rien à voir, à Johnny Cash, à son testament "Hurt", aux images du clip. Oui les grands de la musique américaine ne sont pas loin, ils sont l’âme de cette musique.

Guitare acoustique, voix parfaitement posée de Margot, le morceau commence, et nous revoilà dans un temps où tout semblait autre. Un temps qui n’a peut-être jamais existé en fait. L’homme étant l’homme. Cette chanson "(Welcome to) the Sleepy Town" est très agréable. Tiens, elle aurait pu être chantée sur les planches du fameux festival, le plus légendaire.

Margot Cotten aime nous raconter des histoires, elle aime les ballades à l’entendre, chanson après chanson, mais on ne s’ennuie jamais tant la musique est belle et la voix non pas monotone. "Afraid of the Night" est le dernier morceau de cette bien agréable galette. Nous sommes reposés après une telle écoute. Mais il vaut la peine d’approfondir tout cela, car si Margot aime raconter des histoires, j’aimerais bien savoir ce qu’elle nous dit. Car si nous voyons des images nous voyons l’Amérique aimée, celle des légendes.

Margot Cotten, pourquoi et pour qui jouez-vous de la musique ?

Margot Cotten : Je joue de la musique parce que je ne peux pas faire autrement ! Si je ne joue pas, je suis déprimée. C’est un besoin physique et psychique !

Je joue principalement pour moi, mais je ne peux pas nier que c’est un bonheur de jouer pour les autres, de savoir que peut-être on peut égayer / changer leur journée avec quelques accords et une simple mélodie.

D’où vous vient cet intérêt pour la musique Américaine ?

Margot Cotten : Je dois ça à mes parents. Ma mère est une fan inconditionnelle de New Orleans Jazz (ça lui vient de son père) et des Beatles, et mon père de groupes de la British Invasion, de blues, rock’n’roll, country. Toute petite, j’écoutais Clarence Williams, Abbey Road, les Rolling Stones, Robert Johnson, Creedence, etc.

Le premier groupe sur lequel j’ai fait une énorme fixette, c’était les Rolling Stones. À 9 ans, j’étais une véritable fanatique. Grâce à eux, j’ai découvert beaucoup de musique américaine : Howlin’ Wolf, Muddy Waters, Gram Parsons, Otis Redding… Je suis partie des Rolling Stones et ai remonté le temps.

Trouvez-vous un public ouvert à votre musique en France ?

Margot Cotten : Oui, il y a en fait des gens qui aiment la même musique que moi. Avant d’avoir internet, je pensais que personne en France ne connaissait les Stones ! J’ai découvert que j’avais tort ! J’ai eu plein de remerciements de gens qui sont heureux de savoir que je porte le flambeau de cette musique trop peu écoutée ici.

Composez-vous en vue de la scène ou l’album prime ?

Margot Cotten : Ça dépend. À vrai dire, ça vient comme ça vient, je ne réfléchis pas à ce que je fais. C’est très spontané. Faut pas réfléchir trop pour écrire de la musique sinon on brise le charme et la magie du morceau.

La scène vous est-elle indispensable ?

Margot Cotten : J’adore jouer en public et jouer avec mon groupe. On devient quelqu’un d’autre une fois sur scène, c’est très agréable comme sensation. Quel plaisir de voir la réaction des gens que ce soit quand je joue mes morceaux ou des covers ! C’est drôle parfois les gens réagissent plus à mes chansons qu’aux covers que je fais. Ça fait du bien à l’égo de savoir qu’une chanson de Margot Cotten reçoit plus d’applaudissements qu’une chanson de Dylan ou Tom Petty ou les Rolling Stones !

De quoi parlent les chansons de 2&2 ?

Margot Cotten : Ce sont principalement des chansons d’amour, tristes et nostalgiques. Certaines parlent de l’Amérique comme "Paris Rain", "Eucalyptus Mind", "Silver Soul" (inspirée par Little Big Man), "Mrs Johnson" (hommage à Robert Johnson). D’autres parlent plus ou moins de ce que j’ai vécu : "Sleepy Town", "Afraid of the Night", "Eve & Earl", "Laughing without a Smile", "Pecan Boy. J’invente des histoires en partant de choses réellement vécues, j’écris à propos de mes proches, mes amis parfois.

"Paris Rain" exprime-t-elle un tiraillement dans votre cœur entre Paris et les USA ?

Margot Cotten : "Paris Rain", je l’ai écrite en pensant à deux amis (qui s’appellent Arthur tous les deux d’ailleurs !) et qui étaient étonnés que je parle autant des États-Unis dans mes chansons alors que je n’y avais jamais mis les pieds. Je pense qu’on peut écrire et chanter des choses non vécues tout en restant sincère. Il faut laisser place à l’imagination ! Je crois bien que Kerouac n’a jamais trop quitté l’appartement de sa mère et il a quand même réussi à nous faire voyager avec ses romans…

Quand j’ai écrit cette chanson, il pleuvait et je sentais que j’allais être triste. Dans ces cas, je mets End of The Line des Traveling Wilburys et ça me redonne le moral, là j’ai juste pris ma 12 cordes acoustique et j’ai joué. La chanson est venue comme ça d’un coup, les paroles aussi. La chanson a été écrite le temps de la jouer ! En 3 minutes chrono !

Une chanson me paraît particulièrement dramatique, bien que je ne comprenne pas l’anglais, il s’agit de "Eve & Earl". Est-ce exact ?

Margot Cotten : Tout à fait exact, ça n’est pas du tout une chanson gaie. C’est dramatique même. La chanson s’inspire d’un de mes films préférés, Harold & Maude. C’est une belle histoire d’amour impossible.

Si je vous dis que votre album, même si on ne comprend pas l’anglais, nous fait voyager et que devant nos yeux, apparaissent des visages célèbres qui ont fait que nous aimons cette Amérique, que vous chantez. Qu’en pensez-vous ?

Margot Cotten : J’en pense que c’est l’effet souhaité ! Et que les chansons ont été écrites pour ça, pour faire voyager, pour laisser place à l’imagination.

Comment composez-vous ?

Margot Cotten : Avec une guitare, un stylo, du papier et un dictaphone ! Je ne compose jamais de la même façon. Parfois, j’ai une mélodie en tête avec des bouts de paroles alors je prends ma guitare et je cherche les accords qui vont avec. Parfois, je joue de la guitare et d’un seul coup un accord me "parle" et je cherche le suivant, puis le suivant, puis je fredonne une mélodie puis j’écris des paroles dessus. Parfois, j’ai déjà les paroles d’écrites mais pas de mélodie. C’est toujours spontané, ça vient comme ça. "Sleepy town", je l’ai eu en tête alors que j’allais m’endormir… j’ai tout de suite rallumé la lumière et pris une guitare, un papier, un stylo et tadaaa ! Ça m’arrive peu souvent d’écrire une chanson sur plusieurs jours.

Sur la pochette de votre album, vous semblez très pensive, au dos aussi d’ailleurs. A quoi pensez-vous Margot Cotten, à ce que nous découvrons à l’intérieur de la pochette, lorsqu’on l’ouvre ? Expliquez-nous ces magnifiques dessins en quelques mots.

Margot Cotten : Les photos de l’album ont été prises par ma grande amie photographe Barbara FG, c’est la seule personne avec qui je peux être moi-même quand  il y a un appareil fixé sur moi. Je crois que sur la photo de la pochette, je devais être en train de jouer de la guitare, certainement "Cocaine Blues" ou "Love In Vain". Quant à celle dans les escaliers, je devais regarder le paysage et me remémorer les souvenirs liés à cet escalier sur lequel j’ai passé pas mal de temps dans mon adolescence. J’ai l’air triste dans les deux cas et mes chansons ne sont pas toujours très gaies mais en fait je suis quelqu’un de joyeux, d’où l’intérieur féerique de la pochette ! Beau contraste entre les photos et les illustrations qui reflète très bien celui entre mes chansons et ma personne !

Les illustrations ont été faites par ma sœur graphiste Louise Sola-Cotten, elle fait des collages numériques que je trouve sublime. Je lui ai demandé d’écouter mes chansons et de les illustrer, ce qu’elle a fait avec brio ! Son travail me touche. C’est aussi elle qui a fait tout le graphisme de l’album.

En deux mots, que pouvez vous nous dire sur :

a) Bob Dylan : parolier génial - harmoniciste affreux ! Pendant longtemps je n’aimais ses chansons que lorsqu’elles étaient interprétées par d’autres, puis vers 16 ans, j’ai eu un déclic en entendant Just Like A Woman. Un ami m’a prêté Blonde on Blonde et Time Out Of Mind et depuis je suis accro au grand dam de certains !

b) Joan Baez : Je n’ai jamais vraiment écouté Joan Baez. Le peu que je connaisse à travers Dylan ne m’a jamais emballée plus que ça. J’ai entendu de très belles reprises de Dylan qu’elle a faites avec Maxime Leforestier. Sublime.

d) Emmylou Harris : Merveilleuse. Je suis une fan inconditionnelle de Gram Parsons, quelle chance elle a eu de chanter avec lui ! Les premiers albums d’Emmylou sont sublimes, je les écoute très souvent. Elle m’a fait découvrir Townes Van Zandt grâce à sa reprise de Pancho et Lefty sur Luxury Liner.

e) Johnny Cash : Grand monsieur aussi ! En ce moment, je ré-écoute American Recordings et Unchained,  des albums "récents" (années 90) produits par Rick Rubin. Sur Unchained, il est accompagné par un de mes groupes favoris : Tom Petty & The Heartbreakers.

d) Lynyrd Skynyrd : pure merveille ! Leur premier album est incroyable, il n'y a que des tubes ! J’adore ce groupe, j’ai passé des heures, que dis-je ? Des jours, à écouter One More From the Road, super live !

e) The Allman Brothers Band : Brothers and Sisters est un monument ! Louis-Marin Renaud (mon homme à tout faire !) est plus fan des Allman que moi, on peut le voir d’ailleurs dans notre dernière vidéo live EZ Rider (disponible sur YouTube), il porte un t-shirt des Allman et il joue comme Dickey Betts et Duane ! Un génie !

Oh nous aurions pu continuer la liste encore longtemps, mais ces noms me sont venus à l’esprit en vous écoutant, pas Dolly Parton étrangement…

Margot Cotten : ça doit être à cause de la différence de taille de nos seins ! (Rire)

Margot Cotten, je vous remercie pour votre gentillesse et vous laisse conclure.

Margot Cotten : Merci ! Je serai en concert avec mon merveilleux groupe à Paris le 16 juin à La Bellevilloise pour le festival Folk You.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Third Time's A Charm de Margot Cotten

En savoir plus :
Le site officiel de Margot Cotten
Le Facebook de Margot Cotten

Crédits photos : Louise Sola-Cotten


Ichigo Samuru         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 21 avril 2024 : Des beaux disques, des beaux spectacles, une belle semaine

On fait le plein de découvertes cette semaine avec des tas de choses très différentes mais toujours passionnantes. Pensez à nous soutenir en suivant nos réseaux sociaux et nos chaines Youtube et Twitch.

Du côté de la musique :

"Génération (tome 1)" de Ambre
"Out" de Fishtalk
"Take a look at the sea" de Fontanarosa
"Venus rising" de Trio SR9 & Kyrie Kristmanson
"Perpétuel" de Vesperine
"Liminal status" de Watertank
"The great calm" de Whispering Sons
"Keep it simple" de Yann Jankielewicz , Josh Dion & Jason Lindner
Quelques nouveautés en clips avec Isolation, Resto Basket, Greyborn, Bad Juice, Last Temptation, One Rusty Band, We Hate You Please Die
nouvel épisode du Morceau Caché, consacré à Portishead
et toujours :
"Kit de survie en milieu hostile" de Betrand Betsch

"Let the monster fall" de Thomas de Pourquery
"Etat sauvage" de Chaton Laveur
"Embers of protest" de Burning Heads
"Sin miedo" de Chu Chi Cha
"Louis Beydts : Mélodies & songs" de Cyrille Dubois & Tristan Raës
"Arnold Schönberg : Pierrot lunaire" de Jessica Martin Maresco, Ensemble Op.Cit & Guillaume Bourgogne
"C'est pas Blanche-neige ni Cendrillon" de Madame Robert
"Brothers and sisters" de Michelle David & True Tones
"Prokofiev" de Nikita Mndoyants
"Alas" de Patrick Langot, Alexis Cardenas, Orchestre de Lutetia & Alejandro Sandler
"Symptom of decline" de The Black Enderkid
"Tigers blood" de Waxahatchee
"Not good enough" de Wizard

Au théâtre :

les nouveautés :

"Sonate d'automne" au Théâtre Studio Hébertot
"Frida" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses

"Preuve d'amour" au Théâtre du Guichet Montparnasse
"Après les ruines" au théâtre La Comète de Chalons En Champagne
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme ?" au Théâtre du Guichet Montparnasse
"Royan, la professeure de français" au Théâtre de Paris
Notes de départs" au Théâtre Poche Montparnasse
"Les chatouilles" au Théâtre de l'Atelier
"Tant que nos coeurs flamboient" au Théâtre Essaïon
et toujours :
"Come Bach" au Théâtre Le Lucernaire
"Enfance" au Théâtre Poche Montparnasse
"Lîle des esclaves" au Théâtre Le Lucernaire
"La forme des choses" au Théâtre La Flèche
"Partie" au Théâtre Silvia Monfort
"Punk.e.s" Au Théâtre La Scala
"Hedwig and the angry inch" au théâtre La Scala
"Je voudrais pas crever avant d'avoir connu" au Théâtre Essaïon
"Les crabes" au Théâtre La Scala
"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
des reprises :
"Macbeth" au Théâtre Essaion
"Le chef d'oeuvre inconnu" au Théâtre Essaion
"Darius" au Théâtre Le Lucernaire
"Rimbaud cavalcades" au Théâtre Essaion
"La peur" au Théâtre La Scala

Une exposition à la Halle Saint Pierre : "L'esprit Singulier"

Du cinéma avec :

"Le déserteur" de Dani Rosenberg
"Marilu" de Sandrine Dumas
"Que notre joie demeure" de Cheyenne-Marie Carron
zt toujours :
"Amal" de Jawad Rhalib
"L'île" de Damien Manivel
"Le naméssime" de Xavier Bélony Mussel
"Yurt" de Nehir Tuna
"Le squelette de Madame Morales" de Rogelio A. Gonzalez

Lecture avec :

"Hervé le Corre, mélancolie révolutionnaire" de Yvan Robin
"Dans le battant des lames"' de Vincent Constantin
"L'heure du retour" de Christopher M. Wood
"Prendre son souffle" de Geneviève Jannelle
et toujours :
"L'origine des larmes" de Jean-Paul Dubois
"Mort d'un libraire" de Alice Slater
"Mykonos" de Olga Duhamel-Noyer
"Des gens drôles" de Lucile Commeaux, Adrien Dénouette, Quentin Mével, Guillaume Orignac & Théo Ribeton
"L'empire britanique en guerre" de Benoît Rondeau
"La république des imposteurs" de Eric Branca
"L'absence selon Camille" de Benjamin Fogel
"Sub Pop, des losers à la conquête du monde" de Jonathan Lopez
"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=