Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Festival La Route du Rock #27 (édition 2017)
Foxygen - PJ Harvey - Idles - Thee Oh Sees - Cold Pumas - Parquet Courts - Arab Strap - Temples - The Jesus and Mary Chain - Interpol - Moonlandingz - Ty Segall - Angel Olsen - Yak - The Proper Ornaments - Mac DeMarco  (Fort de Saint-Père, Saint-Malo)  du 17 au 20 août 2017

"Ça fucking va ?"

Dimanche 20 août, 21h45. Une drôle de sensation m’étreint alors que Mac DeMarco fait son petit numéro sur la grande scène. Quelque chose d’abord de léger, mais qui devient de plus en plus clair. Une boule qui ne cesse de grandir. Le malaise devient évident, le cœur se serre. Oh, ce n’est pas la faute à DeMarco ni à ses pitreries que l’on commence à connaître par cœur ni à sa musique qui tourne, malgré des arrangements plus synthétiques, sérieusement en rond. Non, c’est autre chose. Cette affection, ce trouble ce n’est rien de moins que du spleen, un coup de blues. Bien sûr il y a la fatigue, c’est le troisième soir (quatrième en comptant le concert du jeudi soir à la Nouvelle vague). Mais cela va plus loin. Alors, les différents concerts, tous ces moments, toutes ses rencontres, tous ces sourires, s’égrènent en un long flashback…

Il n’y a rien de plus personnel que le ressenti pour un concert. S’il y a des points sur lesquels tout le monde semble s’accorder (qualité du son et de l’interprétation, investissement des musiciens), le goût, les couleurs, les attentes de chacun peuvent être si différentes. Cette édition est-elle un excellent cru ? Réponse difficile, seul le temps le dira vraiment. Ce qui est certain, c’est qu’elle a été d’un excellent niveau. L’affiche aura donc tenue toutes ses promesses, ou presque.

Vendredi, 20h30

Un frisson nous parcourt à l’arrivée en procession de PJ Harvey et de ses musiciens. Tout est réuni pour un grand concert : une chanteuse qui n’a rien perdu de son écriture, de sa voix ni de son charisme et des musiciens de grand talent : Terry Edwards, Mick Harvey ou encore John Parish. Néanmoins, c’est rapidement le malaise. Rien à redire sur la qualité d’interprétation : les musiciens sont parfaits, PJ Harvey chante toujours magistralement et ce dans tous les registres, mais il y a une certaine frustration.

Cette arrivée en fanfare sombre, avec un petit côté Arcade Fire première période, toute en rythmes martiaux semblait le présage d’arrangements plus intéressants, plus foisonnants rythmiquement notamment. Alors pourquoi 3 grosses caisses et plusieurs caisses claires sur scène pour en définitif peu d’invention rythmique ? Et quel intérêt d’avoir trois saxophones (deux plus un, soyons sérieux le jeu de saxophone de la chanteuse Britannique est anecdotique) sur scène pour autant les sous-exploiter.

Le solo free jazz archi rabâché sur "River Anacostia", titre final du concert est une preuve supplémentaire de l’utilisation de travers de l’instrument. L’anglaise se montre indéniablement pleine de classe, d’une sensualité sombre, féline, venimeuse et le choix des chansons balayant presque à rebours sa discographie est pertinent. Pourtant au définitif le coté impénétrable, trop carré, trop distancié du concert nous laisse clairement sur le côté. Alors oui, plus que de la déception c’est de la frustration.

La "froideur" du concert détonne avec la prestation de Foxygen quelques minutes plus tôt. Certes, on peut rester de glace voire trouver ce barnum factice ou too much. Avec sa musique au plaisir facile (et efficace) cherchant l’essence du rock (et de la soul), avec un sens de l’immédiateté, de l’écriture pop et des arrangements (Jonathan Rado et Sam France sont pétris de talent, c’est indéniable), du spectacle et de la subversion (Sam France maquillé à outrance jouant sur une certaine ambiguïté sexuelle, attitude provocatrice non dénuée d’humour, cul nu sur le grand écran en train de changer de vêtements, petites phrases sur son amour pour l’Amérique, choriste (et petite amie ?) potiche sexy clairement assumée), Foxygen donne une définition parfaite du Glam rock. Attention, la qualité musicale est clairement au rendez-vous, les titres gagnent même en cohérence sur scène…

00h12… la messe est dite. Idles nous aura asséné une succession de droites, gauches, crochets comme un tribute à Mayweather, même si j’imagine que les Anglais soient plus proche de Conor McGregor. Le groupe aura tout défoncé tête baissée, corps nu et décharné avec la hargne d’un Rottweiler portant viscéralement haut les couleurs d’un post punk rageur. C’est excellent sur disque, c’est la même chose sur scène. Joe Talbot, le chanteur est le parfait mélange entre un bidibule et Jason Williamson, la voix du duo anglais Sleaford Mods. Il n’y a pas de hasard si tout le monde compare les deux groupes.

"Ça fucking va ?" hurle-t-il continuellement entre chaque chanson, mais oui putain ! Idles, c’est le genre de groupe a donner envie de jeter son verre de bière à la gueule du premier tocard venu (le type promenant une Dora en ballon, le sosie du violoneux michel et son pote au mulet, le couple qui s’échange leurs lunettes de soleil et font des selfies…) et de se bastonner, même quand on n’a pas le physique. Brutalism… Le concert le plus intense du festival, à défaut d’avoir vue les Thee Oh Sees faute à de vieux aprioris foncièrement idiots (leur dernière prestation malouine ressemblant plus à une moussaka sonore qu’à un concert) ?

Mac DeMarco quitte la scène avec un sourire béat. Les blagues les plus courtes sont les meilleures et là, cela commençait sérieusement à traîner en longueur. Nous sommes certains du côté humainement attachant du chanteur mais musicalement… La foule se disperse. Pas tant que cela, c’est bientôt l’heure d’Interpol. Le groupe New-Yorkais atteindra-t-il les sommets tutoyés par The Jesus & Mary Chain la veille ?

Samedi, 19h45

Etre prêt pour 3 concerts d’affilés. Une suite aux airs délectables : Arab Strap, Temples et The Jesus and Mary Chain. Rien de moins.

18h45. On est plutôt admiratif des batteurs / chanteurs quand ils arrivent à tenir la baraque même quand ils ont besoin d’avoir une feuille avec les paroles des chansons. L’esprit divague… Est-ce plus simple d’apprendre par cœur des riffs de batterie que des paroles ? En même temps, il n’y a rien de bien transcendant dans leur rythmique. Tout cela n’a rien de passionnant tout comme la musique des Cold Pumas. On baillera cependant moins que pour Froth. Signe d’une bonne journée ?

19h15. On fait le choix de manger (et boire…) et d’être bien placé pour Arab Strap en regardant de loin Parquet Courts. Cela peut peut-être paraître ahurissant mais oui, à un moment donné, il faut faire des choix. Oh ce n’est pas la peur de devoir affronter de longues files d’attente (il n’y en a pas en plus), non juste une certaine façon de s’organiser. Bref, le concert de Parquet Courts même de loin était très bien. Plus ça va, plus le groupe prend de la bouteille. Plus le groupe se calme relativement et plus sa musique devient clairement intelligible. La filiation avec Pavement devient comme une évidence. En plus ce sont de véritables bêtes de scènes, ce qui ne gâche rien. Chapeau bas aux Américains.

Arab Strap donc. Arab Strap, quoi ! Dans les premiers rangs comme un gamin et m’est avis que nous étions nombreux, nous quarantenaires à retrouver notre verte jeunesse. Sentiment qui se prolongera forcément pendant le concert de The Jesus And Mary Chain. Que ces deux groupes existent encore et soient là ce soir est clairement un petit miracle. Si l’on rajoute qu’ils ont peut-être donné les meilleurs concerts du festival…

Après un départ pas folichon folichon, le concert se densifie crescendo. Bon, la musique des écossais est-elle soluble sur scène ? Je vous laisse le choix de la réponse mais nous ne bouderons absolument pas notre plaisir et les morceaux prennent une envergure, une ampleur différente en concert. Cette musique entre rock, electronica et post-folk et caractérisée par le sens de l'humour sombre de Moffat exprimé par des paroles traitant souvent d’ivresse avec une vision impitoyable sur la fragilité du désir sexuel, fonctionne toujours aussi bien. Malcolm Middleton et Aidan Moffat qui n’a rien perdu de sa verve, de son charisme et de son alcoolisme semblent simplement heureux d’être là. C’est bien, nous partageons totalement ce sentiment.

Quarantenaire versus vingtenaire. Il suffit de passer d’une scène à l’autre pour que le contraste soit saisissant. Autre temps autre mœurs, Temples attire nettement plus la foule qu’Arab Strap. Pas le même public, non plus. Moins d’attention dans l’écoute, c’est une évidence. Pourtant, le groupe mérite mieux qu’un simple public de fêtards beuglant "Les lacs du Connemara". Alors bien sûr, un festival est un lieux festif propice autant à la déconne qu’à la découverte. Il y a des limites. Peut-être, est-ce une question de respect pour les musiciens et les autres auditeurs. Surtout que Temples offre une prestation nettement plus intéressante qu’il y a 3 ans au même endroit. Moins hautains (quoi que…) mais surtout moins l’air de s’en moquer complètement, les Anglais sont nettement plus séduisants. Et comme leur dernier disque est un sommet de pop teintées 60’s.

22h45. Je retiens comme de nombreuses personnes mon souffle. Il y a une intensité. Une attente. The Jesus and Mary Chain quand même… Tous les chats sont gris… frissons.

00h05. Le public se sépare. Grand est le nombre de personnes avec le sourire aux lèvres. Alors oui, les Ecossais ont donné un très bon concert (et s’ils donnaient la meilleure série de concerts de leur carrière ?), même si le choix des morceaux aurait pu laisser perplexe et un son parfois trop colossal brouillait notre perception des chansons. Mais quel bonheur de trouver un groupe qui n’aura jamais paru aussi jeune, aussi rentre-dedans, aussi solide et acéré ! Alors oui, nous ne sommes plus en 1985 et peut-être que je ne suis pas vraiment impartial mais voir The Jesus and Mary Chain avec un tel niveau musical me paraissait insensé. Plus d’une heure de priapisme musical. Tant pis pour les autres je veux garder cette musique, ce moment intact dans mes oreilles, au moins jusque demain.

Lumières rouges et noires. Interpol déroule un set sobre mais diablement efficace. On aime ou pas le groupe mais les New-Yorkais donnent un concert avec une ferveur dont on ne les soupçonnait plus capable. Il faut dire qu’entre eux et la Route du Rock, il y a une histoire. En 2001, ils se produisaient ici même. Inconnus, ils avaient bouleversés le public présent ce soir-là. Quelques mois plus tard, ils sortaient Turn On The Bright Lights. Il y a quinze ans jour pour jour. Et le groupe est ici ce soir pour le fêter et le jouer dans son intégralité.

Ceux qui détestent attendent patiemment The Moonlandingz mais surtout Ty Segall, les autres exultent. C’est assez classe, ça ne déborde pas mais la musique ne s’y prête pas vraiment non plus. Ce qui est évident, c’est le sentiment de puissance qui se dégage du groupe. Evidence aussi : les titres de Turn On The Bright Lights ne vieillissent pas si mal que cela. En tout cas, il semblerait qu’Interpol y ait mis plus de cœur que pour d’autres concerts. Nous le savourerons alors à sa juste valeur.

Vous connaissez le point commun entre Moonlandingz et Ty Segall ? Deux concerts carrés mais d’un ennui mortel. Dommage nous imaginions Moonlandingz, à cause de ses musiciens (Lias Saoudi de The Fat White Family et des membres de The Eccentric Research Council) nettement plus subversif. Très bon sur disque mais là, cela fait plouf.

En parlant de plouf, Angel Olsen aura plus marqué le public pour son attitude et sa féminité que pour sa musique et Yak aura fait un excellent concert de loin dans le dos. Alors non le dimanche n’est pas raté. Il y avait The Proper Ornaments… des mecs super gentils, heureux d’être là et de jouer. C’est simple. Et c’est vraiment, mais vraiment bien. Une très belle leçon de pop Byrdsienne aux réminiscences très Velvet Underground avec le choix de l’énergie, en jouant plutôt des titres des EPs et du premier album Wooden Head plus directs que ceux du plus récent Foxhole. Gageons que le prochain qui arrive bientôt sera un mariage des deux. Quant à louer les qualités d’un compositeur, c’est vers James Hoare que vont mes pensées… juste parfait !

Dimanche 01h00. Il est temps de partir… la lune éclaire le petit chemin, un mec pisse contre un arbre en sifflotant alors qu’à côté de lui, deux jeunes filles s’embrassent amoureusement. 40 ans, est-ce encore un âge pour s’avaler autant de concerts, pour la vie en festival ? C’est pourtant léger que nous retournons à la voiture, l’esprit gorgé de musique et la conviction que malgré tout la Route du Rock est l’un des festivals les plus intéressants en France. Et puis, et puis, le cœur plein d’amour pour les cinq garçons rencontrés à l’occasion de ce festival. "Sounds of laughter shades of life are ringing, Through my open ears inciting and inviting me, Limitless undying love which shines around me like a million suns And calls me on and on across the universe".

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

Articles : La Route du Rock 2004 - 14ème édition
Articles : Photos Blonde Redhead et Girls in Hawaii - La Route Du Rock
Articles : dEUS : Gallerie photos - Festival la Route du Rock 2004
Articles : La Route du Rock 2006 - Collection Hiver
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2003
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2004 (vendredi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2004 (samedi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2004 (dimanche)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2004
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2005 (Dimanche)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2005
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2005 (vendredi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2005 (samedi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2005 (dimanche)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock - Collection Hiver 2006
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock - Collection Hiver 2006 - 2ème
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2006 (vendredi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2006 (samedi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2006 (dimanche)
La Route du Rock en concert à Edition Hiver (les 16 et 17 février 2007)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2007 (mercredi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2007 (jeudi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2007 (vendredi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2007 (vendredi) - 2ème
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2008 Collection Hiver
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2008
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2009 (vendredi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2009 (samedi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2009 (samedi) - 2ème
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2009 (dimanche)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2009 (vendredi) - 2ème
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2009
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2010 (vendredi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2010 (samedi)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock 2010 (dimanche)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock #21 (vendredi 12 août 2011)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock #21 (samedi 13 août 2011)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock #21 (dimanche 14 août 2011)
La Route du Rock en concert au Festival La Route du Rock #22 (vendredi 10 août 2012)
La chronique de l'album We are the 21th Century Ambassadors of Peace & Magic de Foxygen
La chronique de l'album Hang de Foxygen
La chronique de l'album Seeing Other People de Foxygen
Foxygen en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #27 (édition 2015) - Samedi 4
La chronique de l'album A woman a man walks by de PJ Harvey
La chronique de l'album I inside the old year dying de PJ Harvey
PJ Harvey en concert au Festival Summercase 2007 (vendredi)
PJ Harvey en concert au Bataclan (17 mai 2009)
PJ Harvey en concert au Festival Beauregard #8 (édition 2016) - dimanche 3 juillet
PJ Harvey en concert au Festival des Vieilles Charrues #32 (édition 2024)
La chronique de l'album Joy as an Act of Resistance de Idles
Articles : Playlist des 30 sons Froggy's Delight - Idles - Shame - The Last Detail - Gruff Rhys - Soft Moon - Father John Misty
Idles en concert au Festival des Eurockéennes 2017 - Vendredi 7 juillet
Idles en concert au Festival Beauregard #11 (édition 2019)
Idles en concert au Festival Beauregard #11 (édition 2019) - Les Découvertes
Idles en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #31 (édition 2019) - Vendredi 5 juillet
Idles en concert au Festival Beauregard #11 (édition 2019) - Samedi 6 juillet
Idles en concert au Festival La Route du Rock #29 (édition 2019)
Idles en concert au Festival La Route du Rock #29 (édition 2019) - Jeudi 15
Idles en concert au Festival Les Vieilles Charrues #31 (édition 2023)
La chronique de l'album A Weird Exits de Thee Oh Sees
Thee Oh Sees en concert au Festival Art Rock 2012 - vendredi, samedi et dimanche
Thee Oh Sees en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #24 (2012) - samedi
Thee Oh Sees en concert au Grand Mix (dimanche 19 mai 2013)
Thee Oh Sees en concert au Festival Rock en Seine 2014 (samedi 23 août 2014)
Thee Oh Sees en concert au Festival La Route du Rock #24 (jeudi 14 août 2014)
La chronique de l'album Light Up Gold de Parquet Courts
La chronique de l'album Kadavar - Pond - My Morning Jacket - Last Train - Hot Chip - Here we go magic - Tame Impala de Festival Rock en Seine 2015 - Dimanche 30 août
La chronique de l'album Wide Awake! de Parquet Courts
Parquet Courts en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #25 (2013) - Jeudi
Parquet Courts en concert au Festival La Route du Rock #23 (Samedi 17 août 2013)
Parquet Courts en concert au Grand Mix (jeudi 13 novembre 2014)
Parquet Courts en concert au Festival Cabaret Vert #13 (édition 2017) - Vendredi 25 août
Parquet Courts en concert au Festival Beauregard #10 (édition 2018) - Dimanche 8 juillet
La chronique de l'album Monday at the hug and pint de Arab Strap
La chronique de l'album The Last Romance de Arab Strap
Arab Strap parmi une sélection de singles (décembre 2006)
La chronique de l'album Ten years of tears de Arab Strap
Arab Strap en concert à La Guinguette pirate (25 et 26 juillet 2003)
L'interview de Arab Strap (Avril 2004)
L'interview de Arab Strap (27 juillet 2003)
L'interview de Aidan Moffat - Arab Strap (3 octobre 2005)
La chronique de l'album Volcano de Temples
Temples en concert au Festival Art Rock 2014 - 6, 7 et 8 juin
Temples en concert au Festival La Route du Rock #24 (samedi 16 août 2014)
Temples en concert au Festival Chauffer dans la Noirceur #31 (édition 2023) - vendredi 14 juillet
The Jesus and Mary Chain en concert au Festival Summercase 2007 (samedi)
La chronique de l'album The Black EP de Interpol
La chronique de l'album Antics de Interpol
La chronique de l'album Our love to admire de Interpol
La chronique de l'album eponyme de Interpol
La chronique de l'album The Maccabees - Cardiknox - Ben Howard - Mini Mansions - Stereophonics - Glass Animal - Inte de Festival Rock en Seine 2015 - Samedi 29 août
La chronique de l'album Marauder de Interpol
Interpol en concert à l'Elysée Montmartre (21 mars 2003)
Interpol en concert à The Electric Factory (7 novembre 2004)
Interpol en concert à l'Elysée Montmartre (19 novembre 2004)
Interpol en concert au Festival Summercase 2008 (vendredi)
Interpol en concert à L'Aéronef (mardi 21 septembre 2010)
Interpol en concert au Festival Rock en Seine 2011 - Programmation du samedi
Interpol en concert au Festival Rock en Seine 2011 (samedi 27 août 2011)
Interpol en concert au Festival Beauregard #11 (édition 2019) - Dimanche 7 juillet
L'interview de Interpol (septembre 2004)
L'interview de Interpol (mai 2007)
La chronique de l'album Interplanetary Class Classics de The Moonlandingz
La chronique de l'album Manipulator de Ty Segall
La chronique de l'album eponyme de Ty Segall
Ty Segall en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #28 (édition 2016) - Vendredi 1er
Ty Segall en concert au Festival La Route du Rock #30 (édition 2022) - Samedi 20
La chronique de l'album Burn Your Fire For No Witness de Angel Olsen
La chronique de l'album My Woman de Angel Olsen
Angel Olsen en concert au Grand Mix (mardi 3 juin 2014)
Yak en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #28 (édition 2016) - samedi 2
Yak en concert au Festival Beauregard #9 (édition 2017) - samedi 8 juillet
Yak en concert au Festival Check-In Party #1 (édition 2019) - Vendredi 23 août

En savoir plus :
Le site officiel de La Route du Rock
Le Facebook de La Route du Rock

Crédits photos : Jasmina Vulic (toutes les séries sur son Flickr)


Le Noise (Jérôme Gillet)         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 24 novembre 2024 :On commence à penser aux cadeaux

Dans un mois ce sera noel, le moment idéal pour faire une pause dans le quotidien et faire plaisir à ses proches autant qu'à soit. Notre petite sélection culturelle est là aussi pour vous aider à trouver des cadeaux sympathiques, à offrir ou à s'offrir. .

Du côté de la musique :

"Secte" de 1=0
"Country" de Baptiste W Hamon
"French Manhattan" de L'Ambulancier
"Après le déluge (et autres illuminations d'A. Rimbaud)" de Les Enfants d'Icare
"Mégaphenix" de Mustang
"The good kind" de Our Girl
"Come ahead" de Primal Scream
"The day lady Rachel died" de Sacha Gordon & The Weird Orchestra
Interview de Sophie Darly autour de son album "Slow down fast"
Nouvel épisode "L'enfance - Partie 2" de la nouvelle saison du Morceau Caché !
et toujours :
"Non finito" de (The) Next Door
quelques découvertes avec Bebly, School, Dog Park
"Inside the circle" de Circle of Mud
"Serrenades & damnation" de Dead Chic
"Ghost fire" de Garciaphone
"Ululo" de Koki Nakano
"Bloodstained" de Oda
"L'odysée" de Paul Lay
"In waves" de Samy Thiébault
"Here / After" de Urge

Au théâtre :

"Dialogues de bêtes" au Théâtre Le Lucernaire
"Body concert" au Théâtre du Rond-Point
"Iphigénie à Splott" au Centre Wallonie-Bruxelles
"Psychodrame" au Théâtre de Suresnes Jean Vilar
"Tribu Nougaro" au Théâtre Hébertot
et toujours :
"La chute de la maison Usher" au Théâtre Darius Milhaud
"n degrés de liberté" au Théâtre de Belleville
"Lumière !" au Théâtre Le Lucernaire
"Pauvre bitos ou le diner de tête" au Théâtre Hébertot

des reprises :
(des pièces déjà chroniquées qui reviennent à l'affiche, atttention, parfois c'est dans un théâtre différent)
"Quand je serai grande, je serai Patrick Swayze" au Théâtre La Scala
"Le temps d'une triple croche" au Lavoir Moderne Parisien
"Black legends, le musical" à Bobino
"Come Bach" au Théâtre Le Lucernaire
"Le horla" à la Folie Théâtre
"Le journal d'un fou" au Théâtre Ranelagh
"Le revizor" au Théâtre Le Ranelagh
"Marchine de cirque" au Théâtre La Scala

Du côté de la lecture :

"Ecrits sur le cinéma" de Pauline Kael
"L'héritière" de Gabriel Bergmoser
et toujours :
"De cendres et de flammes" de Kate Mosse
"Histoires de la seconde guerre mondiale" de Jean Lopez & Olivier Wieworka
"Dernier meutre au bout du monde" de Stuart Turton
"Sparte contre Athènes" de Manuel Rodrigues de Oliveira

Aller au cinéma ou regarder un bon film :

"Slow Pulse Boys, the story of And Also The Treesé de Sébastien Faits-Divers & Alexandre François
"Au Boulot !" de Gilles Perret et François Ruffin

"Le repli" de Joseph Paris
"Rivière" de Hugues Hariche
"Les oubliés de l'amérique" et autres films de Sean Baker
"Terrifier 3" de Damien Leone
"Papa est en voyage d'affaires" de Emir Kusturica

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=