Avec ce premier EP, Solal Roubine nous plonge dans son quotidien, à travers une pop ensoleillée aux accents psychédéliques. Il nous rappelle que, malgré les états d’âme, on peut encore voyager et rêvera comme dans un "Hublot", ou se laisser bercer de spleen "En décembre", pour prendre le temps et flâner.
Et même avec le cœur brisé comme dans "L’esquisse", Solal nous rappelle qu’il n’y a pas de mal à se laisser aller. Du haut des ses 23 printemps, l’artiste nous remet très justement à notre place.
On est bien loin d’une chanson française larmoyante car l’artiste ne mâche pas ses mots, il percute et va droit au but pour mieux passer à autre chose ensuite. Lorsqu’il prend la voix de cette amoureuse de la vie dans son titre "La malicieuse", tout en sincérité et bienveillance, il nous aussi qu’il est capable de douceur.
Avec Hublot, l’artiste nous propose donc un EP de cinq titres en forme de rayon de soleil qui perce le manteau gris de la vie dès les premières notes que l’on peut écouter à tout moment et mettre entre toutes les oreilles, sans modération.
# 03 novembre 2024 :Pendant que l'on retient notre souffle
Une semaine qui verra, ou non, le monde basculer du côté obscure de la force, la force avec un petit "f". D'ici là cultivons-nous pour éviter de finir comme "eux". Et toujours Le replay de la MAG#91 disponible en attendant la #92 le 8/11...Pensez aussi à nous suivre sur nos réseaux sociaux.