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Interview  (Saint-Etienne)  septembre 2021

C’est le jour de la rentrée des classes que j’ai eu la chance de rencontrer Eliz Murad, à la terrasse d’un café Stéphanois. Nous en avons profité pour discuter musique, beaucoup, mais pas que.

Je te propose donc de lire cette interview pour laquelle Eliz est venue spécialement et je l’en remercie.

Est-ce que tu peux te présenter pour les gens qui ne te connaissent pas ?

Eliz Murad : Bien sûr, je suis Éliz Murad. Je suis bassiste à la base, guitariste nouvellement et je suis chanteuse avant tout et pendant 10 ans, j'ai officié dans le groupe Teleferik qui est un groupe franco-libanais. Franco de par le guitariste Arnaud et Libanais de mon côté et on a pendant 10 ans essayé de mélanger nos origines pour faire de la musique une musique qu'on aimait beaucoup qui était le rock blues.

Au bout de 10 ans, j'ai décidé de me lancer toute seule mais je voulais le faire avec un autre groupe, un groupe avec une batteuse et vu qu'il y a eu le confinement, ça ne s'est pas fait et du coup, la frustration étant vraiment grande je me suis dit : allez va, je vais quand même faire un petit truc pour moi mais je ne m'attendais pas forcément à sortir un EP en fait.

On va faire connaissance avec des petites questions pour mieux te cerner : si tu as le pouvoir de faire revenir sur terre un musicien décédé pour un concert, qui et pourquoi ?

Eliz Murad : Cela serait Soeur Rosetta Tharpe, qui est la pionnière du rock n' roll en fait, qui a pour beaucoup inventé le rock'n'roll, qui était juste du rythm'n'blues joué rapidement, c'est une femme vraiment trop mystérieuse pour moi. On n’a pas assez d'enregistrements, je sais juste que Johnny Cash, à 14 ans, est parti la voir et que ça lui a changé la vie.

Elle a fait monter énormément de musiciens sur scène qui sont devenus connus ensuite comme Little Richard. C'est une femme vraiment qui a été invisibilisée pendant longtemps alors qu'elle est carrément celle qui a inventé, le riff rapide donc le rock’n’foll. Si je pouvais vraiment la rencontrer, ça serait tellement génial.

Quel est ton album ou ta chanson feel good ?

Eliz Murad : Il y en a plein en ce moment. J'aime bien Dua Lipa. J'aime bien cette nana. Je trouve que les lignes de basse sont assez bonnes c'est vraiment cool. C'est de la grosse prod mais c'est bien chiadé, avec des super musicos derrière elle. Je dirai du Dua Lipa, n’importe quel morceau je trouve que ça groove vraiment sinon j'aime bien le groupe Vulfpeck, hyper funky soul, j'adore Prince.

Quel est ton guitariste fétiche, celui qui est le meilleur et ton bassiste fétiche ?

Eliz Murad : J'aime beaucoup John Frusciante des Red Hot Chili Peppers, c'est un mec vraiment inventif et en plus il a ce côté punk donc il y a quand même un côté chez lui qui est très spontané et authentique. Ce n'est pas quelqu'un d'hyper carré, ce n’est pas ce qu’il recherche en fait, ce n'est pas clean et pourtant, il est techniquement super bon et je dirai qu’en bassiste John Deacon de Queen, qui fait aussi partie de ma playlist feel good, il a des lignes de basse incroyables qui sont devenus connues. C’est facile de trouver des lignes de guitares connues, ça l’est nettement moins pour les lignes de basse.

Comment composes-tu, quelles sont tes sources d'inspiration ?

Eliz Murad : J’ai un rapport un peu organique, très spontané. Je prends ma guitare et je chante. Au début, je chante en yaourt, ce sont juste des mélodies qui sortent et cela se construit vraiment comme ça, je n'ai pas beaucoup de réflexion derrière. Ensuite quand je vois qu’il y a des accords qui correspondent bien et que j'entends des choses dans ma tête j'essaie de les retrouver, de les créer tout simplement.

Cela s’est passé comme ça pour l’EP Apocalypsna, plus j'avançais dans l’apprentissage de la guitare électrique et plus ça me permettait de réussir à faire des choses à la guitare.

J'avais envie de tenter des choses, en apprenant l'instrument c'est comme ça aussi que j'ai composé. Voilà, j’ai composé une vingtaine de titres et j'en ai choisi 4 pour l’EP.

Sur l’EP tu fais tous les instruments ?

Eliz Murad : Oui je fais tous les instruments et il y a des guitares additionnelles par Gael le producteur qui s'appelle Alienized, qui est un producteur électro. On a bossé ensemble toute la partie batterie électronique avec Mickaël Anselmi, on l'a bossée ensemble. Moi je savais ce que je voulais et on a cherché ensemble les sons et avec Gaël, c'est pareil, j'enregistrais et ensuite s’il y avait une partie où il me proposait des choses, on a bossé ensemble. Les solo c'est moi mais il y a des parties où il a rejoué par dessus. Et à la basse c'est moi.

Quand tu vas faire de la scène, tu seras toute seule ?

Eliz Murad : Oui, je pense que j’aimerais vraiment tenter ça. Rendre cet EP électro, le rendre vraiment rock en live et d'être vraiment juste guitare-voix avec des pédales. C'est vraiment le travail que je vais faire.

Ce que j'ai appris avec Teleferik, c'est que vers la fin, le dernier album, c'était très difficile de le mettre en scène parce qu'il y avait des nappes de synthé qu'on avait quand même envie de reproduire sur scène parce que c'était un album qui mélangeait les deux univers et sur scène, juste guitare-voix cela n’aurait pas marché, ça n’était pas le propos de l'album.

Et ça m'a frustrée parce que c'est vraiment compliqué, on devait jouer avec une machine à bande et c'était n'importe quoi. On avait des oreillettes et sans j'ai vraiment un côté spontané, moi je chéris vraiment la scène et c'est un moment où je lâche tout, je lâche prise. Je m'oublie totalement et donc avoir un dispositif où tu ne peux pas t'oublier, c'est quand même assez handicapant.

Du coup, j'aimerais vraiment juste me retrouver musicalement. C'est ça qui m'a beaucoup manqué pendant 10 ans, c'est toujours ce truc d'avoir un dispositif, de jouer dans un groupe, il faut répéter avec plusieurs musiciens.

Et j'ai vraiment envie de bien transformer ses chansons et de les jouer même peut-être avec une pédale de boucles d'accord.

Est-ce que tu te sens plus guitariste, chanteuse ou bassiste ?

Eliz Murad : Je vais te dire un truc qui n’a même rien à voir avec tout ça, je me sens conteuse ! J’aime raconter des histoires et j'ai choisi le médium de la musique pour pouvoir encore raconter des histoires. J'ai fait des études de cinéma, cela aurait pu être le cinéma, c'est pareil, mais tout est trop compliqué, tu perds trop d'argent si tu veux monter un film. Tu perds plus d'argent que tu n’en gagnes. J'ai fait beaucoup de dessins, j'ai fait les Beaux-Arts, et j'ai trouvé que la musique était radicale dans la manière de raconter une histoire.

Cela veut dire que tu la racontes et les gens sont là tout de suite pour l'écouter et c'est parfait pour moi cette spontanéité, cette communication évidente. J'ai travaillé pour pouvoir raconter le mieux possible les histoires et bien sûr d'une manière qui me plaise. Pour tout te dire, ce sont les artistes afro-américains qui m’ont toujours touchée, parce que j'ai toujours senti une puissance, et j’ai une admiration pour ces femmes qui derrière un micro arrivaient avec une énergie incroyable. Ce n'est pas cérébral en fait.

Ce que je préfère avant tout c'est l'énergie, c’est pour ça que j'ai toujours aimé le rock.

L'autre jour, je regardais une vidéo d'une guitariste sur Instagram et qui expliquait qu’on lui disait souvent : "tu joues pas mal pour une fille". Est-ce que ça t'arrive d'avoir des réflexions de ce genre ?

Eliz Murad : Quand on est une nana, c’est con, mais on sent qu'il y a toujours une petite suspicion au début. On te regarde toujours avec un peu de suspicion quand tu rentres dans un studio d'enregistrement.

Il m'est arrivé par contre pas mal de fois d'avoir des ingénieurs de plateau qui au début te disent vite fait bonjour. Ils sont un peu froids et pensent : "elle me demande ci, elle me demande ça” et encore je ne suis pas chiante, j'avoue (rires). Et qui après, quand ils te voient jouer et chanter passent du chat au chaton et te disent que c'était cool.

Ce n’est plus le mec qui m'a reçue ! Ça c'est cool. C'est que je lui ai montré qui je suis. J'ai une petite fierté personnelle qui fait du bien.

Mais en tant que fille on le subit et on le vit aussi dans les boutiques de musique. Tu poses des questions et tu sens que le mec va vouloir tout expliquer de A à Z alors que, peut-être, même ça ne t'intéresse pas, tu veux juste une guitare et jouer, ce n’est pas grave quoi.

Donc oui, il y a cet aspect-là. Après c'est vrai que, je ne sais pas pour les autres femmes, je ne veux pas parler en leur nom mais le fait que cela fasse seulement 2 ans que je fais de la guitare, je me mets vachement la pression en disant : "quand je vais aller sur scène, je veux être nickel". Je ne veux justement pas qu'on se dise : c'est une nana et elle se repose sur ses lauriers c'est bon, il suffit qu'elle soit sur scène, elle se montre et tout le monde va applaudir. Voilà, je veux vraiment gérer et qu'on puisse vraiment dire que je joue.

Peut-être qu'on doit bosser plus en tant que nana.

Le fait qu’il y ait maintenant metoo et cette vague de dénonciation, est-ce que cela facilite les choses ou est-ce que c’est encore difficile à supporter ?

Eliz Murad : Je pense que c’est important, ça fait changer les mentalités quand même. Je trouve qu'en quelques années, il y a des sacrés discours différents de la part d'hommes. On voit aujourd'hui qu’il y a des organismes qui se créent pour la musique. On commence à proposer des chartes de bonne conduite au sein de studio au sein de labels, cela a du bon en fait, c’est bien que la parole soit libérée là-dessus et bien sûr qu’il faut continuer, ce n’est pas fini.

Il y a même des groupes Facebook où il y a une charte de bienséance. Voilà où on ne peut plus dire des choses qu'avant on disait, ne plus avoir certain comportement et je trouve ça super même dans des salles de concert.

Tout à l'heure, j'ai discuté avec un copain et on se demandait ce que tu pensais des représentants de la musique libanaise en France.

Eliz Murad : La scène libanaise n’est pas connue en France mais plutôt au Moyen-Orient. Il y a quand même un vivier de groupes indé assez nombreux. Alors, il y a beaucoup de groupes de rap, le rap en arabe fonctionne vachement bien et il y a un groupe de rock qui a fait parler de lui, c'était The Wanton Bishops, qui chante en anglais. Il y a un groupe qui lui par contre est connu quand même pas mal, même aux États-Unis qui s'appelle Mashrou Leila (le projet d'une nuit). Le chanteur plaît beaucoup, c'est de l'arabe aussi et c'est plutôt de la pop, ils ont un violoniste donc ça mélange pas mal de musique et de style.

Je dirais que la musique actuelle libanaise ne ressemble plus du tout à la musique qu’on a connu de Fairouz qui est la femme la plus connue, la diva libanaise qui a vraiment modernisée la musique arabe, parce que la manière de chanter était nouvelle et puis surtout la musique se mélangeait à la musique espagnole.

Aujourd'hui ça ressemble à de la musique contemporaine, il y a plein d'artistes mais c'est vrai que ça ne dépasse pas forcément la frontière du Moyen-Orient. C'est le marché aussi ! En Europe, on n'écoute pas forcément de la musique chantée en arabe.

C'est pour ça aussi que ça m'intéresse. En fait, cela m'intéresse de développer ça parce qu'en effet je ne connais pas beaucoup de femmes arabophones qui jouent des instruments de musique et qui mélangent le rock et l'arabe.

Tout ce que tu composes est systématiquement en arabe ?

Eliz Murad : Non, il y a de l'anglais et du français. J'ai envie d'emmener l'arabe dans des endroits qu’il ne connaît pas et même ma manière de chanter m’est propre. Dans le milieu de la musique arabe, je sais que j'ai ma manière de chanter. J'ai ma signature vocale et ma signature musicale que j'ai envie d’emmener assez loin. Mais ça ne m'empêchera pas d'avoir deux ou trois chansons en anglais ou en français.

Est-ce qu’à l'intérieur de la pochette il y aura les paroles ?

Eliz Murad : Non, parce que je ne vais pas sortir de version physique ! Parce que je n'ai pas les moyens. Cela ne va sortir qu’en numérique et la version physique que j'ai sorti ce n’est que pour les attachés de presse et pour les médias.

Par contre, à chaque fois que je vais faire un clip je vais mettre la traduction.

Je vais te poser la dernière question que j’ai piqué à David, notre rédacteur en chef, et qui la pose à la fin des interviews : imagine que ton meilleur ou ta meilleure amie s'en aille et tu dois lui donner un album de ta discothèque, qui lui évoquera votre amitié. Lequel donnerais-tu ?

Eliz Murad : Quelle belle question ! Oh la la c'est dur ! L'album blanc des Beatles que j’ai écouté en boucle très longtemps et c'est marrant parce que je viens de voir que Palem Candillier vient de sortir un livre.

(Rires, j’allais dire la même chose)

C’est vraiment dans l’air du temps. Mais cet album m'a vraiment marquée, ça a été vraiment pour moi la pierre angulaire pour m'intéresser au rock. Ce qui s'est passé en fait, c'est que j'ai beaucoup écouté de soul, de gospel. J’avais plein de cassettes et je chantais par-dessus, c’est comme ça que j'ai appris à chanter. En fait, je n'ai jamais pris de cours de chant et les Beatles m'ont vraiment permis de passer de cet univers gospel à la pop, de Ray Charles à ceux avec qui il avait chanté et de fil en aiguille, je suis arrivé aux Beatles et au rock. Et du coup cet album, je l'ai écouté mais vraiment au point de le rincer.

On avait les compils sur cassette et aujourd’hui il y a Internet. Est-ce que tu penses que cela facilite le développement de la musique ?

Eliz Murad : C'est vrai qu'on est toujours un peu paresseux et que trop de choix tue le choix ! Les gens ont du mal à chercher par eux même et ce qui est bien, ce sont les playlists. On découvre énormément de monde grâce aux playlists qui sont proposées parce que subitement, tu as un artiste que tu ne connais pas et tu le cherches et tu le découvres.

Le fait que je sois dans ce milieu, à partir du moment où tu commences à tourner, tu fais des premières parties, ou tu fais des soirées et tu commences à avoir des noms de groupes qui tournent. Tu commences à te rendre compte et à t’informer un peu de ce qui se passe.

Je suis aussi obligée de me rendre compte de ce qui se fait parce que je suis disquaire. Je suis obligée de par mon métier d'être au courant de ce qui se passe vraiment H24 et ça j'aime bien, parce que du coup je me rends compte aussi de ce qui reste des classiques. Quand je vois que des gamines m'achètent Nevermind ou du Johnny Cash, c'est génial !

Voir Pink Floyd partir sous le coude d'une gamine aussi.

Il y a des trucs qui durent mais j'écoute aussi du Aya Nakamura. Ça m'inspire aussi en fait.

Tu n’es pas contre les plateformes visiblement ?

Eliz Murad : Non je ne suis pas contre parce qu'il faut vivre avec son temps ! En tout cas aujourd'hui en tant qu'artiste tu gagnes ta vie en tournant. C'est la scène qui te fait gagner ta vie et sans internet, tu n'aurais même pas entendu parler de moi !

Ça permet d'envoyer des invitations gratuitement, ça permet de créer une visibilité gratuitement, ça permet tellement de choses gratuitement.

Alors oui en retour quand tu es en streaming, tu ne gagnes rien, c'est Justin Bieber qui va gagner tous les dividendes mais à ce moment-là, tu peux te poser la question de pourquoi tu fais ça. Je ne le fais pas gratuitement quand je monte sur scène. J'aimerais bien être payée mais il y a plein de choses qu’internet m'a donné gratuitement aussi en retour, tu vois. C’est le revers de la médaille.

On va pouvoir te voir sur scène ou c'est encore un petit peu tôt ?

Eliz Murad : C'est encore tôt parce qu’à cause du confinement et de la Covid, c'était très dur d'organiser quelque chose qui allait s’annuler et encore et encore. J'avoue que les tournées s'organisent vraiment 6 mois à l'avance. Du coup, c'est sûr que je ne vais pas tourner tout de suite. Pour représenter cet EP mais je dirai, allez, fin 2023 début 2024. Je pense qu'il y aura quand même une tournée organisée.

J'aurai assez de temps pour la mettre en place avec le double de chansons, il y aura des chansons de l'EP et des nouvelles chansons.

Voilà la vraie dernière question, c'est parti d'une blague, si tu as un truc à vendre, profites-en, il y a des lecteurs, peut-être que tu peux y arriver ! Plus sérieusement si tu as un message, c'est le moment !

Eliz Murad : J’héberge une amie du Liban, en catastrophe. Elle a trouvé du travail. En CDI comme cheffe d’un restaurant. C'est cool. Elle cherche un appartement sur Lyon. Alors s'il y a une coloc ou une chambre qui se libère sur Lyon, s'il vous plaît ça serait trop cool. Elle est géniale.

C’est ainsi que s’achève cette interview. Nous avons continué un moment à échanger sur le Liban et la situation, catastrophique actuelle, mais je ne doute pas que tu t’y es intéressé. Dans le cas contraire, c'est le moment.

Tu trouveras, comme toujours, les liens pour aller à la rencontre de cette artiste vraiment talentueuse et très sympathique.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Apocalypsna de Eliz Murad

En savoir plus :
Le Bandcamp de Eliz Murad
Le Soundcloud de Eliz Murad
Le Facebook de Eliz Murad


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# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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