Avec le pianiste Lucas Belkhiri et le batteur Francesco Marzetti (avec le guitariste Yann Negrit et Lilian Mille au bugle en invités sur un titre chacun), le bassiste Benjamin Asnar propose une musique sans frontière ouverte sur le monde.
Le trio arrive avec une certaine maestria à marier dans un même élan musiques de la Méditerranée, musiques latines et puis quelque chose de plus européen. Surtout, il trouve la juste alchimie pour que ces différentes esthétiques fonctionnent en parfaite harmonie, dans une même synergie, sans qu’une prenne le pas sur les autres.
Dans ce sens, le premier titre "Kaddish" en est un parfait exemple avec ces mélodies, ces harmonies qui traversent les continents, se conjuguent avec subtilité. Mais tout le reste du disque est du même tenant. Il y a dans ce disque une énergie, de nombreux contrastes, un son tout en rondeur, une réelle efficacité mélodique (et rythmique), un infaillible charme.
# 15 septembre 2024 : Après la culture physique, retour de la culture tout court
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