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Conférence de presse  (Bourges)  28 avril 2006

Mickey 3D revenait pour la troisième fois au Printemps de Bourges où il jouait au phénix, la plus grande salle du festival.

C'est Mickael Furnon qui assurait la conférence de presse.

Pouvez-vous nous parler du projet Nopa Jam ?

Mickael Furnon : Nopal Jam, c'était un groupe qui existait avant Mickey 3D en fait puisque dans Mickey 3D on vient tous de groupes différents. On habite dans un village où on avait monté une association rock il y a quinze ans et on jouait tous dans des groupes de rock. Puis comme dans tous les groupes de rock, il y a un peu toujours la même histoire, c'est-à-dire qu'il y a des gens qui peuvent faire de la musique tous les jours puisqu'ils sont motivés ou au chômage et il y a des gens qui ne peuvent répéter que les week-end.

Comme moi je voulais faire de la musique tous les jours, j'ai monté un autre projet à côté que j'ai appelé Mickey 3D, j'ai été rejoint par le batteur du groupe Nopa Jam qui est le batteur de Mickey 3D. Ce petit projet, pour s'amuser tous les jours, s'est mis à marcher… Là comme on avait envie de refaire un peu de rock & roll, le groupe Nopa Jam s'est reformé, moi je suis allé faire de la guitare, une troisième guitare dans ce groupe, c'est un peu un défouloir, on va jouer dans les bars, dans la campagne. C 'est un peu le retour aux sources.

Il y a eu beaucoup de compostions pour d'autres artistes ces derniers temps ?

Mickael Furnon : Oui il y a eu "J'ai Demandé à Lune", le duo avec Birkin, une musique avec Thiéfaine, il y a eu Dick Rivers dernièrement. Et puis on me propose de temps en temps des trucs, je ne fais pas de ségrégation et je vois si quelque chose m'inspire tout de suite. Je ne reste pas longtemps à travailler parce qu'à la suite de "J'ai demandé à Lune" on m'avait demandé des chansons pour Dutronc, j'avais un peu travaillé comme un malade, et puis je ne sais même pas si les chansons sont arrivées jusqu'à lui.

Il y a des gens comme çà qui ont des managers, qui barrent la route, qui écoutent les trucs et disent "Ah ben non". Donc je n'ai plus envie de me casser la tête à travailler pour rien. Quand on me propose des projets, j'écoute et s'il y a un truc qui me vient de suite, je rappelle la personne, en disant "Ecoute, je viens de trouver un truc tout de suite, je te l'envoie…". Pour "J'ai demandé à la Lune" c'était la première fois, j'étais un peu demandeur de vivre une expérience d'écrire pour quelqu'un d'autre. Et vu que ce truc a cartonné, maintenant on m'appelle souvent.

Et vous, pour qui aimeriez-vous bien écrire ?

Mickael Furnon : J'aimerai bien écrire pour Lorie, ça fait toujours rire le gens, mais moi je suis sérieux. C'est parce que j'aime bien les espèces de challenge, les trucs pas évidents, j'aimerai bien aussi pour Vanessa Paradis parce qu'il y a un disque d'elle que j'adore, qu'elle avait fait avec Lenny Kravitz, très beau disque. Puis j'aime bien son univers. J'aurais bien aimé aussi faire des textes pour Emilie Simon qui fait des super musiques, j'aimerai bien un jour qu'elle me file des musiques et mettre des textes dessus.

Et le phénomène inverse ?

Mickael Furnon : Oui on m'envoie beaucoup de textes, mais comme je travaille pas mal et que je suis assez prolifique, je chante mes textes. J'ai un gros classeur chez moi rempli de gens qui me disent "J'ai fais des textes, j'aimerai bien que vous me les chantiez" mais je ne peux pas trop le faire vu que j'écris mes propres textes…

Y a t'il des groupes anglais que vous appréciez ?

Mickael Furnon : Cela fait longtemps qu'un groupe anglais ne m'a pas plu en fait. Je suis un fou de la pop anglaise et un des rares disques que j'écoute depuis un an, c'est un disque d'un jeune artiste anglais qui s'appelle Paul McCartney, qui a fait un album fabuleux, je n'arrive pas à trouver des jeunes artistes qui amènent quelque chose… Il y a plein de jeunes groupes qui sortent, des mecs qui ont 16, 18 ans… On dit que c'est le groupe du moment, mais il n'y aucun groupe qui me plait.

Le dernier groupe qui m'a plu, c'est un groupe canadien qui s'appelle The Arcade Fire, c'est vraiment un truc assez hallucinant. Arcade Fire et Paul McCartney ce sont les deux disques que j'écoute depuis un an. J'attends qu'un groupe me renverse autant qu'Arcade Fire mais qui vienne d'Angleterre, j'ai l'impression que les jeunes anglais n'amènent plus rien, ils ont amenés tellement pendant pas mal de temps.

Un mot sur les Arctic Monkeys ?

Mickael Furnon : Ben je trouve cela sympa, mais sympa … après j'adore la pop musique, j'aime être renversé par des mélodies auxquelles je ne m'attends pas en fait… et là pas trop… Alors que sur le dernier Paul McCartney il y a plein de trucs.

Beaucoup de groupes comme les Wampas ("Chirac en prison") sont très engagés, qu'en pensez-vous ?

Mickael Furnon : Non, je trouve qu'il y des gens qui chantent de belles chansons d'amour, cela suffit. Miossec il ne fait que des chansons d'amour il n'a pas besoin de faire de la politique, c'est très bien comme ça. Moi, j'aime m'exprimer dans mes chansons mais pas forcément politiquement. Quand je sens des injustices sociales ou des trucs qui m'énervent, comme tous citoyens, j'aime bien le dire dans mes chansons.

Plutôt profiter du fait que je sois entendu, comme plein de gens aimeraient l'être quand il y a un truc qui les énerve dans l'actualité ou dans le monde. Je ne me définis pas politiquement, je ne suis pas très attiré par la politique qui est une espèce de jeu. C'est un jeu la politique maintenant, il y a 100 ans, c'était peut-être un truc social qui faisait bouger les choses, mais maintenant cela ne fait plus bouger rien du tout, la politique. Je fais de moins en moins de chansons énervées, de plus en plus j'ai envie de poésie. Parler d'amour et de poésie …

Vous allez vous investir lors des futures élections présidentielles ?

Mickael Furnon : Non, non, je veux bien me marier avec Ségolène Royale parce que je la trouve jolie. Mais sinon cela ne m'intéresse pas trop tous ces trucs là…

On vous colle souvent l'étiquette de groupe engagé…

Mickael Furnon : On nous dit souvent que l'on est un groupe engagé parce que peut être il n'y a pas beaucoup de gens qui s'expriment. Dans les années 70 ou 80 quand il y avait des Renaud, des Lavilliers et compagnie on ne leurs disait pas qu'ils étaient engagés parce que c'était normal de s'exprimer. Maintenant moins de groupes s'expriment, alors dès qu'il y en a 1 ou 2, on leurs dit qu'ils sont engagés… Moi je ne me sens pas engagé, je ne suis pas engagé, la seule chose que l'on fait avec le groupe parfois, c'est que l'on donne la recette de quelques concerts de notre tournée…

On décide de donner à telle association parce qu'on aime beaucoup le milieu associatif, on trouve que c'est beaucoup plus intéressant que la politique, c'est cela qui fait bouger un peu le social… Mais après on n'est pas plus engagé que monsieur tout le monde dans la vie de tous les jours. C'est pour cela que je n'aime pas ce mot "engagé", on est juste des citoyens qui s'expriment et parfois participent aux mouvements associatifs … mais cela ne va pas plus loin.

Comment définissez-vous votre dernier album ?

Mickael Furnon : On aime bien partir dans tous les sens, ne pas ce diriger vers la routine, dans l'ennui, pouvoir s'amuser avec tous les styles de musiques. Nous on aime les musiques de toutes les époques, tous les styles et moi, je n'aime pas faire un chanson qui ressemble à celle d'avant. Je ne sais pas comment il fait Miossec pour faire des disques qui se ressemblent, moi j'aime bien Miossec mais je n'y arriverai pas. Après lui, c'est son univers donc tu rentres dedans ou tu ne rentres pas. Les gens n'arrivent pas trop à définir ce que l'on fait, les gens ont pensé à du rap quand "Respire" est sorti puis d'autres ont dit non, c'est de la chanson française puis non c'est du rock… En fait c'est tout et rien, c'est cela qui est marrant, faut s'amuser avec la musique.

Ce n'est pas trop dur de se diversifier ?

Mickael Furnon : Non, quand on a la culture musicale pour, quand on aime écouter de tout. Le soir quand je suis chez moi, j'écoute un vieux disque de Neil Young, j'écoute un truc électronique et après quand on assimile tout cela du coup on a envie de faire un morceau avec sa guitare sèche. Puis le lendemain on a envie de faire un morceau avec des claviers, c'est ça qui est rigolo.

Au point de vue des clips, ils sont à chaque fois différents…

Mickael Furnon : Nous on part du principe qu'un clip, cela coûte très cher. Autant faire un truc qui va rester dans l'histoire et que l'on pourra regarder dans vingt ans en se disant c'était un petit film, une petite histoir plutôt que de faire un clip où on est dedans, en train de danser ou de jouer de la guitare, ça coûte tellement cher et cela sert tellement à rien d'avoir un objet comme cela.

Alors nous on préfère un petit film, confier cela à des gens qui savent le faire, qui ont du talent. Quelque chose qu'on arrivera à regarder dans 15 ans en se disant que ce truc existe comme un court métrage. On aime bien que cela parte dans tous les sens aussi parce qu'on aurait pu continuer à faire des dessins animés comme le clip de "Respire" qui avait bien plu. Mais là, sur cet album on a pris Gilles Porte qui avait eu un César pour son premier film "Quand la mer monte" avec Yolande Moreau et qui habite à coté de chez nous, on est un peu dans le même état d'esprit. Ce qu'on aime bien pour les clips, c'est de ne pas s'en occuper, c'est d'en parler avec la personne avant et après on ne veut pas voir le tournage.

Puis après nous, on découvre un petit film… Pour le tout premier clip on avait participé dedans, parce que pour une maison de disques il faut montrer ta tête aux gens quand tu fais ton premier clip, ton premier disque. Et maintenant on ne participe plus parce que c'est vachement bien de découvrir, puis de laisser un artiste s'exprimer sur ta musique.

Qu'est qui a changé avec ce dernier album ?

Mickael Furnon : Ce qui a changé, c'est que je suis revenu à un peu plus de musiques et de chants. Pendant dix ans j'ai chanté de la pop anglaise dans un groupe et après quand j'ai commencé Mickey 3D, j'ai commencé à faire du français. Ce qui m'a fait commencer Mickey 3D, c'est la découverte d'artistes français comme Dominique A ou Miossec, qui m'ont donné envie d'écouter la vielle chanson française, de découvrir des albums de Barbara, de Nougaro…

Et quand j'en ai écouté pendant deux, trois ans, je me suis mis à chanter en français naturellement. Quand on fait des trucs en anglais et qu'on a une culture anglaise, dès qu'on se met à chanter en français, on se trouve ridicule. La première chanson que tu fais en français tu as l'impression d'être "Rock Voisine"… Quand tu as écouté pendant deux, trois ans de la chanson française, les disques de Barbara, Brel, Brassens, Ferré, Aznavour, Nougaro et bien quand tu prends ta guitare ça te vient naturellement, et là tu ne te sens plus ridicule parce que cela fait partie de ta culture.

Je m'étais mis à chanter en français avec Mickey 3D et je m'étais mis à parler de plus en plus, me "gainsbouriser" un petit peu et la musique n'avait plus trop d'importance. Je faisais des textes, on mettait de la musique derrière. Et là pour cet album, j'ai vraiment eu envie de faire de la pop musique, puis de mettre des mots par-dessus. Une chanson comme "Matador" pour moi c'est un texte qui n'est pas forcément très important, c'est plus sur la musique que l'on s'est amusé. J'ai envie de revenir à cela par rapport au début.

Comment est arrivée la participation à l'album de Dick Rivers ?

Mickael Furnon : Dick c'est une autre planète, c'est un autre monde… c'est lui qui a inventé le rock & roll c'est lui qui a inventé la musique… Non, Dick il m'a appelé, j'étais en train de regarder les JO chez moi. Il m'a dit "Salut, c'est Dick, tu ne rêve pas, le vrai." Cela m'a fait marrer, c'est un gars qui a de l'humour qui avait envie de faire un disque avec des gens pour l'aider. J'étais là, j'ai eu une petite période où je n'avais rien à faire donc j'ai pris ma guitare devant les JO.

Parce que quand il y a les JO, la vie s'arrête pour moi. J'ai fais trois, quatre chansons. Je lui ai envoyé parce que cela m'est venu facilement, comme je le disais tout à l'heure, il faut que cela me vienne facilement. Et voilà il était assez content… cela m'a fait plaisir d'écrire pour Dick. Pour Dick, tu ne te dis pas que tu vas travailler avec lui, et quand il t'appelle, tu te dis pourquoi pas, on va délirer, on va s'amuser…

Pas trop déçu d'être en tournée cet été pendant le Mondial de Foot ?

Mickael Furnon : Non parce que je pense que sur les festivals, il va y avoir des télés, c'est bien, en plus on va partager ça avec d'autre gens. Je crois même qu'il y a des festivals qui vont retransmettre les matchs de l'équipe de France entre les groupes, on va regarder cela… ça va être sympa…

Cela vous est déjà arrivé de porter un maillot sur scène ?

Mickael Furnon : Oui plusieurs fois, j'ai porté celui de Saint Etienne, celui de Guingamp aux Vielles Charrues, j'ai porté celui de Lille à Lille j'aime bien cette équipe, je crois que c'est tout.

Il n'y a rien qui vous dérange dans le foot ?

Mickael Furnon : J'aime bien le football, après il y a les histoires d'argent. C'est le monde d'aujourd'hui, c'est le spectacle. Ce sont des spectacles qui génèrent beaucoup de spectateurs donc ils génèrent beaucoup d'argent. Les grandes stars de ce sport, comme dans la musique, se font beaucoup d'argent. Cela choque toujours les gens que Zidane se fasse plein d'argent mais cela ne les choque pas que Madonna s'en fasse plein, c'est pour moi la même chose.

Aimeriez vous écrire l'hymne pour l'équipe de France ?

Mickael Furnon : Oui j'aimerai bien, mais c'est trop tard parce que la Coupe du Monde c'est pour bientôt, ils ont déjà dû travailler sur le truc. En plus Johnny avait fait un truc tellement nul, on ne peut pas faire pire, ça serait toujours plus facile.

Comment se passent les concerts à Lyon ?

Mickael Furnon : Très, très bien, en plus nous on aime bien se marrer avec les gens. Quand on passe à Lyon on est toujours en train de leur parler de foot, de leur dire vous êtes nul et tous ça. Quand c'est fait avec rigolade, les gens se marrent bien. Quand on a joué à Lyon, il y avait des gens de Saint Etienne, cela s'envoyait un peu des bâches, c'est rigolo quand c'est fait ainsi. Dans les stades il y a 100 crétins, pas plus… mais les autres prennent cela avec humour.

Louise Attaque vous a filé un coup de pouce à vos débuts, est-ce que vous-même actuellement vous faite la même chose pour d'autres groupes ?

Mickael Furnon : Oui, on le fait, cela nous fait plaisir. Sur cette tournée on est avec un groupe de chez nous, qu'on aime beaucoup qui s'appelle Le Fils De Jack qui est en train de sortir son premier album. Un album vraiment prometteur. On tourne aussi avec un autre chanteur qui s'appelle Yvan Marc de la Haute-Loire dont on aime beaucoup les chansons et puis avec un chanteur de la Drome qui s'appelle Cyrz qui vient de sortir son premier album aussi chez Pias. Il fait de très belles chansons et on a envie de faire comme les Louise avaient fait avec nous, c'est-à-dire présenter ces personnes au public. Nous quand tous les soirs, les Louise nous présentaient nous étions contents

Quel est ton rapport à l'enfance et à l'adolescence ?

Mickael Furnon : J'ai un rapport qui, je l'espère, est un peu comme tout le monde, c'est à dire que j'espère et je tiens aussi à garder en moi une part d'enfance et d'adolescence. Je pense que l'on en a tous besoin. Sinon on se fane un petit peu, et pour ne pas faner je pense qu'il faut garder un peu d'enfance et d'adolescence en soi.

Et les jeunes actuellement ?

Mickael Furnon : Je trouve que c'est bien que les jeunes viennent foutre le bordel, on l'avait fait nous aussi en 86 quand j'étais au lycée. Et là avec le CPE, ils l'ont fait aujourd'hui. C'est bien, je pensais que cela ne reviendrait pas tout ça. Je pensais vraiment que c'était fini, que tout le monde avait peur de perdre son boulot et ne réagirait plus. J'avais écris une chanson "La mort du peuple" à l'époque de Raffarin quand aux élections régionales toute la France avait voté un peu contre le gouvernement, et que le gouvernement avait dit : "On ne change pas de politique;". Pour moi c'était un peu une date historique, le gouvernement n'écoute plus les gens… on a vraiment eu l'impression que plus personne ne réagirait. Et là, il y a eu une renaissance du peuple, j'ai eu cette impression. C'est bien, cela prouve qu'il y a de la vie encore.

Un mot sur le Festival du Printemps de Bourges où vous allez jouez tout à l'heure ?

Mickael Furnon : Bien sûr le Printemps de Bourges c'est un festival qui existe depuis longtemps autour duquel il y a une grosse effervescence, c'est la troisième fois que l'on vient. On n'avait pas été pris en "Découvertes". On a fait deux fois les finales puis les demi-finales des "Découvertes". C'est cool ensuite de revenir par la grande porte, on a commencé petit il y a plusieurs années et puis ce soir nous jouons au Phénix !

 

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# 8 décembre 2024 : La culture nous illumine

Notre Dame qui renaît de ses cendres, la fête des lumières à Lyon, le spirituel est partout en cette quasi veille de Noël. Mais ce qui nous illumine chez Froggy's, c'est la culture ! Voici notre petite sélection hebdomadaire à partager avec vous !

Du côté de la musique :

Nouvel épisode "L'enfance - Partie 3" de la nouvelle saison du Morceau Caché !
Teenage dirtbag" de Candeur Cyclone
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"Faces" de Moonya
"Inventions" de Russ Lossing
"The stronger the wind" de Stubborn Trees
"Here and now, live at City Club" de Walid Ben Selim
et toujours :
"Cartoon Darkness" de Amyl and The Sniffers
"Day After Day" de Cy
"Reboot" de Harun
"Hydropath" de Isil Bengi
"Dummy light in the chaos" de Montañita
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"Silence the night" de Sang Froid
"Drag N'Fly" de The Dynamics
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Au théâtre :

"Barbara amoureuse" au Théâtre Essaïon
"L'arbre, le maire et la médiathèque" au Théâtre de Belleville
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"Le destin se moque des choix" au Théâtre Lepic
"Château en Suède" au Théâtre de Poche Montparnasse

"After Show" au Théâtre du Rond-Point
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"Yvonne ou ma génération Y" au Théâtre La Flèche
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"n degrés de liberté" au Théâtre de Belleville
"Lumière !" au Théâtre Le Lucernaire
"Pauvre bitos ou le diner de tête" au Théâtre Hébertot

des reprises :
(des pièces déjà chroniquées qui reviennent à l'affiche, attention, parfois c'est dans un théâtre différent)
"L'Art d'être bête" au Théâtre de Poche Montparnasse
"Toutes les choses géniales" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"Comment va le monde ?" à Théâtre Essaïon
"66 jours" à La Scala
"Intra Muros" à La Pépinière Théâtre
"Des ombres et des armes" à La Manufacture des Abbesses
"Changer l'eau des fleurs" au Théâtre Lepic
"Je m'appelle Erik Satie comme tout le monde" au Théâtre Le Funambule Montmartre

Du côté de la lecture :

"Les opérations de la Seconde Guerre mondiale en 100 cartes" de Jean Lopez, Nicolas Aubin & Benoist Bihan
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"L'héritière" de Gabriel Bergmoser
et toujours :
"De cendres et de flammes" de Kate Mosse
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Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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