Wildstreet, groupe américain originaire de New York revient avec IV qui suit III (logique) sorti en 2021. Le groupe en avait alors proposé 7 singles, vus un nombre records de fois sur les plateformes. Ils ont tourné (beaucoup) et en ont profité pour écrire leur nouvel album.
Wildstreet, c’est du hard rock. Je ne sais si c’est du glam (rapport à leur look bien hors normes) ou une autre sous-catégorie. Depuis le temps, tu connais mon appétence à ne pas catégoriser les groupes et la musique. C’est un groupe taillé pour la scène et mené de main de maître par Erick Jayk, chanteur du combo new-yorkais.
IV, c’est 7 titres, 6 compositions originales et une reprise de "Mrs. Sleazy" de The 69 Eyes. Je ne vais pas tourner autour du pot, c’est terriblement efficace, c’est taillé pour la scène (que le groupe apprécie particulièrement) avec la balade à la Bon Jovi : "Won’t Be Apart" et des titres nettement plus rock.
A noter que le groupe a fait appel à Steeve Estatof (un vainqueur de “La Nouvelle Star” en 2004) dans un clip bien déjanté.
Un groupe pour les amateurs du genre assurément.