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Interview  (Paris)  6 avril 2007

Marthe Mercadier, actuellement à l'affiche de la Grance Comédie dans la comédie d'Olivier Lejeune "Tout bascule", est un monstre sacré du théâtre, l'imépratrice du boulevard et la reine du rire.

Depuis plus de 50 ans, elle ne fait pas mystère de son âge, elle enchaïne pièce sur pièce qu'elle porte toujours loin et longtemps, en véritable marathonienne su spectacle, avec un succès jamais démenti et un plaisir toujours renouvelé.

Rencontre à la fois drôle et émouvante avec une grande dame du théâtre.

 

Nous nous rencontrons à l’occasion de la pièce d’Olivier Lejeune "Tout bascule" dans lequel vous jouez le rôle clé et qui est actuellement à l’affiche de la Grande Comédie. Comment avez-vous connu Olivier Lejeune et êtes-vous venue sur ce projet ?!

Marthe Mercadier : J'étais très amie avec Olivier Lejeune car je l'ai connu à ses débuts, j'aimais beaucoup son numéro sur la mémoire. Et il est venu me sauver alors que je jouais "Vacances de rêve". En effet, nous en étions à la 250ème et nous arrivions à la Michodière, après voir joué au Palais Royal et fait une tournée, et l'auteur, Francis Joffo, qui avait repris le premier rôle du fait de l'arrêt du comédien qui ne se sentait pas bien et qui s'est d'ailleurs suicidé ensuite, a eu un infarctus après la 5ème représentation. L'affaire périclitait, basculait c'est le cas de le dire. 

Je l'ai donc appelé et je lui ai dit : "Il n'y a que toi qui peux sauver la pièce de la catastrophe. Peux-tu reprendre le rôle et jouer avec moi ? ". Il m'a dit :"Bien sûr je viens de finir une série de galas donc cela tombe très bien. J'apprends le texte et dans deux jours je joue". Car il a une mémoire prodigieuse. Et il ne m'a ni surpris, ni déçu, bien entendu, car deux jours après  il était là. Nous avons répété le dimanche et le jour de relâche et, le 3ème jour, il était sur scène. Donc cela nous a permis de ne pas rembourser et de ne pas décevoir le public. Nous avons eu beaucoup de succès. Nous avons joué au Gymnase puis nous sommes partis pour une nouvelle tournée. Nous avons même fêté la 500ème.

Et pendant cette tournée, Olivier a écrit sa première pièce, qui était donc "Tout bascule", avec un rôle pour moi, un rôle de sœur déjantée, complètement folle de lui, maternelle, pas très équilibrée, un peu chtarbée. J'ai adoré ce rôle et nous avions fait une lecture chez Pascal Lhéritier mais Olivier n'avait pas la fin de la pièce et c'est moi qui lui ai suggérée bien longtemps après. J'avais signé pour jouer "Le squat" et, entre temps, Olivier Lejeune a monté sa pièce avec mon amie Andrée Damand qui était formidable dans le rôle, car elle  est ronde, très douce. 

Compte tenu du succès, il y avait une tournée programmée et deux séries de représentations parisiennes. J'ai accepté la tournée et nous avons joué 6 mois à Bobino qui avait un trou dans sa programmation. Entre temps, la Grande Comédie s'est créée et j'ai une passion pour cette salle qui occupe des locaux qui appartenaient anciennement à une banque. On a viré la banque et on y a mis les saltimbanques et cela a été une joie pour moi. Car dès qu'il y a un commerçant qui part c'est une banque qui s'installe.

Ils sont venus me voir pendant que je jouais "Clémentine" et nous avons bien ris. Il s'est trouvé que la Grande Comédie, qui a eu une défection de spectacle à cause d'une difficulté de production, nous a contacté pour reprendre "Tout bascule". J'avais signé pour une série de festivals et de tournée mais ils se sont arrangés avec le tourneur. Donc nous jouons à la Grande Comédie puis nous partons en tournée d'octobre à janvier.

Vous voilà à nouveau partie pour un spectacle marathon ?

Marthe Mercadier :  Oui, un marathon amical.

Il est vrai que vous ne jouez jamais 50 fois mais plutôt 500 fois.

Marthe Mercadier : Oui et bêtement ça me donne l'impression de faire des progrès. J'adore jouer une pièce longtemps et changer de partenaires. Car ils se lassent. Après 200 représentations, les jeunes du squat ne savaient plus où ils habitaient. Ils sont comme sur un manège de chevaux de bois, ils ont le tournis. Parce que la longévité, ce n'est pas le talent ; c'est le métier.

Pourtant c'est leur métier ?

Marthe Mercadier : Oui mais il y a des êtres qui n'aiment pas répéter longtemps la même histoire et je comprends cela très bien. Moi, j'adore parce que je change de partenaires et c'est comme lorsqu’on change d'homme. Quand on change de partenaire dans sa vie, on change ses habitudes ; on va à la boxe ou à la piscine (rires). Avec "Le squat" j'ai eu trois équipes et nous avons joué dans 4 théâtres, fait 2 tournées et une croisière Costa Adriatica. A chaque fois, c'est nouveau et on trouve dans le rôle des résonances nouvelles qu'on n'avait pas avec l'autre partenaire.

Dans "Tout bascule", il y a un petit rebondissement final, qu'on ne dévoilera pas, qui vous donne la possibilité de jouer sur différents palettes.

Marthe Mercadier :  Oui, en étant une soeur envahissante et très maternelle qui est soulagée de pouvoir tout dire.

En suggérant cette fin, vous souhaitiez de ne pas rester toujours dans le rire mais d'aller un peu vers l'émotion ?

Marthe Mercadier :  Oh non, je ne veux pas montrer autre chose. J'ai trop souffert dans ma vie pour vouloir pleurer sur scène ! J'ai fait l'overdose et je ne peux pas.

Donc si on vient vous proposer…

Marthe Mercadier : ... mais on m' a tout proposé : Brecht, les pièces espagnoles, "Grandeur et misère du IIIème reich"…. Non, merci ! Les parachutages, je les ai fait je ne vais pas les raconter ! Je vais avoir 79 ans en octobre et, de 10 à 2O ans, ça a été l'horreur. Et puis avant j'avais été bègue, muette et paralysée pendant 2 ans et demi,  massacrée par une chute très grave.

Les dernières années de la guerre,  ça allait très mal dans les réseaux et mon père nous utilisait peu de temps pour porter les messages et la bouffe car il ne restait plus que les très vieux et les enfants. Et il y a eu l'exode où tout le monde était carbonisé car les avions bombardaient les voitures qui s'enflammaient les unes les autres et tout flambait !

Donc vous ne voulez pas jouer les malheurs du monde sur scène.

Marthe Mercadier : Non, pour moi la scène est une jubilation. J'adore mon métier. La jubilation me bloque le trac. Je suis heureuse de monter sur scène tous les jours. Comme disait Marcel Achard "Quelle chance vous avez, vous les comédiens, d'avoir un rendez- vous d'amour quotidien avec des centaines de personnes ! Quelle merveille de savoir qu’on a prévu de vous retrouver !". J'en suis restée là et je savoure cette chance. Ce rendez-vous d'amour est resté imprimé là !

Je ne fais pas de challenge, je ne veux ni être la première, ni la plus drôle, ni la plus belle. Je veux être là ! Je veux être là longtemps car c'est de plus en plus fascinant sur la longueur. Le trac, effrayant au point de ne pas pouvoir monter sur scène, c'est la peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être le meilleur. C'est, je pense, ce qui nourrit un trac qui paralyse au point de rendre malade, d'une angoisse, si on peut dire, maladive. 

J'essaie maintenant de transmettre ce que les grandes comédiennes que j'ai aimées et qui m'ont portées sur les fonds baptismaux et soutenues, comme Margueritte Moreno que j’ai rencontrée dan sa loge. Car à 17 ans j'étais au cours de Maurice Escande, j'ai été au cours de Dullin et je faisais tous les cours comme une visite de musées. J'allais tout le temps au théâtre et je pensais qu'il était poli de dire à la comédienne qu'elle m'avait éblouie alors que ce n'était pas du tout le propos. Et je frappais à la porte de la loge pour lui dire. J'ai connu ainsi Marie Bell qui m'a offert le champagne parce que j'étais la première jeune comédienne qui venait lui faire des compliments pour "Phèdre"qu’elle était en train de jouer car les autres n'osaient pas.

Moi, j'avais l'habitude des loges car mon grand-père était  président de la Société des Auteurs et j'avais connu Mistinguett et Maurice Chevalier. Il y a eu aussi Gaby Morlay que j'allais voir dans "Lorsque l'enfant paraît" d'André Roussin au Théâtre des Nouveautés. Elle m'a donné des conseils ainsi qu'Elvire Popesco. Gaby Morlay me conseillait l'eau froide car, disait-elle, "La glace conserve tout même les femmes", et de boire du champagne. Elle m'avait d'ailleurs prédit que je jouerai son rôle dans cette pièce car c'était mon emploi. Et elle avait raison car j'ai joué son rôle aux Variétés avec sa photo dans ma loge.

Pour le champagne, elle disait qu'il fallait en boire un peu avant la représentation, un doigt qui met en forme et rend content, une petite coupe à l'entracte s’il y en a un et beaucoup de champagne après pour faire la fête. Popesco me disait : "Tu auras de grands rôles. Je te donnerai Nina" et j'ai joué "Nina". Et avec l'accent. Les gens s'en sont étonné mais je ne pouvais pas le jouer autrement. Car Elvire Popesco a fait réécrire la pièce à partir d'une traduction du texte roumain au mot au mot pour retrouver la musique de la langue. Et j'ai été la seule à jouer Nina avec l'accent et j'avais l'impression qu'Elvire était près de moi et me disait : "Tu as bien fait !".

Un de mes autres atouts a été de connaître Eric von Stroheim. J'avais vu son film "Folies de femmes" la cinémathèque et  je l'avais trouvé extraordinaire. Je suis allée me présentée à lui et je l'ai étonné en lui parlant de ce film. Je lui ai aussi dit que je ne voulais pas qu'on m’embrasse, ni qu'on me touche.

Même si j’étais modèle pour sculpteur sans feu car du fait que, grâce aux conseils Gaby Morlay, je vivais dans la glace, je n’étais pas frileuse. J'avais une cote d’enfer auprès  des sculpteurs sans le sou : j’étais la seule à poser dans des ateliers où la température é tait de 4-6° !

Entre temps j’avais joué 1 200 fois "Le don d’Adèle" de Pierre Barillet et de Jean-Pierre Gredy et j’avais reçu un prix, donc c’était épatant. D’ailleurs, au début des représentations, une critique américaine Anita Loos, qui a avait joué dans "Les hommes préfèrent les blondes", était venue me voir débuter et m’avait trouvée tout à fait intéressante. Elle est revenue, un an après, et elle a écrit à mon sujet un article sur 2 colonnes très élogieux : "Je retrouve une comédienne exceptionnelle, drôle, qui embellit et un grand espoir comique".

J’étais montée aux nues et Stroheim m’a dit qu’on allait me proposer des rôles de plus en plus intéressants et que si je ne voulais ni embrasser, ni me déshabiller, ni jouer des scènes dans un lit, il fallait insérer des clauses le prévoyant dans mes contrats. Henri Janson m’a choisi pour un de ses films et c’était un rôle de prostituée. Stroheim téléphone à Janson pour lui indiquer les fameuses clauses mais cela n’avait pas d’incidence puisque les prostituées ne se déshabillent pas, parce qu’elles n’ont pas le temps, n’embrassent pas, parce que le mac ne veut pas.

J’ai ainsi joué 5 ou 6 prostituées dont "Les compagnes de la nuit" de Ralph Habib qui a fait le tour du monde. Ensuite, j’ai joué des tenancières de bordel. J’ai tourné 91 films et je n’ai jamais failli à ces clauses. J’en ai raté sans doute une cinquantaine mais je n’aurai pas pu supporter que mes petits enfants disent "Tiens on a vu les fesses de grand-mère !".

Vous venez d’évoquer de grandes comédiennes et ce qu’elles vous ont appris. N’avez-vous jamais été tentée, à votre tour, de transmettre ce savoir ?

Marthe Mercadier : Non jusqu’à maintenant. Car je commence le mois prochain ! J’ouvre "La Baraque" qui est un lieu ouvert où on est toujours bienvenu. Ce n’est pas un lieu où j’apprendrais à jouer Célimène Dorine parce que je m’en fous complètement. N’ayant pas connu Molière et ne l’ayant pas rencontré, je ne peux pas transmettre ce qu’il souhaitait. Je veux simplement transmettre ce que ces grands comédiennes m’ont appris et qui m’a servi toute ma vie, des choses imparables, intemporelles, comme la discipline, l’hygiène, la technique, la façon de se préparer à un effort, de se récupérer à l’entracte, la gestion de deux représentations matinée-soirée, et puis surtout l’énergie et une profession de foi.

Le rire est une arme, un éclat de rire tue aussi sûrement qu’un coup de révolver, une arme redoutable qui n ‘est pas négociable. J’ai eu 2 béquilles dans ma vie, qui m’ont toujours soutenue rassurée et portée, le rire et le coït. Dans la sincérité, ni l’un, ni l’autre ne sont négociables. Et là je m’incline. Par ailleurs, comme je vous l’ai dit, et comme je l’ai écrit, j’ai été bègue et que j’ai subi des épreuves rapprochées dans l’enfance, ce qui marque définitivement. On ne guérit jamais le bégaiement même si on le maîtrise. Le bégaiement  est un surcroît d’émotion qui vous fait renverser la respiration dans le sens opposé.

J’ai rencontré, il y a deux ans, grâce à Olivier Lejeune, un de ses amis, Christian Boissard, qui est bègue, et qui a trouvé une méthode basée sur des pressions sur le plexus quand il a vu que son petit garçon bégayait. Et c’est merveilleux ! J’ai analysé depuis que le bégaiement ne se guérit jamais mais se transforme en sorte de montées d’émotion qui vous stoppent (ndlr : suit une démonstration de ce phénomène tout à fait surprenant à voir et impressionnant). Et ça repart quand on sait maîtriser  sa respiration.

Où se situe "La Baraque" ?

Marthe Mercadier : C’est à la Comédie Bastille. Didier Constant, qui est un jeune comédien formidable et un ami financier, Yves Lemonnier,ont repris ce qui était le petit studio de Voutzinas, une salle de 200 places, dans laquelle ils programment des pièces de jeunes auteurs. J’en fait mon centre, les mardi à 16h et vendredi à 14h30, pour un cours public où on pourra poser des questions.

J’y aborderai des questions sur le fonctionnement du corps, la façon de marcher, de respirer, de s’asseoir dans une position non avachie mais d’écoute active et intelligente notamment quand on est filmé au cour s d’un débat ou d’une émission. Car on a vite l’image d’un veau ! Et quand on vous questionne, il faut ce que j’appelle "brancher l’émetteur", ne plus le lâcher et émettre face à la caméra.

En ce moment où je prends beaucoup le métro, en raison de l’indisponibilité de mon chauffeur, je suis atterrée par les têtes de zombies qu’ont les gens. Ils ont complètement déconnectés du monde réel et ont le regard fixe de ceux qui regardent un écran de télévision ou d’ordinateur. Ils ne se regardent pas, ne se voient pas, les autres sont complètement transparents et …ils n’émettent rien !

C’est effrayant ! Un nombre de plus en plus important d’enfants portent des lunettes à cause de ces petits jeux électroniques ! Je ne suis pas angoissée, parce que j’ai utilisé très jeune toutes mes réserves d’angoisse, mais je pense qu’il faut pousser un cri d’alerte et actionner la sirène ! Car on fonce dans le mur.

Donc "Tout bascule et "La Barque" pour l’actualité. Et les projets ?

Marthe Mercadier : Je vais jouer la prochaine pièce de Jean-Marie Chevret, qui était l’auteur de "Le squat", qui s’appelle "Chiante à mi-temps". Ca c’est sur scène car dans la vie c’est un peu à plein temps ! (rires). La mise en scène sera assurée par Jean-Pierre Dravel et Olivier Macé, la famille, qui ont mis en scène "Clémentine" et "Le squat".

A quelle échéance ?

Marthe Mercadier : Pour la rentrée 2008 à Paris.

Et arrivez-vous à prendre des vacances avec cette activité intense ?

Marthe Mercadier : Oui. A la sauvette !

 

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La chronique du spectacle "Tout bascule"

Crédits photos : Thomy Keat (Plus de photos surTaste of Indie)


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