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Interview (seconde partie)  (Paris)  11 mars 2008

Nous avons rencontré Kent pour une séance d’enregistrement acoustique, une séance de photo et une interview. Cette dernière s’est déroulée en deux temps. Grand bavard, mais il m’avait prévenu, nous avons dû quitter les bureaux de son agence de promotion pour laisser les gens rentrer chez eux tranquillement. L’interview s’est donc terminée dans un bar à coté de l’agence. Nous vous livrons ici la seconde partie de cette interview.

L’idée de faire des illustrations, puis une BD complète, c’est venu à quel moment ?

Kent : J’ai toujours continué le dessin. J’ai arrêté la BD en 1986, mais j’ai continué les illustrations pour moi, ça m’a permis d’évoluer au niveau graphique certainement. Il y a deux choses qui ont ramené le dessin au premier plan. Pendant Bienvenue au Club, je faisais des crobars en studio, et je me suis mis à illustrer les chansons, j’en ai fait un portfolio. Et pendant cette période, une amie qui s’occupe d’une association, Alofa Tuvalu (www.alofatuvalu.tv) sur les îles Tuvalu qui disparaissent avec la montée des eaux, est venue me voir. Elle voulait sensibiliser les enfants sur le réchauffement climatique et voulait que je fasse une bande dessinée. Ca aussi, ça m’a boosté. Je ne suis pas superstitieux, mais parfois il y a des appels du pied qu’il ne faut pas rater. Cela m’a donné envie de développer des choses que je n’avais pas faites avant, notamment de la peinture, ce qui a donné les illustrations de l’Homme de Mars.

Celles que l’on a reçues avec le disque de promotion, inspirées par les couvertures de revues de science fiction des années 50 ?

Kent : Oui tout à fait, c’est exactement ça, mon martien c’était ça. Le mien faisait référence aux années 50–60. On en parlait, des martiens, à cette époque là et on y mettait tout dedans : des communistes, la guerre des Mondes et des méchants aliens, on y mettait l’espoir, de la mélancolie avec Ray Bradbury. Les plans de Von Braun, c’était génial, on se sert encore de ses plans pour partir sur Mars. C’était délirant mais il avait déjà pensé qu’il fallait construire le vaisseau dans l’espace pour éviter de faire partir des fusées trop lourdes. Je me suis aussi inspiré du livre de Frédéric Brown, Martiens Go Home, dont les martiens, un peu comme le mien, sont un prétexte. Ils déboulent sur Terre, ils sont rigolards, cyniques, télépathes, ils traversent les murs, il n’y a plus aucune vie privée sur Terre, ils se foutent de la gueule des terriens à longueur de temps. Les humains ne savent pas comment s’en débarrasser, on leur tire dessus, les balles les traversent. C’est extrêmement drôle. J’ai beaucoup pensé à ça en faisant l’Homme de Mars.

D’ailleurs ton martien, il traverse les murs et il est télépathe.

Kent : Oui, c’est un hommage direct. De la même manière, mon martien est un sage, mais la sagesse l’ennuie. Il voit sur Terre de la lumière, du bruit, il se dit que les gens se marrent là-bas et il en a envie aussi. Le premier endroit où il va, c’est une boîte de nuit, dont il se fait refuser l’entrée, donc il passe à travers le mur. C’est une référence à Frédéric Brown.

En parlant de référence, sur la chanson Planète Mars, tu parles de l’homme venu d’ailleurs. C’est un hommage, là aussi, au film de David Bowie ?

Kent : Oui, mais j’assume mes références, graphiquement, musicalement, cinématographiquement.

Ton personnage s’implique envers les humains, il cherche à comprendre, à connaître, mais l’inverse n’est pas vrai.

Kent : L’inverse n’est pas vrai, sauf dans la BD, tu verras. Je n’ai pas suivi mot à mot les chansons, j’avais envie de faire une autre interprétation de mon texte. J’ai illustré les chansons comme si Kent l’illustrateur venait de recevoir les textes du chanteur Kent, je me suis vraiment dédoublé. Je voulais suggérer qu’on peut interpréter à sa manière aussi. Dans mes textes, il y a toujours beaucoup de tiroirs. J ’aime bien quand quelqu’un vient me voir à la fin d’un concert et me dit que dans telle chanson, j’aborde tel sujet et que c’est quelque chose à laqelle je n’avais pas pensé.

J’aime bien savoir qu’il y a des choses qui nous échappent heureusement, déjà que je me rends compte qu’on a toujours les mêmes obsessions quand on écrit. On ne fait que déplacer la caméra à travers notre "age" pour parler des mêmes sujets. On m’avait invité dans une faculté de lettre dans laquelle des étudiants avaient étudié mes textes. J’ai été surpris, je ne me rendais pas compte de la place de la géographie dans mes textes. Cela m’avait impressionné.

Le texte de la chanson Parole d’Homme m’a interpelé. Il y a plusieurs niveaux d’échange : le père qui parle à son fils, le fils au père, le père au père …

Kent : Cela revient exactement à ce que je venais de dire. Je suis très content, parfait, t’as vu plus de choses que je n’ai voulu en mettre (rires). J’avais envie de parler de ce conflit parent – adolescent, où on se voit jouer le rôle de parent en sachant parfaitement ce qui se passe dans la tête de l’enfant, qui te dit "mais tu peux pas comprendre" et c’est une situation horrible.

La chanson Vibrato ?

Kent : Ca, c ’est rigolo, parce que c’est une pièce rapportée dans l’album. Quand j’ai écrit le roman Vibrato, j’ai fait une tournée de promotion et on me demandait de quoi parlait le roman. Comme souvent, je me suis retrouvé à construire une réponse qui est devenue quelque chose qui sortait d’un trait et je me suis dit que cela ferait une très bonne chanson. Dans le train du retour, j’ai écrit le texte en l’embellissant un peu et très vite, j’avais envie de faire une musique dessus.

Je trouve que musicalement, il dénote du reste de l’album.

Kent : Pour celle-là, on a laissé faire Chad Blake. On a fait cette chanson en sachant que ce serait lui qui mixerait et qu’on lui faisait un cadeau. D’ailleurs, on a commencé les séances de mix par celle-là, c’est tout à fait dans ces cordes. Ensuite, on a fait l’autre extrême, Ici et Maintenant je crois, le genre d’orchestrations qu’il n’avait jamais mixé. Un fois ces deux extrêmes posés, l’idée de l’album, c’est que tout cela se tienne, de lier l’ensemble.

Pour en revenir à Vibrato, le roman, comment es-tu passé à l’écriture, c’est quelque chose qui te travaillait depuis longtemps ?

Kent : C’est une troisième vie parallèle, je suis un peu le Fernando Pessoa français si tu veux. C’est mon cinquième roman à dire vrai. Cela s’est fait en parallèle de ce break de Starshooter en 1981-82. Un éditeur était venu me voir parce qu’il aimait bien ma façon d’écrire des chansons. Comme il démarrait une collection de polars, Sanguine chez Albin Michel, il m’a demandé si je voulais en faire un. J’étais très flatté, je suis donc parti sur une idée de roman et le temps que je l’écrive, la collection avait coulé. Je me suis retrouvé avec le manuscrit dans les pattes, qui est resté dans un tiroir de nombreuses années. Et puis, un jour, j’ai décidé d’aller voir des éditeurs pour le proposer, en me disant qu’un manuscrit dans un tiroir, ce n’est pas un livre, c’est du papier. J’ai trouvé un éditeur qui l’a publié, puis j’en ai écrit un second, un troisième.

Toujours dans le registre polar ?

Kent : Au début, c’était ça. Les deux premiers sont résolument des polars, le troisième part un peu plus roman psychologique. Le quatrième… je l’aime moins celui-là. Et puis Vibrato, ça me titillait beaucoup d’écrire sur le milieu musical. C’est quelque chose que j’avais un peu évité parce que cela faisait un peu téléphoné. Ce qui se passe actuellement dans le milieu de la musique, je trouvais que cela valait le coup d’en faire un roman, de prendre un personnage impliqué dans le milieu musical, qui vit un bouleversement total dans sa manière de voir la musique. C’est le premier roman où j’ai eu des critiques littéraires positives et cela m’a beaucoup touché.

Ca doit être difficile de passer de l'écriture des chansons, genre qui peut être considéré comme léger par les éditeurs, à l’écriture de romans ?

Kent : Le problème, j’allais dire en France, mais pas seulement je pense, c’est d’avoir plusieurs casquettes. On pense toujours qu’on profite d’avoir une casquette, pour en mettre d’autres et que l’on n'a pas de talents, que c’est juste la notoriété qui ouvre les portes. Je pense que cela facilite les choses, cela m’a toujours un peu embarrassé. Chaque fois que j’ai sorti un roman, j’ai voulu prendre un pseudonyme, on m’a répondu qu’il fallait profiter de l'occasion d'avoir un nom, parce que cela ouvrait des portes.

Lorsque j’ai sorti mon roman précédent, Quelque Chose de Beau, j’étais chez Ramsay et en même temps sortait le livre d’une chanteuse qui racontait, ou faisait raconter, sa vie par quelqu’un je crois. Les voies de presse se faisaient en même temps, ça n’était pas le même propos, je m’étais un peu foulé pour écrire une fiction. Cela me minait quelque part, ce n’était pas mon premier roman. J’étais embarrassé par les critiques du type : "tu es chanteur et tu n‘est pas doué pour autre chose". C’est pareil, par exemple pour Charlélie Couture, qui s’est exilé à New York pour vivre sa vie de peintre et être admis comme tel. En France, il est considéré comme le chanteur qui peint, il a décidé de partir dans le pays où on ne le connaît pas comme chanteur et où on apprécie la peinture. Le pays en question, c’est New York, il a l’air vachement épanoui là-bas.

Ce qui me fait continuer, c’est de me dire que si j’ai du talent, ça se saura, mais je crains que cela se sache de manière posthume. C’est comme quand on a reconnu les chansons de Boris Vian, tu vois. Ces chansons étaient considérées comme rigolotes, il a fallu que Gainsbourg dise qu’il n’aurait jamais eu l’idée d’écrire des chansons, s'il n’avait pas entendu celles de Vian, pour que le regard change. Gainsbourg qui est un peintre frustré, d’ailleurs. C’est une situation difficile à vivre aujourd’hui, la manière d’aborder le métier, il y a des chanteurs de vitrine et des chanteurs de fond, je pourrais dire. Peut-être qu’au départ, ce qui nous motive, c’est d’être dans la vitrine, mais à un moment donné c’est plus ça. Tu as envie de creuser ton propre sillon, parce que c‘est plus fort que toi. D’autres voudront avoir la Porche Cayenne et des maisons de la taille d’un yacht. Le problème quand t’es chanteur, face aux vrais gens, c’est qu’on met tout le monde dans le même panier : "tu connais machin, tu regardes la Star Ac’ ? Tu passes pas à la TV, alors t’es pas chanteur…" T’essaies d’expliquer que tu ne vois pas le métier de la même manière et la réaction peut être : "il est compliqué lui, il crache dans la soupe". C ’est compliqué à appréhender.

Pour changer de sujet, j’ai vu que tu avais une page sur Myspace dans laquelle tu entretiens des billets d’humeur. C’est toi qui maintiens cette page par exemple ?

Kent : Oui, c’est moi qui la maintiens.

Et cette idée de faire des échanges sur tes billets d’humeur avec les internautes ?

Kent : À partir du moment où tu rentres dans ce jeu là, il faut l’assumer. Je suis très déçu de voir des pages Myspace spéciale pub d’album, je n’en vois pas l’intérêt en fait. J’y suis allé à reculons sur Myspace, ce sont les gens autour de moi qui avaient une page, qui m’ont convaincu de le faire. Je trouvais que c’était une perte de liberté, que j’avais autre chose à faire. Puis je m’y suis mis progressivement, et cela m’a amusé de voir qu’il y avait des réponses et des gens qui, finalement, attendaient que ça. Je pensais que le site suffisait et ce sont, en fait, deux mondes différents. Il y a des gens qui s’inscrivent sur ma page, uniquement pour pouvoir communiquer avec Kent, et ils n’en ont rien à faire de Myspace. Leur profil est sans photos, sans amis, juste un prétexte. Et il y à aussi les rencontres artistiques ou humaines, c’est un truc en plus.

Après, ce qui est marrant dans le site et le blog, c’est de faire une mise en abîme par rapport à toi. Qu’est-ce que ça va devenir plus tard, j’en sais rien. Je n’aime pas l’internet saturé de pub, la fausse gratuité qui se fait passer pour de la générosité, parce que rien n’est gratuit, sinon bardé de sponsors. J’aimerais creuser mon trou dans internet, parce que je vois l’avenir musical comme ça, en tout cas le mien. J’aime bien aller voir des sites de groupe comme Neubauten, c’est formidable, c’est une petite entreprise, ils sont autonomes. Ils lancent des souscriptions pour enregistrer leurs disques, les premiers à répondre ont droit à des choses en plus. Il y a des liens avec d’autres artistes. Pour moi, l’avenir c’est ça.

Dans ta biographie, tu parles de Philippe Constantin, dont j’entends le nom depuis longtemps pour plusieurs autres artistes français Noir Désir, Théo Hakola, Dominic Sonic. Ce dernier en parlait en disant que c’était un découvreur de talents, qui ne mettait pas de contraintes aux artistes.

Kent : Ben oui, c’était la vieille école et on peut être nostalgique de ça, je ne suis pas nostalgique d’une époque ou de faits, mais de personnages comme Constantin, oui. Il n’en existe plus, ou alors faut qu’on me les présente, parce que je suis en manque. Personne n’a d’oreille comme lui et un nez pour savoir quoi faire de ces oreilles. C’est quelqu’un qui a découvert Starshooter en première partie d’Higelin à Grenoble, par hasard, et qui va nous signer. Il a découvert Rita Mitsouko à Paris, en train de chanter Marcia Baïla avec un Casio, et qui va se dire "ça, c’est bien !" Il y a tellement de gens qui lui doivent d’avoir été découverts. L’explosion de Pink Floyd en France, c’est lui, et même à l’international.

C’était un gars qui ne comptait pas. Ces dernières années, on a transformé les directeurs artistiques en comptables. C’était peut-être le cas avant, mais il y avait peut-être plus d’argent, ce qui faisait qu’ils pouvaient oublier certaines dettes. Mais lui, non seulement il s’en foutait des dettes, ce n’était même pas le propos. Il avait envie qu’un truc existe, il faisait en sorte que cela existe, voilà. Aujourd’hui dans les maisons de disque, ils ne disent pas s'ils aiment un disque ou pas, ils se demandent d’abord ce qu’ils vont pouvoir en faire, c’est un truc étonnant. Si on repart à un "âge d’or", à l’époque où les disques marchaient, étaient populaires, étaient des difficiles d’écoute, c’était Hendrix, les Pink Loyd, les Who qui font Tommy. Il y avait un public pour tout ça, et ça vendait. J’ai l’impression que tant que les maisons de disques laissaient faire les artistes, cela marchait bien. A partir du moment où ils ont mis des directeurs marketing, des comptables, ça s ’est mis à coincer.

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En savoir plus :
Le site officiel de Kent
Le Myspace de Kent

crédits photos : Thomy Keat (Plus de photos sur Taste of Indie)


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