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Interview  (Paris)  19 avril 2008

A l'occasion de la sortie de son premier album Aucun mal ne vous sera fait, Alister s'est prêté au jeu de l'interview et de la session acoustique.

Tu as été scénariste pour la TV, tu as écrit des nouvelles, comment as-tu franchi le cap pour passer à la musique ?

J'ai fait des études, d'histoire contemporaine, et j'étais parti pour devenir professeur d'histoire.

Et en fait, je n'ai pas voulu faire cela, je me suis dit, je vais faire de la musique. Parallèlement à cela, j'avais été exempté de service militaire ce qui me laissait une sorte d'année sabatique devant moi. J'ai donc fait de la musique et ça n'a pas du tout marché. Je faisais des chansons, je suis allé voir des maisons de disques, j'avais quelques touches avec certaines mais ça n'avancait pas et il fallait que je gagne de l'argent.

Je faisais au même moment de la figuration pour la TV. Souvent, on se rendait compte que les textes proposés n'étaient pas toujours géniaux. J'ai vu que ce n'était pas compliqué à faire alors j'ai commencé à balancer des trucs et cela a plus ou moins marché. J'ai complètement arrété la musique pendant 5 ans et j'étais content, à la TV ça marchait bien, les gens étaient contents aussi. On m'attendait un peu en fait, alors que dans la musique … que dalle. Et puis à un moment je commençais à avoir fait un peu le tour dans le genre sketches courts. Je ne faisais d'ailleurs quasiment que ça.

On connaît de toi essentiellement La Minute Blonde…

Oui, enfin la Minute Blonde, c'est la fin de ma carrière, mais avant cela, j'ai fait presque tout ce qu'il est possible de faire. Un Gars Une Fille, Karl Zero … je faisais n'importe quoi … d'ailleurs je ne peux pas tout te dire car … on ne peut pas être fier de tout.

Enfin tout cela c'était très bien, mais je commençais à tourner en rond, à m'ennuyer et j'ai recommencé à faire de la musique. Et puis j'ai rencontré Adrienne Pauly, dans un hôpital psychiatrique … Non je plaisante ! Et on s'est tout de suite très bien entendu. Et le truc avec Adrienne, c'est que ça m'a ramené dans le milieu de l'industrie du disque. Je lui ai donc écrit quelques chansons et puis il y avait pas mal de textes que je lui proposais et qu'elle ne voulait pas faire, qui collaient pas. Enfin bref, je me suis dit, finalement je vais m'y remettre aussi. Après c'est aller assez vite, j'ai mis 2 ans à trouver un deal en maison de disque et dès que je l'ai trouvé, j'ai arrété la TV parce que je commencais vraiment à saturer.

Trouver un deal, ça veut dire que tu avais déjà quelque chose à livrer ? Des musiques, des chansons ?

Toutes les démos étaient faites. Assez abouties d'ailleurs, car quand je fais les démos je fais tout, j'avais une vingtaine de chansons…

De quoi faire un double album du coup ?

Oui même un triple album comme Saez qui sort un triple intitulé Varsovie. Top déconne … (rires)

Des demos abouties, cela veut dire quoi ?

En général, tout l'instrumental est fait avec dessus une voix qui marmonne en yaourt ou en n'importe quoi. Après, le dernier élément, c'est de faire le parole en fait, parce qu'en général … c'est ce qui m'emmerde le plus à faire. J'attends le dernier moment aussi pour avoir une idée la plus précise possible du tableau, de ce que va être la chanson.

Tu écris toujours les textes en dernier ?

Toujours, je ne commence jamais par le texte. La seule exception, c'est quand j'ai fait des choses avec Adrienne car c'est elle qui amène des textes.

Et ces textes que tu colles sur tes chansons, tu le prends où ? Tu as un cahier avec tous tes textes en attente ?

Non, j'ai un cahier avec des notes, d'ailleurs ce n'est pas un cahier mais ce sont des feuilles un peu partout. Dès que je vois un truc, à la tv ou n'importe où, je note. Par exemple, je vois un derviche tourneur, hop je note "Derviche tourneur" et ensuite quand je cherche des paroles, je prends tous mes papiers et … je remplis mes cases

C'est un peu à l'opposé de ce que tu devais faire pour la TV, non ?

Non, parce qu'il y a un truc qui me prend aussi beaucoup de temps, c'est de trouver quel va être le thème de la chanson. Souvent, je pars d'un titre, par exemple "qu'est ce qu'on va faire de toi ?", ça me vient et ensuite je pars de là pour écrire la chanson. Je fais aussi parfois de l'improvisation. Je m'enregistre et je fais ce que j'appelle du yaourt en français. C'est-à-dire que je dis n'importe quoi, en français (ndlr : Alister se met à chanter … "tu ne sais pas pourquoi le ciel est vert ….") et après tu écoutes et tu fais le tri dans ce qui sonne bien, ce qui est à jeter… Mais il y a plein de méthodes, par exemple "7 heures du matin", c'est écrit avec beaucoup de méthode. Et ce qu'il y a de plus dur en français, c'est écrire les trucs qui bougent.

D'ailleurs justement, ton disque à part le chant, le reste sonne très anglosaxon, on pense notamment assez vite à Mark E. Smith de The Fall...

Ah tiens, on m'a déjà dit cela, pourtant ce n'est pas une référence évidemment, c'est même un peu pointu. C'est très flatteur.

Tu parles aussi beaucoup de Lou Reed…

J'aime beaucoup Lou Reed, oui, mais c'est aussi ce qu'on a retenu de ce que j'ai pu dire, mais il y a aussi David Bowie, Iggy Pop, les Pixies, Elvis Costello pour les textes.

Quoi qu'il en soit ta culture est beaucoup plus anglosaxonne que française. D'ailleurs pourquoi ne pas pousser cela jusqu'au bout et ne pas chanter en anglais ?

Parce qu'à un moment, il faut que ce soit un peu cohérent aussi. Tu habites en France, tu es français, tu es né en France… Ca devient du théâtre quand tu commences à chanter en anglais, et je dis ça calmement, c'est presque de la malhonnêteté. En plus, quand tu vois la qualité des textes des français qui chantent en anglais… Ceci dit, dans l'album, il y a une chanson en anglais mais enfin c'est du niveau Berlitz 2ème niveau. Non, il faut que ce soit cohérent. Si je veux faire un disque en anglais, je vais habiter en Angleterre ou aux USA. Si je vivais à Rome, je ferais un disque en italien. Et puis j'aime la langue française. C'est une banalité de dire cela mais j'aime bien les mots . Il y a un registre, une sophistication de la langue que tu n'as pas en anglais et c'est au final assez marrant de mêler les deux.

C'est effectivement réussi car cela sonne d'une façon bien différente des productions françaises.

Et pourtant, il y a des français sur le disque. C'est produit par un américain et un anglais, il y a un anglais à la batterie, mais la guitare, le piano les choeurs, c'est français, il y a du français sur ce disque (rires). Et le batteur, qui était le batteur de Massive Attack sur leur dernière tournée, c'est un dingue. Il ne peut que te tirer par le haut.

Ce ne sont pas eux qui tournent avec toi ? J'ai vu que pour former ton groupe de tournée, tu avais fait une sorte d'audition, à l'ancienne…

Oui, c'est dégeulasse mais bon…

Moins que le copinage, non ?

Oui, et je voulais que sur scène, il se passe quelque chose. Je voulais des bons musiciens, créatifs, intelligents. Et il n'y a que ce moyen, de faire une audition pour savoir avec qui tu vas jouer.

Pour revenir aux textes, il y a un côté anti-héros. C'est toujours un gars qui rate un peu des trucs, ça vient d'où cette tendance ?

J'essaie de partir de trucs qui te sont plus ou moins arrivés. Mais il faut toujours que ça décolle à un moment. On ne peut pas rester basique, à chanter "passe moi le sel", ca n'a aucun intérêt de raconter des problèmes de plomberies ou de couronnes dentaires. Ou alors il faut que ce soit un délirium. J'aime bien partir dans des trucs comme ça, mais il faut que ça parle d'un truc vrai. Je ne peux pas parler de quelque chose que je ne connais pas.

Mais alors, cela va un peu à l'encontre de ton système de notes aléatoires dont tu parlais tout à l'heure ?

En général, quand tu écris, tu as des obsessions. Je dois en avoir 3 ou 4 et les thématiques se retrouvent. Des chansons comme "Qu'est ce qu'on va faire de toi ?" ou "Bordel" sont finalement des chansons proches. D'ailleurs, je parle dans plusieurs chansons de la même chose.

Le titre de ton album fait un peu penser à un titre de One man show, c'est un truc qui te tenterait ca ?

C'est quelque chose qui a déjà été évoqué mais ça ne m'intéresse pas. Il faut faire très attention au rire. Et même sur scène, ça devient très long entre les morceaux. Et quand je me revois sur scène, notamment un film à la Java, je me dis "mais tais toi ! tais toi !". Il y a un truc qu'il faut que je contienne pour arrêter d'être trop bavard, de faire le malin tout le temps mais de là à en faire un one man show, avec le côté préparé et de dire les mêmes blagues tous les soirs… Déjà l'idée de faire le même concert tous les soirs, ça m'opresse, alors l'idée de faire les mêmes vannes tous les soirs, avec les gens qui rient au même moment, je crois que je ne pourrais pas le faire.

Et la musique, finalement, c'est ta voie ou bien comme le reste ce n'est qu'une expérience de plus dans ta vie ?

J'ai toujours une position un peu bizarre vis-à-vis de ce que je fais, je suis toujours dedans sans être dedans. Là, en ce moment, je suis curieux de ce qui se passe autour de moi. C'est mon disque, je passe à la radio, à la télé, j'ai ma gueule dans le métro mais je regarde comment ça se passe avec curiosité, comme si ce n'était pas moi finalement. En tout cas, il y aura sans doute un deuxième album – peut-être pas un troisième (rires).

Mais c'est vrai que je ne sais pas trop. Ce que je sais, c'est qu'un jour, j'aimerais bien me mettre à l'écriture d'un scénario par exemple. Mais c'est beaucoup de boulot.

Et cela ne peut pas être concomitant à la musique ? Si on regarde ta carrière, il semble que tes expériences sont plutôt séquentielles, tu fais une chose à la fois…

C'est vrai que je suis un peu con pour ça, je ne sais pas faire 10 choses en même temps.

Pourquoi ? Parce que tu t'impliques trop dans ce que tu fais à chaque fois ou tu es plutôt genre feignasse ?

En fait, il y a un peu des deux. Ce n'est pas tant le temps que tu passes à trimer sur un truc mais c'est le temps que tu passes à penser, sans rien faire. Je peux passer des journées sans rien faire, à être immobile. Ton esprit est complètement occupé par autre chose et je n'arrive pas à faire autre chose. Pour mes proches, c'est très agréable en ce moment d'être autour de moi (rires). Mais il y a un an, quand j'enregistrai l'album, j'avais l'air d'un autiste.

Et tu n'arrives pas à canaliser cette énergie là ?

Il faudrait que j'y arrive car c'est quand même beaucoup de temps perdu à regarder son plafond. Mais en tout cas, faire un album en même temps qu'écrire un scénario pour le cinéma, ce n'est pas possible. Il faudra que je trouve un moment, un an, en me disant : "voilà, tu écris le scénario ou tu fais un roman", enfin un truc comme ça…

Sous forme de parenthèse, ou encore une fois tu abandonneras la musique pour passer à autre chose ? Par exemple pour la télé, penses-tu y revenir ou bien as-tu définitivement tourné la page ?

J'ai fait le tour de la télé… J'ai eu la chance de finir cette étape professionnelle par le truc le mieux que j'ai fait, c'est la Minute Blonde. Si j'avais continué, je serais en train d'écrire des Navarro, des sitcom qui passent sur la 3… La télé, ça va être de pire en pire donc je ne m'attends pas à être intéressé par un truc.

Tu ne te sens pas obligé d'abandonner une chose pour une autre ?

Non, et la musique c'est différent, c'est mon rêve de gamin, j'ai toujours voulu faire ça. Alors que la télé, je l'ai fait parce qu'on m'a accepté, j'avais besoin d'argent et c'était très bien mais c'était quand même avant tout pour bouffer.

En dehors de la sortie de ton disque, est-ce que tu as des projets de chansons pour d'autres personnes, notamment Adrienne ?

J'ai des tas de chansons à filer mais je n'ai pas le temps en ce moment de rencontrer des gens. On me propose des choses mais ce sont des trucs de business, toujours les mêmes, ceux qui n'ont pas de chansons, notamment ceux qui viennent de la télé réalité. Mais cela ne m'intéresse pas trop. J'attends de tomber sur un truc qui me plait, sur un artiste qui m'intéresse. J'ai fait une chanson avec la Blonde, Frédérique Bel, mais elle est complétement dingue alors ca ne se fera peut-être jamais mais la chanson est faite (rires).

Tu as dit, dans une interview, que tu laissais tes textes très ouverts vis-à-vis des auditeurs, notamment au sujet de "Barnum", qu'en est-il ?

Je disais ça effectivement parce que le gars avait fait une interprétation complétement délirante de "Barnum", mais je crois que c'est lui qui a déliré, c'est pas moi ! Parce que mon texte, il met en parallèle le monde du cirque et les relations amoureuses, il n'y a rien de délirant là-dedans en fait. C'est vrai que j'essaie que mes textes soient un peu ouvert mais en même temps, je suis anti-surréalisme à tous prix. Il faut toujours que ça aille quelque part, c'est peut-être mon côté scénariste. Ssi ce n'est que du délire verbal pendant 5 minutes, ca ne m'intéresse pas. J'essaie toujours de scénariser le délire si tu veux (ndlr : il se lève et piétine le sol comme un enfant). C'est bon ça "scénariser le délire", je le garde !

J'adore notamment un mec comme Ferré, notamment sur ses dernières années. Il est arrivé comme ça à une espèce de délire verbal, parfois en allant trop loin car on ne comprenait plus rien, mais il y a là-dedans des éclairs de génie.

Moi je ne pourrais pas faire ça. Garder ce côté transcendant, un peu délirant, et le conduire. Et ça, par exemple, c'est hyper français, cet espèce de drame le temps d'une chanson. Le bon sens du pompeux. Avec les anglais, par exemple, quand on était sur les cordes que j'ai fait faire par des français, avec une ambiance de film très français, Baxter et Craig n'étaient pas convaincus, ils trouvaient cela prétentieux. Parfois, c'est bien aussi de voir ce que l'on a, nous, à injecter dans cette musique là, des trucs flamboyants un peu romantiques qui peuvent être pas mal.

Flamboyant, romantique et rock'n'Roll, ça va souvent ensemble, tu es plutôt rock ou pas toi ?

Non, je n'ai pas de … Je lisais Rock & folk dans le métro, et tout le courrier des lecteurs, c'est "qu'est-ce qui est rock et qu'est-ce qui ne l'est pas". Ca ne m'intéresse pas du tout, tout ça. Enfin, le rock m'intéresse comme musique, mais comme mode de vie … c'est des grosses conneries tout ça. C'est pathétique de voir que des gens y croient. Ca fait partie du mythe mais bon … En même temps, je piccole trop, je fume trop et je mets des lunettes noires parce que j'ai les yeux explosés parce que je n'ai pas dormi de la nuit, c'est tout. Et la chanson de Ian Dury est très ironique là-dessus. Et Baxter est bien comme son père, tiens ! Non, tous ces trucs, ca m'intéresse pas, c'est comme ces histoires de Dandy, ce sont les premiers qui disent qui sont (rires).

Justement Dandy, parisien, ca revient souvent à ton sujet…

Ouais ben j'habite Boulogne alors… Non mais c'est vrai, je suis parisien mais c'est comme ça. L'autre jour, on m'a dit, c'est marrant cet accent parisien sur "Qu'est ce qu'on va faire de toi ?" … surprenant. Je ne sais pas trop pourquoi on me dit cela. Enfin, je ne vais pas lutter contre, je ne vais pas dire que je ne suis pas parisien pour faire plaisir à la province mais c'est tout. Mes cousins sont de Normandie et me font chier sur le fait que je suis parisien depuis tout petit. Mais je ne vais pas m'excuser non plus d'être de Paris. Et puis, il y a plein de sorte de parisiens, si c'est le parisien du XVIème ou du VIIIème, ils feraient mieux de se calmer et puis les provinciaux faudrait aussi qu'ils arrêtent de jouer la carte "nature et tradition" parce qu'ils sont aussi pris dans une pièce dans laquelle tout le monde ne s'y reconnaît pas. Moi, je suis parigot et en plus de banlieue, pas parisien par parisianisme.

Les projets immédiats, c'est quoi ?

Le rock dans tous ses états à Evreux et les Francofolie de la Rochelle…

C'est tout à fait intéressant ces deux dates, cela résume très bien ton album, entre chanson française et rock.

Et d'ailleurs, c'est peut-être aussi le problème. Car dans l'industrie de la musique en France, mon projet pose un peu de problème pour justement trouver des salles, notamment municipales, où on a l'habitude de voir Vincent Delerm ou des trucs comme ça. Et j'ai une partie de mon répertoire qui pourrait coller à ces salles et à ce public et une autre partie plus rock. Enfin, il devrait y avoir une grande tournée à la rentrée… sauf si d'ici là, je ne vends que 27 disques…

Dernière question. Si ton meilleur ami partait très loin et que tu veuilles lui donner un disque de ta discothèque personnelle pour qu'il se souvienne de toi, tu lui donnerais lequel ?

Ah … C'est un peu l'ile déserte tournée autrement, cette histoire d'ami du coup ca m'embrouille … Je lui donnerais Coney island baby de Lou Reed, notamment si c'est pour une fille, c'est un disque très féminin et un de mes albums préférés.

Retrouvez Alister en Froggy's Session
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Crédits Photos : Thomy Keat (retrouvez toute la série sur Taste of Indie)


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Alister (19 avril 2008)


# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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