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Entretien de juin 2008  (Paris)  27 juin 2008

Voici venue la pause estivale. Du moins en ce qui concerne les Cours Publics d’Interprétation Dramatique dispensés par Jean-Laurent Cochet au Théâtre Pépinière-Opéra qui constituent le fil rouge de nos entretiens mensuels. Mais pas vraiment de vacances pour ce dernier dont l’emploi du temps ne lui laissera guère que quelques jours sans représentation.

En effet, jusqu’au 9 août 2008, le public peut le retrouver, en compagnie de Pierre Delavène, sur la scène du Théâtre Tristan Bernard dans "Correspondance inattendue", une lecture savoureuse et cocasse de lettres écrites par Sacha Guitry et attribuées à un personnage imaginaire, auteur dramatique médiocre mais doté d’une plume acérée sur son époque.

Parallèlement, dès le 19 juillet, il commence l’itinéraire de la tournée de la comédie de Sacha Guitry, "Aux deux colombes", par 3 festivals : au Festival de Sisteron, au Festival de Terre Neuve et au Festival de Fréjus pour laquelle il est actuellement en répétition avec Marcelline Collard qui reprend le rôle de Virginie Pradal. La "vraie" tournée démarrera début octobre 2008 pour une quarantaine de dates jusqu’en mars 2009.

Pour cet entretien de juin 2008, la forme en sera quelque peu différente, le questionnaire de Proust en constituant l'ossature. Un questionnaire qui appelle traditionnellement des réponses brèves et qui sera ici un peu, à peine, chahuté.

Je vais vous proposer de répondre au questionnaire de Proust, si vous le voulez bien.

Jean-Laurent Cochet : Oh oui ! Surtout qu il y a longtemps que je n'y ai pas pensé.

Votre principal trait de caractère.

Jean-Laurent Cochet : Ah, il faut que je me mette bien en face de moi pour ne pas juger en fonction des autres. Ce n'est pas mon habitude. La curiosité. No comment.

La qualité que vous aimez trouver chez un homme.

Jean-Laurent Cochet : La tendresse.

La qualité que vous aimez trouver chez une femme.

Jean-Laurent Cochet : L'intelligence.

Ce que vous appréciez le plus chez vos amis.

Jean-Laurent Cochet : Leur fidélité.

Avez-vous eu en ce domaine, des déceptions sévères et de surprises inattendues ?

Jean-Laurent Cochet : Oh, oui surtout au long d'une longue vie comme dit le poète. Je n'oublie rien, mais, en même temps, j'ai une mémoire assez sélective donc je ne me souviens réellement que des minutes heureuses comme dit Haldas.

Votre principale qualité.

Jean-Laurent Cochet : La bonté.

Votre principal défaut.

Jean-Laurent Cochet : La curiosité.

A nouveau. Une curiosité qui est à la fois intellectuelle et autre, donc riche d'enseignements, mais qui peut-être aussi être porteuse d'exigence par rapport à soi et aux autres.

Jean-Laurent Cochet : Voilà.

Votre occupation préférée.

Jean-Laurent Cochet : Si on laisse de côté le théâtre puisque c'est mon métier, je réponds la lecture.

Votre rêve de bonheur.

Jean-Laurent Cochet : Quand je me retrouverai en face du Père.

Votre plus grand malheur.

Jean-Laurent Cochet : Ne plus pouvoir convaincre.

Ce que vous auriez aimé être.

Jean-Laurent Cochet : La plupart des choses que j'aurais aimé être je l'ai été. Ce que j'aimerais être ? Inoublié.

Quand est-on oublié ?

Jean-Laurent Cochet : Quand on ne pense plus à vous.

La perpétuation du souvenir même chez ceux qui ne vous auront pas connu.

Jean-Laurent Cochet : Exactement.

Le pays où vous aimeriez vivre.

Jean-Laurent Cochet : Ah ! Pas l'Eden car on devait s'y ennuyer ! Je suis content d'avoir connu Paris et d'y vivre, et même en dépit de ses dégradations, mais il y a eu beaucoup de villes où je me suis dit "je pourrai vivre ici". Si j'oublie ma Côte basque et Aix en Provence, Venise.

Pourquoi Venise ?

Jean-Laurent Cochet : Pour tout. On pourrait dire d'abord parce qu'il n'y a pas de voiture, presque pas de vélo. Pour son atmosphère, quelque chose d'indéfinissable Pour les canaux, pour les merveilles, les musées, les palais. J'adore l'Italie. Mais c'est relativement indéfinissable. C'est comme on disait "l'air de Paris", ce qu'on peut difficilement dire maintenant sinon cela voudrait dire que l'on parle de pollution. C'est plutôt "être à Venise". Partout où je jette les yeux m'enthousiasme. Les vaporetto, les promenades d'une rive à l'autre, ce que beaucoup de gens ne font pas allant juste à la Place Saint Marc donner à manger aux pigeons - ce qui est d'ailleurs très bien – mais, pour moi, Venise est un endroit féerique. C'est vivre de la manière la plus humaine qui soit mais dans un autre monde.

Y êtes-vous allé à la période du Carnaval ?

Jean-Laurent Cochet : Non, jamais. J'ai un peu peur de la foule et je crains que cela ne fausse mes impressions.

Avez-vous été amené au cours de vos pérégrinations à séjourner dans des villes étrangères qui ont suscité cette envie d'attachement ?

Jean-Laurent Cochet : Saint Pétersbourg, San Francisco mais sans jamais me dire vraiment que j'y demeurerai. Je me sens chez moi en Anjou, et sur la Cote basque.

Je ne vous ai pas posé la question de votre origine.

Jean-Laurent Cochet : Je suis parisien, de Romainville. Ma mère était parisienne et mon père était lyonnais. Peut être à cause de ses gênes, Lyon est une ville que j'adore et où je me sens totalement chez moi. C'est une ville où je pourrai très bien vivre.

Votre couleur préférée.

Jean-Laurent Cochet : J'hésite toujours car ce sont deux couleurs que j'arrive difficilement à dissocier : c'est le vert et le bleu. Choisir est difficile car le vert est, pour moi, la couleur de toute la nature et le bleu c'est la couleur du ciel et, surtout, c'est une couleur qui me plait qui me séduit, toutes les sortes de bleu.

C'est curieux car en général on dit que le vert est une couleur honnie par les comédiens ?

Jean-Laurent Cochet : Ooooh ! Pas du tout! Je ne me souviens même pas de la raison de cela. Je n'aime pas les superstitions et je trouve cela d'une grande bêtise qu’une une chose qui peut être belle puisse porter malheur, ce sont bien des trucs à la Dux et à la Armand Bernard. J'ai failli en faire mourir pas mal parmi ceux que je n'aimais pas et dont je savais qu'ils détestaient le vert. Armand Bernard a failli en crever ! Au contraire, dans toutes les pièces que j'ai montées, surtout au Français parce qu'il y avait Dux que cela ennuyait, il y a toujours eu du vert. Comme il n'y a pas de fleurs qui portent malheur : les œillets sont sublimes. Sauf ces grandes fleurs comme les ajoncs ou les trucs artificiels ou séchés que les gens mettent dans des hauts vases.

Votre fleur favorite.

Jean-Laurent Cochet : Je crois, avant de dire la rose, bien sûr, même si cela peut paraître un peu bateau, je dirai le mimosa et les pivoines.

Il est rare de citer le mimosa et vous avez aujourd'hui un beau bouquet de pivoines roses.

Jean-Laurent Cochet : Oui, il commence à s'ennuyer un peu mais il a été superbe. J'aime leur parfum, ce que j'aime aussi beaucoup dans le mimosa. Mes fleuristes sont très gentilles et, quand arrive la saison du mimosa, elles m'en offrent sans même que je leur en achète, connaissant mon goût.

Votre oiseau préféré.

Jean-Laurent Cochet : Bien évidemment je pourrai répondre les pigeons puisqu'ils font partie de ma famille maintenant (ndlr : souvenez-vous de Caramel). On n'en voit pas beaucoup mais j'ai envie de dire la mésange. Et pour des raisons tout à fait personnelles et intimes, le faucon crécerelle.

Vos auteurs favoris en prose.

Jean-Laurent Cochet : Aaaah, il faut faire un choix … il y en a tellement qu'on va oublier les hommes pour citer Colette et Marguerite Yourcenar.

Pour l'ensemble de leur œuvre ?

Jean-Laurent Cochet : Oui.

Vos poètes préférés.

Jean-Laurent Cochet : Avant tout, mon choix est fait : Francis Jammes et puis Verlaine, Charles Péguy, Marie Noël et tous les autres… et Anna de Noailles. Et nous nous retrouvons encore en compagnie de dames.

Vos héros et héroïnes dans la fiction.

Jean-Laurent Cochet : C'est drôle car il y a quelques années j'aurai répondu Don Quichotte et plus du tout maintenant. Plus du tout. Le choix est difficile… ce sont des noms de gens qui ont vécu qui me viennent à l'esprit… C'est curieux… allez laissez-moi encore une minute, monsieur le bourreau… Tous les personnages, mais surtout les principaux Jallez et Jerphanion, dans "Les hommes de bonne volonté" de Jules Romains.

Vos compositeurs préférés.

Jean-Laurent Cochet : Je mettrai au-dessus de tous les autres parce qu'il les contient, soit les rappelle quand ils sont plus anciens, Poulenc sans hésitation. Car qui dit Poulenc, dit Mozart, dit Ravel etc…

Vos peintres préférés.

Jean-Laurent Cochet : Les Tiepolo. Qui sont partout dans Venise.

Vos héros et héroïnes dans la vie réelle.

Jean-Laurent Cochet : Jésus et Jeanne d'Arc. C'est la vie réelle.

Vos héros dans l'histoire.

Jean-Laurent Cochet : Louis XIV et, j'ai envie de dire, Madame de Sévigné.

Pour sa vie, pour ses lettres ?

Jean-Laurent Cochet : Pour elle. Pour qu'elle ait traduit sa vie dans cette œuvre-là. J'aurais également pu citer Oscar Wilde qui, à sa manière, n'est pas très loin de Louis XIV.

Vos noms favoris.

Jean-Laurent Cochet : Jean et Laurent. (rires)

Comme c'est curieux. C'est vraiment très étrange. Il ne manque plus que le tiret.

Jean-Laurent Cochet : Oui comme ça cela ferait trois noms !

Ce que vous détestez par-dessus tout

Jean-Laurent Cochet : La bêtise. Sous toutes ses formes. Il ne faut pas chercher plus loin.

Les personnages historiques que vous méprisez.

Jean-Laurent Cochet : Que je méprise ? Oh il y en a peu à qui je fais cet honneur ! Je suis tout à fait comme Malraux sur ce plan-là.

Le don de la nature que vous auriez aimé avoir.

Jean-Laurent Cochet : Les dons si on ne les cultive pas ne servent pas à grand chose. Le théâtre m'a fait approcher beaucoup de choses même sans en faire mon métier, comme la danse, j'ai beaucoup dansé dans les pièces que j'ai jouées, pas comme un grand danseur, bien sûr, mais cela n'aurait pas non plus été mon but, la musique j'en ai fait autant que du théâtre. Pas de dons manuels, ni aviateur ni même thaumaturge car ce n'est pas à nous de faire des miracles, la cuisine j'aime mieux que ce soit d'autres, non je ne vois pas…

…faire du macramé, poser du papier peint,…

Jean-Laurent Cochet : …ah non ! Rien de tout cela ! (rires).

….cultiver la terre…

Jean-Laurent Cochet : …ah non j’aime bien les gens qui la cultivent, j'aimais bien voir Tabarly faire de la voile, mais très peu pour moi tout ça. En tennis j'étais un très bon arbitre, cela me suffisait. Non, vraiment je ne vois pas !

Le fait militaire que vous estimez le plus et celui que vous détestez.

Jean-Laurent Cochet : En principe, je déteste tous les faits militaires parce que je déteste la guerre. J'admire ceux qui avaient une grande idée et qui l'ont réalisée. C'est aussi bien Alexandre que Napoléon - malgré tout - que Lawrence d'Arabie, Foucault, qui n'était pas un militaire mais qui est mort du fait militaire à son époque. Ce sont de grands hommes, pour moi, parce qu'ils sont allés presque jusqu'au bout de leur rêve. Il y a sans doute des gens qui ont été héroïques et que j'oublie.

J'ai envie de vous citer un homme qui est lié à tout cela, dans la défaite et dans la victoire, dans l'intelligence et dans les revers, dans les raisons qui, en définitive, sont toujours bonnes quand ce sont les siennes, et c'est une de mes très grandes admirations : Hélie de Saint Marc. C'était un soldat, qui est très âgé, et qui écrit encore, de temps en temps, dans ce journal qui n'existe plus, Le Figaro, qui lui demande un marche pieds ou un éditorial, et qui a eu à subir au moment où il a fait des actes en pensant que c'était ce qu'il y avait de meilleur et qui se sont avérés ensuite répréhensibles et qui a été emprisonné par De Gaulle

Celui que je déteste le plus et c'est, d'une certaine façon, militaire, car on ne connaît pas les raisons qui ont entraîné tant de gens à se venger de lui, ce que je continue moi à appeler l'assassinat de Brasillach.

Quel est pour vous le comble de la misère ?

Jean-Laurent Cochet : La raison de ne plus espérer, mais on pourrait dire ne plus croire.

La personnalité que vous aimeriez rencontrer et que lui diriez-vous ?

Jean-Laurent Cochet : Je ne crois pas qu'on ait envie de rencontrer quelqu'un pour lui dire merde quoi que, de temps en temps, l'idée m'avait traversé… Garbo, c'est fini, Haldas, je l'ai rencontré,… s'il y a des gens que j'aimerais rencontrer, c'est pour leur dire merci et j'ai quasiment pu le dire à tous ceux à qui j'avais envie de le dire, des gens que j'admirais, quand je me suis trouvé un jour sur leur route de façon parfois délibérée mais, le plus souvent, sans l'avoir prémédité. Pour dire merci…ou je t'aime dans certaines circonstances, mais cela revient au même.

La faute qui vous inspire le plus d'indulgence.

Jean-Laurent Cochet : Les fautes passionnelles.

Des passions à la base d'agissements répréhensibles ?

Jean-Laurent Cochet : Oui, enfin pas la mort bien sûr. Tout ce qui est à la base d'emballements, d'excès de vie, d'exigence, de véhémence. Là, je pardonne volontiers.

L'état présent de votre esprit.

Jean-Laurent Cochet : Il faut répondre par un mot qui les englobe tous : la joie, à partir du moment où j'oublie tout ce qu'il y a autour de nous dans le monde et qui vient assombrir cet état là.

Comment aimeriez-vous mourir ?

Jean-Laurent Cochet : Ah ! J'ose le dire, sans trop de souffrance, pour que ça n'entraîne pas tout le côté soins et étrangers autour de vous. Pas non plus dans mon sommeil, non, car je veux être très conscient. Il y a un poème de Francis Jammes qui répond ainsi : "Mon Dieu, faîtes que le jour de ma mort soit beau, faites qu'il soit paisible, tranquille et que je meure dans une paix profonde, entouré par tous mes enfants, comme le bon laboureur des fables de La Fontaine". Etant bien entendu que c'est une façon de faire le passage, quelle que soit l'anecdote. C'est ainsi que j'entends la question.

Votre devise.

Jean-Laurent Cochet : Je ne me suis jamais dit que telle chose était ma devise. Mais parmi les gens qui en avaient une ou qui ont dit des choses que l'on aimerait prendre pour devise, il y a une phrase de Madame Colette : "Et encore meilleur que meilleur" et la devise des ducs de Bourgogne : "Plus est en nous". Ce seraient les deux miennes.

Ce que vous aimeriez que Dieu vous dise quand vous vous retrouverez face à lui

Jean-Laurent Cochet : Tu as trop aimé pour ne pas être pardonné. Ca j'y compte bien.

 

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En savoir plus :

Le site officiel de Jean-Laurent Cochet

Crédits photos : Thomy Keat (Plus d photos sur Taste of Indie)


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