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Interview  (Saint Etienne)  7 mai 2009

N&SK, ou Nomades & Skaetera est un groupe stéphanois qu‘on ne présente plus. Ces 8 joyeux lurons aux influences multiples sortent déjà leur cinquième album, Libre Service, le 11 mai.

Avec quelques 900 concerts à leur actif, ils ont débuté en Mars la " tournée des 10 ans" comme ils l’appellent, qui vise également à promouvoir leur nouvel opus.

Avant leur concert du 7 mai au Fil, j’ai eu l’honneur de les rencontrer. Franky au trombone, Kaï au chant et Looping à la trompette ont été là pour répondre à mes questions, en toute simplicité.

Pour commencer... pouvez vous nous en dire plus sur votre esprit musical ?

Kaï: Il est divers et multiple, un peu à notre image puisque nous sommes 8 musiciens qui viennent tous d'horizons différents. Ça va du métal, du jazz, en passant par la chanson, par le reggae, et par tout ce qui est folklore traditionnel que ce soit oriental ou des pays de l'Est. C'est un mix de tout ça qui fait notre pâte. L'essence du projet N&SK c'est vraiment de mêler les influences de chacun pour former un son unique qui soit identifiable: le son N&SK.

Looping: Il est bon hein?!

Oui oui très bien, très motivé (rires).
J'ai cru comprendre que vous vous étiez rencontré à Saint Etienne... alors ça fait quoi de revenir à la maison?

Kaï: Jouer à Saint Etienne, ça fait toujours très bizarre parce qu’à nos débuts c’est ici qu’on écumait tous les bars et évidemment le premier public qu'on a rencontré a été le public stéphanois. Après on s'est exportés en dehors de la région et en Europe un petit peu. Donc Saint Etienne, c'est un peu plus de trac peut être parce que dans notre premier public il y a aussi la famille, les amis que l'on va voir ce soir, mais ça donne aussi une énorme envie.

Et d'ailleurs, que pensez vous du Fil?

Kaï: Ahhh le Fil, ça fait 10 ans qu'on attend cette salle, vraiment 10 ans, puisqu'à l'époque on a connu le Hall C, et c'est vrai que pendant toutes ces années on s'est battus pour avoir ce lieu là qui est super, fonctionnel, avec une équipe qui a un bon esprit de développement, notamment vis à vis des groupes locaux qui jouent régulièrement ici. Il y a un vrai soutien à ces groupes, et ça c'est une mission qui est très importante et qu'ils réalisent bien au Fil.

Déjà 10 ans depuis la création officielle du groupe! Qu'est ce qui vous a poussé à toujours continuer?

Kaï: D'une part on fait le plus beau métier du monde! On ne peut pas dire l'inverse, on vit de notre passion, on rencontre des gens, on est sur la route, on voit du paysage, ce n'est jamais pareil d'un concert sur l'autre, il se passe toujours des choses inattendues et je crois que c'est ça qui nous fait vivre, continuer. C'est vrai que le milieu n'est pas forcément facile parce que quelque part on est obligés de fonctionner en indépendants et de ne compter que sur nous. On peut dire qu'on n'est pas supportés par les grands médias donc qu’on ne fait pas partie du grand réseau médiatique. Nous on a plutôt un réseau parallèle mais on aime bien parce que cette structure là, c'est justement celle des salles comme le Fil par exemple, ou des associations. Ce sont des réseaux activistes qui nous intéressent car ils ont une vraie volonté de développer le côté culturel de ce pays. C’est ça qui nous fait continuer.

Entre des petites scènes et de gros festivals comme le Sziget en Hongrie, vous avez fait beaucoup de concerts durant ces 10 ans...
Vous êtes plutôt un groupe de live?

Franky: Oui quand même. Déjà tout simplement parce que c'est le live qui nous fait vivre. Nous sommes intermittents donc ce n'est pas les ventes de disques qui nous font vivre, mais les concerts.

Kaï: Tu m'excuses Lauriane, mais je vais réussir à les faire parler!!! (rires)
Kaï, décidément très bavard, prend ma place le temps d'une question:
Est ce que votre attention, votre énergie changent selon un petit ou un gros concert?

Franky: Nous on est des cuivres donc on est placés un peu derrière la scène. En fonction de la grosseur du plateau déjà est ce qu'on va pouvoir aller devant, partager avec le public? Ou est ce qu'on n'aura pas la place? Et à ce moment là on met notre énergie ailleurs, derrière.

Kaï: C'est vrai que N&SK c'est 8 musiciens sur scène donc il y a vraiment du mouvement scénique. Le but est d'aller chercher les spectateurs et de créer une interactivité avec eux.

Looping: Ils nous portent des fois.

Kaï: Il y a une chanson ou l’on parle de cette complicité avec le public...

Et alors le Sziget ça a été comment?

Looping: Le Sziget c'est un gros festival, un des plus gros festivals d'Europe d'ailleurs. Le camping est bondé, c'est tente sur tente... vraiment une atmosphère particulière! Nous on a joué le dernier jour, sous un grand soleil, mais on avait peur que les festivaliers soient fatigués par la longue semaine de concert. On a joué en fin d'après midi, et c'était impeccable, les gens bronzaient même en nous attendant! Il y avait beaucoup de français qui nous connaissaient et puis des pas-français qui ne nous connaissaient pas mais qui ont été séduits par notre spectacle.

Kaï mime à côté de moi un punk avec une crète.
(rires) Ah oui y’avait même des gens avec des crêtes. Non vraiment on a fait un bon concert.

Franky: On a joué une heure c'était super.

Kaï: Ce qui est assez exceptionnel c'est que le Sziget nous reprogramme cette année, on trouve ça assez incroyable. De mémoire, peu de groupes ont joué deux années de suite, c'est à mettre dans les annales. Même les Rolling Stones n'y sont pas arrivés!! (rires).

Donc N&SK c'est encore mieux que les Rolling Stones!

Kaï: (rires) Non c'est sûr qu'on ne joue pas sur la même scène, on n'a vis et versa pas les mêmes influences donc on peut pas comparer N&SK et les Rolling Stones!

Looping: Et pas le même âge non plus!

Kaï: Donc c'est vrai que le fait de revenir une seconde fois jouer au Sziget nous fait nous demander s'il n'y a pas anguille sous roche!

Looping: Hummm c'est pas faux (rires)
Non mais c'est sûr qu'il va falloir quand même assurer, encore plus que l'année dernière! Comme ça on reviendra encore l'année d'après. Allez 3 ans de suite! (rires)

Kaï: Là on s'est mis au Hongrois un petit peu, histoire d'être à peu plus prêts, donc on apprend quelques phrases.

Ça doit être un bonheur pour vous de repartir en tournée.
Comment ça se passe pour le moment?

Looping: Pour l'instant ça se passe très bien! Quelques explications: on a crée un nouveau spectacle autour des nouvelles chansons de notre nouvel album, donc tout ça est très nouveau! Jusqu'à présent c'est un petit peu de travail donc on a déjà fait quelques concerts avant celui de ce soir à Saint Etienne. Ça nous a permis de rôder notre nouveau spectacle, de travailler les enchaînements, l'ordre des morceaux, les lumières et compagnie, pour qu'on soit au point pour le public stéphanois. Il faut toujours quelques concerts pour tout mettre en place. Là on a du faire 4- 5 concerts depuis le début de notre tournée il y a un peu plus d’un mois. Le gros est à venir puisque l'album sort le 11 mai, donc on va faire beaucoup de concerts, en mai et en juin, l'été va être un peu plus calme mais on espère avoir une bonne tournée d'automne aussi. A priori, on est partis pour défendre le disque sur un an et demie, deux ans.

Justement, à propos de votre nouvel album... Vous avez des anecdotes à nous raconter sur l'enregistrement?

Kaï: Alors... qu'est ce qu'on pourrait dire sur Libre Service? (moment de réflexion) On a sûrement des choses à raconter mais il faut que ça revienne...

Il précise à Looping et Franky:
On s'adresse aux auditeurs donc il faut sélectionner nos anecdotes! (rires)

Bon c'est pas forcément du funk que tu veux? Parce qu'on en a une qui nous a complètement désarmés, on s'est retrouvés tout à fait désemparés... c'est à dire qu'à un moment donné Albator (ndrl: le batteur du groupe) s'est blessé et il a fallu arrêter un peu le studio. On était inquiets pour lui car il s'est vraiment blessé. On avait l'angoisse de ne pas savoir si on allait pouvoir rattaquer bientôt, et heureusement ça a été vite possible.

Looping: On lui a mis des glaçons ça allait beaucoup mieux (rires)

Kaï: Non, quand même, il a été obligé de porter une attelle pendant un moment.

Donc votre copain se blesse et vous n'y pensez même plus?! (rires)

Looping: Non sur le coup c'était vraiment l'angoisse mais on s'en est remis! Lui aussi il s'en est remis, il joue mieux que jamais!

Pour en revenir à votre album, vous avez choisi de l'intituler "libre service". Pour quelle raison?

Kaï: C'est en référence à un des titres du nouvel album. C'est une chanson que j'ai écrite avec Tof et Seb, c'est d'ailleurs nous trois qui écrivons principalement. En fait j'ai voulu écrire cette chanson parce que j'avais lu un bouquin de Laurent Gaudé, El Dorado, qui raconte le voyage d'immigrés africains qui souhaitent rentrer en Europe. Ce livre présente toutes leurs désillusions, puisqu'ils vont jusqu'à risquer leurs vies, et s'embarquent dans des bateaux de fortune, la grosse galère quoi. Donc moi je suis parti de ce bouquin pour écrire cette chanson, et finalement ce titre a été proposé par l'équipe de communication et on a trouvé pas mal de l'étendre à tout l'album. Pourquoi? Dans Libre Service il y a un double sens. Le côté libre bien sûr, la liberté, mais aussi le côté servitude, donc c'est un peu antinomique, on trouvait ça sympa aussi. Libre Service c'est pas mal aussi dans cette époque des téléchargements gratuits. Et puis en général je pense que c'est aussi représentatif de toute la désorganisation du système bordélique ou tout peut se trouver dans les rayons des magasins. Tout s'achète, se standardise, se formalise. C'est un peu comme on veut, d'où l'idée de Libre Service.

Vos paroles sont toujours très énergiques, mais aussi très engagées. Quelles sont les sujets qui vous touchent le plus?

Kaï: Très engagées oui et non, ça dépend des albums. On va dire que comme d'habitude il y a des thèmes qui nous concernent, pour lesquels on a besoin de réfléchir; les thèmes de société (d’ici ou d’ailleurs). Quelque part on donne notre vision des choses, sans forcément apporter des solutions, ce n'est pas forcément ce qui nous intéresse, c'est surtout de pouvoir poser le doigt sur un problème. On a aussi des textes qui sont plus portés sur nous mêmes, plus introspectifs, plus personnels.

En somme, que voulez vous faire passer au public?

Kaï: L'envie de rester tout le concert, déjà, enfin en tout cas en écoutant l'album l'envie de venir au concert, de participer, d'être à l'écoute de ce que l'on raconte, d'être réceptifs à nos messages. Nous on est un peu inquiets de la façon dont, pour l'instant et pour un moment, est dirigé notre pays,. En fait on s'inquiète un peu de tout ce mouvement Sarkozyste. C'est vrai qu'on ne comprend pas bien comment il a pu être élu, et surtout comment il peut rester populaire dans les sondages (une étude IFOP indiquerait qu'il serait réélu s'il y avait de nouvelles élections). Moi je trouve ça assez jobard.

Looping: Moi j’ai voté pour lui... non je rigole! (rires)
Le véritable problème est une absence de position et de propositions en face de lui, mais le deuxième soucis pour moi c'est qu'on ne parle que de crises et qu'on oublie de dire qu'il y a quand même des choses qui vont bien, des initiatives. Au niveau culturel et social par exemple, il y a des gens qui travaillent dans ces milieux là pour faire avancer le schmilblick. Malheureusement on nous rabat les oreilles avec des choses négatives, entre la grippe et la crise, tout est anxiogène. On essaie donc d'avoir un message un peu plus positif même s'il n'est pas positiviste, c'est à dire qu'on est quand même conscients d'une réalité et de problèmes assez graves comme ceux dont on peut parler dans nos chansons. Voilà ce que l’on peut dire à l’heure actuelle.

Tout comme votre dernier album en date "Non Alignés", ce nouvel opus me semble beaucoup plus rock que ce que vous faisiez en début de carrière.
D'ou vient cette évolution ?

Kaï: C'est vrai, c'est très juste comme remarque, je pense que c'est une tendance, peut être aussi que le fait que Seb a apporté beaucoup de tendances musicales.
Seb est un guitariste qui vient directement du gros rock, donc avec lui il y a beaucoup plus de grosses guitares, de batteries un peu plus grasses. Et puis c'est aussi l'évolution logique de N&SK, on reste toujours dans la musique actuelle.

Looping: Justement au niveau des paroles, au début c'était plutôt reggae, ska, festif, parce qu'on portait des paroles beaucoup plus festives et positives que ce que l'on peut faire actuellement. Les deux sont liés. Forcément la musique évolue avec ça et est donc parfois plus sombre, plus revendicative, pour porter des textes qui ont changé aussi. Sans tomber dans la déprime non plus (rires).

Quelle direction vouliez vous prendre pour ce nouvel album?

Kaï: Donner un disque qui soit un peu plus rock. Pour ça on s'est aussi entourés d'un réalisateur qu'on a choisi, qui s'appelle Nicolas Matagrin, qui a une grosse culture rock à la base, reggae, mais qui est surtout très bon en électro. On s'est dit qu'on voulait un peu moderniser le son N&SK, lui apporter une touche actuelle. On a donc fait appel à Nico Matagrin qui a travaillé avec des gens comme le Peuple de l'Herbe, High Tone, enfin tu vois ce genre de musiques électro, qui reste un peu drum 'n bass aussi. Voilà un peu la direction globale du disque, de par cette collaboration avec ce réalisateur.

Des aspirations pour la suite?

En choeur: Tourner

Kaï: Tourner pour l'instant. Là on est vraiment dans l'optique de tourner. On sort de résidence, et on a monté notre nouveau spectacle avec ce nouveau set. En fait on va présenter essentiellement les titres du nouveau disque Libre Service. On s'est aussi permis de créer un moment acoustique avec lequel on va pouvoir être un peu plus proche des gens. On va d’ailleurs proposer d’anciens titres réarrangés. Quelque part cette tournée c'est un peu la tournée des 10 ans, on remontre un peu tous les albums, avec des titres qu'on a très rarement joués. Donc l'idée c'est vraiment de tourner jusqu'à plus soif.

Donc vous êtes partis pour de nombreuses années encore...

Looping: On peut l'espérer!

Une dernière question... La loi Hadopi est particulièrement d'actualité en ce moment. Qu'en pensez vous?

Kaï et Looping: Eh c'est pour toi Franky! T'as quasiment rien dit!!

Franky: C'est quoi déjà la Loi Hadopi déjà? On n'a plus le droit de télécharger sinon on n'a plus Internet c'est ça?

Oui en fait on a des avertissements gradués visant à stopper tout téléchargement illégal

Looping: C'est une incitation à télécharger sur les sites officiels où l‘on paie en fait chaque titre.

En chœur: Allez Franky!!!

Franky: Mais le système est tel que à un moment ou à un autre, même sans le vouloir, on a le titre dans nos ordinateurs. Quand on écoute une musique sur Deezer par exemple, elle est stockée dans notre PC le temps qu'on l'écoute. Tu n’as rien fait, tu l'as juste écoutée, et elle est sur ton ordi. Après c'est aussi impossible de vérifier qui a téléchargé illégalement. On peut télécharger avec le réseau Wifi de son voisin, et c'est lui qui paie, donc voilà je pense qu'on ne peut rien y faire. C'est à nous les artistes de trouver d'autres modes pour s'en sortir, proposer d'autres choses, de réfléchir à ça. Par exemple pour le cinéma j'ai appris qu'il commençait à y avoir de plus en plus des films en 3D que tu regardes avec des lunettes spéciales. Pourquoi ils font ça? Déjà parce qu'ils ont trouvé un système qui coûte moins cher, et ensuite car même si tu télécharges le film, la 3D tu ne l'auras jamais sur ton ordinateur donc tu as quand même plutôt intérêt à aller le voir au cinéma. Ils ont trouvé ça au cinéma, mais nous dans la musique on doit aussi trouver des alternatives.

Tu as des idées d'alternatives?

Franky: Je sais pas non.

Ça me fait penser à des artistes comme Radiohead qui ont mis leur album en téléchargement sur Internet à prix libre.

Franky: Oui c'est sûr, mais seuls les gros groupes peuvent se permettre de faire ça, donc c'est une alternative assez limitée.

C'est vrai... Donc dans l'ensemble vous trouvez la loi plutôt inefficace?

Kaï: Oui, par rapport à la volonté d'inciter les gens à ne pas télécharger, moi je suis plutôt contre, après une chose est sûre c'est que le disque est cher à la vente. Nous on connaît un peu les coûts de production d'un disque, on sait aujourd'hui comment c'est possible de faire un bon disque avec un moyen budget. On n'est pas obligés d'enregistrer dans un énorme studio avec la piscine et tout le tralala, parce que ce sont des coûts qui se répercutent sur le prix de vente. Et quand tu vois les prix dans des magasins distributeurs comme la FNAC, c'est assez énorme. Donc moi je trouve le disque trop cher au delà de 15 euros, et nous on a essayé, dans la mesure du possible, d'arriver à un prix qui soit correct. Après N&SK vit avant tout par la scène, par les concerts, on ne vit pas directement de la vente de disques. C'est plus pour nous un moyen promotionnel pour dire que N&SK a une nouvelle actualité, repart sur la route pour défendre les nouveaux titres, présenter les nouvelles chansons. C’est plutôt cette attitude là que l'on a par rapport au disque.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Le tour de piste de N&SK
N&SK en concert au Festival Solidays 2004 (vendredi)
N&SK en concert au Fil (7 mai 2009)
La conférence de presse de N&SK (Nomades et Skaetera) (10 juillet 2004)

En savoir plus :
Le Myspace de N&SK

crédits photos : Sébastien Barriol (Toutes les séries sur Taste of Indie)


Lauriane Clément         
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# 17 mars 2024 : le programme de la semaine

De la musique, des spectacles, des livres. Aucune raison de s'ennuyer cette semaine encore. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Scars" de Greyborn
"Rooting for love" de Laetitia Sadier
"Quel est ton monde ?" de Olivier Triboulois
"Letter to self" de Sprints
"TRNT best of 1993 2023)" de Tagada Jones
"Beyond the ridge" de Wildation
Quelques clips chez YGGL, Down to the Wire, Malween, Lame, For the Hackers et Madame Robert

Au théâtre

les nouveautés :

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14
et toujours :
"A qui elle s'abandonne" au Théâtre La Flêche
"Les quatres soeurs March" au Théâtre du Ranelagh
"Mémoire(s)" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"N'importe où hors du monde" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Quand je serai un homme" au Théâtre Essaïon

Du cinéma avec :

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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